COLLECTION HISTOIRE COURTE. Baiser ma belle-sœur dans le grenier de ma mère (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Baiser ma belle-sœur dans le grenier de ma mère (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Baiser ma belle-sœur dans le grenier de ma mère (1/1)
• Bien, le travail avance, partageons-nous les taches suivantes.
• Bien chef.
• Alicia arrête de faire de l’humour tout le monde commence à être fatigué et je tiens à finir ce travail avant de remonter à Paris, j’ai un chantier à finir.
• Mon chéri, tu es peut-être fatigué, mais moi je suis en pleine forme.
C’est vrai que tous les jours depuis des mois, tu te dis fatigué et que tu oublies de t’occuper de moi.
• Alicia, tes problèmes de couple avec Sylvain, c’est ton affaire, moi aussi je suis fatiguée, alors finissons-en.
Puisque tu es en forme et que Sylvain doit conduire la camionnette avec laquelle il est venu, monte dans le grenier avec Grégoire, moi je vais avec ton mari à la Déchetterie.

Moi, c’est Grégoire, mari d’Antoinette et frère ainé de Sylvain marié avec Alicia.
Mon frère comme sa femme a un an de moins que moi.
Antoinette est plus jeune que moi de deux ans et j’ai trente ans.
Bref pour faire cours, Grégoire cheveux commençant à grisonner trente ans.
Antoinette blonde naturelle vingt-huit ans.
Sylvain, mon frère, brun, vingt-neuf ans ainsi qu’Alicia sa femme magnifique rousse.
Maman est morte, il y a un mois, avec papa ils étaient agriculteurs, mais comme papa est mort il y a dix ans, l’exploitation s’était arrêtée.
Avec ma femme je suis prof des écoles dans un village voisin et c’est ma femme et moi qui nous occupions de maman jusqu’à sa mort.
Elle refusait de quitter la maison ou elle avait été heureuse même si la vie avait été dure.
Hélas ni moi ni mon frère somme en l’état de reprendre ce grand corps de ferme qui par chance dès sa mise en vente a intéressé un couple d’Anglais fuyant le brexit pour en faire un gîte.
Nous avons vidé la partie habitable, les granges et autres dépendances ayant été vidées lors de l’arrêt de l’exploitation.
Nous avons mis les meubles certains anciens dans le camion d’un brocanteur venu faire son choix, le reste nous le mettons au rebut.
Je vois partir ma femme avec mon frère, nous nous dirigeons vers le grenier, cette pièce assez grande m’intéresse.
Nous y jouions, dans notre jeunesse avec Sylvain.
Je sais très bien que là, il peut y avoir quelques vieux Rembrandt ou autres tableaux de valeur.
Pour accéder, il y a une trappe qu’il nous faut ouvrir, j’ai amené l’escabeau, qui nous a servi à dépendre des objets dans le reste de la partie habitable.
Je grimpe, je tire, l’escalier descend.
J’ai apporté une corde, au fond de ce grenier il y a une fenêtre qui va me servir à descendre certaines saloperies, hors d’un lit à barreaux à l’ancienne ayant peut-être de la valeur, mais que j’ai décidé de récupérer.
Je vais vous faire un aveu, dès que je l’ai connu, Antoinette a présenté des dispositions pour l’amour hard et j’ai quelques paires de menottes qui vont bien me servir pour l’immobiliser et la baiser comme une bête.
Si ses élèves savaient que leur jeune institutrice aime se faire fesser, voire passer au martinet, bref, j’aime la faire crier de plaisir sadique et elle aime que je la traite comme un vulgaire bout de chaire.
Attention, je sais me contrôler et nos jeux s’arrêtent à la limite de la douleur insupportable.
Je descends pour laisser passer Alicia, elle monte prestement, cette femme est un mystère pour moi, elle venait chez maman principalement à Noël et était plutôt du genre froide.
Pour ce travail, ils sont arrivés de Paris chez nous, mon frère dans la camionnette de chantier et elle dans une voiture sport de marque Audi.
Elle est vêtue avec un mini-short en jeans, d’un débardeur montrant largement ses seins, magnifiques d’ailleurs et des baskets plus près de celle de chez Dior que d’Adidas ou de Nike.
Comme je l’ai, dit-elle est rousse et comme je tiens l’escabeau, même si lorsque je lève ma tête voyant son entrejambe, seuls les effluves pimentés par la sueur sortant de son corps arrivent à mes narines.
J’avais entendu dire que les rousses avaient des odeurs très caractéristiques, même si c’est ma belle-sœur, j’aimerais bien sentir cela de plus près.
C’est ce que je pensais, il y a du boulot, j’ouvre la fenêtre et un à un nous jetons, les pièces les plus faciles à leur retour nous les chargerons avant ce soir de les porter au rebut à quelques kilomètres d’ici.
Il y a le lit démonté et il y a le matelas, Alicia comme une petite fille qui joue, le fait tomber au sol et saute dessus.
La poussière vole et emplit la pièce.

• Grégoire vient te reposer cinq minutes, on a un peu de temps, nous avons déjà passé par la fenêtre les trois quarts du grenier.

Sans penser à mal, je saute à ses côtés faisant ressortir de la poussière, elle en a jusqu’au bout de son nez, avec mon doigt je l’enlève, ça la fait éternuer.
Nous éclatons de rire, c’est à ce moment que je sens sa main sur la jambe de ma côte de travail.

• Je peux voir, un jour où il est rentré cuité d’une soirée de fin de chantier, alors que je le traitais de petite bite, il m’a dit que tu en avais une plus grosse que la sienne !

On se fait certaines confidences, il est vrai que dès notre adolescent, nous avons joué à savoir qui pissait le plus loin.
C’est certainement à ces moments que Sylvain a comparé nos anatomies, car au plus loin que je me souvienne de mon côté ça m’indifférait.
Ma combinaison est faite pour s’enlever facilement pour satisfaire des besoins naturels.
Dans la lumière venant de la fenêtre ouverte, je tire sur la bande me montrant nu.
Je savais que j’aurais très chaud vu la météo.

• Merde !

Sortie de sa jolie bouche, je prends ça comme un compliment surtout que sans que l’on se soit embrassé elle commence à me sucer.
Il est vrai qu’Antoinette a une petite bouche et qu’elle est obligée simplement de la sucer dans l’impossibilité d’aller plus loin, elle se démonterait la mâchoire.
Alicia en a une grande et elle fait rentrer mon gland, le titillant avec sa langue.
L’attaque sur mon costume trois-pièces a été si violente, que j’en perds le fil quelques secondes, mais je me reprends vite, me souvenant de l’odeur épicée de rousse qui m’a fait envie lorsque je tenais l’escabeau.
Alors qu’elle me suce je pivote jusqu’à son entrejambe, j’ai l’impression que les effluves sont encore plus forts que tout à l’heure.
J’arrive à défaire le bouton me libérant son abricot roux.
Mon dieu que ça sent bon, ma langue vient naturellement sur son clito qui semble bien aimer, car c’est une vraie petite bite que je peux sucer.
Elle recrache ma verge avant de lâcher des sons inaudibles, mais que je sais de plaisir avant de recommencer à me sucer.
Ceux qui me lisent et qui ont une femme rousse dans leurs bras savent ce que je sens et ce que je ressens à sucer cette chatte, fort bien entretenue, Alicia a les moyens d’aller faire des soins de beauté.
L’entreprise que gère mon frère est celle créée avant sa retraite par beau-papa.
Il a tiré le gros lot professionnel et sexuel, si j’ai compris au moment des partages des tâches, il y a de l’eau dans le gaz entre eux.

• Baise-moi, ton frère m’oublie trop souvent, son travail passe avant sa femme.

Je me lève, elle ôte son débardeur ses seins me sautant au visage, même si je les ai déjà vus un soir de Noël ou je suis allé dans leur chambre en dessous de nous pensant que Sylvain était seul.
Elle avait le bas et je suis ressorti confus de ce que j’avais vu, ce jour-là c’était la femme de mon frère.
Là à mes pieds lorsque j’ôte ma combi, c’est une chienne qui se lèche les lèvres fort érotiquement attendantes que je la saillisse en me tendant ses bras.
Pourquoi ce priver de ce plaisir, je sais, je trompe la maîtresse d’école que j’aime, mais quand l’homme devient bête, il est impossible de reculer ?
Au contraire, je m’agenouille, je lui écarte ses longues cuisses et je plonge en elle.
J’ai déjà trompé Antoinette avec une jeune mère d’une de mes élèves, mais c’était moins hard qu’avec Alicia qui dès que je suis bien au fond, enserre mon dos avec ses jambes.
Nous avons eu d’autres aventures dont je parlerais plus loin.
Dans les minutes qui suivent je la prends en levrette et je l’achève la faisant hurler de plaisir.
C’est loin d’être grave, nous sommes seuls à quelques centaines de mètres de toute habitation.
C’est à ce moment que j’entends la camionnette revenir.
Je saute du matelas, je remets prestement ma combinaison, par chance, j’avais gardé mes chaussures, Alicia ayant besoin de récupérer.
Je m’approche de la fenêtre.

• Ça s’est bien passé pour vous, nous ici ça avance, commencez à charger, nous vous envoyons le reste, nous avons presque fini.

Je sens ma verge encore tendue, malgré le plaisir que je viens de prendre à baiser ma belle-sœur, par chance la hauteur jusqu’au garde-fou, me cache à eux en bas.

• Attention, j’envoie un matelas bien pourri à mettre pour le prochain voyage.
Sylvain, tu peux monter, il faut faire descendre un vieux lit à barreaux qui si ça te va, je récupèrerais, pour chez nous Antoinette.

Alicia de nouveau présentable m’aide à l’amener à la fenêtre et à le balancer.
Le lit descend, mon frère nous ayant rejoint.
J’ai le temps de voir sa main passer sur le cul de sa femme devenu ma maîtresse.
Le chantier terminé, nous remontons dans la camionnette les femmes dans la voiture d’Alicia.

• Frangin, en allant à la Déchetterie, nous sommes passés devant chez vous, il y a une maison à vendre à quelques mètres de là.
Nous avions en vu d’en chercher une comme maison secondaire.
Pouvez-vous garder Alicia, quelques jours le temps qu’elle engage les formalités, dans quinze jours, je serais en vacances et je finaliserais la vente.
• Et tu l’achètes sans avoir visité l’intérieur !
• Je vais t’avouer quelque chose, mais ça doit rester entre nous.

Frangin, j’ai baisé ta femme, il va sans dire que je sais tenir ma langue surtout après l’avoir mis dans le vagin d’Alicia, mais ça je le pense sans le dire à mon jeune frère bien sûr.

• Tu te souviens l’été de mon bac avant que je monte à Paris et où je devais rencontrer celle qui est devenue ma femme, ses parents étant pété de tune ?
• Alicia, oui ?
• Tu te souviens de la grosse Martha la copine de maman.
• Attends, dit moi que tu te l’aies sautée !
• Elle m’a dépucelé, maman m’avait demandé d’aller chercher des pelotes de laine que Martha avait achetée à la foire en allant avec Alex son mari à la ville.
Elle m’a reçu en petite tenue, malgré ses culottes tailles 5XL.
J’ai perdu mon pucelage dans sa cuisine, alors qu’Alex regardait le tour de France dans leur salon.
Je suis revenu tout l’été, nous avons baisé dans presque chaque pièce, je les connais donc.
J’ai su qu’ils étaient morts à un mois d’intervalle, ce doit être Suzana, sa fille qui vend.
• Tu m’en diras tant, compte sur moi pour aider Alicia à visiter et préparer ton arrivée.

Voilà, nous avons déchargé les montants du lit que je vais installer dans notre chambre.
Nul doute que dans les heures prochaines, je vais faire visiter de très près toutes les pièces de la maison que Sylvain désire acheter à sa femme, la salope va apprécier.
De plus, une fois le lit monté, rapidement je me fais fort d’attacher mes deux femelles en chaleur ayant assez de menottes pour les deux.
Ce que je sais aussi, c’est qu’Antoinette va adorer sucer la chatte d’une jolie rousse, nous avons déjà pratiqué un peu l’échangisme.
C’est cela que je voulais vous dire un peu plus tôt dans ce texte.
Mais cela ce sera peut-être une autre histoire quand dans l’avenir cela se réalisera.

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