COLLECTION HISTOIRE COURTE. Cassette surprise (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Cassette surprise (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Cassette surprise (1/1)
• 9, 8,7, 6. 5, 4, 3, 2, 1, 0, baisez-moi.

C’est par ce compte à rebours que je fête la minute ou je suis née.
Ça exactement dix-huit ans à cinq heures cinq minutes et que l’un des cinq hommes qui sont dans mon dos sur mon lit de jeune fille me déflore.
C’est loin d’être par soumission que je suis attaché à mon lit de jeune vierge par une paire de menottes entourée de cinq gars tous plus musclés les uns que les autres.
Comment me suis-je retrouvée dans cette position et situation ?
C’est volontairement que ce décompte a lieu à partir du moment où ma mère m’a mise au monde, ce qui est entièrement de sa faute.
Mieux même de la faute de mon père et de ma mère, comment ont-ils pu faire une jolie fille comme moi alors qu’ils sont frustrés du calbute.
À part la messe du dimanche que j’ai subie depuis mon plus jeune âge faisant de moi une adolescente attendant sa majorité pour dire merde à toutes leurs façons de vivre.
C’est long d’attendre dix-huit ans pour vivre ses fantasmes.
Dans leur schéma de vie, je les ai toujours entendus tout programmé pour moi.
De, A à Z, passant par mon mariage avec ce puceau de Raoult, ce fils de bonne famille qui doit me faire un enfant pour perpétrer leur lignée et fusionner leurs patrimoines.
Il est prévu que nous nous marions en juin, mais je voulais, grâce à Internet et cette mise en scène, connaître ce que baiser veut dire dès ma majorité, m’autorisant toute liberté de vie.
Mai, cinquième mois de l’année, encore le chiffre cinq.

Quand dès la première fois, malgré la légère douleur je jouis, je suis satisfaite, la bite qui vient de me prendre, vite remplacé par une autre a été divine.
Lorsque je les ai contactés les uns après les autres, pour finir par trouver les cinq.
Je savais que mes parents partiraient en voyage comme ils le font très souvent se rendant chez la jumelle de maman tout aussi frustrée que sa sœur Lucie.
Depuis que je suis toute petite, elle venait chez nous, mais j’allais chez ma grand-mère chaque fois, comme si j’étais une pestiférée.
J’aurais pu me poser la question, pourquoi ?

Le troisième prend le relais, j’ai un peu mal, mais le plaisir fini par monter de nouveau en moi, je l’ai vu arriver, lorsqu’il se masturbait me présentant la plus grosse bite des cinq.
Malgré sa taille, il est moins résistant que les autres ou est-ce à me voir me faire pénétrer tour à tour par les deux autres qui l’ont amené à une éjaculation aussi précause.
J’ai enfin un orgasme avec le cinquième, une nouvelle fois grâce à ce chiffre porte bonheur.

Étant attachée, ayant peur au dernier moment de reculer dans ma détermination à me faire dépuceler, j’ai imaginé ce scénario qui s’est avéré fort efficace jusqu’à ce que je comprenne que l’un d’eux en avait profité pour visiter notre hôtel particulier.

• Les gars, regardez ce que j’ai trouvé dans la chambre des parents de cette jolie petite salope.

Je tourne la tête et le beau black que j’aie pourtant choisi pour sa virilité est celui qui revient certainement de la chambre de maman.
C’était le deuxième à m’avoir sauté et à ce moment, il nous montre plusieurs objets dont j’ignorais l’existence dans cette maison.
Je veux dire que j’ignorais même à quoi cela peut servir, certes pas, le gode, ni la cravache, mais une boule rouge avec deux sangles.
En plus dans sa main des CD.

• Il y en a des dizaines comme celles-là, si elles sont cachées dans le bas d’une armoire, c’est qu’elles doivent être salaces, y a-t-il un lecteur ici.
• Détachez-moi, je veux voir ce qu’il y a sur ces CD,pour le lecteur, il y en a un dans le bureau de papa.

Les garçons me détachent.
Les choses prennent une autre tournure, même si j’ai réussi à perdre ma virginité faisant la nique à Raoult, surtout que pour le bébé, la famille pourra attendre longtemps, la pilule est loin d’être faite pour les chiennes.
Surtout qu’étant majeur, je peux consulter sans rien demander à mes parents et encore moins à mon mari.
Dans le bureau, je branche la télé et je place le premier CD que mon black a descendu de l’armoire de maman.

• Vous êtes prêt le spectacle va commencer !

Je m’assieds sur les genoux d’un des cinq hommes, le black se place dans le fauteuil de papa, s’il savait qu’un homme frottait sa bite là où il met ses fesses, il serait malade, mais les images défilent.

Des arbres, ceux de notre maison de campagne en Normandie.
Ouf je suis rassuré, ce sont des images des vacances.
La caméra nous montre les différentes parties du jardin pour revenir sur la terrasse.
C’est là que ça dépare, arrêtez-moi ça.
Maman est là sur le transat où je me fais bronzer l’été.
Tante Odile entre ses jambes, sa bouche dévore la chatte maternelle.
Un piercing clitoridien est posé, qu’elle prend dans sa bouche et sur lequel elle tire avec ses dents.
J’ai mal pour maman, elle risque de l’arracher.

• Continue chérie, tu me fais du bien, attention d’éviter de me l’arracher.
• Lucien continué encore avec de grands coups de bite, vous allez me faire jouir.

J’avais bien fait d’avoir peur, maman aussi, mais est-ce vraiment ma mère et ma tante.
La caméra tourne et derrière tante Odile, Tonton Lucien est là, bien là, bien membré quand la caméra vient en gros plan entre les deux corps, il baise la sœur de maman, sont-ils ensemble sans que je le sache.
Lucien est le frère de papa, maman se gouine avec sa sœur, Lucien l’enfile, mais le meilleur reste à venir.
Je suis très émoustillée, mais le garçon sur lequel je suis assise aussi.
Je vous ai dit que je les avais choisis pour leurs muscles, j’écarte ma chatte pour qu’il vienne en moi quand il me soulève pour me laisser retomber.

• Putain les salopes, tu les connais Ange.
• La blonde, c’est ma mère, la brune, c’est sa jumelle, le gars qui baise tante Odile, c’est le frère de papa.
Papa, c’est lui qui doit filmer.

Ange, évité de rigoler, mon nom est le mien et je l’assume.
Même si je veux devenir une salope pour échapper à ce que je croyais jusqu’à aujourd’hui une famille puritaine, bloqué du cul, alors que ce que je vois me montre que je me trompe largement.

• Qui c’est celui-là, encore un nouveau, il ressemble au premier gars qui sautait ta tante.
• C’est papa, mince, il remplace son frère.

Son frère qui se lève et qui sans perdre de temps se présente à la hauteur de la bouche de maman qui le prend en main et qui l’avale.
C’est à la suite d’un nouveau travelling que papa apparaît, il bande ce qui me met mal à l’aise.
Le plaisir montant en moi, lorsque la bite me remplissant et sur laquelle je suis levée puis reposée au rythme des désirs de mon amant.
Papa prend la place de son frère à un détail près que nous donne tante Odile.

• Encule-moi, tu sais que j’adore ça, mets-moi là bien profond.

Nouveau mouvement de la caméra, la verge paternelle entre sans la moindre résistance dans l’anus de sa belle-sœur.
Dire que tous les dimanches ils vont à la messe, ce qui me faisait penser qu’ils sont sexuellement des refoulés alors que ce sont des libertins.
Au moment où la bite dans ma chatte me fait de l’effet, une question se pose, qui fait les travellings avec la caméra ?
On verra cela plus tard, il y a plus urgent, je quitte la bite et pendant que sur l’écran ce petit monde continue leur partouze, je me place en levrette devant la télé.

• Lequel de vous veut m’enculer !

Cinq cris « moi » et mes chevaliers servants se rapprochent.
Papa et maman, la bonne ou moi, peu importe qui baise qui sur l’écran, quand je regarde alors que pour mon dépucelage de mon anus, c’est mon black qui est proche de m’embrocher.
Ça fait mal, mais je comprends pourquoi tante Odile qui est ma marraine aime se faire enculer, surtout qu’une verge entre dans ma bouche comme celle de papa sur l’écran les partenaires ayant encore tourné.
Tiens, la tantine prend la caméra.
Je vois le cul certainement d’une femme, quand l’image se stabilise.
Elle s’agenouille devant mon père, pour se mettre à la sucer, je reconnais Ondine, notre bonne, et moi qui vient de parler d’elle.

Mon cul s’enflamme, première pénétration, est-ce les images qui atténuent la légère douleur, mais comme j’ai joui atteignant l’orgasme au rythme des pénétrations, les sensations sont différentes, mais je dois dire que j’adore.

• À le voilà, j’avais peur que vous soyez bloqué à Paris à votre banque.
Vous savez que sans vous, une partie de campagne pour moi est loin d’être à la hauteur de celle que vous nous fait passer !
Déshabillez-vous et venez me baiser, avec ma sœur et mon beau-frère, c’était un hors-d’œuvre.

Qui est ce nouvel arrivant que maman vouvoie ?
Je l’apprends rapidement, juste le temps que celui qui doit être un homme se dévêt.
Les verges se succèdent dans ma bouche et le sperme que mes hommes m’envoient, partent dans mes yeux.
Je passe ma main pour les dégager lorsque celui que maman attendait se retrouve dans le peu de vision que j’ai.
On a compris, sinon, c’est que nous sommes connes, c’est Raoult qui vient se mêler aux jeux familiaux.
Certaines images le reviennent en mémoire, papa, maman, la bonne, Tonton, tata, lorsque Raoul m’aura épousé, voudront-ils que je rentre dans la danse aux prochaines vacances ?
Je décide que la soirée est terminée, inutiles de regarder les autres cassettes, elles doivent être du même acabit.

J’ai eu ce que je voulais, je suis dépucelée.
Une idée me vient, qui pour ma famille sera difficile à réfuter.
Autant laisser Raoult s’occuper de la chatte de maman, du moins c’est sur ce que je vois sur la fin de bande.

Une lettre, les cassettes à son côté.

« Chères parentes, vous savez certainement ce qu’il y a sur ces cassettes, c’est vous qui les avez tournées.
Raoult continue à les baiser, tous, mais moi j’ai mieux à faire.
Des bites, il y en a plein sur Internet, j’en ai facilement trouvé cinq pour le dépuceler par tous les trous.
Vous venez de me faire voir la vérité de la vie, alors si l’un de vous veut baiser avec moi, vous allez sur « Escortes.com », pourquoi changer de nom, vous avez bien choisi « Ange ».
Je dois assumer mon train de vie, cinq cents euros pour tirer un coup, cinq mille la soirée, je fournis la première bouteille de champagne. »

Cinq cents, cinq mille, mes tarifs suivent le chiffre cinq, gage de succès comme pute de luxe, une chienne ayant mis au monde une chienne.

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