COLLECTION HISTOIRE COURTE. Bouboule (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Bouboule (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Bouboule (1/1)
• Merci Parfait, Georgette ta maman t’a dit que j’avais besoin de tes gros bras !
• Gros ventre, madame Claude, mes bras sont en rapport du reste de mon corps.
Même maman depuis que je suis petit, m’appelle, son petit « Bouboule ».
Bouboule, par-ci, bouboule par là, bouboule, ça c’est parfait pour une fois.
Ce « ça c’est parfait, » là c’est le sommet, bouboule et parfait dans une même phrase, c’est le bouquet madame Claude.
• Je vois Parfait, tu souffres de ton embonpoint comme moi, je souffrais de mon strabisme divergeant lorsque j’étais petite.
Toi c’est « Bouboule, » moi c’était « Neunoeil» ou « la borgne ».
On me demandait souvent lorsque je tournais à droite si c’était à gauche que je voulais aller.
Je me suis fait opérer, depuis ces sobriquets sont tombés aux oubliettes.
• Je pourrais me faire opérer et me faire poser un anneau gastrique, mais je suis trop jeune.
Aujourd’hui, j’ai 18 ans.
• C’est vrai, j’avais oublié, majeur ça se fête.
Viens, je vais te montrer le meuble à déplacer à mon âge, ça m’est devenu impossible.
Après j’irai chercher la bouteille de champagne que ma fille m’a offerte pour Noël, elle voulait que je la boive pour mes 50 ans le mois prochain.
• Vous aussi, madame Claude vous êtes née un 9, ce sont les meilleurs.
• Oui, mais moi avec de nombreuses années de différence.

Il pousse mon meuble, que j’avais préalablement vidé sur la table de la salle.
Lorsque je vais tout ranger, je vais faire du tri, je ferai ça lorsqu’il m’aura quitté.
C’est fou ce que l’on peut accumuler au fil d’une longue vie.
Je vais chercher la bouteille de champagne.

• Assois-toi sur ce canapé afin que nous trinquions.
J’ai mis quelques petites gaufrettes sur cette assiette.
• Des gâteaux, si vous me prenez par les sentiments.

Je me sens obligée à faire la conversation, il est vraiment timide malgré le nombre d’années que nous sommes voisins.

• Fais sauter le bouchon, ça porte bonheur.

Du champagne gicle jusque sur moi.
J’ai amené un torchon, il le prend et dans le mouvement m’essuie la poitrine.

Depuis combien de temps mes seins ont-ils été sevrés de caresses.
Depuis la mort de mon cher Louis il y a deux ans.
Il doit se rendre compte de ce qu’il fait, car il se met à rougir.

• Et dis-moi, avec les filles, c’est comment.
• Vous vous moquez madame Claude, regardez comme je suis fait.
Pour les filles, je suis le bon copain, mais dès que je les approche, on dirait que je sens mauvais.
• Tu sens très bon, il est vrai que tu es un peu en surpoids comme il est dit à notre époque.
Mais je suis sûre qu’avec une bonne prise en main, ça pourrait s’arranger.
Hier je t’ai vu entrer au mac Do du pont de Bourgogne.
• Je sais, mais c’est plus fort que moi, j’adore cette nourriture.

J’ai un geste vers lui qu’il doit mal interpréter, il essaye de m’embrasser.
Deux solutions s’offrent à moi, le rembarrer au risque de le frustrer jusqu’à la fin de sa vie, ou la deuxième que je m’empresse de mettre en pratique.
Ma main sur son sexe, au travers de son pantalon de survêtements.
Plus de deux ans qu’un bel engin m’est refusé depuis la mort de Louis.
Autant d’années avec le même homme.
Autant d’années depuis mes vingt ans avec ce seul homme.
Eh oui, alors que je sors la queue de ce jeune homme, je me souviens de mon dépucelage, de mon mariage, oui dans cet ordre.
Et la naissance de ma fille deux ans plus tard.
À part ma faute avant notre mariage, pas une ombre bien que j’ai souvent été draguée.
Je reste belle fille, non, belle femme à mon âge et j’ai toujours répondu présente aux sollicitations de mon mari.
Bien sûr, dans sa dernière année, j’ai appris à rester sage à cause de sa maladie.
Deux ans de veuvage, lorsque je la prends dans ma bouche constatant que ce que j’avais sentie est un morceau hors du commun.
Je le suce sans le moindre scrupule.

• Oh, madame Claude, vous me faite du bien, votre bouche est divine.
Je rêve toutes les nuits qu’un jour on me sucerait.

Je crache le morceau, de sexe, pas de mes pensées.

• Tu dois rêver à de jeunes filles, pas à une vieille saucisse comme moi.
• Oh ! madame Claude, vous vous trompez, depuis que je sais bander, c’est toujours à vous que je pense.
• Tu me flattes, Parfait, toi tu as une idée derrière la tête !
• Vous risqueriez d’être fâchés !
• Pourquoi serais-je fâchée, tu me ramènes au temps de ma jeunesse.
C’est flatteur, aimes-tu te faire sucer.

Je le masturbe, comme je le faisais avec Louis.
La différence, c’est que ses boules sont plus près de celle de pétanques que de balles de ping-pong et que dire de la longueur, il rend presque dix centimètres à Louis.

• Si on m’avait dit en me levant ce matin que je masturberais et que je sucerais un jeune garçon, j’aurais dit que la folie avait gagné celui qui me l’aurait prédit.
Viens dans ma chambre, à mon âge, des galipettes sur un canapé mieux vaut éviter.

Au fur et à mesure qu’il avance, Parfait laisse derrière lui un vêtement.
Quand il a sonné, je sortais de mon bain et je me suis couverte de mon peignoir, il a juste à détacher ma ceinture.

• Donne-moi ta langue, j’adore quand tu m’embrasses, tu vas plaire.

Je devrais éviter de comparer ce que je fais à Louis, mais le manque d’expérience de sexes différents dans ma vie, m’oblige à le faire.
Louis s’était deux ou trois allés et retours sur sa verge, il bandait toujours rapidement et suivant son humeur, en levrette ou à la missionnaire, jamais de variante.
Sa langue dans ma bouche, seulement la fois ou il voulait me faire craquer, après nada.
En même temps qu’il m’embrasse fougueusement mon corps collé au sien, sa main part en reconnaissance.
Un doigt me pénètre, je sens ma cyprine couler le long de mes jambes.
Là encore, c’est la première fois qu’un doigt est en moi, comme je l’ai dit, pour Louis, tous ces préliminaires s’étaient du temps perdu afin qu’il atteigne son plaisir.
Le mien je le prenais à l’arraché lorsqu’il me pénétrait et qu’il éjaculait.
Parfait voulait-il prendre du plaisir pour sa première fois ou souhaite-t-il que moi aussi j’en ai ?
Il le voudrait qu’il agirait certainement pareil.
Embrassée et doigtée, c’est divin, je sens quelque chose de nouveau en moi, mon sexe s’échauffe comme jamais.
Il me pousse toujours en métrisant nos corps me faisant tomber sur mon lit.
Il glisse le long de mon corps et lorsque j’écarte mes cuisses impudiquement, je prends sa tête à deux mains pour qu’il reste à me faire ce qu’il me fait.
Sa langue a changé de cible, c’est ma chatte et mon clito qu’il suce méthodiquement.
Il doit y avoir tromperie sur la marchandise, impossible qu’un jeune garçon sache aussi bien satisfaire les désirs secrets d’une femme.
On dirait qu’il connaît tous mes fantasmes et les efface les uns après les autres.
Le feu dans mon ventre se transforme en une grosse boule qui va me submerger.
C’est la première fois qu’elle éclate simplement sous les caresses de la langue de celui que je refuse à appeler par son sobriquet.
Parfait est parfait dans son rôle d’amant, mais est encore plus efficace lorsqu’il se redresse avant de venir me prendre sans aucune difficulté tellement je suis ruisselante.
Ça fait dix minutes qu’il me pénètre, la boule a déjà éclaté dans un orgasme extraordinaire.
Je suis en eau quand il me fait changer de position.
En levrette, encore un fantasme que j’avais quand Laurette mon amie, hélas, disparue m’en parlait.
Elle adorait parler de sexe et aussi le faire, même avec Louis une seule fois à ce qu’il m’a avoué sur son lit de mort.
Mais assez pensé aux autres, pensons à moi, non à nous.

• Continu, tu es fou tu veux ma mort !
• Tu veux que j’arrête.
• Ah, ah, ouiiiiiiiiii.

Là où je pars, les « i » de oui sont interminables au moment où tout mon corps s’embrase.
J’ignorais que l’on pouvait avoir un orgasme aussi fort, dire que c’est à la fin de ma vie qu’un homme me fait goutter à tous le plaisir d’être prise comme une bête.

Ça fait plusieurs mois que je m’offre à Parfait.
C’est facile, il est entré en fac qui est voisine de nos maisons.
Il veut devenir nutritionniste.

• Que m’as-tu fait à manger aujourd’hui ?

Depuis que c’est moi qui lui fais à manger, il a perdu 34 kilos.
Sport en chambre chaque fois que nous le pouvons.
En chambre ou ailleurs aujourd’hui c’est dans la cuisine lorsqu’il m’aide à débarrasser, il a un cours à 15 heures, on a du temps.
À 14 heures, nous devons aller dans le centre-ville avant ce cours pour lui acheter de nouveau pantalon, il est revenu en taille 50.
Qu’en dit Georgette, sa maman ?
Rien, elle travaille à l’hôpital comme infirmière en réanimation et doit assumer des heures pendant la pandémie.
Elle ignore que je suis la maîtresse de son fils, mais sait que je le fais manger et est à l’origine de sa perte de poids.

De plus, comme je lui ai proposé de le faire, il est en âge de connaître des filles plus jeunes que moi ce qu’il fait sans en abuser depuis qu’il fréquente Aurélie une jeune femme qui prépare médecine.

• Oui, Aurélie, je te veux pour épouse.

Lorsqu’il se marie, Parfait pèse 58 kilos pour 1 mètre 60.
Il faisait plus de 100 lorsque je l’ai pris en main.
Je suis témoin de celui qu’aucune personne même sa femme sait que nous sommes amant.
Parfait me fait danser, je mouille dans ces bras, tellement je suis collée à lui.

• Claude, dès la fin de notre voyage de noces, je viens manger chez toi.
Aurélie est d’accord, ses études l’accaparent et en plus la cuisine et elle ça fait deux.
Bien sûr, quand j’en ai pour une, j’en ai pour deux Claude.

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