COLLECTION HISTOIRE COURTE. Confinement au bord de la mer (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Confinement au bord de la mer (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Confinement au bord de la mer (1/1)
- Jean, il faut que tu emmènes les jumeaux dans notre maison à La Palmyre.
Je vais faire vos valises, tu charges la voiture et vous prenez la route.
Maman a appelé, elle a eu le renseignement que le confinement va être durci et pour les enfants, ce seraient mieux qu’ils soient à la mer plutôt qu'enfermés à Paris.
- Si on doit emmener les enfants, c’est toi qui dois partir avec eux.
- Tu sais bien que je plaide dans deux jours dans l’affaire Martin.
J’ai appelé Marie la greffière et l’audience est maintenue.
De ton côté tu m’as dit que toutes tes affaires sont reportées, c’est toi qui dois partir avec eux.
Je verrai si je peux te rejoindre.
En plus, tu connais mes rapports avec Jannine, ta maman.
J’ignore combien de temps il faudra rester seul avec eux et si c’est leur fils qui est avec les enfants, je suis sûr que tout se passera bien.

Victoire, 32 ans mariés 2 enfants.
Des jumeaux, garçon et fille 6 ans.
Je finissais mes études quand j’ai rencontré Pierre par l’intermédiaire de Paul, mon beau-père.
Jeune avocate j’ai été commis d’office dans une petite affaire de bas étage comme ils en existaient beaucoup au tribunal de Bobigny.
En face de moi un avocat confirmé par trois ans d’expérience et travaillant dans un grand cabinet parisien.
À un moment nos regards se sont croisés avec Pierre et comme on dit, j’ai eu le coup de foudre.
Paul était le juge qui refermait ses dossiers définitivement pour aller se retirer à La Palmyre où ils avaient une villa.
À la sortie, j’avais perdu.
J’ai quitté le tribunal et sur les marches Pierre m’attendais.
Il m’a dit sans rancune et pour lui prouver que la rancune et moi ça faisait deux.
Un verre et son lit, il était célibataire et j’aimais le cul.
Oui, dire le cul, c’est grivois, mais comment dire pour une jeune femme de 26 ans dépucelée à 16 et qui régulièrement aimait se faire sauter toujours par des garçons différents.
Si Pierre habitait Courbevoie, j’étais dû neuf trois comme l’on dit.
Montreuil plus précisément.
C’est là que ça a claché avec belle-maman, elle espérait une poussine de Neuilly ou d’un niveau familial équivalent.
Pas de chance, elle se retrouvait avec une petite moricaude originaire de la Martinique venue à Paris faire son droit.
Au lieu d’une belle blonde aux gros seins, fille de sa copine avec laquelle elle joue au bridge, c’est moi qu’il a épousé mon ventre s’arrondissant.
Erreur de stérilet, excusez, aucune préméditation, malgré ce qu’elle en a pensé.
Comme j’étais tombé amoureuse de Pierre au premier regard, notre mariage est devenu un havre de paix.
Comme la villa voisine de celle de mes beaux-parents se libérait après un divorce, nous en avons profité.
Entre mon mariage, la naissance de Louise et Jules, j’ai rejoint le cabinet où Pierre travaillait quand j’ai repris mon emploi.
Nos revenus étant conséquents à la suite de plusieurs grosses affaires nous avons acheté notre maison de vacances et nous avons emménagé à Saint Mandé dans un logement plus grand pensant avoir un troisième enfant.
C’est là que je vais à nos affaires téléphonant tous les jours à Pierre et les enfants.
À la télé que je regarde chaque soir après un bon bain, je suis ce qui est dit sur ce virus.
Quand je vois la chasse aux Parisiens voulant fuir principalement vers l’île de Ré, je suis persuadée d’avoir pris la bonne décision de les faire partir dès le début du confinement.
Aujourd’hui, je rentre après deux contrôles par la police, mais je suis en règle d’être sorti pour nos affaires.

- Pardon, excusez de vous avoir bousculé, je me croyais seul dans l’immeuble, à part des personnes âgées.
- Mon mari est parti avec mes enfants dans notre villa de La Palmyre près de Royan.
Je suis restée, car j’avais des audiences à traiter.
- Vous êtes avocate, pardon restons à un mètre.
- Oui, mon mari et moi nous sommes avocat, un mètre, vous rigolez c’est vous qui vous êtes jeté dans mes bras.
- J’allais faire mon jogging autour du pâter de maison.
C’est vrai que dans ma tête j’étais à fond.
J’ouvrirai une procédure si j’ai le virus.
Ce sera votre faute.
Vous venez courir avec moi.
- En tailleur et talons hauts !
- Je vous attends.
- Non, allez-y, le temps que je prenne mon bain, impossible ce soir.
- Si vous le voulez demain, je prendrais mes dispositions.
- Ça me fera du bien de reprendre le sport depuis le début de ma vie active avec mes deux enfants, c’est difficile.
- Et vous, êtes-vous étudiants ?
- Oui, c’est drôle en droit.
- Avocat.
- Non, juge, je veux faire l’école de la magistrature.
Bon, le temps tourne, allez courir.

Je le vois partir, sur les boîtes aux lettres je regarde les noms.
Les Dupond, vieilles personnes, je remonte les boîtes, je connais la plupart des gens dont certains comme Pierre ont dû rejoindre la province.
Cyril L. 8e étage.
Il y en a 7 et le 8e ce sont les anciennes chambres de bonne dans ces vieux immeubles.
Il doit être dans l’une d’elles.
J’ai pris mon bain avec délice tout en parlant avec Pierre et mes enfants.
Après avoir raccroché, je viens de finir de manger quand on sonne.
Je réajuste mon peignoir, je suis nue même si je suis loin d’être prude.
À La Palmyre, sur la plage, je suis topless.

- Cyril, le jogging, c’est demain.
- Victoire, je vois que comme moi tu as regardé nos noms sur nos boîtes aux lettres.
- Oui, 8e où se trouvent les anciennes chambres de bonne et quatre noms de filles, tu es bien entouré.
- Je savais que ton mari s’appelait Pierre et vous avez mis votre raison sociale « Avocats. »- Je vois que l’on se tutoie, je suis d’accord.
Que cherches-tu, que veux-tu ?
- Je travaille un cours et je manque de repère.
C’est difficile même sur Internet de trouver les renseignements.
J’ai essayé d’avoir un de nos profs.
Ils sont aux abonnés absents.

Je le fais entrer dans la salle.
Il me montre son problème, sans rentrer dans les détails je le résous en quelques minutes.

- As-tu mangé ?
- J’ai peu de revenus, en temps normal, je mange au self de la fac, un jour sur deux j’achète du pain à notre boulangerie et je m’en satisfais.

Je lui prépare des pâtes, car avec deux enfants j’en fais des gamelles entières, j’en ai des stocks dans mon placard bien avant le confinement.

Pour le café, nous nous installons sur le canapé.
C’est là que tout dérape.
Je mets la télé pour entendre où en est la crise et si un espoir est là.
Nous sommes concentrés sur les infos quand je sens qu’une tête vient sur mon épaule.
Combien sommes-nous, deux, j’ai la mienne c’est donc mon invité qui semble ce lâcher.
J’entends un léger ronronnement, il dort.
Un moment sa main se déplace et vient sur mon sein mon peignoir ayant glissé.
Je ressens les élans de ma jeunesse un peu débridée avant de devenir une femme sage.

- Oh ! pardon, je me suis assoupie.
- J’ai bien aimé.

Là c’est la boulette, je semble lui donner raison de son geste sur mon sein.
Il peut le penser, car lorsqu’il tourne sa tête vers moi, je prends ses lèvres qui sont douces pour moi en manquent de sexe depuis que mon mari est parti avec les enfants.
Mon corps réagi et je sens que ma chatte réagit.
Je passe ma main sur son pantalon de jogging, la verge qu’il m’apporte semble bien intéressante.
J’ouvre son vêtement en sortant une verge aussi grosse que celle que j’ai pris l’habitude de sucer presque chaque soir avant son départ pour La Palmyre.
Je lis des histoires sexuelles sur Internet et je suis de bonne foi quand je dis qu’elle est égale à celle de mon mari.
Beaucoup de femmes disent qu’elles rencontrent de véritables pieux qui leur déchirent la chatte.
La même grosseur, mais avec plus de dextérité et surtout de résistance.
Plus d’une heure, il me laboure pendant plus d’une heure.
Surtout il réalise l’impensable, il me fait jouir deux fois.
Deux orgasmes presque simultanés malgré ma jeunesse tumultueuse et mon mari qui je le pensais me satisfaisaient, je découvre la plénitude sexuelle.

Le lendemain, un deux trois, un, deux, trois mètres derrière mon amant je cours comme nous l’avions prévu.
30 minutes pour moi et dix de plus pour lui.
Quand nous retrouvons mon appartement, c’est dans l’eau que nous commençons à jouer.
Même là quand il bande, je m’empale avec délice hurlant rapidement le premier orgasme de la soirée qu’il m’apporte.
Une fois le bain pris et s’étant essuyé mutuellement, c’est nu sur le canapé que nous regardons les informations et surtout le président parlant du confinement.
Ma main est posée sur la queue de mon cher amant.
Il commence déjà à bander.
En plus d’être un garçon résistant contrairement à Jean, c’est aussi un garçon à plusieurs coups.
Cette nuit, je sais que mon sommeil va être court.

« Mes chers compatriotes, je vous propose un début de déconfinement en premier pour les écoles et collèges le lundi 11 mai. »
Vingt-quatre jours de plaisir intense avant le retour de mes petits diables, quelle chance !!!

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