COLLECTION HISTOIRE COURTE. À qui la faute ? (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. À qui la faute ? (1/1)
C’est drôle, voir une écriture après cinq ans de mariage et se rendre compte que c’est la première fois que l’on voit celle de la femme que l’on a épousée, ça surprend.
Comment cela est possible, c’est simple, Jennifer tout le temps se sert de son portable ou de son ordi à son bureau à la mairie de la commune ou nous habitons, elle en est la secrétaire en chef ?
Je dirais même première adjointe au maire, sans siéger, car ce vieux monsieur de presque quatre-vingts ans est en poste depuis trente-six ans, six mandats sans avoir à aucun moment été le moindre du monde contesté.
Il faut dire, que personne n’a envie de se farcir ce travail ingrat, même aidé par Jennifer.
Elle est partie à Paris, pour accompagner Bertrand notre maire au congrès des maires de France.
Je sais, on va penser, que je suis suspicieux qu’elle me trompe avec ce vieil homme ou tout autre beau gosse, il y en a quelques-uns lors de ce congrès, lorsque je parle de faute.
Non, je suis sur à cent pour cent de la fidélité de ma femme, soyez sans crainte, elle y part libre de toute ceinture de chasteté, pourquoi douter de celle qu’on a épousé.
Je suis moi-même d’une fidélité à toute épreuve, pourtant je travaille entouré de jolies femmes, d’autres plus moches, je suis responsable du Super U de notre commune.
Avant de partir, j’ai promis à Jennifer de faire le tri dans un débarras où nous entassons de vieux objets, souvent achetés et souvent inutilisés.
Je dois les emmener chez Emmaüs, certaines choses de ce fatras peuvent être utiles à des nécessiteux.
Raquette de tennis avec boîtes de balles toutes neuves, le scotch fermant la boîte toujours en place et plein d’autres choses du même acabit.
Un carton, que je vois pour la première fois, semble attendre que je le découvre pour y entasser ce genre de choses que je veux déposer pour les autres.
Il me faut le vider, pour y mettre ces objets.
Des livres du temps où Jennifer étudiaient et préparaient son concours pour devenir secrétaire de mairie, poste que j’ai dit avoir décroché depuis.
C’était avant que je la rencontre là encore à la mairie, lorsque les propriétaires de Super U m’ont confié le nouveau magasin qu’ils implantaient.
Nous avons eu ce que l’on appelle un coup de foudre alors qu’il nous fallait travailler ensemble sur certains documents et c’est tout naturellement que je l’ai invité au restaurant de la Place Georges-Pompidou.
À part la salade de tomates dont je me souviens, le reste du repas je l’ai passé dans ses yeux et elle dans les miens, comme le font ceux qui viennent de tomber follement amoureux.
C’est presque quinze jours plus tard qu’elle a accepté que je monte chez elle, appartement dans lequel nous nous sommes installés et où je vide se débarra.
Lors de notre rencontre, elle m’a parlé de Susy sa colocataire, mais sans plus, car cette dernière ayant elle aussi réussi ses études d’esthéticienne était repartie, je ne sais ou pour trouver du boulot.
Bref, ce jour où j’ai découvert son appartement qui allait devenir le nôtre, c’est aussi tout son corps que j’ai découvert.
Je connaissais déjà sa bouche lorsque je la ramenais le soir après avoir été regarder la lune ensemble près du chantier de mon magasin d’alimentation qui allait faire passer notre ville près de Mâcon de cité dortoir à ville en plein développement.
Là encore, Jennifer a joué un grand rôle, le vieux maire, jusqu’à ce jour, refusait toute grande surface à la périphérie de la commune afin de garder les trois commerces du centre-ville.
Certes, la petite superette a fermé, mais elle aurait fermé tout de même, car les quelques nouveaux habitants s’arrêtaient aux hypers à la sortie de Mâcon les prix étant très concurrentiels.
Exemple, la boisson anisée à boire avec modération, dans les hypers, 17 € le litre, avant fermeture dans la superette les 75 centilitres 22 € et tout était à l’avenant.
Sa bouche donc ainsi que ses seins, car elle acceptait que ma main vienne les prendre et les caresser pendant que je l’embrassais.
Plusieurs fois, j’ai essayé de lui passer la main entre ses cuisses, mais elles étaient fermées à double tour et comme je suis un gentleman, j’ai compris que si je voulais franchir une étape il me fallait mettre un genou en terre avec l’écrin de la bague que j’étais allé acheter chez le plus gros joaillier de Mâcon dans les rues piétonnes.
Jennifer est blonde, et aime entretenir sa petite touffe que j’aime tant lorsque avec ma bouche, j’aime à la faire jouir avant de la pénétrer.
J’ai très vite compris, qu’elle aimait que je lui suce son clito avec ma langue pendant qu’elle me pompait, plus que le moment où je la pénétrais sans pour autant me poser plus de questions.
Je vide donc le carton, lorsque je tombe sur un livre recouvert d’une couverture rose sur lequel aux feutres, des fleurs, des seins, des chattes, un peu comme les bites que des malades dessinent dans les toilettes de lieux publics.
Il y a une languette se rabattant sur une partie métallique ou l’on peut poser un petit cadenas, mais qui brille par son absence.
Il aurait été là, je l’aurais laissé en l’état et attendu le retour de mon aimé pour lui remettre son journal intime et savoir ce qu’elle veut en faire.
Il est ouvert, une page, jusqu’une page, après j’arrête et j’attends son retour.
« Demain, je vais devoir aller acheter un nouveau journal, je viens de terminer celui que maman m’a offert pour mes quinze ans. »
J’ai tout lu, de la première à la dernière page.
J’ai tout lu sans savoir que Jennifer savait si bien dessiner, toujours avec des feutres de couleur, mais surtout des dessins de chattes béantes, la cyprine coulante goute à goutte des clitos toujours bien représentés.
Le texte aussi, chattes, seins, que des prénoms féminins, c’est là où je me rends compte que pour la première fois je vois l’écriture de Jennifer.
Andréa, rencontré dans un bar d’une ville non définie dans ces écrits.
Véronica, Roberta, tous des « a » à la fin de ces noms.
Non je me trompe, Louison, la fait craquer et elle parle de leurs lèvres vaginales qu’elles sucent avidement lors de leur première rencontre.
Je comprends pourquoi Jennifer serrait ses cuisses lorsque je lui passais ou que j’essayais de lui passer ma main.
Étant lesbienne, j’ai dû être le premier homme à vouloir faire d’elle une bi-sexuelle ce qu’elle doit être devenue lorsqu’elle m’a enfin cédé.
À la fin de ma lecture, les situations étant si bien narrées que je bande comme un malade.
Je suis à deux doigts de revenir au temps de ma jeunesse où j’avais découvert la masturbation.
Depuis, j’ai connu quelques femmes la première ayant été notre voisine.
Lorsque je repense à son gros cul résultat de quatre maternités avec les seins qui allaient avec, elle avait allaité ses quatre fils sans aucune retenue.
J’étais copain avec Renard le dernier, quel drôle de prénom, il se faisait fiche de sa tronche au lycée et j’étais intervenue pour l’aider, c’était l’année de notre bac de Français.
J’ai croisé Berthe dans l’escalier, elle montait un panier de course avec du mal, l’ascenseur étant une fois de nouveau en panne.
C’est dans sa cuisine où tout à commencer, je me suis retrouvé avec ses deux grosses mamelles dans ma figure à deux doigts de me retrouver étouffé.
J’étais assis sur une chaise, lorsqu’elle a dégagé ma queue avant de venir s’assoir dessus, j’ai eu peur qu’elle ne s’écroule.
Je parle de la chaise bien sûre, c’était chaud, bien différent de ce que j’en rêvais toutes les nuits, mais lorsque j’ai quitté Berthe, j’étais fière comme « un bar tabac », je crois que c’est comme ça que l’on dit.
Je suis revenu plusieurs fois de suite, simplement pour apprendre à savoir être patient avec le cul des filles.
Sans être éjaculateur précausse, j’allais trop vite avant de décharger.
Berthe avait un gros cul, mais Berthe méritait que je lui laisse le temps de jouir elle aussi.
Bref un jour je suis allé voir ailleurs jusqu’à ce que je rencontre Jennifer et que je l’épouse, avec elle s’était facile, à peine je la touche et d’un coup elle démarre.
J’élabore un plan au vu de ma lecture, car j’ai peur qu’elle ne simule pour me faire plaisir.
• Jennifer, j’ai invité une amie de passage dans notre région, je l’ai connu avant notre mariage, elle est d’accord pour venir samedi à 20 heures.
Soit sans crainte, elle aime les filles, nous avons toujours eu des rapports d’amitié.
Je vois bien que Jennifer a le regard de celles qui viennent de découvrir la face cachée de la lune, mais je mets ça sur le compte de l’étonnement n’ayant jamais parlé à ce jour de Carole.
• Bonjour, entrez, vous êtes une très jolie femme, mon mari a de la chance d’avoir eu une amie comme vous.
• On se tutoyait sur Internet, pourquoi ce vouvoiement, je croyais avoir compris qu’il était d’accord pour notre rencontre ce soir afin de seller notre amitié.
D’un coup, je sens que les choses vont trop vite, après avoir ouvert un compte sur le site « femme pour femme » ça fait deux mois que je converse avec Carole lui ayant fait croire que je suis une femme mariée voulant retrouver les élans de sa jeunesse.
Ce tu ou vous, j’aurais dû l’anticiper pour laisser du temps au temps.
Rapidement je me rends compte que j’ai épousé une femme très intelligente et que mon plan est rapidement découvert.
• Foutez-moi le camp, comment mon mari a-t-il pu croire que j’avais envie de vous bouffer la chatte surtout devant lui.
Rapidement alors qu’elle avait tenté un rapprochement, Carole ramasse ses affaires et quitte notre demeure.
• Jean comment as-tu pu un instant envisager que j’aurais envie de coucher avec une fille surtout devant toi.
• Mais c’était dans ton journal intime que j’ai découvert dans le débarras au fond d’un carton avec tes livres d’études !
• De quel journal intime parles-tu, montre-le-moi ?
Nous sommes dans la chambre, allongé sur notre lit, Carole a quitté notre appartement depuis un certain temps.
Je me penche pour ouvrir la porte de ma table de nuit.
• Tient le voilà.
Jennifer éclate de rire en prenant le journal en main.
• Mon pauvre chéri, je me souviens de ce journal, c’est celui de Susy, je t’en ai parlé, c’était ma colocataire.
C’était une gouine qui aimait exclusivement les femmes et écrivait sur chacune de ces aventures et tu as cru que c’était moi qui aimais les chattes d’autres femmes.
Nous avons fait l’amour, tout c’est tassé pendant presque trois mois, jusqu’au jour où sortant du boulot, j’ai trouvé ma valise devant la porte.
C’est devant un juge, que je me suis retrouvé, Jennifer étant accompagnée de Carole.
C’est tout simplement qu’elle prend tout les tord à sa charge allant même jusqu’à me proposer une pension, comme à une vulgaire femme mariée, cocufier, ce que je refuse bien sûr.
C’est tout naturellement qu’elle explique qu’après la soirée que j’avais organisée, elle avait pris conscience de la façon dont elle avait traité Carole.
Elle est elle-même venue s’inscrire sur « femme pour femme », elle a rapidement reconnu les photos qu’elle postait sur ce site.
Elles ont correspondu jusqu’à se rencontrer de nouveau bien plus longtemps que le temps qu’elles avaient passé ensemble dans notre appartement.
C’est chez Carole qu’elles ont décidé de se rencontrer et finir par s’aimer.
Carole a su faire découvrir à Jennifer, qu’elle aussi savait aimer les femmes à mon détriment.
À qui la faute ?
Comment cela est possible, c’est simple, Jennifer tout le temps se sert de son portable ou de son ordi à son bureau à la mairie de la commune ou nous habitons, elle en est la secrétaire en chef ?
Je dirais même première adjointe au maire, sans siéger, car ce vieux monsieur de presque quatre-vingts ans est en poste depuis trente-six ans, six mandats sans avoir à aucun moment été le moindre du monde contesté.
Il faut dire, que personne n’a envie de se farcir ce travail ingrat, même aidé par Jennifer.
Elle est partie à Paris, pour accompagner Bertrand notre maire au congrès des maires de France.
Je sais, on va penser, que je suis suspicieux qu’elle me trompe avec ce vieil homme ou tout autre beau gosse, il y en a quelques-uns lors de ce congrès, lorsque je parle de faute.
Non, je suis sur à cent pour cent de la fidélité de ma femme, soyez sans crainte, elle y part libre de toute ceinture de chasteté, pourquoi douter de celle qu’on a épousé.
Je suis moi-même d’une fidélité à toute épreuve, pourtant je travaille entouré de jolies femmes, d’autres plus moches, je suis responsable du Super U de notre commune.
Avant de partir, j’ai promis à Jennifer de faire le tri dans un débarras où nous entassons de vieux objets, souvent achetés et souvent inutilisés.
Je dois les emmener chez Emmaüs, certaines choses de ce fatras peuvent être utiles à des nécessiteux.
Raquette de tennis avec boîtes de balles toutes neuves, le scotch fermant la boîte toujours en place et plein d’autres choses du même acabit.
Un carton, que je vois pour la première fois, semble attendre que je le découvre pour y entasser ce genre de choses que je veux déposer pour les autres.
Il me faut le vider, pour y mettre ces objets.
Des livres du temps où Jennifer étudiaient et préparaient son concours pour devenir secrétaire de mairie, poste que j’ai dit avoir décroché depuis.
C’était avant que je la rencontre là encore à la mairie, lorsque les propriétaires de Super U m’ont confié le nouveau magasin qu’ils implantaient.
Nous avons eu ce que l’on appelle un coup de foudre alors qu’il nous fallait travailler ensemble sur certains documents et c’est tout naturellement que je l’ai invité au restaurant de la Place Georges-Pompidou.
À part la salade de tomates dont je me souviens, le reste du repas je l’ai passé dans ses yeux et elle dans les miens, comme le font ceux qui viennent de tomber follement amoureux.
C’est presque quinze jours plus tard qu’elle a accepté que je monte chez elle, appartement dans lequel nous nous sommes installés et où je vide se débarra.
Lors de notre rencontre, elle m’a parlé de Susy sa colocataire, mais sans plus, car cette dernière ayant elle aussi réussi ses études d’esthéticienne était repartie, je ne sais ou pour trouver du boulot.
Bref, ce jour où j’ai découvert son appartement qui allait devenir le nôtre, c’est aussi tout son corps que j’ai découvert.
Je connaissais déjà sa bouche lorsque je la ramenais le soir après avoir été regarder la lune ensemble près du chantier de mon magasin d’alimentation qui allait faire passer notre ville près de Mâcon de cité dortoir à ville en plein développement.
Là encore, Jennifer a joué un grand rôle, le vieux maire, jusqu’à ce jour, refusait toute grande surface à la périphérie de la commune afin de garder les trois commerces du centre-ville.
Certes, la petite superette a fermé, mais elle aurait fermé tout de même, car les quelques nouveaux habitants s’arrêtaient aux hypers à la sortie de Mâcon les prix étant très concurrentiels.
Exemple, la boisson anisée à boire avec modération, dans les hypers, 17 € le litre, avant fermeture dans la superette les 75 centilitres 22 € et tout était à l’avenant.
Sa bouche donc ainsi que ses seins, car elle acceptait que ma main vienne les prendre et les caresser pendant que je l’embrassais.
Plusieurs fois, j’ai essayé de lui passer la main entre ses cuisses, mais elles étaient fermées à double tour et comme je suis un gentleman, j’ai compris que si je voulais franchir une étape il me fallait mettre un genou en terre avec l’écrin de la bague que j’étais allé acheter chez le plus gros joaillier de Mâcon dans les rues piétonnes.
Jennifer est blonde, et aime entretenir sa petite touffe que j’aime tant lorsque avec ma bouche, j’aime à la faire jouir avant de la pénétrer.
J’ai très vite compris, qu’elle aimait que je lui suce son clito avec ma langue pendant qu’elle me pompait, plus que le moment où je la pénétrais sans pour autant me poser plus de questions.
Je vide donc le carton, lorsque je tombe sur un livre recouvert d’une couverture rose sur lequel aux feutres, des fleurs, des seins, des chattes, un peu comme les bites que des malades dessinent dans les toilettes de lieux publics.
Il y a une languette se rabattant sur une partie métallique ou l’on peut poser un petit cadenas, mais qui brille par son absence.
Il aurait été là, je l’aurais laissé en l’état et attendu le retour de mon aimé pour lui remettre son journal intime et savoir ce qu’elle veut en faire.
Il est ouvert, une page, jusqu’une page, après j’arrête et j’attends son retour.
« Demain, je vais devoir aller acheter un nouveau journal, je viens de terminer celui que maman m’a offert pour mes quinze ans. »
J’ai tout lu, de la première à la dernière page.
J’ai tout lu sans savoir que Jennifer savait si bien dessiner, toujours avec des feutres de couleur, mais surtout des dessins de chattes béantes, la cyprine coulante goute à goutte des clitos toujours bien représentés.
Le texte aussi, chattes, seins, que des prénoms féminins, c’est là où je me rends compte que pour la première fois je vois l’écriture de Jennifer.
Andréa, rencontré dans un bar d’une ville non définie dans ces écrits.
Véronica, Roberta, tous des « a » à la fin de ces noms.
Non je me trompe, Louison, la fait craquer et elle parle de leurs lèvres vaginales qu’elles sucent avidement lors de leur première rencontre.
Je comprends pourquoi Jennifer serrait ses cuisses lorsque je lui passais ou que j’essayais de lui passer ma main.
Étant lesbienne, j’ai dû être le premier homme à vouloir faire d’elle une bi-sexuelle ce qu’elle doit être devenue lorsqu’elle m’a enfin cédé.
À la fin de ma lecture, les situations étant si bien narrées que je bande comme un malade.
Je suis à deux doigts de revenir au temps de ma jeunesse où j’avais découvert la masturbation.
Depuis, j’ai connu quelques femmes la première ayant été notre voisine.
Lorsque je repense à son gros cul résultat de quatre maternités avec les seins qui allaient avec, elle avait allaité ses quatre fils sans aucune retenue.
J’étais copain avec Renard le dernier, quel drôle de prénom, il se faisait fiche de sa tronche au lycée et j’étais intervenue pour l’aider, c’était l’année de notre bac de Français.
J’ai croisé Berthe dans l’escalier, elle montait un panier de course avec du mal, l’ascenseur étant une fois de nouveau en panne.
C’est dans sa cuisine où tout à commencer, je me suis retrouvé avec ses deux grosses mamelles dans ma figure à deux doigts de me retrouver étouffé.
J’étais assis sur une chaise, lorsqu’elle a dégagé ma queue avant de venir s’assoir dessus, j’ai eu peur qu’elle ne s’écroule.
Je parle de la chaise bien sûre, c’était chaud, bien différent de ce que j’en rêvais toutes les nuits, mais lorsque j’ai quitté Berthe, j’étais fière comme « un bar tabac », je crois que c’est comme ça que l’on dit.
Je suis revenu plusieurs fois de suite, simplement pour apprendre à savoir être patient avec le cul des filles.
Sans être éjaculateur précausse, j’allais trop vite avant de décharger.
Berthe avait un gros cul, mais Berthe méritait que je lui laisse le temps de jouir elle aussi.
Bref un jour je suis allé voir ailleurs jusqu’à ce que je rencontre Jennifer et que je l’épouse, avec elle s’était facile, à peine je la touche et d’un coup elle démarre.
J’élabore un plan au vu de ma lecture, car j’ai peur qu’elle ne simule pour me faire plaisir.
• Jennifer, j’ai invité une amie de passage dans notre région, je l’ai connu avant notre mariage, elle est d’accord pour venir samedi à 20 heures.
Soit sans crainte, elle aime les filles, nous avons toujours eu des rapports d’amitié.
Je vois bien que Jennifer a le regard de celles qui viennent de découvrir la face cachée de la lune, mais je mets ça sur le compte de l’étonnement n’ayant jamais parlé à ce jour de Carole.
• Bonjour, entrez, vous êtes une très jolie femme, mon mari a de la chance d’avoir eu une amie comme vous.
• On se tutoyait sur Internet, pourquoi ce vouvoiement, je croyais avoir compris qu’il était d’accord pour notre rencontre ce soir afin de seller notre amitié.
D’un coup, je sens que les choses vont trop vite, après avoir ouvert un compte sur le site « femme pour femme » ça fait deux mois que je converse avec Carole lui ayant fait croire que je suis une femme mariée voulant retrouver les élans de sa jeunesse.
Ce tu ou vous, j’aurais dû l’anticiper pour laisser du temps au temps.
Rapidement je me rends compte que j’ai épousé une femme très intelligente et que mon plan est rapidement découvert.
• Foutez-moi le camp, comment mon mari a-t-il pu croire que j’avais envie de vous bouffer la chatte surtout devant lui.
Rapidement alors qu’elle avait tenté un rapprochement, Carole ramasse ses affaires et quitte notre demeure.
• Jean comment as-tu pu un instant envisager que j’aurais envie de coucher avec une fille surtout devant toi.
• Mais c’était dans ton journal intime que j’ai découvert dans le débarras au fond d’un carton avec tes livres d’études !
• De quel journal intime parles-tu, montre-le-moi ?
Nous sommes dans la chambre, allongé sur notre lit, Carole a quitté notre appartement depuis un certain temps.
Je me penche pour ouvrir la porte de ma table de nuit.
• Tient le voilà.
Jennifer éclate de rire en prenant le journal en main.
• Mon pauvre chéri, je me souviens de ce journal, c’est celui de Susy, je t’en ai parlé, c’était ma colocataire.
C’était une gouine qui aimait exclusivement les femmes et écrivait sur chacune de ces aventures et tu as cru que c’était moi qui aimais les chattes d’autres femmes.
Nous avons fait l’amour, tout c’est tassé pendant presque trois mois, jusqu’au jour où sortant du boulot, j’ai trouvé ma valise devant la porte.
C’est devant un juge, que je me suis retrouvé, Jennifer étant accompagnée de Carole.
C’est tout simplement qu’elle prend tout les tord à sa charge allant même jusqu’à me proposer une pension, comme à une vulgaire femme mariée, cocufier, ce que je refuse bien sûr.
C’est tout naturellement qu’elle explique qu’après la soirée que j’avais organisée, elle avait pris conscience de la façon dont elle avait traité Carole.
Elle est elle-même venue s’inscrire sur « femme pour femme », elle a rapidement reconnu les photos qu’elle postait sur ce site.
Elles ont correspondu jusqu’à se rencontrer de nouveau bien plus longtemps que le temps qu’elles avaient passé ensemble dans notre appartement.
C’est chez Carole qu’elles ont décidé de se rencontrer et finir par s’aimer.
Carole a su faire découvrir à Jennifer, qu’elle aussi savait aimer les femmes à mon détriment.
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