COLLECTION HISTOIRE COURTE. Beau-papa me rase la chatte (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Beau-papa me rase la chatte (1/1)
• Oh ! Bernadette, j’ignorais que tu étais dans la salle de bain.
C’est de ma faute, je devais réparer le verrou.
Mais comme depuis le décès de ma femme, nous sommes seuls avec Julien, je repousse toujours au lendemain ce que je peux faire le jour même.
• Beau-papa ?
• Mais tu es folle, se servir d’un rasoir coup chou, tu vas te couper, je dirais même t’estropier.
Viens sur ton lit, dans la chambre, je vais le faire, ce soir, mon fils m’en voudrait lorsqu’il rentera de son boulot de trouver sa jeune femme vidée de son sang.
• Ais-ce bien raisonnable, vous êtes le père de votre fils et je suis votre belle-fille !
• Faire ça en famille, quoi de plus normal, tu te rases la chatte pour certainement lui plaire.
Comme je l’ai dit, tu risques de te blesser, j’évite ce problème, tu sais, je le faisais à ma femme, j’ai donc une longue habitude.
Bernadette se lève de la chaise où elle est assise et me suit dans la chambre voisine, celle de mon fils et celle de son couple depuis son mariage.
• Allonge-toi et lèvent tes jambes en les écartant, tu vois, il reste des petits poils disgracieux, qu’ils te seraient difficiles à atteindre, je vais te les raser, je te mets du savon à barbe.
J’ai amené le savon à barbe et je badigeonne le bas-ventre de Bernadette.
• On dirait la barbe du père Noël.
Bonjours monsieur le père Noël, j’ai toujours rêvé de vous rencontrer, c’est la première fois aujourd’hui, je suis enchanté de faire votre connaissance.
• Vous me chatouillez beau-papa.
• Non, tu te trompes Bernadette, je te badigeonne simplement du savon que j’étale au mieux, c’est le blaireau qui te chatouille, profites-en !
Attention, je passe au rasoir, tient moi cette coupelle que j’y mette ce que j’enlève avec le coup chou.
• Vous croyez que c’est bien, je suis la femme de votre fils.
• Justement, ça reste dans la famille, reste calme, j’ai presque fini, encore un coup là et encore ce petit poil disgracieux.
• Beau-papa, vous avez vos yeux presque posés sur mon sexe, c’est gênant.
• Reste simple, tu as une jolie chatte, on peut croire, qu’une chatte ressemble à une autre chatte, mais dans la réalité, elles sont toutes bien plus différentes les unes que les autres.
Et tes seins, mon couillon de fils, sait-il les honorer à leur juste valeur surtout comme les tiens en forme de poire.
• Julien a tendance à les oublier, pourtant c’est vrai que j’aime bien lorsqu’ils sont caressés, comme vous le faite en ce moment beau-papa.
Je me suis redressé et j’ai pris le gauche dans ma main.
Il est doux et chaud comme celui de ma femme lorsque nous étions jeunes.
• Beau-papa, votre langue sur mon sein droit, c’est divin, mais je vous répète que c’est mal, j’ai juré fidélité à votre fils.
• Si ce grand couillon oubli qu’une femme, c’est tout autre chose qu’une chatte, c’est de sa faute j’adore prendre la poire et la fraise qui les terminent, ils ont besoin que je les honores.
Bernadette s’échauffe et ses mains viennent appuyer sur ma tête, au lieu de me repousser.
Je sens que ma queue est sortie de mon pyjama et je bande, c’est la première fois qu’une femme me fait de l’effet depuis mon veuvage.
Sa main vient la saisir de façon très naturelle.
• Beau-papa, je sens que vous bandez, elle est grosse, plus grosse que celle de votre fils.
• Merci de me le dire, sa mère devait le savoir, elle se servait de la première pour son plaisir et c’est elle qui s’est occupée de la toilette de Julien dès qu’il est né.
Je sens que ma bru en veut plus, je me soulève un dernier coup et tout en continuant à lui caresser les seins, nos bouches se trouvent.
J’aime faire durer un baiser, ça aussi ma femme adorait.
Bernadette me masturbe pendant que ma main quitte son sein pour retrouver sa chatte toute lisse, j’ai très bien travaillé, sauf une petite touffe blonde qu’elle avait contournée et que je lui ai laissée.
Mon doigt pénètre ses grandes lèvres, vite suivies d’un deuxième ma salope de belle-fille mouillant énormément.
Sachant ce que j’ai vu lorsque mes yeux était à sa hauteur, mon majeur sort son clito de son capuchon.
Je sens son corps se tendre comme le fait la corde d’un arc.
Nous reprenons notre souffle, avant de repartir dans un profond baisé, sexuellement j’ai la chance d’être très performant, je pivote légèrement, cette jolie fille ouvre son compas.
Un jeune puceau comme mon fils plongerait directement et se soulagerait sans penser à sa partenaire, je quitte le haut du corps pour amener de nouveau ma bouche vers sa chatte.
Mes doigts plus ma langue, je sais que c’est gagner, je vais posséder cette belle pouliche.
• Oui, oui, beau-papa, nous sommes fous, mais c’est si bon, votre langue râpe mon clito, je sens qu’il va exploser, vous êtes incroyable, je sens que c’est vers mon plaisir que vous voulez m’amener.
Cette phrase je l’écris en essayant de retransmettre le plaisir que je sens que ma belle-fille prend.
Mais je devrais écrire, des « ouis » et « ouiiis » langoureux lorsque le plaisir la rattrape.
C’est même elle qui prend une nouvelle initiative me montrant que tout ce qui vient de se dérouler entre nous, sans être prémédité est entièrement consenti, voire plus.
La bouche que je viens de quitter se penche et ma bite disparait dans sa bouche, dans une très bonne fellation.
• Bernadette nous sommes fous, je te l’ai déjà dit, mais c’est si bon allonge-toi, je vais te baiser.
C’est elle qui se positionne sur le dos pour commencer et je peux plonger ma bite, rarement aussi tendu même du temps de ma femme, mais, c’est elle qui une dernière fois me saisit pour me plonger en elle.
Fils, bru, beau-père, belle fille, tout ceci devient secondaire, je la pine aussi fort qu’elle se met à gueuler son plaisir.
Combien d’orgasme a-t-elle ou est-ce un orgasme d’un seul tenant qui la porte vers l’espèce de coma dans lequel elle sombre tomber.
Je me vide en moi-même hurler mon plaisir.
Est-ce l’interdit que nous venions de franchir, mais au moment où je jouis, le frisson qui part de ma colonne vertébrale venant jusqu’à mon cerveau est la sensation la plus forte jamais ressentie depuis trente-cinq ans que je baise des femmes.
J’ai dit avoir été fidèle après mon mariage, jusqu’à ce que la mort nous sépare, mais avant j’étais plutôt un chand lapin, beau gosse je collectionnais les conquêtes.
• Mais tu pleures, est-ce de plaisir !
• Oui, mais aussi car j’ai trompé mon mari alors que je lui avais juré fidélité.
Surtout que je veux des enfants très vite pendant que je suis jeune et ton fils aussi.
Nous avons fait l’amour sans protection et je risque de me retrouver enceinte après nos rapports.
• Tu veux des enfants, en faisant l’amour avec moi, tu as doublé tes chances d’enfanter.
Julien a eu les oreillons à sa puberté, suppose qu’aucune grossesse venant concrétiser votre union et qu’après bien des tracas vous vous aperceviez que votre couple restera stérile.
Tu doubleras tes chances d’enfanter avec le même ADN.
Je sèche les larmes de ma bru et le baiser que nous nous donnons clos l’affaire.
Je sais, je suis un salop, mais qui refuserait de sauter une jolie petite salope comme Bernadette, même si c’est ma belle-fille ?
• Dis-moi, quand te rases-tu la chatte ?
• Comme aujourd’hui tous les lundis matin.
• Ok, lundi prochain je t’attends dans ma chambre à 8 heures lorsque Julien sera parti à son travail.
Viens avec le savon à raser, le blaireau et le coup chou, je commencerais par te raser la chatte.
C’est de ma faute, je devais réparer le verrou.
Mais comme depuis le décès de ma femme, nous sommes seuls avec Julien, je repousse toujours au lendemain ce que je peux faire le jour même.
• Beau-papa ?
• Mais tu es folle, se servir d’un rasoir coup chou, tu vas te couper, je dirais même t’estropier.
Viens sur ton lit, dans la chambre, je vais le faire, ce soir, mon fils m’en voudrait lorsqu’il rentera de son boulot de trouver sa jeune femme vidée de son sang.
• Ais-ce bien raisonnable, vous êtes le père de votre fils et je suis votre belle-fille !
• Faire ça en famille, quoi de plus normal, tu te rases la chatte pour certainement lui plaire.
Comme je l’ai dit, tu risques de te blesser, j’évite ce problème, tu sais, je le faisais à ma femme, j’ai donc une longue habitude.
Bernadette se lève de la chaise où elle est assise et me suit dans la chambre voisine, celle de mon fils et celle de son couple depuis son mariage.
• Allonge-toi et lèvent tes jambes en les écartant, tu vois, il reste des petits poils disgracieux, qu’ils te seraient difficiles à atteindre, je vais te les raser, je te mets du savon à barbe.
J’ai amené le savon à barbe et je badigeonne le bas-ventre de Bernadette.
• On dirait la barbe du père Noël.
Bonjours monsieur le père Noël, j’ai toujours rêvé de vous rencontrer, c’est la première fois aujourd’hui, je suis enchanté de faire votre connaissance.
• Vous me chatouillez beau-papa.
• Non, tu te trompes Bernadette, je te badigeonne simplement du savon que j’étale au mieux, c’est le blaireau qui te chatouille, profites-en !
Attention, je passe au rasoir, tient moi cette coupelle que j’y mette ce que j’enlève avec le coup chou.
• Vous croyez que c’est bien, je suis la femme de votre fils.
• Justement, ça reste dans la famille, reste calme, j’ai presque fini, encore un coup là et encore ce petit poil disgracieux.
• Beau-papa, vous avez vos yeux presque posés sur mon sexe, c’est gênant.
• Reste simple, tu as une jolie chatte, on peut croire, qu’une chatte ressemble à une autre chatte, mais dans la réalité, elles sont toutes bien plus différentes les unes que les autres.
Et tes seins, mon couillon de fils, sait-il les honorer à leur juste valeur surtout comme les tiens en forme de poire.
• Julien a tendance à les oublier, pourtant c’est vrai que j’aime bien lorsqu’ils sont caressés, comme vous le faite en ce moment beau-papa.
Je me suis redressé et j’ai pris le gauche dans ma main.
Il est doux et chaud comme celui de ma femme lorsque nous étions jeunes.
• Beau-papa, votre langue sur mon sein droit, c’est divin, mais je vous répète que c’est mal, j’ai juré fidélité à votre fils.
• Si ce grand couillon oubli qu’une femme, c’est tout autre chose qu’une chatte, c’est de sa faute j’adore prendre la poire et la fraise qui les terminent, ils ont besoin que je les honores.
Bernadette s’échauffe et ses mains viennent appuyer sur ma tête, au lieu de me repousser.
Je sens que ma queue est sortie de mon pyjama et je bande, c’est la première fois qu’une femme me fait de l’effet depuis mon veuvage.
Sa main vient la saisir de façon très naturelle.
• Beau-papa, je sens que vous bandez, elle est grosse, plus grosse que celle de votre fils.
• Merci de me le dire, sa mère devait le savoir, elle se servait de la première pour son plaisir et c’est elle qui s’est occupée de la toilette de Julien dès qu’il est né.
Je sens que ma bru en veut plus, je me soulève un dernier coup et tout en continuant à lui caresser les seins, nos bouches se trouvent.
J’aime faire durer un baiser, ça aussi ma femme adorait.
Bernadette me masturbe pendant que ma main quitte son sein pour retrouver sa chatte toute lisse, j’ai très bien travaillé, sauf une petite touffe blonde qu’elle avait contournée et que je lui ai laissée.
Mon doigt pénètre ses grandes lèvres, vite suivies d’un deuxième ma salope de belle-fille mouillant énormément.
Sachant ce que j’ai vu lorsque mes yeux était à sa hauteur, mon majeur sort son clito de son capuchon.
Je sens son corps se tendre comme le fait la corde d’un arc.
Nous reprenons notre souffle, avant de repartir dans un profond baisé, sexuellement j’ai la chance d’être très performant, je pivote légèrement, cette jolie fille ouvre son compas.
Un jeune puceau comme mon fils plongerait directement et se soulagerait sans penser à sa partenaire, je quitte le haut du corps pour amener de nouveau ma bouche vers sa chatte.
Mes doigts plus ma langue, je sais que c’est gagner, je vais posséder cette belle pouliche.
• Oui, oui, beau-papa, nous sommes fous, mais c’est si bon, votre langue râpe mon clito, je sens qu’il va exploser, vous êtes incroyable, je sens que c’est vers mon plaisir que vous voulez m’amener.
Cette phrase je l’écris en essayant de retransmettre le plaisir que je sens que ma belle-fille prend.
Mais je devrais écrire, des « ouis » et « ouiiis » langoureux lorsque le plaisir la rattrape.
C’est même elle qui prend une nouvelle initiative me montrant que tout ce qui vient de se dérouler entre nous, sans être prémédité est entièrement consenti, voire plus.
La bouche que je viens de quitter se penche et ma bite disparait dans sa bouche, dans une très bonne fellation.
• Bernadette nous sommes fous, je te l’ai déjà dit, mais c’est si bon allonge-toi, je vais te baiser.
C’est elle qui se positionne sur le dos pour commencer et je peux plonger ma bite, rarement aussi tendu même du temps de ma femme, mais, c’est elle qui une dernière fois me saisit pour me plonger en elle.
Fils, bru, beau-père, belle fille, tout ceci devient secondaire, je la pine aussi fort qu’elle se met à gueuler son plaisir.
Combien d’orgasme a-t-elle ou est-ce un orgasme d’un seul tenant qui la porte vers l’espèce de coma dans lequel elle sombre tomber.
Je me vide en moi-même hurler mon plaisir.
Est-ce l’interdit que nous venions de franchir, mais au moment où je jouis, le frisson qui part de ma colonne vertébrale venant jusqu’à mon cerveau est la sensation la plus forte jamais ressentie depuis trente-cinq ans que je baise des femmes.
J’ai dit avoir été fidèle après mon mariage, jusqu’à ce que la mort nous sépare, mais avant j’étais plutôt un chand lapin, beau gosse je collectionnais les conquêtes.
• Mais tu pleures, est-ce de plaisir !
• Oui, mais aussi car j’ai trompé mon mari alors que je lui avais juré fidélité.
Surtout que je veux des enfants très vite pendant que je suis jeune et ton fils aussi.
Nous avons fait l’amour sans protection et je risque de me retrouver enceinte après nos rapports.
• Tu veux des enfants, en faisant l’amour avec moi, tu as doublé tes chances d’enfanter.
Julien a eu les oreillons à sa puberté, suppose qu’aucune grossesse venant concrétiser votre union et qu’après bien des tracas vous vous aperceviez que votre couple restera stérile.
Tu doubleras tes chances d’enfanter avec le même ADN.
Je sèche les larmes de ma bru et le baiser que nous nous donnons clos l’affaire.
Je sais, je suis un salop, mais qui refuserait de sauter une jolie petite salope comme Bernadette, même si c’est ma belle-fille ?
• Dis-moi, quand te rases-tu la chatte ?
• Comme aujourd’hui tous les lundis matin.
• Ok, lundi prochain je t’attends dans ma chambre à 8 heures lorsque Julien sera parti à son travail.
Viens avec le savon à raser, le blaireau et le coup chou, je commencerais par te raser la chatte.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je reconnait bien volontière cette fote grossièrement...
Mes si tu décidera de né plus me lirent, d'autre le fera à ta places.
Je rigole c'est vrai que certaines fautes m'échappe mais nul n'est ici pour briguer le Pulitzer.
Juste un moment de détente ce' que je te conseil de faire chère écrivain, je te lis, tu es un écrivain je suis un auteur...
Mes si tu décidera de né plus me lirent, d'autre le fera à ta places.
Je rigole c'est vrai que certaines fautes m'échappe mais nul n'est ici pour briguer le Pulitzer.
Juste un moment de détente ce' que je te conseil de faire chère écrivain, je te lis, tu es un écrivain je suis un auteur...
Perso, quand je commence à lire un texte avec ce genre de faute "Ais-ce bien raisonnable, vous êtes le père de votre fils et je suis votre belle-fille" ("est-ce bien raisonnable" qu'il faut écrire et qui dit "vous êtes le père de votre fils"??? Vous aurez bien pu écrire "je suis l'épouse du fils que vous avez eu avec votre femme!") cela ne me donne pas vraiment envie de poursuivre ma découverte !
Dommage...
Dommage...
Je me porterais bien volontaire pour me faire raser ma chatte telle votre histoire.
moi aussi agréable a écrire dans ces histoires courtes
J'aime beaucoup ces jeux interdits...
Cyrille
Cyrille