COLLECTION HISTOIRE COURTE. Contrôle fiscal (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Contrôle fiscal (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Contrôle fiscal (1/1)
• Madame Loubna ?
• Oui !
• Je m’appelle Redwan, je suis contrôleur fiscal.
Je viens contrôler vos trois dernières déclarations d’impôts.
Veuillez me présenter les documents comptables de ces trois années.
Votre boutique de souvenirs en plastique semble bien marcher or vos impôts sur ces trois années sont de zéro euro.
• Un contrôle fiscal, sans aucun problème.
Venez dans mon bureau, les documents sont là et vous pourrez vous installer.

Je m’appelle Redwan, c’est mon premier contrôle fiscal.
Je viens de sortir des écoles ou je suis sortie major.
Je viens d’être engagé aux impôts et comme je l’ai dit, c’est mon premier.
Dommage, la petite Loubna est mignonne et je vais avoir des scrupules à lui infliger un redressement.
Mon chef m’a bien prévenu, je travaille pour l’état qui a besoin d’argent et il y a toujours matière à redressement, même léger.

Brune aux yeux vert, des seins comme je les aime, hauts perchés.
Je dois être honnête, je suis toujours puceau.
Devenir inspecteur des impôts était mon but.
J’adore les chiffres et c’est un de mes professeurs qui a guidé ma carrière.

« Redwan, vous avez une très bonne mémoire des chiffres !
Quand je vous ai demandé quelle orientation vous souhaitiez prendre, vous m’avez répondu comme les deux tiers de vos collègues.
Vous savez le bruit que l’on fait avec les lèvres et qui souvent envoi des postillons.
Regardez du côté des impôts, c’est là qu’est votre avenir. »

Il avait tapé juste, le métier est un peu plus complexe que ça, mais je suis sûr que pour cette affaire simple, je vais, hélas pour la jeune femme, certainement d’origine maghrébine trouver de quoi satisfaire mon chef.

• Loubna, s’il vous plait vous déclarez de nombreux restaurants avec des clients pour votre commerce, mais la somme des factures est au quart de ce que vous déclarez.

Houra, elle est foutue, mon chef va être satisfait.
Dès le premier jour, j’ai déjà matière à redressement.
Je continue, encore une incohérence.

Ça fait deux jours que je suis studieux, arrivant à l’heure et repartant après des heures à rapprocher documents et justificatifs.

• Redwan, je peux vous déranger une minute.
• Oui, Loubna, pardon mademoiselle Loubna.
• Je vous ai appelé Redwan la première, vous pouvez m’appeler simplement Loubna.
• Que me voulez-vous ?
• J’ignore si dans les papiers que vous avez devant vous, vous avez vu ma date de naissance.
• Oui, octobre 2000.
J’ai la mémoire des chiffres, c’est important dans mon métier.
Regarde, il y a trois ans, tu déclares la somme de 9 221 €.
Deux mois plus tard, tu vois, tu déclares la même somme.
9 221 € à deux mois d’intervalle, ça a aiguisé mon appétit de chasseur de chiffres.
J’ai cherché dans les factures, j’ai bien trouvé une facture de cette somme pour l’achat d’une voiture.
La deuxième, inexistante.
La première, avec le logo de ta boutique, je la vois dehors.
Où est la deuxième ?
• J’ai dû me tromper, c’est une erreur.
• Pour les impôts, c’est un doublon passible de redressement.
• C’est bien ma veine, nous sommes le 3 octobre 2020.
Je suis née le 3 octobre 2000, j’ai vingt ans aujourd’hui.
J’allais t’inviter à monter à l’étage faire sauter un bouchon de champagne.
• Même si je vais être obligé de te redresser, j’accepte de fêter ton anniversaire.

En lui disant ces mots, je prends conscience qu’elle va tomber de haut quand elle va recevoir l’addition, mais bon je suis puceau.
Hélas, je devrais chercher une autre petite chatte pour le perdre.
Quand nous montons l’escalier en colimaçon, j’étais prête à la laisser passer devant par politesse.
C’est elle qui s’engage et grâce à sa mini, je peux par instants voir qu’elle est rose.
Sans être fétichiste, j’ai regardé les sous vêtements de femme et dans les boutiques et dans le catalogue de la Redoute.
Du moins, du temps ou ils en envoyaient.
Maintenant, j’ai simplement les boutiques pour assouvir mon plaisir visuel.
Petite culotte blanche et petit cul rebondit.
Une pensée lubrique me vient.
Est-elle vierge, se fait-elle mettre par sa rondelle comme beaucoup de filles de son pays venu de l’autre côté de la Méditerranée pour garder son pucelage pour son futur mari.
C’est Christian un copain, quand j’avais quinze ans, qui m’a dit qu’il avait perdu son pucelage dans le trou du cul de Radia, une Marocaine de 17 ans, toujours vierge, mais dans laquelle il était entré sans aucune difficulté.
Trois mois plus tard, il l’a baisé dans sa chatte.
Entre-temps son père l’avait marié avec un homme de 44 ans à qui elle avait décidé de lui faire porter des cornes.
Je lui ai demandé ou elle habitait, pas de chance, son mari était reparti pour Meknès ou il habite maintenant.
On comprend pourquoi, par malchance, je suis toujours puceau.

• Dit donc Redwan, j’ai vu tes yeux sur mes fesses, un galant homme serait passé devant.
• J’allais le faire, excuse-moi d’avoir vu qu’elle est rose.

Quel con, je me donne le bâton pour me faire battre.

• Et je vois qu’elle t’a fait de l’effet !

La coquine, je bande, elle s’approche, me met la main sur le pantalon et me donne sa bouche.
Un baiser profond, merde, je suis en train de tomber dans le piège, elle va se donner pour que je lui évite un gros redressement.
Ses lèvres et sa langue sont très agiles, ma bite est à la fête, c’est son anniversaire, mais c’est aussi le mien.
C’est sur son canapé que je la dépose et où je revois sa petite culotte que je lèche la rendant transparente.

• Continu, c’est bon.
Libère ta verge, veux-tu que je te la libère.

Elle se tortille, même à travers le tissu elle aime.

• Arrache là, tu me plait, je te veux.

Dépucelé, pas de connerie, soit patient, tu vas la baiser.
Contrairement à Christian ma première baise, yes, je vais baiser.
Je suis prévenant, je lui ôte sa culotte sans la déchirer, et sortant ma queue au paroxysme de son envie je me présente.

• Aie, non continu c’est bon.

C’est bon, mais pour elle aussi c’est une première.
Je le vois quand allant dans sa chambre pour prendre nos aises, je sors ma queue couverte de sang.

• Que veux-tu, j’ai l’impression que tu m’as baisé, tu vas me faire du chantage, ou se trouve la caméra qui nous film ?
• Non, j’ai eu un coup de cœur pour toi et je voulais perdre mon pucelage.
J’ai une sœur Nouzha, elle fait l’amour régulièrement, elle a de nombreux amants.
Je veux vivre, moi aussi.

Elle a vécu, nous avons vécu, pendant la semaine où j’ai fini son contrôle.
Je contrôlais, elle fermait sa boutique et c’est ma main sur ses fesses, vierge quand j’y mettais un doigt quand je la prenais en levrette que nous avons été des amants passionnés.
Mais tout contrôle à une fin.
Je commence à faire mon travail de bureau bien décidé à omettre certains doublons et lui faire un simple rappel à la loi pour quelques manques de factures de restaurants.
J’ai envi de pisser, je vais aux toilettes.
Je viens de m’assoir mes pissotières étant en réparation quand j’entends mon chef et un vieil inspecteur entrer.

• Alors le puceau, il est de retour, je l’ai vu taper ses conclusions.
• Tu vas voir, je suis sûr que la salope chez qui il était a écarté ses cuisses comme bon nombre de petites putes, pour qu’il soit magnanime.
Je parie 100 € qu’il va lui mettre un rappel à la loi.
Tu te souviens de l’entreprise de camionneur dont la patronne était une femme ou nous étions tous les deux sur le contrôle.
• Nous l’avions baisé en double pénétration.
• On avait fait durer le contrôle presque quinze jours supplémentaires.
• Ce couillon, il m’a demandé deux jours de supplément pour conclure son contrôle.
Sans problème, nous aurions défoncé la petite, huit jours de plus.
Ce n’est pas le tout, j’ai une réunion avec le ministre, je te laisse.

Mon chef est parti pendant que Fred, l’un des autres inspecteurs de service entre dans la cabine voisine.
Je quitte la mienne et les toilettes sans bruit retournant taper ma synthèse.

• Voilà patron, il y avait plein d’incohérence.
J’ai même trouvé un doublon pour une voiture de 9 221 €.
Avec l’amande, je propose 12 000 € de redressement et trois mois de prison avec sursi.

Je vois le chef regarder mon rapport, d’une façon incrédule.
Il doit se dire que celui qu’il pensait avec raison être puceau doit m’être encore gagnant par là même un inspecteur intègre.

• Bonjour Loubna, comment vas-tu ?
• 12 000 € de redressement sans compter le sursi, tu m’obliges à déposer le bilan et tu te permets de me narguer.
Et dire que je me suis donnée à toi pensant que tu étais l’homme de ma vie !
• Tu as bienfait chéri.
Ça c’est pour toi.
• Qui a-t-il dans ce paquet ?
• Regarde.
• Pourquoi tous ces billets.
• 12 000 € pour payer ton amande et cette boîte plus petite.

En lui tendant, je m’agenouille lui présentant un magnifique diamant.

• Tu as de ma chance, j’ai calculé, tu aurais dû avoir 24 230 € de redressement.
Grâce à mon livret d’épargne et mon plan logement, j’ai dû réduire à 12 000 € sinon j’aurais dû commencer notre vie en empruntant.
Si tu veux l’épouser bien sûr.

Nouzha, celle qui baise à tourne bras, a été son témoin.
Dommage, elle aussi est bandante, mais j’ai juré fidélité devant monsieur le maire.

• Chéri !
• Oui, mon amour, tu veux que je te suce la queue.
• Arrête c’est sérieux, je fais ta comptabilité de notre boutique.
• Tu as bien, cinq minutes, tes collèges sont chez eux, ils vont faire comme nous baiser leur femme.

Je l’emmène sur le canapé, là où j’ai sucé sa culotte rose.
Le jour de nos noces, elle la portait.
Elle est dans mon tiroir à la perception un peu, beaucoup, déchirée avec mes dents tellement toute la journée j’ai eu envie de la baiser.
Là, il me suffit de lui ouvrir son peignoir, elle est toujours offerte.
J’espère que ce soir, on a mis en place le processus nous permettant d’être trois dans neuf mois.

• Chéri, tu sais que j’adore te faire l’amour, mais dis-moi, tu as noté une facture de restaurant de 1 212 €, ou se trouve la facture.
• Tu as regardé dans mon sac !
Non, dans le tiroir de mon bureau !
• Inutile, j’ai appelé le restaurant, demain j’aurai un duplicata pour ta compta.
Fait attention la prochaine fois.
• Merci mon amour.
• Viens là, j’ai encore une petite envie.

La première fois sa chatte.
Ce coup ci, là où j’ai mis le doigt.
Je lui ai appris à aimer.
Merci chef, de m’avoir fait faire mon premier contrôle vers Loubna.

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