COLLECTION HISTOIRE COURTE. Canicule et piscine (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Canicule et piscine (1/1)
Canicule, ils avaient beau l’annoncer partout surtout après l’épisode de 2003 où des dizaines de personnes étaient parties pour un monde dit meilleur.
C’est surprenant, mais lorsque l’on est en plein dedans, c’est dur à vivre.
Hier j’ai très mal dormi.
Je sentais Sandra être dans le même état que moi, dégoulinante.
En période normal, je lui aurais fait l’amour, surtout que la lune éclairait sa chatte épilée.
Je bandais simplement à l’évocation de ce que j’aurais pu lui faire, mais la chaleur m’a refroidi de l’entreprendre.
J’ai fini par débander et m’endormir, du moins somnoler.
Ce soir, rebelotte, chaud toute la journée et aussi chaud la nuit.
Je finis par me lever pour aller boire un coup à la cuisine dans le frigo.
Notre maison est équipée de volets roulants commandés par des boutons sur le côté.
J’appuie, ils s’ouvrent.
Je suis assez loin de notre chambre pour éviter de la déranger, je sors.
Notre maison est de plain-pied entouré d’une pelouse que je tonds systématiquement chaque samedi même par temps de pluie.
Je suis amoureux de ma femme, mais aussi de mon herbe verte que j’entretiens religieusement.
Malgré la chaleur, fouler ce tapis vert digne de celui du Parc des Princes, stade de foot, pieds nus est un régal.
La terrasse était encore chaude, l’herbe est légèrement froide, c’est très agréable.
Mes pas m’entrainent vers l’arrière de la maison.
Je contourne un massif, c’est à ce moment que je prends conscience que je me promène nu dans mon jardin.
Mais qui pourrait me voir.
C’est à ce moment que j’entends un clapotis d’eau.
C’est la chute de l’eau de la fontaine cascade de la piscine de Marie et Steve nos jeunes voisins.
La commune ou nous avons construit à une obligation de clôture à moins d’un mètre vingt.
Muret plus grillage.
Une indicible envie de me baigner me saisi.
L’eau doit être divine sur mon corps surchauffé.
Tout est calme dans le pavillon de nos voisins.
S’ils me surprennent, je m’excuserais et je les inviterais à un barbecue arrosé au rosé de Provence, le week-end prochain.
Rien de tel pour sceller l’amitié
Je prends très peu de risques, surtout que je les ai vus une fois depuis leur arrivée, lui est beau gosse et elle, carrément bandante.
Je suis assez bien conservé pour mes presque quarante ans, c’est sans aucun problème que je franchis cette hauteur.
Je cours jusqu’au bassin et je plonge afin d’être caché le plus vite possible des regards.
Immédiatement l’eau sur mon corps me donne une sensation de fraicheur tellement recherchée.
Lorsque j’ai plongé, avec cette course, je prends conscience que je franchirais la quinzaine de mètres en une fraction de seconde.
J’ai le réflexe de tendre la main afin d’éviter de me fracasser la tête sur le rebord.
Au lieu du bord de la piscine, c’est un objet mou, mais dur que j’attrape.
Mou, car un corps humain est un peu mou et dur, car le sein de Marie encore légèrement juvénile est très dur.
J’ai pied je me stabilise, relâchant ce sein que je sais être à Steve.
• Alors voisin, c’est comme ça que l’on fait la cour à une dame en la pelotant dans le noir.
Il faut que je reconnaisse que cela a été fort agréable.
Hélas, le manque de lune m’empêche de vous voir.
La stupeur de m’apercevoir que la propriétaire de la piscine est là ayant eue la même idée que moi, une fraction de seconde, je bois la tasse.
Je préfère l’anisette ou le rosé avec des glaçons.
Reprenant pied, je crache l'eau avalée.
• Marie, ou se trouve Steve !
• J’ai évité de le crier sur les toits, Steve m’a quitté il y a plus d’une semaine, je suis seule dans ma maison.
• Il t’a trompé.
Je me rends compte que je viens de la tutoyer.
• Si je te disais avec qui il est parti, tu serais étonné.
• Trop chaud malgré l’eau qui nous entoure, dit moi.
• Julien son copain, j’ignorais que Steve aimait les hommes.
Insidieusement est-ce l’eau qui me porte, Marie se rapproche de moi.
Elle fait la grenouille, moi aussi.
Qui d’elle ou de moi réduit la distance ?
Ce qui est certain, c’est que ses seins sont de nouveau à porter de ma main.
Pourquoi se priver ce coup-ci de l’empoigner sans sentir la moindre résistance ?
Ses seins sont deux fois plus gros que ceux de Sandra, à la différence plus vieille, ils sont très fermes alors que ceux de ma femme commencent à ressentir l’attraction terrestre.
Sa bouche trouve la mienne, ses bras entourent mon cou et je sens son bas-ventre s’appuyer sur le mien.
À quelle température peut être l’eau de la piscine qui a été chauffée depuis trois jours avec des chaleurs à plus de 50 au soleil.
30°, pourtant sans qu’elle ait besoin de me toucher, je bande comme je bandais dans notre chambre.
Quand dans un mouvement de son bassin s’aidant de ses bras elle s’empale sur ma verge.
Une petite pensée pour celle qui dort à quelques mètres d’ici et que je trompe sans l’avoir prémédité, simplement par l’appel de la fraicheur de l’eau me rattrape.
Je place mes mains sous ses fesses, elles aussi très fermes et la soulevant pour la faire retomber, je sens du fond d’elle le plaisir qui monte.
J’étais en manque ayant hésité à réveiller celle à qui je fais porter des cornes.
Mon sperme gicle en elle au moment où son orgasme transperce ma bouche.
J’ai peur d’avoir réveillé ma douce.
Une nouvelle fois, c’est moi qui culpabilise, en pensant à « ma douce ».
Une douce on évite de la tromper, mais le mal est fait, il va falloir que j’assume.
Nous nageons, pardon, nous barbottons la chaleur malgré la nuit étant toujours là.
• Christian ou es-tu ?
Merde Sandra, elle me cherche.
• Marie cache-toi le long du bord, afin d’éviter que ma femme puisse me trouver.
Elle le fait c’est sympa, elle aurait pu dire que nous étions là me mettant dans un grand embarras.
• Je suis là ma douce, il faisait chaud, je suis venu profiter de la piscine de nos voisins.
• Tu es fou, s’ils appellent la police.
• On s’excusera, viens me rejoindre l’eau est divine dans cette lourdeur de la nuit.
• Par où es-tu passé, tu as trouvé une porte.
C’est là que je m’aperçois grâce à la lune qui vient de ce lever pendant que je baisais Marie qu’elle est magnifiquement nue.
Marie à mon côté me susurre.
• Dis-lui de venir par notre portillon extérieur, qui est dehors à cette heure ?
Je transmets la suggestion, Sandra me suit et je la vois disparaître le coin de notre maison.
• Je vous laisse, amusez-vous bien, merci pour le plaisir que tu m’as donné, j’étais vraiment en manque.
Souplement elle saute sur le rebord et en courant part vers la porte donnant sur son jardin.
• Chéri on est fous, si le jeune homme vient avec un fusil.
• J’ai discuté avec lui l’autre jour, nous nous sommes présentés, il est pacifiste.
Elle saute dans l’eau, je la reçois dans mes bras.
Pas de chance, elle aussi est en manque et vient dans mes bras pour que je l’honore.
Où sont mes vingt ans, je sens que ma queue fait triste mine ?
Il me faut trouver un motif !
• C’est l’eau froide bébé.
• Elle est aussi chaude que notre douche, pourtant souvent tu me prends à me faire hurler de plaisir.
Que dire à ça ?
• Alors, on vient baiser dans la piscine des voisins.
• Excusez, c’était trop tentant.
C’est Marie qui revient toujours aussi nue.
Elle saute, elle aussi dans l’eau arrivant dans les bras de ma femme qui la reçoit.
• Et moi, j’ai aussi le droit à un peu de plaisir.
Une lesbienne, Sandra est une lesbienne quand les deux femmes s’embrassent comme je viens de le faire avec Marie.
Je m’attends à ce que ma douce se rebelle, mais elle est réellement en manque, je vois que très rapidement elle se caresse malgré l’eau.
Je rebande, je viens derrière ma femme et je la plante d’une seule poussée.
Rapidement elle jouit sous les doigts et la bouche de ma maîtresse.
Nous retournons sur le bord de la piscine.
Eh ! oui, je refais l’amour à Anne qui vient d’expliquer sa solitude.
Elle nous explique que son mari l'a lâché et qu’elle est seule.
Je fais celui qui découvre ce fait.
Je la prends dans mes bras en même temps que Sandra.
Il y a des mois que nous faisons ménage à trois.
C’est un peu fatigant non pas sexuellement, elles savent se donner du plaisir, moi les regardant.
Le plus gros problème dans notre situation, c’est que c’est moi qui en plus de mon travail se voit obligé d’entretenir les deux pavillons.
Nous couchons soit chez elle soit chez nous.
Pour l’été prochain, j’ai posé un portillon entre nos jardins, nous allons pouvoir prendre nos bains à trois.
Cet hiver, nous le faisons déjà dans la salle de bains que j’ai fait aménager avec une baignoire Jacuzzi.
C’est très souvent que je saute l’une ou l’autre sous la douche.
Que demande de plus un homme ?
Rien simplement que la canicule soit aussi intense l’été prochain.
C’est surprenant, mais lorsque l’on est en plein dedans, c’est dur à vivre.
Hier j’ai très mal dormi.
Je sentais Sandra être dans le même état que moi, dégoulinante.
En période normal, je lui aurais fait l’amour, surtout que la lune éclairait sa chatte épilée.
Je bandais simplement à l’évocation de ce que j’aurais pu lui faire, mais la chaleur m’a refroidi de l’entreprendre.
J’ai fini par débander et m’endormir, du moins somnoler.
Ce soir, rebelotte, chaud toute la journée et aussi chaud la nuit.
Je finis par me lever pour aller boire un coup à la cuisine dans le frigo.
Notre maison est équipée de volets roulants commandés par des boutons sur le côté.
J’appuie, ils s’ouvrent.
Je suis assez loin de notre chambre pour éviter de la déranger, je sors.
Notre maison est de plain-pied entouré d’une pelouse que je tonds systématiquement chaque samedi même par temps de pluie.
Je suis amoureux de ma femme, mais aussi de mon herbe verte que j’entretiens religieusement.
Malgré la chaleur, fouler ce tapis vert digne de celui du Parc des Princes, stade de foot, pieds nus est un régal.
La terrasse était encore chaude, l’herbe est légèrement froide, c’est très agréable.
Mes pas m’entrainent vers l’arrière de la maison.
Je contourne un massif, c’est à ce moment que je prends conscience que je me promène nu dans mon jardin.
Mais qui pourrait me voir.
C’est à ce moment que j’entends un clapotis d’eau.
C’est la chute de l’eau de la fontaine cascade de la piscine de Marie et Steve nos jeunes voisins.
La commune ou nous avons construit à une obligation de clôture à moins d’un mètre vingt.
Muret plus grillage.
Une indicible envie de me baigner me saisi.
L’eau doit être divine sur mon corps surchauffé.
Tout est calme dans le pavillon de nos voisins.
S’ils me surprennent, je m’excuserais et je les inviterais à un barbecue arrosé au rosé de Provence, le week-end prochain.
Rien de tel pour sceller l’amitié
Je prends très peu de risques, surtout que je les ai vus une fois depuis leur arrivée, lui est beau gosse et elle, carrément bandante.
Je suis assez bien conservé pour mes presque quarante ans, c’est sans aucun problème que je franchis cette hauteur.
Je cours jusqu’au bassin et je plonge afin d’être caché le plus vite possible des regards.
Immédiatement l’eau sur mon corps me donne une sensation de fraicheur tellement recherchée.
Lorsque j’ai plongé, avec cette course, je prends conscience que je franchirais la quinzaine de mètres en une fraction de seconde.
J’ai le réflexe de tendre la main afin d’éviter de me fracasser la tête sur le rebord.
Au lieu du bord de la piscine, c’est un objet mou, mais dur que j’attrape.
Mou, car un corps humain est un peu mou et dur, car le sein de Marie encore légèrement juvénile est très dur.
J’ai pied je me stabilise, relâchant ce sein que je sais être à Steve.
• Alors voisin, c’est comme ça que l’on fait la cour à une dame en la pelotant dans le noir.
Il faut que je reconnaisse que cela a été fort agréable.
Hélas, le manque de lune m’empêche de vous voir.
La stupeur de m’apercevoir que la propriétaire de la piscine est là ayant eue la même idée que moi, une fraction de seconde, je bois la tasse.
Je préfère l’anisette ou le rosé avec des glaçons.
Reprenant pied, je crache l'eau avalée.
• Marie, ou se trouve Steve !
• J’ai évité de le crier sur les toits, Steve m’a quitté il y a plus d’une semaine, je suis seule dans ma maison.
• Il t’a trompé.
Je me rends compte que je viens de la tutoyer.
• Si je te disais avec qui il est parti, tu serais étonné.
• Trop chaud malgré l’eau qui nous entoure, dit moi.
• Julien son copain, j’ignorais que Steve aimait les hommes.
Insidieusement est-ce l’eau qui me porte, Marie se rapproche de moi.
Elle fait la grenouille, moi aussi.
Qui d’elle ou de moi réduit la distance ?
Ce qui est certain, c’est que ses seins sont de nouveau à porter de ma main.
Pourquoi se priver ce coup-ci de l’empoigner sans sentir la moindre résistance ?
Ses seins sont deux fois plus gros que ceux de Sandra, à la différence plus vieille, ils sont très fermes alors que ceux de ma femme commencent à ressentir l’attraction terrestre.
Sa bouche trouve la mienne, ses bras entourent mon cou et je sens son bas-ventre s’appuyer sur le mien.
À quelle température peut être l’eau de la piscine qui a été chauffée depuis trois jours avec des chaleurs à plus de 50 au soleil.
30°, pourtant sans qu’elle ait besoin de me toucher, je bande comme je bandais dans notre chambre.
Quand dans un mouvement de son bassin s’aidant de ses bras elle s’empale sur ma verge.
Une petite pensée pour celle qui dort à quelques mètres d’ici et que je trompe sans l’avoir prémédité, simplement par l’appel de la fraicheur de l’eau me rattrape.
Je place mes mains sous ses fesses, elles aussi très fermes et la soulevant pour la faire retomber, je sens du fond d’elle le plaisir qui monte.
J’étais en manque ayant hésité à réveiller celle à qui je fais porter des cornes.
Mon sperme gicle en elle au moment où son orgasme transperce ma bouche.
J’ai peur d’avoir réveillé ma douce.
Une nouvelle fois, c’est moi qui culpabilise, en pensant à « ma douce ».
Une douce on évite de la tromper, mais le mal est fait, il va falloir que j’assume.
Nous nageons, pardon, nous barbottons la chaleur malgré la nuit étant toujours là.
• Christian ou es-tu ?
Merde Sandra, elle me cherche.
• Marie cache-toi le long du bord, afin d’éviter que ma femme puisse me trouver.
Elle le fait c’est sympa, elle aurait pu dire que nous étions là me mettant dans un grand embarras.
• Je suis là ma douce, il faisait chaud, je suis venu profiter de la piscine de nos voisins.
• Tu es fou, s’ils appellent la police.
• On s’excusera, viens me rejoindre l’eau est divine dans cette lourdeur de la nuit.
• Par où es-tu passé, tu as trouvé une porte.
C’est là que je m’aperçois grâce à la lune qui vient de ce lever pendant que je baisais Marie qu’elle est magnifiquement nue.
Marie à mon côté me susurre.
• Dis-lui de venir par notre portillon extérieur, qui est dehors à cette heure ?
Je transmets la suggestion, Sandra me suit et je la vois disparaître le coin de notre maison.
• Je vous laisse, amusez-vous bien, merci pour le plaisir que tu m’as donné, j’étais vraiment en manque.
Souplement elle saute sur le rebord et en courant part vers la porte donnant sur son jardin.
• Chéri on est fous, si le jeune homme vient avec un fusil.
• J’ai discuté avec lui l’autre jour, nous nous sommes présentés, il est pacifiste.
Elle saute dans l’eau, je la reçois dans mes bras.
Pas de chance, elle aussi est en manque et vient dans mes bras pour que je l’honore.
Où sont mes vingt ans, je sens que ma queue fait triste mine ?
Il me faut trouver un motif !
• C’est l’eau froide bébé.
• Elle est aussi chaude que notre douche, pourtant souvent tu me prends à me faire hurler de plaisir.
Que dire à ça ?
• Alors, on vient baiser dans la piscine des voisins.
• Excusez, c’était trop tentant.
C’est Marie qui revient toujours aussi nue.
Elle saute, elle aussi dans l’eau arrivant dans les bras de ma femme qui la reçoit.
• Et moi, j’ai aussi le droit à un peu de plaisir.
Une lesbienne, Sandra est une lesbienne quand les deux femmes s’embrassent comme je viens de le faire avec Marie.
Je m’attends à ce que ma douce se rebelle, mais elle est réellement en manque, je vois que très rapidement elle se caresse malgré l’eau.
Je rebande, je viens derrière ma femme et je la plante d’une seule poussée.
Rapidement elle jouit sous les doigts et la bouche de ma maîtresse.
Nous retournons sur le bord de la piscine.
Eh ! oui, je refais l’amour à Anne qui vient d’expliquer sa solitude.
Elle nous explique que son mari l'a lâché et qu’elle est seule.
Je fais celui qui découvre ce fait.
Je la prends dans mes bras en même temps que Sandra.
Il y a des mois que nous faisons ménage à trois.
C’est un peu fatigant non pas sexuellement, elles savent se donner du plaisir, moi les regardant.
Le plus gros problème dans notre situation, c’est que c’est moi qui en plus de mon travail se voit obligé d’entretenir les deux pavillons.
Nous couchons soit chez elle soit chez nous.
Pour l’été prochain, j’ai posé un portillon entre nos jardins, nous allons pouvoir prendre nos bains à trois.
Cet hiver, nous le faisons déjà dans la salle de bains que j’ai fait aménager avec une baignoire Jacuzzi.
C’est très souvent que je saute l’une ou l’autre sous la douche.
Que demande de plus un homme ?
Rien simplement que la canicule soit aussi intense l’été prochain.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de' ce commentaire
Normal d'être très fatigué avec TROIS femmes à satisfaire...
En tenant compte d'ANNE qui s'est glissée subrepticement dans le trouple!
RIRES
Cordialement
En tenant compte d'ANNE qui s'est glissée subrepticement dans le trouple!
RIRES
Cordialement