COLLECTION HISTOIRE COURTE. Belle-maman me suce la mœlle (1/1) - histoire érotique

• Oui, Susy, suce bien, quelle salope tu fais, je t’ai bourré le con une partie de la nuit et tu en redemande.
Merde, belle maman, vous êtes folle.
• Non, Lucas, tu sais bien que Susy et Jacques sont partis pour la journée et j’ai eu une envie folle à venir te sucer la queue.
• Mais, mais, mais.
• Laisse-toi faire, il y a plus d’un an que ton beau-père oublie de me toucher.
Avec la chaleur, même dans la nuit je me suis levée pour aller en cuisine boire un verre d’eau.
Quand je suis passée devant votre porte, j’ai entendu Susy jouir et ce matin, dès qu’ils sont partis, j’ai franchi le pas pour venir te sucer.
Honore-moi Lucas, fais-moi jouir comme tu as fait jouir ma fille.
Je comprends qu’elle criait comme une folle du cul quand je vois la verge que tu lui offres.
Jacques à la moitié de ta longueur et idem pour sa grosseur.
• Belle-maman tu veux ma bite, prends-la, mais ferme ta bouche pour éviter de dire ferme ta gueule.
• Oui, Lucas, des mots orduriers, quand Jacques me sautait encore et depuis qu’il m’a dépucelé il m’a toujours baisé sans ouvrir sa bouche.
• Tu vas sucer, c’est impossible de me concentrer.
Caresse-moi les couilles, salope sinon je te retire ton joujou.
C’est bien, bien au fond de ta gorge, mais attention tu veux que je te saute, je vais te sauter.
• C’est bien, met tes doigts dans ma chatte, regarde comme je mouille attendant d’avoir ta belle bite en moi.
• Tu veux jouir comme Susy, allonge-toi et écarte tes cuisses, je vais te sucer ta chatte, comme à elle.
• Oui, tu vas trouver ma grotte bien mouillée simplement de l’attente que tu me fasses l’amour.

Ma belle-mère, la cinquantaine est même une femme avenante, plus très fraîche, mais un baiseur compulsif comme moi se fou royalement de quel calice il honore.
Comme dit vulgairement, du moment qu’il y a des poils et que ça pu, le reste c’est du pareil au même.
Pourquoi me suis-je marié, Dieu seul le sait.
A oui, des enfants, je suis, en âge d’être père et Susy comme sa mère à une croupe susceptible de porter mon enfant, voire mes enfants.
Vous doublez ça, le faite, qu’elle me laisse faire tout ce que je veux de son corps au lit ou ailleurs et vous pourriez avoir un homme heureux.
Ce qui est certain, c’est qu’au moment de faire le vœu de la respecter et de la chérir.
Respecter, ça je veux bien et de la chérir aussi, mais pour ce qui est de la fidélité, sans croiser mes doigts dans mon dos, je savais que c’était inconcevable.
La vie est faite pour niquer.
Alors, commencer ma vie d’homme adultérin par ma belle-mère pour un serial niqueur qu’elle plus belle prise ?
Pour la prendre, je la prends dans de nombreuses positions possibles dans un lit en lui pilonnant la chatte et l’anus.

• Oh ! tu viens de m’enculer, tu es le premier, vas-y, bourre-moi, fait de moi ta salope, ta pute, ton étron, ton, ton, ton...
• Mais tu peux fermer ta gueule !
Tien prend la dans ta bouche, au moins pendant que je t’arroserais les amygdales, tu la fermeras.

Pendant que je la défonçais, je l’ai fait hurler comme ça fille.
C’est ce qu’elle était venue chercher.
Elle a eu orgasme sur orgasme.
Je venais de déclencher en elle, un goût, de revenez-y.
Dans les jours qui ont suivi, c’est elle qui montait des plans culs.
Les hôtels, sa voiture même si c’était une grosse Audi, ont été nos lieux de baise.
J’honorais toujours sa fille au point que je l’ai mise en cloque m’apportant ma fille.

• Je suis la seule que tu peux baiser, le temps que Susy est à la clinique et que mon mari est à son club de bridge.

Ce soir-là c’est le plan de travail, puis la table de la cuisine, mes hanches entourées de ses jambes, me montrant une grande souplesse, malgré son âge avançant.
On a terminé sur la chaise, moi assit et elle empalé.
J’étais vidé.
Chaque fois que je me pesais, la balance allait de plus en plus bas.
Telle une mante religieuse, elle me suçait littéralement la moelle.
Ma fille est née, sans ma présence, car voyant ma mort prochaine, j’ai pris mon sac de sport faisant croire que j’allais à une soirée foot.
J’aurais bien été incapable de courir après un ballon.
Mesdames, je fais du stop le long d’une nationale près de Toulouse.
Si vous me voyez, prenez-moi avec une seule obligation, laissez ma braguette tranquille.
On verra dans quelques semaines, si je m’intéresse encore à vos petits culs.
Attention, cela vos pour vous, messieurs qui vous dites, il en a mare de la gent féminine.
Un tel serial niqueur pourrait-il s’intéresser à nos petits culs.
Pas de ce pain-là pour moi, les tarlouzes, j’allais dire, « je les encule. »Aucune méprise, c’est au figuré que je dis ces mots.
Bref, j’engage un tour d’Europe vers la Suède ou le Danemark.
On m’a dit que des petites blondes à la poitrine avenante, il me faudrait ça pour me remettre sur pied.
Au revoir belle-maman, à bientôt vous autres.
Je reviendrais.