COLLECTION HISTOIRE COURTE. Coronavirus et bière Corona (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Coronavirus et bière Corona (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Coronavirus et bière Corona (1/1)
• C’est parfait Susana, tu as extrêmement bien travaillé.
J’ai eu peur quand je t’ai vu arriver que tu aies des problèmes dans ce boulot.
Entrons enlever nos combinaisons et nos masques, mettez-les dans ces tonneaux bleus.
Chacun le vôtre.
Alex, frérot, toi tu connais.
• Monsieur Louis et toi Alex, sortez que je me chance.
• Je dois surveiller que tu suives exactement les procédures de déshabillage après ce travail sur le mobilier urbain de notre ville.
Si vous attrapez le virus, j’aurai des soucis avec le maire.
Tu sais, on a déjà vu des petites culottes et des soutien-gorge de fille !
Attends, tu rougis, j’ai peur de comprendre, ce matin, je t’ai dit d’enlever tes affaires et de mettre cette combinaison avant d’aller à la camionnette.
Tu es nue !
• Oui, mais c’est la faute de Mouloud, mon mari, il m’a habitué à être nue sous ma jupe.
• Mouloud ?
Tu es marié, à te voir petite poupée frêle, j’aurais pensé que tu étais trop jeune.
• J’ai un peu plus de 17 ans, je me suis mariée le mois dernier lors de sa dernière perm.
• Où est ton mari, en prison ?
• Parce qu’il s’appelle Mouloud, pour vous, il est obligatoirement en prison et a eu une perm pour se marier.
Il était maçon de métier et comme le virus a limité le travail, il s’est engagé dans le génie militaire.
Il a eu sa perm pour notre mariage et il y a trois jours, son unité est partie en mission au Mali pour quatre mois.
• Allez, déshabille-toi, je contrôle.

Elle s’exécute nous montrant une jolie poitrine bien dessinée et sa jolie chatte couverte d’un léger duvet blond comme ses cheveux.
Elle récupère sa jupe dans le caisson mis à sa disposition par ma société de nettoyage.
Alex en a fait de même, comme moi, mais tous les deux nous avions gardé nos caleçons.
Alex est mon jeune frère, j’ai créé ma société et je l’ai embauché afin d’éviter de le voir trainer toute la journée.

• C’est parfait, si tu es d’accord, à demain Susana, je t’avais dit que je te signerais ton CDD après cette journée d’essais.
• Au merci, je dois me dépêcher, j’ai mon bus dans cinq minutes au bout de la rue.
• Où habites-tu Susana ?
• À l’autre bout de la ville, quartier des Paumés.
• Prends ton temps, on va passer te déposer, tu gagneras du temps.
• Au merci, ça va vous gêner !
• C’est la camionnette de la société, c’est le patron qui paye, même si le patron, c’est moi, autant en profiter.

Une fois que nous sommes prêts, direction la camionnette où se trouve tout le nécessaire pour nettoyer la ville de cette saloperie planétaire chinoise.

• Alex !
• Oui, patron, excuse.
Susana monte au milieu, tu verras mieux la route.

Quel con, Alex, « voir mieux la route », mais le principal, c’est que ses jolies cuisses soit à portée de ma main.

• Monsieur Louis, pourquoi mettez-vous votre main sur ma cuisse ?
• Appel moi Louis, plus de monsieur, ma main, c’est pour mieux attraper le levier de vitesses.

Aussi con que pour « mieux voir la route », mais ça marche et insidieusement je la fais remonter jusqu’à sa jolie fente.

• Mouloud, il se mettrait en colère pour ce que vous me faite, patron !
• Mouloud, ou est-il, je le cherche !
Ici, je vois Lucien, mon frère, Susana, aucun Mouloud.

Toujours aussi con que le reste, mais ça marche je lui caresse la chatte.

• Tu prends la prochaine à droite, ma maison est là.

Surprise, c’est un petit pavillon où elle me fait stopper.

• C’est Mouloud qui l’a construit, nous sommes rentrés, le jour de notre nuit de noce.
• Tu nous invites à boire un verre.
• Mouloud a eu une combine avec un pote avant de partir, un copain qui travaille au supermarché, il a eu des Coronas presque pour rien.
Les clients les refusaient de peur d’attraper le virus, on en a vingt caisses.
Entrez !
Vous voulez visiter, c’est petit, mais comme dit Mouloud, « plus c’est petit, plus c’est bon ».

Quel con ce Mouloud laisser un aussi joli petit lot à la merci de prédateur comme nous, c’est prendre un risque incommensurable.
J’ai ma main sur ses fesses sans qu’elle l’enlève.

• La salle de bains.
• Je sais, c’est Mouloud qui a mis une douche à l’Italienne où nous allons pouvoir tenir à trois.
• Comment le sais-tu ?

Si Mouloud est con, Susana semble être de son niveau autant en profiter.

• Susana, as-tu lu la feuille que je t’ai remise ce matin ?
• Elle est dans mon sac.
• Il est dit, « au retour chez soi, mettre ses vêtements à laver et prendre une douche intégralement nue .
Bien se savonner, le virus a horreur de la propreté. »Julien, déshabillions-nous.
À la douche !
• Ma mini est en cuir blanc.

Un peu moins con que penser.

• Tu l’as place sur un cintre, demain elle sera en état pour la remettre.

C’est entièrement nu que je commence à la savonner.
Le coup de la douche, même si c’est recommandé sur le papier, il fallait y penser.

• Dis-moi, petite chipie, Mouloud, il t’a appris à sucer ?

Eh oui, Mouloud, il lui a appris et bien appris.
Sa bouche est divine, je bande comme un mulet.
Je l’aide à se relever et c’est moi qui la caresse sans plus de résistance.
Mes doigts dans sa chatte, je lui mets un doigt dans le cul.
Il entre très facilement.

• Mouloud il t’encule !
• Oui, toi aussi tu aimes ça.

Loin d’être con, mais Mouloud avant de partir en a fait une jolie petite salope.

• On s’essuie et tu vas nous chercher des kébabs Lucien.
J’ai vu une boutique au coin de la rue.
Prend de l’argent dans la poche de mon jean.
Susana va chercher de la corona, tu m’as donné soif.

Bouffe, bière, petit cul, je m’installe sur le canapé ou la petite, restée nue, me rejoint.
C’est elle qui vient m’embrasser.

• Empale-toi !
• C’est mal, je pense à mon mari, il souffre dans le dessert.

Ça fait dix minutes que je baise, quand Lucien revient.

• Pose ça là, on mangera après, Susana a envie de ta bouche.

Moi, dans sa jolie chatte, lui suçant les seins qui comme je l’ai dit sont fort jolis.
Mon jeune frère encore puceau lui présente sa verge en montant sur le canapé.
Je fais jouir notre petite maîtresse alors qu’Alex décharge dans sa bouche.
Mon portable sonne dans la poche de mon jean.

• Jeanne, comment vont les enfants.
Tu viens de les coucher.
Quand je rentre.
J’allais t’appeler, je suis parti pour plus de trois mois avec Alex.
Je sais que c’est un jeune con, je lui dirais quand il reviendra.
Nous sommes à Bordeaux.
Je sais c’est loin, mais tu sais avec le covid, les bonnes sociétés dans mon domaine sont rares et ça paye bien.
Non, on dormira dans la camionnette avec Alex et la commune met à notre disposition des toilettes et des douches dans une école.
Je te laisse, le maire arrive et après le voyage je suis fatigué.
Oui, je t’embrasse.
Oui, je téléphone aux enfants.
Oui, on s’appelle !

Voilà, petite fille abandonnée par Mouloud à deux prédateurs sexuels, Alex sautant la petite autant que je la baise.
Même en double pénétration après le travail on la saute.
Mouloud lui a bien ouvert le cul, chaque fois je rentre dans son cul en terrain conquis.
Kebab, mais aussi repas préparé par mon employé pendant plus de trois mois.
Rien de notre petite salope nous est inconnu.
À oui, la bière Corona, les caisses descendent au rythme de nos débordements sexuels.
Mouloud va bientôt revenir du Mali, nous quittons le pavillon retour chez moi.
Jeanne persuadée que je reviens de Bordeaux alors que j’étais à deux pas du quartier des Paumés m’accueille avec son gros cul alors que le jour de notre mariage elle était aussi fine que Susana.
Mais bon, on a trois enfants que j’aime et que pour un empire, si je les perdais je serais à deux doigts de me suicider.
Alors trois mois à baiser cette petite jeune fille, si puérils, pourquoi hésiter !
Ça sonne à la porte, Jeanne va ouvrir.

• Louis, c’est un militaire avec une jeune femme qui te demande.

Je quitte mon canapé et mon match du PSG.

• Mouloud !
Tu sais qui je suis, tu as entendu parler de moi !
La jolie blonde aussi !
Sans parler de ma bière 19 caisses.

Nul besoin d’en dire plus, ma tête explose.
Mouloud, il est loin d’être partageur.

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