COLLECTION FOLLE DU CUL. Tel est pris qui croyait prendre (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Tel est pris qui croyait prendre (3/5)
Ouiii, pas devant moi.
À mon insu Ouiii, un truc bien trash hardcore.
- Audrey, voilà la réponse que Tony m’a faite après lui avoir envoyée comme à toi les deux premiers chapitres.
La question que je lui ai posée c’est s’il souhaite que tu te laisses baiser dès ce soir avec Julien ou dans les jours suivants.
- Attends, je réfléchis Chris, c’est tentant, mais non susurre lui que ce serait plus bandant de le faire devant lui dès ce soir.
Si tu lui soumettais l’idée que je vais te dire.
- Je te dis que tu devrais écrire Audrey, tu es plus vicieuse que moi.
- Comment, dit-il que je suis « réservée et sans libido », on va lui faire voir qui des deux en manque ?
- Avec ce que tu proposes, il sera à des années-lumière de toi.
Si je m’écoutais, je dirais que tu es une grosse salope.
- Chris salope si tu veux, grosse tu m’offusques.
Si tu passes à Bondues, viens me voir, je te montrerais si j’ai un gros cul.
- Si tu acceptes de baiser avec moi, c’est possible.
Je suis à la retraite et j’aime passer du bon temps !
Aller, c’est parti, ou en étions-nous.
Oui, Julien était derrière toi et est venu te caresser le clito lorsque Tony est ressorti ayant été voir les filles, l’une d’elles pleurée.
Il s’est étonné ayant cru à votre absence.
La marjelle vous protégeait.
Promptement, à la voix de Tony, Julien se jette en arrière et part dans un crawl pouvant faire pâlir un champion.
Je vois Tony au-dessus de moi.
Dans le mouvement brusque fait par Julien, l’une des lanières du Bikini cède, je sens qu’il me quitte.
Là c’est la cata.
À part passer la nuit dans l’eau, il faut que je sorte.
Je rejoins les quelques marches et j’arrive à rejoindre le transat sans lâcher le maillot et rester descente.
Julien nous rejoint.
Contre toute attente, les garçons s’assoient sur des transats identiques au mien, de chaque côté.
Il récupère son jean et sort du tabac avec son briquet.
- C’est !
- C’est, en veux-tu !
- J’en ai fumé avec des copains au lycée.
Je découvre des facettes de mon mari que j’ignorais en plus de penser que je suis pisco rigide du cul.
Le joint vite près circule entre nous déclenchant en moi des bouffées de rire compulsifs.
Qui de Tony ou de Julien commence à me caresser la jambe, je l’ignore.
Ce que je sais c’est que dans mon euphorie, elles s’écartent libérant ma vulve.
La concupiscence des deux mâles qui je suis sûr commence à bander à l’intérieur de leur maillot m’exit au plus haut point.
Je fume, je ris, je fume, je me laisse caresser la chatte par les deux mains qui viennent en moi.
Au risque de me faire surprendre par mes filles, l’une d’elles ayant la mauvaise idée de refaire un cauchemar et de nous rejoindre son doudou dans les mains.
Est-ce de l’auto-défense de penser à elles afin d’éviter ce qu’immanquablement il va suivre.
Je vais me donner à ces deux hommes dont mon mari.
- Vas-y, baise là, je pense que tu as dû l’échauffer dans la piscine.
Cabanis exaspérant mon excitation quand Julien se lève sortant sa verge, je sais au plus profond de moi que celle de Tony est du même acabit et que la longueur est loin d’être pour quelque chose dans ce qu’il a à me reprocher.
Divin, lorsqu’il se couche sur moi me pénétrant sans difficulté ma chatte ruisselante, l’avale d’une seule traite.
La folie me gagne quand Tony se lève à son tour et me présente la verge familiale.
Je l’empoigne plus que de raison et je la four dans ma gorge.
J’arrive à la faire entrer jusqu’à ses couilles avant de le recracher pour mieux le reprendre de nouveau.
Tony a dit à Chris que j’étais réservé sans libido, ce soir je déborde de libido sans aucune réserve que mon plaisir et le leur.
- Chris, qu’en penses-tu, c’est miens devant lui, j’espère qu’il va adorer la façon dont je le fais cocu.
- S’il trouve que ce truc manque de trash, par la suite il va être servi.
Retournons à notre trio, je veux jouir.
Tony sait y faire avec sa queue, il me fait rapidement partir, jusqu’à ou le joins y est pour quelque chose.
Depuis que mon futur amant m’a été arraché sans ménagement sur la place de cette ville de l’atlantique, ce sont des moments comme celui-là que je veux vivre.
J’ai commencé, pourquoi m’arrêter.
Tony me libère après qu’un orgasme m’ait traversé, il s’allonge sur la pelouse me tirant par le bras.
De nouveau je suis empalée avant de sentir une langue titillant mon anus.
À deux doigts de jouir dans ma bouche, Tony a certainement compris ce que voulait Julien et une fois bien humecté, d’une seule poussée pour la première fois, il m’encule.
Prise par deux verges en même temps, j’ignore quand je tourne de l’œil, mais c’est complètement défoncé au vrai par leurs verges et dans ma tête quand je reprends un joui qui m’est tendue que je plane à dix mille.
- Alors Chris, tu envoies ça à Tony, on va voir s’il est toujours sur sa version et la mienne.
- Non, finissons ce troisième chapitre, je sens qu’à la façon et aux idées que tu as nous sommes à la porte d’un quatrième chapitre.
Il en veut encore, je vais lui en donner après une pause dans ma piscine.
Les jambes tremblantes tellement ils m’ont fait m’envoyer en l’air, je me dégage et en deux mouvements la fraicheur de l’eau me refait prendre vie.
Qui de Tony ou de Julien me rejoint le premier, peu importe, ils sont là m’embrassant à tour de rôle me mettant leur langue bien profonde.
Me croyais-je capable de faire ce que je fais lorsque prenant une grande goulée d’air, je plonge sous l’eau pour les pomper chacun leur tour.
À leur âge, rapidement ils sont en état pour un deuxième round.
Sortant pour reprendre mon souffle, je m’accroche au cou du premier qui me rattrape m’empalant une nouvelle fois sur l’une des deux, me fichant de laquelle s’est.
La deuxième comme par miracle arrive à se glisser à son côté.
Je sens, ma chatte se distendre quand les deux, côte à côte se masturbent en moi.
Là encore, j’étais loin de penser réaliser cet exploit.
Dans la nuit, un cri vite étouffé par la première bouche qui me happe monte du tréfonds de mon corps.
Qui des deux ou les deux m’ont sorti de l’eau, je l’ignore et je dois dire que je m’en contrefiche, jusqu’à ce que l’on me saute sur le ventre dans des cris ressemblant étrangement à ceux de mes filles.
Je me couvre rapidement redevenant mère de famille.
Tony dort à mon côté, il a droit au même traitement.
J’arrive à maintenir le drap sur moi, surtout sur mes seins.
Mes filles les connaissaient bien quand je les allaitais, mais depuis leur sevrage, mon éducation stricte a pris le dessus et depuis je fais très attention à leur cacher.
- Maman, on veut regarder les dessins animés.
Avant que j’aie le temps de dire non, elle appuie sur la télécommande.
Je sais, la télé dans la chambre, c’est un tue l’amour.
Après cette nuit, je vais remédier à ça.
« Pour une poitrine parfaite, Playtex, votre poitrine sera plus ferme. »
La pub, elle est loin de nous aider dans l’éducation et les certitudes que nous avons pour élever nos enfants.
- Maman, fais-nous voir les tiens, regarde, les miens sortent déjà.
J’ai envi de lui dire comme tout le monde, ma chérie homme ou femme, mais pourquoi lui enlever ses illusions, en faire comme moi une femme se révélant pour la première fois cette nuit.
Révélant être une folle du cul.
Doucement je baisse le drap, il faut rapidement, que je montre la réalitée de la vie à mes filles...
À mon insu Ouiii, un truc bien trash hardcore.
- Audrey, voilà la réponse que Tony m’a faite après lui avoir envoyée comme à toi les deux premiers chapitres.
La question que je lui ai posée c’est s’il souhaite que tu te laisses baiser dès ce soir avec Julien ou dans les jours suivants.
- Attends, je réfléchis Chris, c’est tentant, mais non susurre lui que ce serait plus bandant de le faire devant lui dès ce soir.
Si tu lui soumettais l’idée que je vais te dire.
- Je te dis que tu devrais écrire Audrey, tu es plus vicieuse que moi.
- Comment, dit-il que je suis « réservée et sans libido », on va lui faire voir qui des deux en manque ?
- Avec ce que tu proposes, il sera à des années-lumière de toi.
Si je m’écoutais, je dirais que tu es une grosse salope.
- Chris salope si tu veux, grosse tu m’offusques.
Si tu passes à Bondues, viens me voir, je te montrerais si j’ai un gros cul.
- Si tu acceptes de baiser avec moi, c’est possible.
Je suis à la retraite et j’aime passer du bon temps !
Aller, c’est parti, ou en étions-nous.
Oui, Julien était derrière toi et est venu te caresser le clito lorsque Tony est ressorti ayant été voir les filles, l’une d’elles pleurée.
Il s’est étonné ayant cru à votre absence.
La marjelle vous protégeait.
Promptement, à la voix de Tony, Julien se jette en arrière et part dans un crawl pouvant faire pâlir un champion.
Je vois Tony au-dessus de moi.
Dans le mouvement brusque fait par Julien, l’une des lanières du Bikini cède, je sens qu’il me quitte.
Là c’est la cata.
À part passer la nuit dans l’eau, il faut que je sorte.
Je rejoins les quelques marches et j’arrive à rejoindre le transat sans lâcher le maillot et rester descente.
Julien nous rejoint.
Contre toute attente, les garçons s’assoient sur des transats identiques au mien, de chaque côté.
Il récupère son jean et sort du tabac avec son briquet.
- C’est !
- C’est, en veux-tu !
- J’en ai fumé avec des copains au lycée.
Je découvre des facettes de mon mari que j’ignorais en plus de penser que je suis pisco rigide du cul.
Le joint vite près circule entre nous déclenchant en moi des bouffées de rire compulsifs.
Qui de Tony ou de Julien commence à me caresser la jambe, je l’ignore.
Ce que je sais c’est que dans mon euphorie, elles s’écartent libérant ma vulve.
La concupiscence des deux mâles qui je suis sûr commence à bander à l’intérieur de leur maillot m’exit au plus haut point.
Je fume, je ris, je fume, je me laisse caresser la chatte par les deux mains qui viennent en moi.
Au risque de me faire surprendre par mes filles, l’une d’elles ayant la mauvaise idée de refaire un cauchemar et de nous rejoindre son doudou dans les mains.
Est-ce de l’auto-défense de penser à elles afin d’éviter ce qu’immanquablement il va suivre.
Je vais me donner à ces deux hommes dont mon mari.
- Vas-y, baise là, je pense que tu as dû l’échauffer dans la piscine.
Cabanis exaspérant mon excitation quand Julien se lève sortant sa verge, je sais au plus profond de moi que celle de Tony est du même acabit et que la longueur est loin d’être pour quelque chose dans ce qu’il a à me reprocher.
Divin, lorsqu’il se couche sur moi me pénétrant sans difficulté ma chatte ruisselante, l’avale d’une seule traite.
La folie me gagne quand Tony se lève à son tour et me présente la verge familiale.
Je l’empoigne plus que de raison et je la four dans ma gorge.
J’arrive à la faire entrer jusqu’à ses couilles avant de le recracher pour mieux le reprendre de nouveau.
Tony a dit à Chris que j’étais réservé sans libido, ce soir je déborde de libido sans aucune réserve que mon plaisir et le leur.
- Chris, qu’en penses-tu, c’est miens devant lui, j’espère qu’il va adorer la façon dont je le fais cocu.
- S’il trouve que ce truc manque de trash, par la suite il va être servi.
Retournons à notre trio, je veux jouir.
Tony sait y faire avec sa queue, il me fait rapidement partir, jusqu’à ou le joins y est pour quelque chose.
Depuis que mon futur amant m’a été arraché sans ménagement sur la place de cette ville de l’atlantique, ce sont des moments comme celui-là que je veux vivre.
J’ai commencé, pourquoi m’arrêter.
Tony me libère après qu’un orgasme m’ait traversé, il s’allonge sur la pelouse me tirant par le bras.
De nouveau je suis empalée avant de sentir une langue titillant mon anus.
À deux doigts de jouir dans ma bouche, Tony a certainement compris ce que voulait Julien et une fois bien humecté, d’une seule poussée pour la première fois, il m’encule.
Prise par deux verges en même temps, j’ignore quand je tourne de l’œil, mais c’est complètement défoncé au vrai par leurs verges et dans ma tête quand je reprends un joui qui m’est tendue que je plane à dix mille.
- Alors Chris, tu envoies ça à Tony, on va voir s’il est toujours sur sa version et la mienne.
- Non, finissons ce troisième chapitre, je sens qu’à la façon et aux idées que tu as nous sommes à la porte d’un quatrième chapitre.
Il en veut encore, je vais lui en donner après une pause dans ma piscine.
Les jambes tremblantes tellement ils m’ont fait m’envoyer en l’air, je me dégage et en deux mouvements la fraicheur de l’eau me refait prendre vie.
Qui de Tony ou de Julien me rejoint le premier, peu importe, ils sont là m’embrassant à tour de rôle me mettant leur langue bien profonde.
Me croyais-je capable de faire ce que je fais lorsque prenant une grande goulée d’air, je plonge sous l’eau pour les pomper chacun leur tour.
À leur âge, rapidement ils sont en état pour un deuxième round.
Sortant pour reprendre mon souffle, je m’accroche au cou du premier qui me rattrape m’empalant une nouvelle fois sur l’une des deux, me fichant de laquelle s’est.
La deuxième comme par miracle arrive à se glisser à son côté.
Je sens, ma chatte se distendre quand les deux, côte à côte se masturbent en moi.
Là encore, j’étais loin de penser réaliser cet exploit.
Dans la nuit, un cri vite étouffé par la première bouche qui me happe monte du tréfonds de mon corps.
Qui des deux ou les deux m’ont sorti de l’eau, je l’ignore et je dois dire que je m’en contrefiche, jusqu’à ce que l’on me saute sur le ventre dans des cris ressemblant étrangement à ceux de mes filles.
Je me couvre rapidement redevenant mère de famille.
Tony dort à mon côté, il a droit au même traitement.
J’arrive à maintenir le drap sur moi, surtout sur mes seins.
Mes filles les connaissaient bien quand je les allaitais, mais depuis leur sevrage, mon éducation stricte a pris le dessus et depuis je fais très attention à leur cacher.
- Maman, on veut regarder les dessins animés.
Avant que j’aie le temps de dire non, elle appuie sur la télécommande.
Je sais, la télé dans la chambre, c’est un tue l’amour.
Après cette nuit, je vais remédier à ça.
« Pour une poitrine parfaite, Playtex, votre poitrine sera plus ferme. »
La pub, elle est loin de nous aider dans l’éducation et les certitudes que nous avons pour élever nos enfants.
- Maman, fais-nous voir les tiens, regarde, les miens sortent déjà.
J’ai envi de lui dire comme tout le monde, ma chérie homme ou femme, mais pourquoi lui enlever ses illusions, en faire comme moi une femme se révélant pour la première fois cette nuit.
Révélant être une folle du cul.
Doucement je baisse le drap, il faut rapidement, que je montre la réalitée de la vie à mes filles...
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