COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (1/3)
« Pierre, tu as été un bon mari, mais je te quitte.
Tu as essayé de me rendre heureuse, mais tu es trop gentil pour m’apporter ce que je recherche.
Avec toi, je suis un corps mort qui aspire à revivre.
Prends soin de nos enfants, tu t'y prends mieux que moi. »
Voilà, j’ai enlevé mon alliance que je pose à côté de la lettre.
Je ferme la porte de mon domicile.
La vie de mère s’occupant à temps complet de trois gamins pour moi, c’est la fin.
À trente-deux ans la petite Fanny prend la clef des champs, emportant une simple valise.
• Conduisez-moi jusqu’à la gare !
• Votre train est à quelle heure ?
• Pourquoi un train, il y a de petits hôtels bon marché ?
Ma tante Marthe étant morte, j’ai un peu d’argent me permettant de voir venir.
Quand j’ai touché mon petit héritage, Pierre en bon père de famille a voulu que nous placions cet argent.
Moi, j’ai vu que c’était l’échappatoire à ma vie qui me pesait sans qu’il s’aperçoive que j’étais une femme frustrée.
Petite j’étais impétueuse et Pierre a réussi à m’endormir par sa gentillesse.
Le problème, c’est qu’il me fait l’amour avec la même gentillesse alors que mon corps voudrait un peu plus d’impétuosité.
Je me retrouve donc seule dans cette chambre où des milliers de couples la plupart illégitimes font l’amour fougueusement.
J’ai bien fait de partir, comme ces couples, j’aurais pu me faire des cinq-à-sept et après rentrer auprès de celui que je venais de tromper.
Je trouvais ça pathétique et j’ai préféré tout larguer.
• Vous êtes de passage, c’est la première fois que je vous vois.
• Non, mais j’aimerais que vous me conduisiez dans votre chambre.
• Vous vous êtes direct, combien pour un moment ?
J’éclate de rire, premier contact avec un autre homme que le mien et où je suis prise pour une péripatéticienne.
• Une bouteille que nous allons boire dans ta chambre, ce sera suffisant.
• Vodka, whisky ?
• Martini rouge si possible.
Il est surpris, il achète une bouteille le double de ce que je la paye dans notre supermarché où nous allons faire les courses tous les samedis.
Les magasins, unique promenade depuis douze ans, date de notre mariage.
Sans oublier le dimanche déjeuner chez belle-maman veuve frustrée chez qui nous mangeons chaque fois son sempiternel rosbif aux patates.
Pierre adorant les patates, il en mange tous les dimanches depuis la nuit des temps.
• Suce ma queue.
Attends.
Il prend la bouteille de Martini, j’en ai déjà sifflé la moitié.
Je siffle une demi-bouteille cul sec, chaque fois que la tension en moi est trop forte.
Il en verse sur son sexe qui commence à bander.
C’est la première verge que je vois de si prête.
À la maison, tout juste une caresse et immédiatement pénétration.
On en met pleins les draps, mais je suce autant que je bois, m’enivrant de ce que je fais dès mon premier soir de liberté.
Si j’étais restée, à cette heure, je donnerais le bain à Lucie, ma petite dernière avant de la coucher.
Là, quand il me relève et me place à quatre pattes, je vais me faire enfin baiser avec un peu plus de sauvagerie.
De grand coup, me soutirant des petites plaintes de plaisir, loin de ce que j’avais espéré.
• J’aime dormir seul, salut, c’était bien.
Je me retrouve dans ma chambre légèrement frustrée mais satisfaite d’avoir accepté un autre homme que le mien en moi.
Pourquoi dire le mien, puisque je lui ai rendu sa bague ?
Le lendemain après une sérieuse gueule de bois, je veux rester sage.
Je me caresse sans atteindre le moindre plaisir.
Mon corps semble mort, douze ans de mariage et de sexe pépère ont dû l’endormir.
22 heures, je sors.
Un bar près de la gare et de mon hôtel.
• Un whisky patron.
Un whisky patron.
Un autre.
À ce rythme et buvant du whisky pour la première fois, je suis bourrée.
• On va baiser.
Suis-moi.
Beau, moche, je descends alors que je pensais rejoindre une chambre.
• Soulève ta jupe, pose tes mains sur la cuvette, j’aime sauter les salopes comme toi.
Et de deux, il va falloir que je tienne un carnet.
Celui-là se situe dans la catégorie des petits gros.
Le genre de type qui me porte sur les nerfs mais là, c’est autre chose, le whisky aidant, c’est sa queue que je veux, simplement sa queue.
La cuvette où je pose mes mains est crade, moi qui briquais ma maison tous les jours de fond en comble.
Mais la verge en moi me prenant comme une bête m’ôte tous mes tabous et quand il décharge, je me dis que c’est pour ces moments-là que je me suis évadée.
• On va dans les chiottes pour baiser beau gosse.
Quinze jours ou je descends dans des toilettes où je suis des mecs de tous genres dans leur chambre.
Souvent ce sont les femmes de service venant faire la chambre de celui qui est parti en payant qui me réveille me laissant une gueule de bois.
Combien devrais-je marquer sur mon carnet, car j’en drague dans la journée quand le démon du sexe se propage en moi.
Hier, ça a été avec Ludo un client que je voyais souvent avec lequel j’ai fait la fête à coups de whisky au point de me retrouver ce matin dans sa chambre à cent mètres de ma propre chambre.
Un mot sur la table de nuit.
« 18 heures à notre bar, cette nuit ça a été super, j’espère que ton petit cul t'a laissé tranquille. »
Mon petit cul, trou noir, à double titre, car j’étais à la limite du coma éthylique et mon anus qui me fait mal quand j’y porte mes doigts, me rappelant ce que nous avons dû faire.
Sodomisé, j’ai accepté de me faire sodomiser sans en avoir le moindre souvenir sauf la douleur de mon cul.
Il va falloir que je contrôle un peu plus ma consommation.
Mais je dois dire que dans la plupart des bars ou je lève des queues, car pour moi ce sont des queues, on m’offre de quoi boire pour pas un rond.
18 heures, Ludo m’attend devant le bar, nous entrons.
• Ludo sort cette pute de mon bar.
Salope, l’autre soir, tu étais tellement bourré que tu voulais piser devant mon zinc.
Deux mecs t'ont emmené pisser, nous t’entendions gueuler ton plaisir quand ils se sont relayés en te baisant.
Ça commence à jaser dans le quartier, il se dit qu’une putain travaille sur place et que je touche sur ses passes.
Si ça continue, je vais perdre ma licence et aussi mon bar.
Nous sortons, on retourne chez lui.
• Ludo, j’ai vraiment fait tous ça sous l’emprise de l’alcool.
C’est impossible que j’aie autant dérapé • Bien sûr, je t’ai presque porté jusqu’ici, tu me tendais ton cul pour que je te le pilonne.
Je suis un homme faible et je t’ai suivi dans ton fantasme.
Tu es la première à qui j’ai fait ça.
J’ai quitté mon hôtel pour m’installer chez Ludo.
Il me baise tous les jours, même quand j’ai mes règles, il semble aimer me sodomiser ces jours-là et j'y prends du plaisir.
Je réduis l’alcool pensant me sevrer et je retrouve les moments avec mon mari, redevenant monogame.
• Fanny, je te présente Josette, c’est une vieille amie, je l’ai invité à boire un verre.
• Bonjour Fanny, c’est Ludo qui m’a dit tout le bien qu’il pense de toi.
Il avait raison, tu es mignonne, on s’embrasse.
Pour s’embrasser, on s’embrasse.
On boit même du whisky plus que de raison.
Elle avait amené cette bouteille à croire que celui que je commençais à prendre pour mon mec voulait réveiller les vieux démons qui m’avaient fait virer du bar.
• Bien, t’es une bonne élève, c’est donc vrai ce que tu m’as dit Ludo, vierge de toutes relations avec des femmes.
Pourtant, j’aime ta langue qui me lèche dans tous ses recoins.
Êtres une salope, c’est courant, mais une bonne gougnote c’est plus rare.
Donne-moi ta chatte, je vais te fister.
Voilà, sans le savoir c’est pour ça que je suis parti abandonnant mes enfants.
En une soirée et une bouteille de whisky, reprenant mon goût pour l’alcool, je goute avec fougue aux plaisirs féminins.
Sexe sans aucun tabou.
Ma main au fond de ma chatte, sa main au fond de ma chatte et la bite de Ludo dans mon cul.
Joli trio qui me permet de prendre une bourrasque dans mon bas-ventre quand mon amant me remplit l’anus de son sperme.
Sans m’en rendre compte, l’envie de sexe toujours présent presque 24 heures sur 24 aidé par l’alcool me font faire des choses impensables.
J’étais une bonne bourgeoise et ce matin, je me réveille seule.
Ils sont partis et quand je regarde ma chatte, cette main jusqu’au plus profond de moi m’a fait jouir sans pour autant me laisser une plait béante.
Quant à mon anus, depuis le soir du bar, ce sont des dizaines de fois que Ludo le prend le remplissant de sperme.
• Fanny, je sors samedi, je vais dans une soirée que j’organise.
Tu m’accompagnes.
• Quelle soirée Ludo ?
Vers quelle turpitude va-t-il m’entrainer…
Tu as essayé de me rendre heureuse, mais tu es trop gentil pour m’apporter ce que je recherche.
Avec toi, je suis un corps mort qui aspire à revivre.
Prends soin de nos enfants, tu t'y prends mieux que moi. »
Voilà, j’ai enlevé mon alliance que je pose à côté de la lettre.
Je ferme la porte de mon domicile.
La vie de mère s’occupant à temps complet de trois gamins pour moi, c’est la fin.
À trente-deux ans la petite Fanny prend la clef des champs, emportant une simple valise.
• Conduisez-moi jusqu’à la gare !
• Votre train est à quelle heure ?
• Pourquoi un train, il y a de petits hôtels bon marché ?
Ma tante Marthe étant morte, j’ai un peu d’argent me permettant de voir venir.
Quand j’ai touché mon petit héritage, Pierre en bon père de famille a voulu que nous placions cet argent.
Moi, j’ai vu que c’était l’échappatoire à ma vie qui me pesait sans qu’il s’aperçoive que j’étais une femme frustrée.
Petite j’étais impétueuse et Pierre a réussi à m’endormir par sa gentillesse.
Le problème, c’est qu’il me fait l’amour avec la même gentillesse alors que mon corps voudrait un peu plus d’impétuosité.
Je me retrouve donc seule dans cette chambre où des milliers de couples la plupart illégitimes font l’amour fougueusement.
J’ai bien fait de partir, comme ces couples, j’aurais pu me faire des cinq-à-sept et après rentrer auprès de celui que je venais de tromper.
Je trouvais ça pathétique et j’ai préféré tout larguer.
• Vous êtes de passage, c’est la première fois que je vous vois.
• Non, mais j’aimerais que vous me conduisiez dans votre chambre.
• Vous vous êtes direct, combien pour un moment ?
J’éclate de rire, premier contact avec un autre homme que le mien et où je suis prise pour une péripatéticienne.
• Une bouteille que nous allons boire dans ta chambre, ce sera suffisant.
• Vodka, whisky ?
• Martini rouge si possible.
Il est surpris, il achète une bouteille le double de ce que je la paye dans notre supermarché où nous allons faire les courses tous les samedis.
Les magasins, unique promenade depuis douze ans, date de notre mariage.
Sans oublier le dimanche déjeuner chez belle-maman veuve frustrée chez qui nous mangeons chaque fois son sempiternel rosbif aux patates.
Pierre adorant les patates, il en mange tous les dimanches depuis la nuit des temps.
• Suce ma queue.
Attends.
Il prend la bouteille de Martini, j’en ai déjà sifflé la moitié.
Je siffle une demi-bouteille cul sec, chaque fois que la tension en moi est trop forte.
Il en verse sur son sexe qui commence à bander.
C’est la première verge que je vois de si prête.
À la maison, tout juste une caresse et immédiatement pénétration.
On en met pleins les draps, mais je suce autant que je bois, m’enivrant de ce que je fais dès mon premier soir de liberté.
Si j’étais restée, à cette heure, je donnerais le bain à Lucie, ma petite dernière avant de la coucher.
Là, quand il me relève et me place à quatre pattes, je vais me faire enfin baiser avec un peu plus de sauvagerie.
De grand coup, me soutirant des petites plaintes de plaisir, loin de ce que j’avais espéré.
• J’aime dormir seul, salut, c’était bien.
Je me retrouve dans ma chambre légèrement frustrée mais satisfaite d’avoir accepté un autre homme que le mien en moi.
Pourquoi dire le mien, puisque je lui ai rendu sa bague ?
Le lendemain après une sérieuse gueule de bois, je veux rester sage.
Je me caresse sans atteindre le moindre plaisir.
Mon corps semble mort, douze ans de mariage et de sexe pépère ont dû l’endormir.
22 heures, je sors.
Un bar près de la gare et de mon hôtel.
• Un whisky patron.
Un whisky patron.
Un autre.
À ce rythme et buvant du whisky pour la première fois, je suis bourrée.
• On va baiser.
Suis-moi.
Beau, moche, je descends alors que je pensais rejoindre une chambre.
• Soulève ta jupe, pose tes mains sur la cuvette, j’aime sauter les salopes comme toi.
Et de deux, il va falloir que je tienne un carnet.
Celui-là se situe dans la catégorie des petits gros.
Le genre de type qui me porte sur les nerfs mais là, c’est autre chose, le whisky aidant, c’est sa queue que je veux, simplement sa queue.
La cuvette où je pose mes mains est crade, moi qui briquais ma maison tous les jours de fond en comble.
Mais la verge en moi me prenant comme une bête m’ôte tous mes tabous et quand il décharge, je me dis que c’est pour ces moments-là que je me suis évadée.
• On va dans les chiottes pour baiser beau gosse.
Quinze jours ou je descends dans des toilettes où je suis des mecs de tous genres dans leur chambre.
Souvent ce sont les femmes de service venant faire la chambre de celui qui est parti en payant qui me réveille me laissant une gueule de bois.
Combien devrais-je marquer sur mon carnet, car j’en drague dans la journée quand le démon du sexe se propage en moi.
Hier, ça a été avec Ludo un client que je voyais souvent avec lequel j’ai fait la fête à coups de whisky au point de me retrouver ce matin dans sa chambre à cent mètres de ma propre chambre.
Un mot sur la table de nuit.
« 18 heures à notre bar, cette nuit ça a été super, j’espère que ton petit cul t'a laissé tranquille. »
Mon petit cul, trou noir, à double titre, car j’étais à la limite du coma éthylique et mon anus qui me fait mal quand j’y porte mes doigts, me rappelant ce que nous avons dû faire.
Sodomisé, j’ai accepté de me faire sodomiser sans en avoir le moindre souvenir sauf la douleur de mon cul.
Il va falloir que je contrôle un peu plus ma consommation.
Mais je dois dire que dans la plupart des bars ou je lève des queues, car pour moi ce sont des queues, on m’offre de quoi boire pour pas un rond.
18 heures, Ludo m’attend devant le bar, nous entrons.
• Ludo sort cette pute de mon bar.
Salope, l’autre soir, tu étais tellement bourré que tu voulais piser devant mon zinc.
Deux mecs t'ont emmené pisser, nous t’entendions gueuler ton plaisir quand ils se sont relayés en te baisant.
Ça commence à jaser dans le quartier, il se dit qu’une putain travaille sur place et que je touche sur ses passes.
Si ça continue, je vais perdre ma licence et aussi mon bar.
Nous sortons, on retourne chez lui.
• Ludo, j’ai vraiment fait tous ça sous l’emprise de l’alcool.
C’est impossible que j’aie autant dérapé • Bien sûr, je t’ai presque porté jusqu’ici, tu me tendais ton cul pour que je te le pilonne.
Je suis un homme faible et je t’ai suivi dans ton fantasme.
Tu es la première à qui j’ai fait ça.
J’ai quitté mon hôtel pour m’installer chez Ludo.
Il me baise tous les jours, même quand j’ai mes règles, il semble aimer me sodomiser ces jours-là et j'y prends du plaisir.
Je réduis l’alcool pensant me sevrer et je retrouve les moments avec mon mari, redevenant monogame.
• Fanny, je te présente Josette, c’est une vieille amie, je l’ai invité à boire un verre.
• Bonjour Fanny, c’est Ludo qui m’a dit tout le bien qu’il pense de toi.
Il avait raison, tu es mignonne, on s’embrasse.
Pour s’embrasser, on s’embrasse.
On boit même du whisky plus que de raison.
Elle avait amené cette bouteille à croire que celui que je commençais à prendre pour mon mec voulait réveiller les vieux démons qui m’avaient fait virer du bar.
• Bien, t’es une bonne élève, c’est donc vrai ce que tu m’as dit Ludo, vierge de toutes relations avec des femmes.
Pourtant, j’aime ta langue qui me lèche dans tous ses recoins.
Êtres une salope, c’est courant, mais une bonne gougnote c’est plus rare.
Donne-moi ta chatte, je vais te fister.
Voilà, sans le savoir c’est pour ça que je suis parti abandonnant mes enfants.
En une soirée et une bouteille de whisky, reprenant mon goût pour l’alcool, je goute avec fougue aux plaisirs féminins.
Sexe sans aucun tabou.
Ma main au fond de ma chatte, sa main au fond de ma chatte et la bite de Ludo dans mon cul.
Joli trio qui me permet de prendre une bourrasque dans mon bas-ventre quand mon amant me remplit l’anus de son sperme.
Sans m’en rendre compte, l’envie de sexe toujours présent presque 24 heures sur 24 aidé par l’alcool me font faire des choses impensables.
J’étais une bonne bourgeoise et ce matin, je me réveille seule.
Ils sont partis et quand je regarde ma chatte, cette main jusqu’au plus profond de moi m’a fait jouir sans pour autant me laisser une plait béante.
Quant à mon anus, depuis le soir du bar, ce sont des dizaines de fois que Ludo le prend le remplissant de sperme.
• Fanny, je sors samedi, je vais dans une soirée que j’organise.
Tu m’accompagnes.
• Quelle soirée Ludo ?
Vers quelle turpitude va-t-il m’entrainer…
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