COLLECTION HISTOIRE COURTE. Coup monté (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Coup monté (1/1)
• Charles, nous sommes amis depuis longtemps, puis-je te poser une question d’ordre intime !
• Tout ce que tu veux, l’amitié, c’est sacré.
• Je me lance, que penses-tu de Nadia, non pas de sa beauté, ça, je le sais lorsque je la regarde tous les jours.
• Si tu veux parler, du sexe au lit ou ailleurs, chaque fois que je la croise avec toi, je sens la femelle chaude qu’elle doit être.
• Merci de m’avoir répondu franchement, c’est le sentiment qu’elle me donne à moi aussi, lorsque j’ai l’impression qu’elle allume les hommes que nous croisons.
Pourtant, au lit ou dans la vie courante avec moi, elle est froide comme un glaçon.
J’ai l’impression de vivre au Groenland avec elle.
• Tu sais les Lapons et surtout les Laponnes, elles sont chaudes du cul, au point ou leurs maris les offres à leurs invités.
Elle te trompe peut-être et se satisfait des rapports qu’elle a avec ses partenaires, alors qu’avec toi, tu es devenu le père de son fils.
C’est fréquent chez les femmes mariées, salope en dehors du ménage et bourgeoise à l’intérieur.
• Là tu te trompes, j’ai engagé un détective privé, il l’a suivi pendant six mois.
Métro, boulot, dodo, j’ai raqué pour rien, j’ai même cru un moment qu’elle avait repéré le bonhomme.
Nous en avons parlé, il s’est retiré au profit de son adjointe, rien que dalle, métro, boulot, dodo.
J’ai même fait mieux, je me suis persuadé qu’elle baisait avec ce détective qui me faisait raquer et qui était gagnant sur tous les plans.
J’ai pris un congé et je les ai suivis, ma femme et lui, rien de ce côté-là, comme je te l’ai dit, métro, boulot, dodo.
• Alors de quoi te plein-tu ?
• J’ai des besoins et j’aimerais avoir une chienne à la maison.
• Va voir ailleurs, je connais une escorte qui accepte le sado-maso, je te donne son numéro et tu exprimes tes fantasmes avec elle !
• Non, je veux lui être fidèle et bien l’avoir à ma pogne, je compte sur toi !
J’ai eu une idée qui te satisfera et qui en fera de même pour moi.
Voilà comment on élabore un plan avec son meilleur copain que l’on réalise quelques jours plus tard.
La SNCF et ses grèves incessantes va nous aider à le réaliser.
• Qu’est-ce que tu fais salope, j’avais des doutes, tu devenais plus froide de jour en jour et je te retrouve là, sur notre canapé, la bite de mon meilleur copain dans ton cul, salope ?
Je m’appelle Nadia, je suis la femme Renaud, nous sommes mariés depuis cinq ans.
Nous avons un fils Jean-Luc de deux ans, c’est la prunelle de mes yeux.
Présentement, il est chez mes parents pour les grandes vacances du moins en ce mois de juillet avant que nous le rejoignions sur le bassin d’Arcachon où ils se sont retirés pour leur retraite en août.
C’est un peu sur le tard que maman m’a mise au monde et m’a élevé dans sa foi ayant tellement prié pour que je vienne au monde.
Une vielle amie de notre famille, pipelette notoire rencontrée au marché avec qui j’ai pris un café, que c’était grâce à une biture de mon père ayant baisé ma mère à la limite de la violer que j’étais née.
Pour ma part, c’est le soir où j’ai eu mon bac que j’ai été dépucelé par un inconnu coup d’un soir pour lui de passage chez sa cousine et venu à la fête que nous avions organisée.
Ayant bu quelques verres, j’en ai tiré le sentiment, que j’étais comme mon père et que l’alcool me faisait faire des choses que la morale réprouve.
J’ai rencontré mon mari et je l’ai épousé en restant fidèle jusqu’à aujourd’hui.
Renaud est parti pour deux jours à Orléans pour plaider une affaire simple, mais qu’il tenait à défendre personnellement.
Je tiens un magasin de chaussures fermé comme tous les lundis.
J’étais chez nous au bord du bois de Vincennes où nous logons depuis notre mariage lorsque la sonnette de notre appartement a retenti.
J’étais en maillot de bain et je repeignais la chambre de Jean-Luc.
Nous l’avions vidé avec Renaud hier avant son départ et si j’étais en maillot de bain, c’étais à cause de la canicule.
Je suis allée voir discrètement par l’oeilleton et j’ai vu Charles, le copain d’enfance de Renaud.
J’ai eu conscience de ma tenue, mais Charles nous avait rejoints chez mes parents aux vacances dernières et il me connaissait dans un maillot deux pièces sur la plage.
J’ai ouvert sans malice.
• Charles est là, il m’a appelé pour que je lui rapporte ce dossier hier au soir, il semblait en avoir besoin pour une affaire qu’il plaide aujourd’hui.
J’ai eu son message ce matin seulement et je suis passé à l’étude.
Claire m’a dit qu’il partait pour Orléans et que je pouvais tenter de venir chez vous voir s’il était parti, son affaire se jugeant en fin de journée.
Par politesse et voulant éviter d’être vue par notre voisin, en petite tenue, je l’ai fait entrer.
• Tu as de la peinture sur ton bout de nez, non, là.
Je venais de lui servir un whisky et il avait insisté pour que je l’accompagne.
J’ai déjà dit l’effet de l’alcool m’ayant fait perdre mon pucelage.
Il m’a essuyé le nez, avec son mouchoir et dans un brouillard j’ai senti qu’il m’embrassait.
Je suis peu porté sur le sexe, surtout que personne même mon mari m’a appris à être autre chose que ce que je suis devenue, une bourgeoise qui travaille plus pour passer son temps que par besoin.
Mon expérience du soir de bac y ayant certainement contribué, sans compter ma naissance un soir de cuite, même si c’était mon père qui était concerné.
Tel père, tel fils, je connais l’adage, même si je suis une fille.
Comment je me retrouve avec la bite de Charles dans ma chatte alors que je me réveille face à Renaud debout devant moi à quatre pattes sur notre canapé, je l’ignore ?
• Salope, je m’absente deux jours et je te retrouve avec la bite de mon copain te défonçant dès le premier soir.
La SNCF est une nouvelle fois en grève et j’ai reçu un message de Claire que le tribunal d’Orléans avait reporté à une autre date mon audience.
Je rentre chez moi et je retrouve une salope se faisant tringler.
Charles, j’espère qu’elle est plus chaude qu’avec moi !
À ce que je vois c’est le cas, moi j’ai droit de la baiser que dans la position du missionnaire, toi tu la baise en levrette.
• Charles, libère-moi au lieu de t’accrocher à mes reins, j’ai honte de ce que j’ai fait., chéri, c’est Charles qui a voulu que je boive un verre de ton meilleur whisky.
Mais lâche-moi Charles, voit comme la situation est gênante pour nous trois.
• Non, continu mon ami, je sais ce qu’il me reste à faire !
Putain, ça marche, mon plan semble fonctionner, ma femme est pigée, je dois reconnaitre que j’avais quelques billes lorsque j’ai monté mon plan avec Charles.
Le dépucelage de ma femme, c’est peu avant nos noces qu’elle m’a avoué avoir perdues sa virginité le soir de son bac, avec un inconnu le soir de sa réussite au bac.
Ce qui est drôle et nous en avions rit, c’était que moi aussi, le même soir, je suis plus vieux d’un an, mais elle avait sauté une classe que j’ai perdu le mien.
C’était avec Olga la mère de Virginie qui nous recevait que je l’ai perdu.
Nous avions été reçus par cette femme et je l’avais trouvée bandante, mais pas au point de penser que je tremperais ma queue ce soir-là dans sa chatte.
Raoul l’un de nos copains avait amené une bouteille de Martini qu’il avait réussi à chouraver à sa propre mère se pintant avec ce type de boisson alors que la soirée était prévue juste aux boissons sans alcool.
J’en avais bu un demi-verre et cherchant les toilette, je me suis retrouvé à ouvrir la porte de la chambre d’Olga.
Elle lisait en se caressant, elle a quitté son livre pour me caresser faisant de moi un homme.
Quant à la naissance de ma femme après une cuite de son père, j’ai eu la chance de rencontrer la même vieille rombière qui l’avait mise au courant de l’histoire de sa naissance.
Je me suis servi de ces éléments pour monter mon piège.
Présentement devant ma femme fermement tenue par mon comparse, je sors ma bite et je la four dans la bouche de Nadia.
Je la pilonne regardant Charles qui en fait de même de son côté, je lui fais un clin d’œil, jusqu’à ce que tous les deux nous éjaculions.
• Mon chéri, j’ai honte, mais si c’est ce que tu veux pour me pardonner mon égarement, j’ai tant joui avec vos deux bites que je suis prête à recommencer.
Putain quel con, j’ignorais que Nadia était coincée du cul avant que mon copain me l’avoue.
Pourtant à la voir, on aurait dit une chaude du cul.
J’attendais un jour où il s’absenterait pour venir me la faire et c’est lui qui me l’offre sur un plateau.
Je savais l’addiction de Nadia à l’alcool, ça m’a bien servi pour m’aider à la sauter avant qu’il revienne.
Elle a joui une première fois sous nos bites, dans leur chambre, nous remettons le couvert, cette petite pute en veut encore.
• Charles regarde, je l’encule pendant que tu lui prends la chatte, merci, grâce à toi j’ai une femme comme j’espérais.
Alors que pour la première fois, mon mari m’encule alors que je viens de m’empaler sur la bite de son copain, les propos de mon mari me font penser que j’ai été victime d’un coup monté.
Qu’importe, je croyais être la femme idéale pour mon mari, mais être une salope, c’est tellement mieux.
• Chérie, dépêche-toi, le taxi nous attend, Charles nous a organisé une petite soirée où tu vas être la reine de la fête pour ton anniversaire.
• Je suis prête mon amour, je viens de conduire Jean-Luc chez la voisine qui le garde pour la nuit.
J’y suis allée en peignoir, inutile qu’elle voit la tenue que tu m’as offerte, à son âge, elle aurait risqué un infarctus et notre soirée aurait été loupée.
Ce soir, c’est le grand jour, le premier d’une longue soirée, l’autre soir Renaud pensant que j’étais dans mon bain alors que nous avions baisé comme des bêtes, il a appelé Charles.
• Cinq, on sera cinq pour la sauter, rien que du beau calibre, ce sera parfait, on va l’éclater, à samedi.
C’est con, un cocu, c’est doublement con lorsque c’est lui qui vous amène votre proie à domicile et qu’avec vos copains vous allez niquer toute la nuit.
• Nadia, mes amis, une petite coupe de champagne pour détendre l’atmosphère ?
Une petite coupe de champagne pour une belle salope, la soirée commence bien, elle va perdre la tête dès la première coupe.
J’ai bien fait de monter mon coup !
• Tout ce que tu veux, l’amitié, c’est sacré.
• Je me lance, que penses-tu de Nadia, non pas de sa beauté, ça, je le sais lorsque je la regarde tous les jours.
• Si tu veux parler, du sexe au lit ou ailleurs, chaque fois que je la croise avec toi, je sens la femelle chaude qu’elle doit être.
• Merci de m’avoir répondu franchement, c’est le sentiment qu’elle me donne à moi aussi, lorsque j’ai l’impression qu’elle allume les hommes que nous croisons.
Pourtant, au lit ou dans la vie courante avec moi, elle est froide comme un glaçon.
J’ai l’impression de vivre au Groenland avec elle.
• Tu sais les Lapons et surtout les Laponnes, elles sont chaudes du cul, au point ou leurs maris les offres à leurs invités.
Elle te trompe peut-être et se satisfait des rapports qu’elle a avec ses partenaires, alors qu’avec toi, tu es devenu le père de son fils.
C’est fréquent chez les femmes mariées, salope en dehors du ménage et bourgeoise à l’intérieur.
• Là tu te trompes, j’ai engagé un détective privé, il l’a suivi pendant six mois.
Métro, boulot, dodo, j’ai raqué pour rien, j’ai même cru un moment qu’elle avait repéré le bonhomme.
Nous en avons parlé, il s’est retiré au profit de son adjointe, rien que dalle, métro, boulot, dodo.
J’ai même fait mieux, je me suis persuadé qu’elle baisait avec ce détective qui me faisait raquer et qui était gagnant sur tous les plans.
J’ai pris un congé et je les ai suivis, ma femme et lui, rien de ce côté-là, comme je te l’ai dit, métro, boulot, dodo.
• Alors de quoi te plein-tu ?
• J’ai des besoins et j’aimerais avoir une chienne à la maison.
• Va voir ailleurs, je connais une escorte qui accepte le sado-maso, je te donne son numéro et tu exprimes tes fantasmes avec elle !
• Non, je veux lui être fidèle et bien l’avoir à ma pogne, je compte sur toi !
J’ai eu une idée qui te satisfera et qui en fera de même pour moi.
Voilà comment on élabore un plan avec son meilleur copain que l’on réalise quelques jours plus tard.
La SNCF et ses grèves incessantes va nous aider à le réaliser.
• Qu’est-ce que tu fais salope, j’avais des doutes, tu devenais plus froide de jour en jour et je te retrouve là, sur notre canapé, la bite de mon meilleur copain dans ton cul, salope ?
Je m’appelle Nadia, je suis la femme Renaud, nous sommes mariés depuis cinq ans.
Nous avons un fils Jean-Luc de deux ans, c’est la prunelle de mes yeux.
Présentement, il est chez mes parents pour les grandes vacances du moins en ce mois de juillet avant que nous le rejoignions sur le bassin d’Arcachon où ils se sont retirés pour leur retraite en août.
C’est un peu sur le tard que maman m’a mise au monde et m’a élevé dans sa foi ayant tellement prié pour que je vienne au monde.
Une vielle amie de notre famille, pipelette notoire rencontrée au marché avec qui j’ai pris un café, que c’était grâce à une biture de mon père ayant baisé ma mère à la limite de la violer que j’étais née.
Pour ma part, c’est le soir où j’ai eu mon bac que j’ai été dépucelé par un inconnu coup d’un soir pour lui de passage chez sa cousine et venu à la fête que nous avions organisée.
Ayant bu quelques verres, j’en ai tiré le sentiment, que j’étais comme mon père et que l’alcool me faisait faire des choses que la morale réprouve.
J’ai rencontré mon mari et je l’ai épousé en restant fidèle jusqu’à aujourd’hui.
Renaud est parti pour deux jours à Orléans pour plaider une affaire simple, mais qu’il tenait à défendre personnellement.
Je tiens un magasin de chaussures fermé comme tous les lundis.
J’étais chez nous au bord du bois de Vincennes où nous logons depuis notre mariage lorsque la sonnette de notre appartement a retenti.
J’étais en maillot de bain et je repeignais la chambre de Jean-Luc.
Nous l’avions vidé avec Renaud hier avant son départ et si j’étais en maillot de bain, c’étais à cause de la canicule.
Je suis allée voir discrètement par l’oeilleton et j’ai vu Charles, le copain d’enfance de Renaud.
J’ai eu conscience de ma tenue, mais Charles nous avait rejoints chez mes parents aux vacances dernières et il me connaissait dans un maillot deux pièces sur la plage.
J’ai ouvert sans malice.
• Charles est là, il m’a appelé pour que je lui rapporte ce dossier hier au soir, il semblait en avoir besoin pour une affaire qu’il plaide aujourd’hui.
J’ai eu son message ce matin seulement et je suis passé à l’étude.
Claire m’a dit qu’il partait pour Orléans et que je pouvais tenter de venir chez vous voir s’il était parti, son affaire se jugeant en fin de journée.
Par politesse et voulant éviter d’être vue par notre voisin, en petite tenue, je l’ai fait entrer.
• Tu as de la peinture sur ton bout de nez, non, là.
Je venais de lui servir un whisky et il avait insisté pour que je l’accompagne.
J’ai déjà dit l’effet de l’alcool m’ayant fait perdre mon pucelage.
Il m’a essuyé le nez, avec son mouchoir et dans un brouillard j’ai senti qu’il m’embrassait.
Je suis peu porté sur le sexe, surtout que personne même mon mari m’a appris à être autre chose que ce que je suis devenue, une bourgeoise qui travaille plus pour passer son temps que par besoin.
Mon expérience du soir de bac y ayant certainement contribué, sans compter ma naissance un soir de cuite, même si c’était mon père qui était concerné.
Tel père, tel fils, je connais l’adage, même si je suis une fille.
Comment je me retrouve avec la bite de Charles dans ma chatte alors que je me réveille face à Renaud debout devant moi à quatre pattes sur notre canapé, je l’ignore ?
• Salope, je m’absente deux jours et je te retrouve avec la bite de mon copain te défonçant dès le premier soir.
La SNCF est une nouvelle fois en grève et j’ai reçu un message de Claire que le tribunal d’Orléans avait reporté à une autre date mon audience.
Je rentre chez moi et je retrouve une salope se faisant tringler.
Charles, j’espère qu’elle est plus chaude qu’avec moi !
À ce que je vois c’est le cas, moi j’ai droit de la baiser que dans la position du missionnaire, toi tu la baise en levrette.
• Charles, libère-moi au lieu de t’accrocher à mes reins, j’ai honte de ce que j’ai fait., chéri, c’est Charles qui a voulu que je boive un verre de ton meilleur whisky.
Mais lâche-moi Charles, voit comme la situation est gênante pour nous trois.
• Non, continu mon ami, je sais ce qu’il me reste à faire !
Putain, ça marche, mon plan semble fonctionner, ma femme est pigée, je dois reconnaitre que j’avais quelques billes lorsque j’ai monté mon plan avec Charles.
Le dépucelage de ma femme, c’est peu avant nos noces qu’elle m’a avoué avoir perdues sa virginité le soir de son bac, avec un inconnu le soir de sa réussite au bac.
Ce qui est drôle et nous en avions rit, c’était que moi aussi, le même soir, je suis plus vieux d’un an, mais elle avait sauté une classe que j’ai perdu le mien.
C’était avec Olga la mère de Virginie qui nous recevait que je l’ai perdu.
Nous avions été reçus par cette femme et je l’avais trouvée bandante, mais pas au point de penser que je tremperais ma queue ce soir-là dans sa chatte.
Raoul l’un de nos copains avait amené une bouteille de Martini qu’il avait réussi à chouraver à sa propre mère se pintant avec ce type de boisson alors que la soirée était prévue juste aux boissons sans alcool.
J’en avais bu un demi-verre et cherchant les toilette, je me suis retrouvé à ouvrir la porte de la chambre d’Olga.
Elle lisait en se caressant, elle a quitté son livre pour me caresser faisant de moi un homme.
Quant à la naissance de ma femme après une cuite de son père, j’ai eu la chance de rencontrer la même vieille rombière qui l’avait mise au courant de l’histoire de sa naissance.
Je me suis servi de ces éléments pour monter mon piège.
Présentement devant ma femme fermement tenue par mon comparse, je sors ma bite et je la four dans la bouche de Nadia.
Je la pilonne regardant Charles qui en fait de même de son côté, je lui fais un clin d’œil, jusqu’à ce que tous les deux nous éjaculions.
• Mon chéri, j’ai honte, mais si c’est ce que tu veux pour me pardonner mon égarement, j’ai tant joui avec vos deux bites que je suis prête à recommencer.
Putain quel con, j’ignorais que Nadia était coincée du cul avant que mon copain me l’avoue.
Pourtant à la voir, on aurait dit une chaude du cul.
J’attendais un jour où il s’absenterait pour venir me la faire et c’est lui qui me l’offre sur un plateau.
Je savais l’addiction de Nadia à l’alcool, ça m’a bien servi pour m’aider à la sauter avant qu’il revienne.
Elle a joui une première fois sous nos bites, dans leur chambre, nous remettons le couvert, cette petite pute en veut encore.
• Charles regarde, je l’encule pendant que tu lui prends la chatte, merci, grâce à toi j’ai une femme comme j’espérais.
Alors que pour la première fois, mon mari m’encule alors que je viens de m’empaler sur la bite de son copain, les propos de mon mari me font penser que j’ai été victime d’un coup monté.
Qu’importe, je croyais être la femme idéale pour mon mari, mais être une salope, c’est tellement mieux.
• Chérie, dépêche-toi, le taxi nous attend, Charles nous a organisé une petite soirée où tu vas être la reine de la fête pour ton anniversaire.
• Je suis prête mon amour, je viens de conduire Jean-Luc chez la voisine qui le garde pour la nuit.
J’y suis allée en peignoir, inutile qu’elle voit la tenue que tu m’as offerte, à son âge, elle aurait risqué un infarctus et notre soirée aurait été loupée.
Ce soir, c’est le grand jour, le premier d’une longue soirée, l’autre soir Renaud pensant que j’étais dans mon bain alors que nous avions baisé comme des bêtes, il a appelé Charles.
• Cinq, on sera cinq pour la sauter, rien que du beau calibre, ce sera parfait, on va l’éclater, à samedi.
C’est con, un cocu, c’est doublement con lorsque c’est lui qui vous amène votre proie à domicile et qu’avec vos copains vous allez niquer toute la nuit.
• Nadia, mes amis, une petite coupe de champagne pour détendre l’atmosphère ?
Une petite coupe de champagne pour une belle salope, la soirée commence bien, elle va perdre la tête dès la première coupe.
J’ai bien fait de monter mon coup !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle écriture magnifique...
Merci
Cyrille
Merci
Cyrille