COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (3/3)
J’ai l’impression que les choses m’échappent, je voulais autre chose que le sexe de mon mari tout juste bon à me faire trois gosses même s’ils étaient adorables.
Mais de là à avoir l’impression que Ludo m’ayant récupéré alors que j’étais à deux doigts de me trouver à la rue.
Il me fait connaître les soirées partouzes, les lesbiennes m’initiant aux amours saphiques.
Je suis sur une pente descendante, sans m’en rendre compte, j’ai même l’impression que dans ces dernières soirées il me prostitue.
Ce soir, lorsqu’il m’amène dans une villa et qu’il m’intime l’ordre de me rendre dans la chambre du fond, cette impression semble renforcée.
Mais grâce à lui, je me suis aussi éclatée alors je prends le couloir jusqu’à cette chambre du fond.
Pardons, une salle de bain, c’est la porte d’en face.
Quand je frappe et que je rentre, un homme grand est là.
J’ai le temps de le voir poser une soutane sur une chaise pour m’apparaitre nue, fort bien membrer, il se doit.
• Vous êtes prêtre !
• Ta gueule, ici c’est moi qui parle.
La baffe que je ramasse m’envoie promener au pied du lit, les quatre fers en l’air.
C’est la première fois que je me prends une baffe de ma vie.
À ce jour aucun homme pour me gifler.
• Suce salope, toutes les filles de ton genre sont des salopes, tu vas voir, je vais te matter.
Si ma théorie que Ludo se fait payer pour que l’on me baise, faisant de moi une pute, j’espère que mon cul vaut cher.
Combien de temps je sers de poupée gonflable à cet ecclésiastique dont la caractéristique est la violence dans le sexe.
Dans les débordements amoureux, si j’aime quelques claques sur mon cul rebondi, là les moments que je passe débordent de ce cadre.
Une lessiveuse, ce prêtre sans aucune considération pour ma personne me fait passer par ses quatre volontés, allant même jusqu’à m’asséner des coups de poing dans ma poitrine.
Quelle frustration on fait de cet homme cette brute épaisse qui lors de ses messes doit prôner l’amour de son prochain, mais qui traite une femme comme un simple morceau de bidoche ?
Je l’ignore, je sais ce que je sens, sa bite qui s’évertue à me défoncer sans pour autant m’amener du plaisir.
Je sombre.
• Merde, elle est là, je t’avais dit de refuser que nous lui confions une de nos filles, j’avais appris que c’était un taré.
• Préparer là, je l’emmène au cargo, je voulais qu’elle nous rapporte un dernier paquet de fric avant le grand voyage vers les bites africaines.
Je sens que l’on me porte dans une voiture qui démarre, dans le brouillard , je vois que c’est Ludo qui conduit.
• Ludo, j’ai mal, pourquoi tu m’as fait subir tout ça.
• Prends ça, ça va te calmer.
Je sens que l’on me met un cachet, certainement du Doliprane, j’arrive à avaler avec un peu de mal, mais rapidement je flotte.
Je me réveille, un homme est près de moi qui prends ma tension.
Pourquoi semble-t-il que je suis allongée sur un lit d’hôpital, je suis seule et petit à petit je récupère et mon corps et mon cerveau.
• Elle est réveillée, vous allez pouvoir l’interroger commissaire.
• Merci docteur, madame, vous m’entendez !
• Oui, ou suis-je, pourquoi ce lit ?
• C’est une longue histoire, mais vous êtes une sacrée chanceuse.
Chanceuse, j’ai mal partout, bien que la douleur soit concentrée au niveau de ma poitrine.
• Je vais vous dire, nous vous avons récupéré avec de la chance, nous vous avons récupéré alors que le cargo vous emmenant en Afrique était à deux doigts de quitter nos eaux territoriales.
• Nos eaux territoriales ?
J’étais sur un bateau !
• Oui, vous étiez droguée, nous pensons que c’était un dénommé Ludo, une petite frappe que nous suivions depuis des semaines, qui vous avait fait dormir pour mieux vous faire monter à bord.
Soyez sans crainte, il est dans nos locaux arrêtés pour proxénétisme et surtout sur des mineurs.
• Mais je suis majeure, j’ai même trois enfants.
• On sait tout ça, nous avons prévenue votre mari, il nous a dit que vous aviez eu un moment de déprime et que vous aviez quitté provisoirement le foyer conjugal.
Il est dans le couloir, vous le verrez après que j’ai éclairci quelques points.
Je suis intriguée, jusqu’à ou mon mari a su pour moi et surtout ce que Ludo m’a fait faire avec le curé dans la villa.
• Connaissez-vous l’archevêque François ?
• Vous m’excusez, après ma première communion, j’ai arrêté de fréquenter l’église.
• Ludo, votre souteneur vous prostituait, il nous là avoué et il semblerait que ce soit cet ecclésiastique avec qui vous étiez avant d’embarquer dans ce cargo.
Nous pensons, que c’est lui qui vous a cassé trois côtes.
Il a déjà été impliqué dans une affaire de mœurs avec violence dans une autre affaire.
Nous l’avons arrêté et nous comptons sur vous pour dénoncer cet homme qui va finir par tuer une jeune femme.
Je comprends mieux la violence que m’a fait subir cet homme d’église toute la soirée.
• Je peux vous poser une question !
• Oui, si vous répondez à la mienne et que je le peux dans le cadre de la procédure en cours !
• Pour le curé, je veux bien témoigner, c’est bien lui qui m’a massacré chaque fois que je voulais me rebeller.
Ma question, si c’est en mer que vous m’avez retrouvée, comment avez-vous fait ?
• Comme je vous l’ai dit, nous étions sur cette affaire de prostitution.
Nous avions été informés qu’un groupe de femmes dont des mineurs devait être expédié vers l’Afrique pour finir dans des bordels pour hommes de pouvoir de ces pays.
Nous surveillions un cargo, mais différent de celui où vous étiez.
Par chance, un de nos hommes a eu un retard à sa prise de service et a rejoint l’unité d’intervention.
En passant devant le cargo, il vous a vu être presque traîné à bord par deux hommes dont Ludo.
Par chance, il en a parlé à son chef de section, qui a compris qu’ils étaient bernés.
Le temps que le juge soit prévenu, nous avons réussi à vous intercepter avant le franchissement des eaux territoriales.
J’ai répondu à votre question, je fais entrer votre mari.
J’ai une confidence à vous faire, le peu que je l’ai côtoyé, vous avez un homme exceptionnel, pensez-y ?
Le commissaire me quitte.
Je prends conscience que mes conneries auraient pu m’entraîner soi à être morte, car j’étais en mauvais état par les coups reçus et si je m’en étais sortie.
Et que dire de ma vie, certainement de recluse, dans ces pays ou Ludo avaient décidé de me vendre.
• Ma chérie, tu avais perdu ta bague, je l’ai retrouvé, me permets-tu de te la remettre à ton doigt, tes enfants te réclames.
Mes enfants, je les redécouvre, Pierre leur a dit que j’étais parti m’occuper d’une mémé ayant des problèmes de santé.
Pour eux, je suis une maman magnifique qui a su aider une personne dans les besoins.
Je les sers sur mon cœur, même si au fond de moi, j’ai peur que le sexe me manque rapidement, certains sont accros au sucre, moi c’est aux bites des hommes et je dois dire aux chattes de certaines femmes.
Mais après où cela a failli me conduire, je mets mon mouchoir sur mes envies, je vais redevenir une modèle de maman.
Un moment difficile, le procès des maquereaux et en plus pour moi l’archevêque que je dois reconnaître comme le salopard qu’il est.
À mes côtés, les deux jeunes filles mineures aux moments des faits et l’étaient encore au moment du procès.
Par chance, ces jeunes filles permettent que le procès soit à huis clos et nous protège, surtout moi, des conneries que j’ai faites en allant trop loin dans mes démences sexuelles.
• Ma chérie, samedi, c’est ton anniversaire, je t’emmène au restaurant, maman va venir garder les enfants.
Lorsque tu étais à l’hôpital, le commissaire m’a fait porter tes affaires trouvées dans la maison de ce fumier de Ludo.
J’aimerais que tu portes une de ces tenues bien différente de celle que tu as remise depuis ton retour.
Reste jeune, tu es une femme magnifique, montre le !
Quand ma belle-maman est là, nous partons vers le restaurant qu’il a réservé.
J’ai embrassé les enfants et c’est dans une des tenues que je mettais lorsque j’allais baiser à tout va que je porte.
Repas divin, mari charmant sans alcool voulant depuis mes aventures repartir dans mes délires.
Nous reprenons notre voiture.
• Ou vas-tu mon chéri, la maison est de l’autre côté.
• Attends, tu verras.
Club privé, Pierre veut m’offrir un dernier verre dans ce bar de nuit.
J’ignorais sa présence si près de chez nous.
Nous entrons, nous allons vers le bar.
De nombreux couples sont déjà là, très vite je me rends compte que nous sommes dans un club un peu spécial.
Un noir, un beau black entièrement nu vient vers nous.
• Adrien, vous êtes nouveaux, je connais tous nos participants à nos soirées.
• Oui, Pierre et Fanny, c’est la première fois que nous venons dans ce club échangiste.
• Tu veux que nous nous occupions de Fanny ensemble, je connais tous les recoins du club, je serais votre poisson pilote.
Magnifique bite noire, même au repos, mon mari me fait un magnifique cadeau d’anniversaire.
• Emmène Fanny et faite lui découvrir ces recoins, je suis certain qu’elle va apprécier, moi je reste au bar non loin de la porte.
Je comprends que mon mari veut qu’il puisse surveiller la sortie pour éviter des velléités de repartir dans mes délires.
Le club finit par être mon terrain de jeu favori, j’ai évité les bites sous contrainte en Afrique pour me rabattre sur Adrien et certains de ses copains.
Pierre a compris qu’il lui serait impossible de suivre mes débordements en se contentant de devenir candauliste.
Mais de là à avoir l’impression que Ludo m’ayant récupéré alors que j’étais à deux doigts de me trouver à la rue.
Il me fait connaître les soirées partouzes, les lesbiennes m’initiant aux amours saphiques.
Je suis sur une pente descendante, sans m’en rendre compte, j’ai même l’impression que dans ces dernières soirées il me prostitue.
Ce soir, lorsqu’il m’amène dans une villa et qu’il m’intime l’ordre de me rendre dans la chambre du fond, cette impression semble renforcée.
Mais grâce à lui, je me suis aussi éclatée alors je prends le couloir jusqu’à cette chambre du fond.
Pardons, une salle de bain, c’est la porte d’en face.
Quand je frappe et que je rentre, un homme grand est là.
J’ai le temps de le voir poser une soutane sur une chaise pour m’apparaitre nue, fort bien membrer, il se doit.
• Vous êtes prêtre !
• Ta gueule, ici c’est moi qui parle.
La baffe que je ramasse m’envoie promener au pied du lit, les quatre fers en l’air.
C’est la première fois que je me prends une baffe de ma vie.
À ce jour aucun homme pour me gifler.
• Suce salope, toutes les filles de ton genre sont des salopes, tu vas voir, je vais te matter.
Si ma théorie que Ludo se fait payer pour que l’on me baise, faisant de moi une pute, j’espère que mon cul vaut cher.
Combien de temps je sers de poupée gonflable à cet ecclésiastique dont la caractéristique est la violence dans le sexe.
Dans les débordements amoureux, si j’aime quelques claques sur mon cul rebondi, là les moments que je passe débordent de ce cadre.
Une lessiveuse, ce prêtre sans aucune considération pour ma personne me fait passer par ses quatre volontés, allant même jusqu’à m’asséner des coups de poing dans ma poitrine.
Quelle frustration on fait de cet homme cette brute épaisse qui lors de ses messes doit prôner l’amour de son prochain, mais qui traite une femme comme un simple morceau de bidoche ?
Je l’ignore, je sais ce que je sens, sa bite qui s’évertue à me défoncer sans pour autant m’amener du plaisir.
Je sombre.
• Merde, elle est là, je t’avais dit de refuser que nous lui confions une de nos filles, j’avais appris que c’était un taré.
• Préparer là, je l’emmène au cargo, je voulais qu’elle nous rapporte un dernier paquet de fric avant le grand voyage vers les bites africaines.
Je sens que l’on me porte dans une voiture qui démarre, dans le brouillard , je vois que c’est Ludo qui conduit.
• Ludo, j’ai mal, pourquoi tu m’as fait subir tout ça.
• Prends ça, ça va te calmer.
Je sens que l’on me met un cachet, certainement du Doliprane, j’arrive à avaler avec un peu de mal, mais rapidement je flotte.
Je me réveille, un homme est près de moi qui prends ma tension.
Pourquoi semble-t-il que je suis allongée sur un lit d’hôpital, je suis seule et petit à petit je récupère et mon corps et mon cerveau.
• Elle est réveillée, vous allez pouvoir l’interroger commissaire.
• Merci docteur, madame, vous m’entendez !
• Oui, ou suis-je, pourquoi ce lit ?
• C’est une longue histoire, mais vous êtes une sacrée chanceuse.
Chanceuse, j’ai mal partout, bien que la douleur soit concentrée au niveau de ma poitrine.
• Je vais vous dire, nous vous avons récupéré avec de la chance, nous vous avons récupéré alors que le cargo vous emmenant en Afrique était à deux doigts de quitter nos eaux territoriales.
• Nos eaux territoriales ?
J’étais sur un bateau !
• Oui, vous étiez droguée, nous pensons que c’était un dénommé Ludo, une petite frappe que nous suivions depuis des semaines, qui vous avait fait dormir pour mieux vous faire monter à bord.
Soyez sans crainte, il est dans nos locaux arrêtés pour proxénétisme et surtout sur des mineurs.
• Mais je suis majeure, j’ai même trois enfants.
• On sait tout ça, nous avons prévenue votre mari, il nous a dit que vous aviez eu un moment de déprime et que vous aviez quitté provisoirement le foyer conjugal.
Il est dans le couloir, vous le verrez après que j’ai éclairci quelques points.
Je suis intriguée, jusqu’à ou mon mari a su pour moi et surtout ce que Ludo m’a fait faire avec le curé dans la villa.
• Connaissez-vous l’archevêque François ?
• Vous m’excusez, après ma première communion, j’ai arrêté de fréquenter l’église.
• Ludo, votre souteneur vous prostituait, il nous là avoué et il semblerait que ce soit cet ecclésiastique avec qui vous étiez avant d’embarquer dans ce cargo.
Nous pensons, que c’est lui qui vous a cassé trois côtes.
Il a déjà été impliqué dans une affaire de mœurs avec violence dans une autre affaire.
Nous l’avons arrêté et nous comptons sur vous pour dénoncer cet homme qui va finir par tuer une jeune femme.
Je comprends mieux la violence que m’a fait subir cet homme d’église toute la soirée.
• Je peux vous poser une question !
• Oui, si vous répondez à la mienne et que je le peux dans le cadre de la procédure en cours !
• Pour le curé, je veux bien témoigner, c’est bien lui qui m’a massacré chaque fois que je voulais me rebeller.
Ma question, si c’est en mer que vous m’avez retrouvée, comment avez-vous fait ?
• Comme je vous l’ai dit, nous étions sur cette affaire de prostitution.
Nous avions été informés qu’un groupe de femmes dont des mineurs devait être expédié vers l’Afrique pour finir dans des bordels pour hommes de pouvoir de ces pays.
Nous surveillions un cargo, mais différent de celui où vous étiez.
Par chance, un de nos hommes a eu un retard à sa prise de service et a rejoint l’unité d’intervention.
En passant devant le cargo, il vous a vu être presque traîné à bord par deux hommes dont Ludo.
Par chance, il en a parlé à son chef de section, qui a compris qu’ils étaient bernés.
Le temps que le juge soit prévenu, nous avons réussi à vous intercepter avant le franchissement des eaux territoriales.
J’ai répondu à votre question, je fais entrer votre mari.
J’ai une confidence à vous faire, le peu que je l’ai côtoyé, vous avez un homme exceptionnel, pensez-y ?
Le commissaire me quitte.
Je prends conscience que mes conneries auraient pu m’entraîner soi à être morte, car j’étais en mauvais état par les coups reçus et si je m’en étais sortie.
Et que dire de ma vie, certainement de recluse, dans ces pays ou Ludo avaient décidé de me vendre.
• Ma chérie, tu avais perdu ta bague, je l’ai retrouvé, me permets-tu de te la remettre à ton doigt, tes enfants te réclames.
Mes enfants, je les redécouvre, Pierre leur a dit que j’étais parti m’occuper d’une mémé ayant des problèmes de santé.
Pour eux, je suis une maman magnifique qui a su aider une personne dans les besoins.
Je les sers sur mon cœur, même si au fond de moi, j’ai peur que le sexe me manque rapidement, certains sont accros au sucre, moi c’est aux bites des hommes et je dois dire aux chattes de certaines femmes.
Mais après où cela a failli me conduire, je mets mon mouchoir sur mes envies, je vais redevenir une modèle de maman.
Un moment difficile, le procès des maquereaux et en plus pour moi l’archevêque que je dois reconnaître comme le salopard qu’il est.
À mes côtés, les deux jeunes filles mineures aux moments des faits et l’étaient encore au moment du procès.
Par chance, ces jeunes filles permettent que le procès soit à huis clos et nous protège, surtout moi, des conneries que j’ai faites en allant trop loin dans mes démences sexuelles.
• Ma chérie, samedi, c’est ton anniversaire, je t’emmène au restaurant, maman va venir garder les enfants.
Lorsque tu étais à l’hôpital, le commissaire m’a fait porter tes affaires trouvées dans la maison de ce fumier de Ludo.
J’aimerais que tu portes une de ces tenues bien différente de celle que tu as remise depuis ton retour.
Reste jeune, tu es une femme magnifique, montre le !
Quand ma belle-maman est là, nous partons vers le restaurant qu’il a réservé.
J’ai embrassé les enfants et c’est dans une des tenues que je mettais lorsque j’allais baiser à tout va que je porte.
Repas divin, mari charmant sans alcool voulant depuis mes aventures repartir dans mes délires.
Nous reprenons notre voiture.
• Ou vas-tu mon chéri, la maison est de l’autre côté.
• Attends, tu verras.
Club privé, Pierre veut m’offrir un dernier verre dans ce bar de nuit.
J’ignorais sa présence si près de chez nous.
Nous entrons, nous allons vers le bar.
De nombreux couples sont déjà là, très vite je me rends compte que nous sommes dans un club un peu spécial.
Un noir, un beau black entièrement nu vient vers nous.
• Adrien, vous êtes nouveaux, je connais tous nos participants à nos soirées.
• Oui, Pierre et Fanny, c’est la première fois que nous venons dans ce club échangiste.
• Tu veux que nous nous occupions de Fanny ensemble, je connais tous les recoins du club, je serais votre poisson pilote.
Magnifique bite noire, même au repos, mon mari me fait un magnifique cadeau d’anniversaire.
• Emmène Fanny et faite lui découvrir ces recoins, je suis certain qu’elle va apprécier, moi je reste au bar non loin de la porte.
Je comprends que mon mari veut qu’il puisse surveiller la sortie pour éviter des velléités de repartir dans mes délires.
Le club finit par être mon terrain de jeu favori, j’ai évité les bites sous contrainte en Afrique pour me rabattre sur Adrien et certains de ses copains.
Pierre a compris qu’il lui serait impossible de suivre mes débordements en se contentant de devenir candauliste.
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