COLLECTION HISTOIRE COURTE. Bloquée par la neige en montagne (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Bloquée par la neige en montagne (1/1)
• Chéri, j’ai eu du mal à te joindre le réseau semble inexistant, m’entends-tu ?
• ...Je...t,nt,ma...çaoupeupequ...t’arrive-t-il ?
• Pour moi c’est pareil, ça doit être dû à la neige qui tombe et qui doit détériorer les communications.
• Tu...os t’...arrêter, moi aussi ça coupe.
Ma...je...comp...que la...eige perturbe tout.
• Je vois une maison blanche avec des pots de fleurs sur un balcon, la neige les recouvre.
• ...Ça coupe, vaensignerner demandandaide...
Ça coupe définitivement Sonia ma jeune femme est livrée à elle même entre l’hôtel de haute altitude où elle a trouvé un emploi de réceptionniste, parlant quatre langues et notre chalet dans la vallée au pied de cette montagne.
Je pourrais situer cette région plus précisément, je peux simplement dire que c’est dans le sud des alpes.
Mais si je vous dis ou est l’hôtel et surtout cette maison blanche, une des rares choses que j’ai compris avec des pots de fleurs rempli de neige vous pourriez trouver où nous habitons.
À cette époque, de nombreux chalets gardent leur jardinière, leurs géraniums étant pendus à l’abri de la lumière dans les caves.
Au retour du printemps, les propriétaires les replantent pour une nouvelle saison de balcon fleuri évitant de folles dépenses, surtout certains vus le nombre.
Je passe une nuit cauchemardesque, je sais que de nombreuses épingles sur la route peuvent entrainer Sonia vers des moments difficiles avec en points d’orgue la mort.
Surtout que toutes les demi-heures j’appelle et que j’ai le message de laisser un message mon correspondant étant dans l’impossibilité de me joindre.
De plus Sonia est jeune conductrice et est très peu expérimentée sur ces routes de montagne, je l’ai épousée alors qu’elle venait de la capitale.
Il est dix heures le lendemain, je suis dessinateur de bandes dessinées plutôt pour adultes, ayant eu le premier prix dans cette catégorie au célèbre salon de la BD, la Bellevilloise.
Le téléphone sonne.
• Mon chéri, je suis remontée à mon travail, ils ont passé le chasse-neige et la route est réouverte.
J’ai failli te rejoindre, mais tu sais, je viens de commencer mon travail et je tiens à le garder.
• Ou as-tu passé ta soirée et ta nuit ?
• Malgré les coupures, j’ai compris que tu voulais que je demande au couple se trouvant dans la maison blanche de m’héberger jusqu’à ce matin.
C’était un couple la cinquantaine, ils m’ont fait dîner et après je me suis couché sur un sofa devant la cheminée allumée.
J’avais bien chaud malgré le froid et après un petit déjeuner comme je te l’ai dit, je suis remontée à l’Hôtel des cimes.
Ce fut une magnifique expérience, ils m’ont dit que si de nouveau j’avais des soucis sur la route de m’arrêter.
Qui pourrait douter des dires de sa femme avec les quelques explications qu’elle me donne ?
Le soir Sonia est de retour, je la prends dans mes bras et je la cajole, tellement je suis heureux que la situation ce soit bien passé et de retrouver intact ma petite fleur.
Nous faisons l’amour, une vraie furie, elle si posé d’habitude.
Certains diront qu’elle avait certainement des choses à se faire pardonner.
C’est quinze jours plus tard que la situation va évoluer.
J’ai rendez-vous dans une librairie d’un village proche de l’endroit où Sonia travaille et ou doit se trouver la maison blanche.
Un peu plus haut, je prends à gauche alors que celle de droite me conduit vers l’hôtel des cimes.
Dans cette librairie je fais un moment de « dédicace » de mon livre.
J’ai peu de monde, les histoires érotiques dans ces régions existent, mais elles se pratiquent dans les alcôves sans grande publicité.
Comme l’on dit, en montant, j’ai vu la maison blanche sans neige, elle a fondu dès le lendemain.
Il y a une pâtisserie, j’achète une boîte de chocolats fait maison, ces gens qui ont pris soin de Sonia, la mérite largement.
Porte close, j’ai beau frappé, je trouve porte close, je vais pour repartir, pensant offrir les chocolats à Sonia dès son retour ce soir.
Inutile de lui dire que c’est à d’autres qu’ils étaient destinés, une belle boîte de chocolats pour ma femme ça entretient l’amitié, ici je devrais dire l’amour.
J’allais redémarrer lorsque je vois dans le jardin de la maison voisine un pecnot avec son béret et sa clope au coin des lèvres.
Il est appuyé sur une bêche me regardant.
• Pardon, brave homme, savez-vous quand le couple de cette maison sera de retour ?
Il soulève son béret, se gratte la tête.
• Mon petit monsieur, un couple, non, un jeune homme qui tient le remonte-pente au sommet de la montagne, là ou il y a de la neige.
• Vous êtes sûr qu’il est seul !
• Disons que oui et non, vous vous souvenez de la tempête de neige, une quinzaine en arrière !
• Oui, ma femme a été bloquée pour redescendre, elle travaille à l’hôtel des cimes.
• Je regardais la neige tomber, ça faisait deux ans qu’à notre hauteur j’en voyais, ça me manquait, depuis tout petit j’ai adoré regarder la neige tombée.
La voiture de Franck mon voisin était là ou est la vôtre quand est arrivée une autre voiture avec une dame rousse, une blanche avec une portière bleu claire.
Je reconnais là la voiture de Sonia, en manoeuvrant, elle a enfoncé sa portière et un pote, a été dans une casse m’en récupérer une, son modèle étant ancien, nous avons rendez-vous pour la faire repeindre.
• Elle a frappé pour être dépannée à cause de la neige !
• Vous la connaissez, pourquoi toutes ces questions ?
• Non, soyez sans crainte, j’ai dû me tromper de maison.
• Surtout que la rouquine elle a embrassé mon voisin, ils avaient l’air de se connaitre.
D’ailleurs, elle est revenue, il y a à peine deux jours, j’étais là où je suis à préparer la terre pour planter mes patates de printemps.
Elle lui est tombée dans les bras et ils se sont encore enlacés, ça semblait fougueux, ça m’a fait penser au temps où Jeanne était de ce monde et je me suis mis à, vous voyez ce que je veux dire.
Fougueux, mais rapide, je finissais ce carré que vous voyez là lorsque trois quarts d’heure plus tard, ils sont ressortis et la dame est repartie avec sa voiture.
Je suis sur de ce qu’ils ont fait, la dame avait un chignon en arrivant, ses cheveux en cascade m’ont fait penser que... vous voyez ce que je veux dire.
« Mon chéri, je suis en retard, une vieille femme de ménage de l’hôtel partait en retraite et j’ai été obligé, bien que ce soit la première fois que je la voyais de rester avec le reste du personnel.
Au bout de trois quarts d’heure, j’ai réussi à m’éclipser et me voilà mon amour. »
Sans qu’elle prenne de douche, je l’ai baisée, pauvre con que je suis.
J’espère que chez ce salop de Franck, elle s’est lavé la chatte et qu’il avait mis une capote, sinon j’ai trempé ma queue dans le sperme de ce salopard qui plus est a fait un gosse à ma femme.
Cocu, je suis cocu, c’est deux jours plus tard que je décide de notre avenir.
• Chérie, met ta robe blanche fendue qui t’empêche de mettre une petite culotte, avec ton manteau en peau de castor, ce soir nous sortons.
• Mon chéri, tu t’es souvenue qu’aujourd’hui est l’anniversaire de notre rencontre et tu m’emmènes au restaurant, je t’aime mon amour.
Je t’aime, mais tu te fais baiser qui plus est à plusieurs reprises par un autre, non pas un simple accident.
• Chéri, pourquoi t’arrêtes-tu devant cette maison blanche ?
• Regarde sur le siège arrière, il y a une boîte de chocolats, nous allons l’offrir au couple qui t’a hébergé dans ta nuit de perdition.
Sonia s’exécute devant penser que quelque chose clochait, elle a un regard anxieux.
• Bonjours Franck, c’est la première fois que l’on se voit, mais tu connais Sonia, entrons, je sens la bonne chaleur de ta cheminée allumée où les buches crépitent.
Tu vas me montrer comment tu baise ma femme !
• ...Je...t,nt,ma...çaoupeupequ...t’arrive-t-il ?
• Pour moi c’est pareil, ça doit être dû à la neige qui tombe et qui doit détériorer les communications.
• Tu...os t’...arrêter, moi aussi ça coupe.
Ma...je...comp...que la...eige perturbe tout.
• Je vois une maison blanche avec des pots de fleurs sur un balcon, la neige les recouvre.
• ...Ça coupe, vaensignerner demandandaide...
Ça coupe définitivement Sonia ma jeune femme est livrée à elle même entre l’hôtel de haute altitude où elle a trouvé un emploi de réceptionniste, parlant quatre langues et notre chalet dans la vallée au pied de cette montagne.
Je pourrais situer cette région plus précisément, je peux simplement dire que c’est dans le sud des alpes.
Mais si je vous dis ou est l’hôtel et surtout cette maison blanche, une des rares choses que j’ai compris avec des pots de fleurs rempli de neige vous pourriez trouver où nous habitons.
À cette époque, de nombreux chalets gardent leur jardinière, leurs géraniums étant pendus à l’abri de la lumière dans les caves.
Au retour du printemps, les propriétaires les replantent pour une nouvelle saison de balcon fleuri évitant de folles dépenses, surtout certains vus le nombre.
Je passe une nuit cauchemardesque, je sais que de nombreuses épingles sur la route peuvent entrainer Sonia vers des moments difficiles avec en points d’orgue la mort.
Surtout que toutes les demi-heures j’appelle et que j’ai le message de laisser un message mon correspondant étant dans l’impossibilité de me joindre.
De plus Sonia est jeune conductrice et est très peu expérimentée sur ces routes de montagne, je l’ai épousée alors qu’elle venait de la capitale.
Il est dix heures le lendemain, je suis dessinateur de bandes dessinées plutôt pour adultes, ayant eu le premier prix dans cette catégorie au célèbre salon de la BD, la Bellevilloise.
Le téléphone sonne.
• Mon chéri, je suis remontée à mon travail, ils ont passé le chasse-neige et la route est réouverte.
J’ai failli te rejoindre, mais tu sais, je viens de commencer mon travail et je tiens à le garder.
• Ou as-tu passé ta soirée et ta nuit ?
• Malgré les coupures, j’ai compris que tu voulais que je demande au couple se trouvant dans la maison blanche de m’héberger jusqu’à ce matin.
C’était un couple la cinquantaine, ils m’ont fait dîner et après je me suis couché sur un sofa devant la cheminée allumée.
J’avais bien chaud malgré le froid et après un petit déjeuner comme je te l’ai dit, je suis remontée à l’Hôtel des cimes.
Ce fut une magnifique expérience, ils m’ont dit que si de nouveau j’avais des soucis sur la route de m’arrêter.
Qui pourrait douter des dires de sa femme avec les quelques explications qu’elle me donne ?
Le soir Sonia est de retour, je la prends dans mes bras et je la cajole, tellement je suis heureux que la situation ce soit bien passé et de retrouver intact ma petite fleur.
Nous faisons l’amour, une vraie furie, elle si posé d’habitude.
Certains diront qu’elle avait certainement des choses à se faire pardonner.
C’est quinze jours plus tard que la situation va évoluer.
J’ai rendez-vous dans une librairie d’un village proche de l’endroit où Sonia travaille et ou doit se trouver la maison blanche.
Un peu plus haut, je prends à gauche alors que celle de droite me conduit vers l’hôtel des cimes.
Dans cette librairie je fais un moment de « dédicace » de mon livre.
J’ai peu de monde, les histoires érotiques dans ces régions existent, mais elles se pratiquent dans les alcôves sans grande publicité.
Comme l’on dit, en montant, j’ai vu la maison blanche sans neige, elle a fondu dès le lendemain.
Il y a une pâtisserie, j’achète une boîte de chocolats fait maison, ces gens qui ont pris soin de Sonia, la mérite largement.
Porte close, j’ai beau frappé, je trouve porte close, je vais pour repartir, pensant offrir les chocolats à Sonia dès son retour ce soir.
Inutile de lui dire que c’est à d’autres qu’ils étaient destinés, une belle boîte de chocolats pour ma femme ça entretient l’amitié, ici je devrais dire l’amour.
J’allais redémarrer lorsque je vois dans le jardin de la maison voisine un pecnot avec son béret et sa clope au coin des lèvres.
Il est appuyé sur une bêche me regardant.
• Pardon, brave homme, savez-vous quand le couple de cette maison sera de retour ?
Il soulève son béret, se gratte la tête.
• Mon petit monsieur, un couple, non, un jeune homme qui tient le remonte-pente au sommet de la montagne, là ou il y a de la neige.
• Vous êtes sûr qu’il est seul !
• Disons que oui et non, vous vous souvenez de la tempête de neige, une quinzaine en arrière !
• Oui, ma femme a été bloquée pour redescendre, elle travaille à l’hôtel des cimes.
• Je regardais la neige tomber, ça faisait deux ans qu’à notre hauteur j’en voyais, ça me manquait, depuis tout petit j’ai adoré regarder la neige tombée.
La voiture de Franck mon voisin était là ou est la vôtre quand est arrivée une autre voiture avec une dame rousse, une blanche avec une portière bleu claire.
Je reconnais là la voiture de Sonia, en manoeuvrant, elle a enfoncé sa portière et un pote, a été dans une casse m’en récupérer une, son modèle étant ancien, nous avons rendez-vous pour la faire repeindre.
• Elle a frappé pour être dépannée à cause de la neige !
• Vous la connaissez, pourquoi toutes ces questions ?
• Non, soyez sans crainte, j’ai dû me tromper de maison.
• Surtout que la rouquine elle a embrassé mon voisin, ils avaient l’air de se connaitre.
D’ailleurs, elle est revenue, il y a à peine deux jours, j’étais là où je suis à préparer la terre pour planter mes patates de printemps.
Elle lui est tombée dans les bras et ils se sont encore enlacés, ça semblait fougueux, ça m’a fait penser au temps où Jeanne était de ce monde et je me suis mis à, vous voyez ce que je veux dire.
Fougueux, mais rapide, je finissais ce carré que vous voyez là lorsque trois quarts d’heure plus tard, ils sont ressortis et la dame est repartie avec sa voiture.
Je suis sur de ce qu’ils ont fait, la dame avait un chignon en arrivant, ses cheveux en cascade m’ont fait penser que... vous voyez ce que je veux dire.
« Mon chéri, je suis en retard, une vieille femme de ménage de l’hôtel partait en retraite et j’ai été obligé, bien que ce soit la première fois que je la voyais de rester avec le reste du personnel.
Au bout de trois quarts d’heure, j’ai réussi à m’éclipser et me voilà mon amour. »
Sans qu’elle prenne de douche, je l’ai baisée, pauvre con que je suis.
J’espère que chez ce salop de Franck, elle s’est lavé la chatte et qu’il avait mis une capote, sinon j’ai trempé ma queue dans le sperme de ce salopard qui plus est a fait un gosse à ma femme.
Cocu, je suis cocu, c’est deux jours plus tard que je décide de notre avenir.
• Chérie, met ta robe blanche fendue qui t’empêche de mettre une petite culotte, avec ton manteau en peau de castor, ce soir nous sortons.
• Mon chéri, tu t’es souvenue qu’aujourd’hui est l’anniversaire de notre rencontre et tu m’emmènes au restaurant, je t’aime mon amour.
Je t’aime, mais tu te fais baiser qui plus est à plusieurs reprises par un autre, non pas un simple accident.
• Chéri, pourquoi t’arrêtes-tu devant cette maison blanche ?
• Regarde sur le siège arrière, il y a une boîte de chocolats, nous allons l’offrir au couple qui t’a hébergé dans ta nuit de perdition.
Sonia s’exécute devant penser que quelque chose clochait, elle a un regard anxieux.
• Bonjours Franck, c’est la première fois que l’on se voit, mais tu connais Sonia, entrons, je sens la bonne chaleur de ta cheminée allumée où les buches crépitent.
Tu vas me montrer comment tu baise ma femme !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une belle histoire qui nous laisse en attente, tu aimes bien nous faire saliver avant de connaître la suite....
Merci Chris
Cyrille
Merci Chris
Cyrille
demain uned autre histoire en 1/1 et le 19 la suite la chipie
C’est tout !!! 😔
Elle doit être punie pour avoir pris son mari pour 1 con. 😈
Et la suite de l’autre série arrive quand ?
La chipie
Elle doit être punie pour avoir pris son mari pour 1 con. 😈
Et la suite de l’autre série arrive quand ?
La chipie