COLLECTION HISTOIRE COURTE. Courte et intense (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Courte et intense (1/1)
Je m’appelle Christophe, j’ai bientôt soixante-quinze ans et l’aventure que je viens de vivre a été courte, mais pour le moins intense !
Ça s’est passé le premier jour de ce mois de juillet en Suède près d’Oslo.
Ma femme Alicia et moi nous venions de rejoindre l’hôtel qu’elle avait retenu pour une semaine.
Elle prépare pendant des heures nos voyages pendant l’hiver et j’ai plutôt intérêt de suivre à la lettre ses choix et les directives qu’elle me donne.
C’était la première fois que nous venions dans les pays du nord en été.
Je suis souvent en désaccord avec elle après cinquante ans de mariage, mais l’expérience de l’an passé doublé de ce que nous entendons de ce qui se passe dans le sud nous conforte de venir ici.
Grèce, incendies, Italie, incendies, Espagne, incendie, même le sud de la France est en alarme rouge.
De plus, nous habitons à Sète non loin de la tombe de l’ami Georges alors choisir la Suède m’est apparu être une excellente idée.
Un moment, nous étions à deux doigts de faire la Croatie, mais sur les routes que nous traversions pour rejoindre Oslo, j’ai pu lire sur mon portable, que là-bas aussi des incendies faisaient rage.
Lors de grands déplacements, j’accepte que madame conduise, comme l’on dit vulgairement lorsqu’elle est au volant, je fais de l’huile m’accrochant à la portière.
Pourtant, je dois reconnaitre qu’elle conduit bien, même presque mieux que moi !
Mais j’ai toujours conduit jusqu’à cette année et changé ses habitudes pour une personne prenant de l’âge, c’est de plus en plus difficile.
Enfin, nous débarquons à l’hôtel que nous avons réservé.
Agréable réception par une jolie Suédoise blonde et bagagiste montant nos valises à notre chambre.
Nous avons de bons moyens et l’hôtel est dans la gamme de ceux que nous choisissons en Italie, sauf à Gène ou nous avons fait une erreur et que l’hôtel laissait à désirer.
Par chance, nous avons pu dîner dans un resto sur le port, un très bon repas avec de très bons vins et ça a sauvé notre étape.
Cette semaine, nous avons fait le choix de visiter le mieux possible le pays dit froid.
J’avais lu certaines brochures et j’avais vu que l’hôtel mettait à la disposition des clients un sauna.
Ma femme défaisant les valises, chose comme ses armoires qu’il m’est interdit de toucher, je lui dis que je vais profiter du sauna.
• T’as que ça à faire, j’ai conduit plus de la moitié du trajet et c’est encore moi qui dois faire le boulot une fois arrivée !
Ça, c’est cinquante ans de mariage, ce sont toujours pour les mêmes griefs que nous avons des disputes.
À non, j’oubliais les enfants, surtout ses fils, même si elle sait pertinemment qu’ils ont tort, il faut immanquablement qu’elle les défende.
Je sais, certains diront que j’aurais dû la quitter, j’ai failli le faire vers la quarantaine, mais ses larmes de croco ont fini par me convaincre de rester.
Pleutre, certainement un peu, mais je suis principalement un homme qui fuit les conflits.
Je peux dire aussi, si j’étais grivois que je m’en bas la queue, elle peut dire ce qu’elle veut, je m’en tape depuis des années.
Oh ! bien sûr, elle faisait son devoir conjugal, mais dès que je voulais pimenter nos jeux, elle se fermait comme une huitre et pendant plusieurs jours, j’avais le droit à la soupe à la grimace.
Depuis ses soixante-dix ans, elle a trouvé le moyen d’arrêter que nous avons des rapports se trouvant trop vieille.
Je me suis replié sur la chambre de mon fils ainé.
Fauteuil, ordi, télé avec les chaînes qu’il faut pour suivre le foot et en même temps les films ou de jolies filles se font mettre par des hardeurs.
Jeunes, hélas, les pornos se vendaient sous le manteau comme les fausses montres Rolex et contrairement à maintenant les sociétés de casting étaient loin d’avoir pignon sur rue.
Sinon j’aurais tenté ma chance, baisé des jeunes et jolies filles, ça m’aurait énormément plu.
Je descends, à la réception, voir la jolie brunette qui nous a reçus.
Elle parle couramment le français.
• Pour le sauna, vous descendez directement par l’ascenseur au niveau -1.
Vous vous retrouverez dans une salle où se trouvent des casiers avec des fermetures à combinaison.
Il y a des draps de bain sur la chaise à côté et une panière pour les mettre lorsque vous aurez terminé.
Les consignes d’utilisations sont affichées en langue anglaise, française et allemande, facile à s’en servir.
• Merci, j’y vais de ce pas, vous parlez extrêmement bien le français.
• J’ai vécu quatre ans à Paris pour mes études de langues, j’en parle neuf, ça aide.
Comme Ruth me l’a dit, je trouve ce qu’elle m’a dit, je dis Ruth, car son nom est sur sa jolie poitrine gonflant son chemisier et me faisant envie.
Enfin dans ma tête, je sais deux choses, je bande en me masturbant, mais avec beaucoup de temps et Ruth est certainement bien plus jeune que ma fille.
Si un rapprochement devait avoir lieu, c’est à ma fille que je penserais si je plantais ma queue en elle et irrémédiablement ça me ferait débander.
Je retourne aux ascenseurs et j’appuie sur -1, l’ascenseur me dépose.
Il est là, les casiers aussi ainsi ce qu’elle a oublié de me dire, une cabine pour ôter nos vêtements.
Je suis en maillot de bain sous mon pantalon inutile de m’en servir, je me mets torse nue et j’entre dans l’antre de l’enfer chaud.
Personne, quatre places je m’installe, les pierres sont déjà chaudes, un baril d’eau, j’en verse, la température et le vapeur emplit la petite pièce en bois.
Cinq minutes et je vois dans mon brouillard par la petite fenêtre en façade près de la porte celle de l’ascenseur s’ouvrir.
Une magnifique femme blonde en sortir, elle est déjà en maillot, du moins je le crois, une serviette nouée autour de ses seins.
Ignorant l’étape des casiers, elle entre près de moi et doit me saluer dans la langue de son pays.
Blonde naturelle avec des seins comme des obus, à me retenir d’y porter la main.
Blonde, car elle dénoue la serviette et m’apparait très naturellement dans le plus simple appareil.
Comme moi, elle pose sa serviette sur le siège et alors qu’il y a la possibilité de laisser une place entre elle et moi tout en continuant de me parler sans que je comprenne, s’installe à mon côté.
Je comprends qu’elle me demande de remettre de l’eau, dommage, la vision de sa beauté me subjuge et remettre de la vapeur cela a tendance à me la cacher.
Est-ce que je rêvais des formes de ma voisine, je sens une main se poser sur ma cuisse.
J’ai un mouvement de retrait, elle doit prendre cela comme un refus.
Je bloque sa main qui comprenant que je suis surpris mais consentant reprend son chemin vers mon maillot.
Incroyable, sans la voir, je sens ma queue la tête sortant sans qu’elle me touche.
À la voir se mettre nue lorsqu’elle est rentrée, ma bite qui met du temps à bander, a relevé la tête comme à mes plus beaux jours.
Elle me prend en main et commence à me masturber, je sens sa main libre venir remettre de l’eau, laissant la cabine donnant son maxi en vapeur et remplissant tout l’espace.
Je suis à deux doigts de l’apoplexie, surtout lorsque je sens sa jolie bouche, le peu de temps ou je l’ai vu entourer ma vieille verge.
C’est la première fois que l’on me suce, Alicia m’a toujours refusé ces pratiques trouvant cela avilissant pour une femme mariée.
J’ai essayé deux fois, la deuxième, j’ai failli prendre une baffe, pour elle seule les putes sucent leurs clients.
Pourtant, la jeune femme blonde de l’âge certainement de ma fille me pompe allègrement.
Je sais, il y a peu en pensant à Ruth, j’ai pensé que je serais incapable de bander, mais là les circonstances sont différentes, la vapeur me protège, c’est simplement une bouche qui me pompe.
Ma main trouve son sein droit, je le prends en main, lui titillant la pointe qui est déjà tout électrisée.
Ça fait combien d’années que la main s’est retrouvée sur ceux d’Alicia qui, hélas, lorsque les rares fois où je les vois son flasque et tombant.
De véritable queue de castor, là j’en ai dans la main pour mon plus grand plaisir.
Sent-elle que je suis à deux doigts, de décharger, avec plein de regret je la sens se retirer ?
La vapeur se dissipe légèrement, je vois qu’elle m’enjambe se plaçant de chaque côté de ma verge sur ma serviette que j’ai aussi posée sous moi.
Je sais que le bois surchauffe au bout d’un moment et s’est elle qui passe sa main entre nous pour que ma verge la pénètre.
Certains bien-pensants me diront, la capote, à soixante-quinze ans et la première fois que je trompe ma femme, les maladies sexuellement transmissibles, sont loin de mon esprit.
Le principal, c’est de sentir la pointe de son sein sous ma langue et ma verge bien au chaud dans son fourreau.
Elle m’embrasse dans le cou, à deux doigts de me faire un suçon.
Je suis fidèle depuis mon mariage, mais j’ai eu trois petites salopes avant, Alicia, elle étant vierge.
Rapidement, elle se met à chanter son plaisir dans mon cou.
La chaleur est étouffante, plus par la situation que par la vapeur, elle monte et descend sur un pieu, car c’est un véritable pieu que ma bite est devenue.
J’ai déjà fait jouir Alicia, il y a trente ou quarante ans.
Depuis les dernières fois j’ai souvent pensé qu’elle simulait, là c’est une vraie femme que j’ai dans mes bras lorsque le plaisir simultané nous transperce.
Je décharge, oh ! quelques gouttes de sperme, en tout cas beaucoup plus que dans mes séances de masturbation en regardant de petits films pornographiques.
Elle me parle encore certainement pour me remercier et tout en me donnant un baiser sur mon bout de nez.
Elle se lève reprend sa serviette et sort magnifiquement nue son cul de déesse me permettant de garder une légère tension.
J’entends la douche à côté du sauna avant de la voir reprendre l’ascenseur sa serviette nouée autour de ses si jolis seins.
Si je la croise dans l’ascenseur ou dans les couloirs les jours prochains, rappelons que je viens d’arriver !
Si elle a sa serviette, comme elle là au moment où les portes se referment, je saurais qu’elle se balade nue dans l’hôtel.
Pour ma part, je reprends une tenue dressante, hors de question de me promener nu sous une serviette au risque de montrer mes bijoux de famille passant pour un obsédé ou un pédophile, il y a des enfants dans cet hôtel.
Je rejoins madame qui est sur le balcon regardant la vue avant que nous reprenions l’ascenseur pour rejoindre le restaurant.
Discrètement je cherche du regard avec lequel ce fut cour et intense, mais il y a bien de jolies femmes, aucune autant que celle que j’ai eu le plaisir de la sauter.
La nuit, j’en suis même à me demander si tout ceci a existé et si c’est un rêve que j’ai fait.
Le lendemain Alicia décoinçant à 10 heures, je vais faire un tour, mais j’en profite pour rejoindre Ruth.
• Je sais que dans votre travail, la confidentialité est de rigueur, mais pouvez-vous me dire si une jeune femme, blonde, trente-cinq à quarante ans est toujours à l’hôtel ?
Je l’ai croisé hier lorsque je remontais du sauna et j’ai trouvé cette gourmette, elle est peut-être à elle !
J’avais cette gourmette dans mon porte-monnaie depuis des mois, je l’ai trouvé en me promenant dans un parc, je l’avais oublié, mais je m’en suis souvenue au moment de chercher un motif pour interroger Ruth.
• Je peux vous répondre, vous devez parler de madame Hayden Hansen, la femme de Kristian Hansen.
Ils sont partis hier avant le dîner, ils retournaient chez eux et voulaient que leurs trois enfants dorment pendant le voyage.
Le mari était en colère, car sa femme a voulu faire un dernier sauna avant de prendre la route et les a mis en retard.
Donnez-moi cette gourmette, je la remettrais à la direction qui se chargera de leur retourner, soyez sans crainte.
Ça va leur faire tout drôle de recevoir cette gourmette, mais depuis ce jour jusqu’à aujourd’hui, je me pose une question, pourquoi, pourquoi moi, vieux et avec une telle différence d’âge.
Tout ce dont je me souviens, c’est que ce fut cour, certes, mais si intense, je suis à deux doigts de penser que cette jolie femme Hayden a été la chance de ma fin de vie.
Ça s’est passé le premier jour de ce mois de juillet en Suède près d’Oslo.
Ma femme Alicia et moi nous venions de rejoindre l’hôtel qu’elle avait retenu pour une semaine.
Elle prépare pendant des heures nos voyages pendant l’hiver et j’ai plutôt intérêt de suivre à la lettre ses choix et les directives qu’elle me donne.
C’était la première fois que nous venions dans les pays du nord en été.
Je suis souvent en désaccord avec elle après cinquante ans de mariage, mais l’expérience de l’an passé doublé de ce que nous entendons de ce qui se passe dans le sud nous conforte de venir ici.
Grèce, incendies, Italie, incendies, Espagne, incendie, même le sud de la France est en alarme rouge.
De plus, nous habitons à Sète non loin de la tombe de l’ami Georges alors choisir la Suède m’est apparu être une excellente idée.
Un moment, nous étions à deux doigts de faire la Croatie, mais sur les routes que nous traversions pour rejoindre Oslo, j’ai pu lire sur mon portable, que là-bas aussi des incendies faisaient rage.
Lors de grands déplacements, j’accepte que madame conduise, comme l’on dit vulgairement lorsqu’elle est au volant, je fais de l’huile m’accrochant à la portière.
Pourtant, je dois reconnaitre qu’elle conduit bien, même presque mieux que moi !
Mais j’ai toujours conduit jusqu’à cette année et changé ses habitudes pour une personne prenant de l’âge, c’est de plus en plus difficile.
Enfin, nous débarquons à l’hôtel que nous avons réservé.
Agréable réception par une jolie Suédoise blonde et bagagiste montant nos valises à notre chambre.
Nous avons de bons moyens et l’hôtel est dans la gamme de ceux que nous choisissons en Italie, sauf à Gène ou nous avons fait une erreur et que l’hôtel laissait à désirer.
Par chance, nous avons pu dîner dans un resto sur le port, un très bon repas avec de très bons vins et ça a sauvé notre étape.
Cette semaine, nous avons fait le choix de visiter le mieux possible le pays dit froid.
J’avais lu certaines brochures et j’avais vu que l’hôtel mettait à la disposition des clients un sauna.
Ma femme défaisant les valises, chose comme ses armoires qu’il m’est interdit de toucher, je lui dis que je vais profiter du sauna.
• T’as que ça à faire, j’ai conduit plus de la moitié du trajet et c’est encore moi qui dois faire le boulot une fois arrivée !
Ça, c’est cinquante ans de mariage, ce sont toujours pour les mêmes griefs que nous avons des disputes.
À non, j’oubliais les enfants, surtout ses fils, même si elle sait pertinemment qu’ils ont tort, il faut immanquablement qu’elle les défende.
Je sais, certains diront que j’aurais dû la quitter, j’ai failli le faire vers la quarantaine, mais ses larmes de croco ont fini par me convaincre de rester.
Pleutre, certainement un peu, mais je suis principalement un homme qui fuit les conflits.
Je peux dire aussi, si j’étais grivois que je m’en bas la queue, elle peut dire ce qu’elle veut, je m’en tape depuis des années.
Oh ! bien sûr, elle faisait son devoir conjugal, mais dès que je voulais pimenter nos jeux, elle se fermait comme une huitre et pendant plusieurs jours, j’avais le droit à la soupe à la grimace.
Depuis ses soixante-dix ans, elle a trouvé le moyen d’arrêter que nous avons des rapports se trouvant trop vieille.
Je me suis replié sur la chambre de mon fils ainé.
Fauteuil, ordi, télé avec les chaînes qu’il faut pour suivre le foot et en même temps les films ou de jolies filles se font mettre par des hardeurs.
Jeunes, hélas, les pornos se vendaient sous le manteau comme les fausses montres Rolex et contrairement à maintenant les sociétés de casting étaient loin d’avoir pignon sur rue.
Sinon j’aurais tenté ma chance, baisé des jeunes et jolies filles, ça m’aurait énormément plu.
Je descends, à la réception, voir la jolie brunette qui nous a reçus.
Elle parle couramment le français.
• Pour le sauna, vous descendez directement par l’ascenseur au niveau -1.
Vous vous retrouverez dans une salle où se trouvent des casiers avec des fermetures à combinaison.
Il y a des draps de bain sur la chaise à côté et une panière pour les mettre lorsque vous aurez terminé.
Les consignes d’utilisations sont affichées en langue anglaise, française et allemande, facile à s’en servir.
• Merci, j’y vais de ce pas, vous parlez extrêmement bien le français.
• J’ai vécu quatre ans à Paris pour mes études de langues, j’en parle neuf, ça aide.
Comme Ruth me l’a dit, je trouve ce qu’elle m’a dit, je dis Ruth, car son nom est sur sa jolie poitrine gonflant son chemisier et me faisant envie.
Enfin dans ma tête, je sais deux choses, je bande en me masturbant, mais avec beaucoup de temps et Ruth est certainement bien plus jeune que ma fille.
Si un rapprochement devait avoir lieu, c’est à ma fille que je penserais si je plantais ma queue en elle et irrémédiablement ça me ferait débander.
Je retourne aux ascenseurs et j’appuie sur -1, l’ascenseur me dépose.
Il est là, les casiers aussi ainsi ce qu’elle a oublié de me dire, une cabine pour ôter nos vêtements.
Je suis en maillot de bain sous mon pantalon inutile de m’en servir, je me mets torse nue et j’entre dans l’antre de l’enfer chaud.
Personne, quatre places je m’installe, les pierres sont déjà chaudes, un baril d’eau, j’en verse, la température et le vapeur emplit la petite pièce en bois.
Cinq minutes et je vois dans mon brouillard par la petite fenêtre en façade près de la porte celle de l’ascenseur s’ouvrir.
Une magnifique femme blonde en sortir, elle est déjà en maillot, du moins je le crois, une serviette nouée autour de ses seins.
Ignorant l’étape des casiers, elle entre près de moi et doit me saluer dans la langue de son pays.
Blonde naturelle avec des seins comme des obus, à me retenir d’y porter la main.
Blonde, car elle dénoue la serviette et m’apparait très naturellement dans le plus simple appareil.
Comme moi, elle pose sa serviette sur le siège et alors qu’il y a la possibilité de laisser une place entre elle et moi tout en continuant de me parler sans que je comprenne, s’installe à mon côté.
Je comprends qu’elle me demande de remettre de l’eau, dommage, la vision de sa beauté me subjuge et remettre de la vapeur cela a tendance à me la cacher.
Est-ce que je rêvais des formes de ma voisine, je sens une main se poser sur ma cuisse.
J’ai un mouvement de retrait, elle doit prendre cela comme un refus.
Je bloque sa main qui comprenant que je suis surpris mais consentant reprend son chemin vers mon maillot.
Incroyable, sans la voir, je sens ma queue la tête sortant sans qu’elle me touche.
À la voir se mettre nue lorsqu’elle est rentrée, ma bite qui met du temps à bander, a relevé la tête comme à mes plus beaux jours.
Elle me prend en main et commence à me masturber, je sens sa main libre venir remettre de l’eau, laissant la cabine donnant son maxi en vapeur et remplissant tout l’espace.
Je suis à deux doigts de l’apoplexie, surtout lorsque je sens sa jolie bouche, le peu de temps ou je l’ai vu entourer ma vieille verge.
C’est la première fois que l’on me suce, Alicia m’a toujours refusé ces pratiques trouvant cela avilissant pour une femme mariée.
J’ai essayé deux fois, la deuxième, j’ai failli prendre une baffe, pour elle seule les putes sucent leurs clients.
Pourtant, la jeune femme blonde de l’âge certainement de ma fille me pompe allègrement.
Je sais, il y a peu en pensant à Ruth, j’ai pensé que je serais incapable de bander, mais là les circonstances sont différentes, la vapeur me protège, c’est simplement une bouche qui me pompe.
Ma main trouve son sein droit, je le prends en main, lui titillant la pointe qui est déjà tout électrisée.
Ça fait combien d’années que la main s’est retrouvée sur ceux d’Alicia qui, hélas, lorsque les rares fois où je les vois son flasque et tombant.
De véritable queue de castor, là j’en ai dans la main pour mon plus grand plaisir.
Sent-elle que je suis à deux doigts, de décharger, avec plein de regret je la sens se retirer ?
La vapeur se dissipe légèrement, je vois qu’elle m’enjambe se plaçant de chaque côté de ma verge sur ma serviette que j’ai aussi posée sous moi.
Je sais que le bois surchauffe au bout d’un moment et s’est elle qui passe sa main entre nous pour que ma verge la pénètre.
Certains bien-pensants me diront, la capote, à soixante-quinze ans et la première fois que je trompe ma femme, les maladies sexuellement transmissibles, sont loin de mon esprit.
Le principal, c’est de sentir la pointe de son sein sous ma langue et ma verge bien au chaud dans son fourreau.
Elle m’embrasse dans le cou, à deux doigts de me faire un suçon.
Je suis fidèle depuis mon mariage, mais j’ai eu trois petites salopes avant, Alicia, elle étant vierge.
Rapidement, elle se met à chanter son plaisir dans mon cou.
La chaleur est étouffante, plus par la situation que par la vapeur, elle monte et descend sur un pieu, car c’est un véritable pieu que ma bite est devenue.
J’ai déjà fait jouir Alicia, il y a trente ou quarante ans.
Depuis les dernières fois j’ai souvent pensé qu’elle simulait, là c’est une vraie femme que j’ai dans mes bras lorsque le plaisir simultané nous transperce.
Je décharge, oh ! quelques gouttes de sperme, en tout cas beaucoup plus que dans mes séances de masturbation en regardant de petits films pornographiques.
Elle me parle encore certainement pour me remercier et tout en me donnant un baiser sur mon bout de nez.
Elle se lève reprend sa serviette et sort magnifiquement nue son cul de déesse me permettant de garder une légère tension.
J’entends la douche à côté du sauna avant de la voir reprendre l’ascenseur sa serviette nouée autour de ses si jolis seins.
Si je la croise dans l’ascenseur ou dans les couloirs les jours prochains, rappelons que je viens d’arriver !
Si elle a sa serviette, comme elle là au moment où les portes se referment, je saurais qu’elle se balade nue dans l’hôtel.
Pour ma part, je reprends une tenue dressante, hors de question de me promener nu sous une serviette au risque de montrer mes bijoux de famille passant pour un obsédé ou un pédophile, il y a des enfants dans cet hôtel.
Je rejoins madame qui est sur le balcon regardant la vue avant que nous reprenions l’ascenseur pour rejoindre le restaurant.
Discrètement je cherche du regard avec lequel ce fut cour et intense, mais il y a bien de jolies femmes, aucune autant que celle que j’ai eu le plaisir de la sauter.
La nuit, j’en suis même à me demander si tout ceci a existé et si c’est un rêve que j’ai fait.
Le lendemain Alicia décoinçant à 10 heures, je vais faire un tour, mais j’en profite pour rejoindre Ruth.
• Je sais que dans votre travail, la confidentialité est de rigueur, mais pouvez-vous me dire si une jeune femme, blonde, trente-cinq à quarante ans est toujours à l’hôtel ?
Je l’ai croisé hier lorsque je remontais du sauna et j’ai trouvé cette gourmette, elle est peut-être à elle !
J’avais cette gourmette dans mon porte-monnaie depuis des mois, je l’ai trouvé en me promenant dans un parc, je l’avais oublié, mais je m’en suis souvenue au moment de chercher un motif pour interroger Ruth.
• Je peux vous répondre, vous devez parler de madame Hayden Hansen, la femme de Kristian Hansen.
Ils sont partis hier avant le dîner, ils retournaient chez eux et voulaient que leurs trois enfants dorment pendant le voyage.
Le mari était en colère, car sa femme a voulu faire un dernier sauna avant de prendre la route et les a mis en retard.
Donnez-moi cette gourmette, je la remettrais à la direction qui se chargera de leur retourner, soyez sans crainte.
Ça va leur faire tout drôle de recevoir cette gourmette, mais depuis ce jour jusqu’à aujourd’hui, je me pose une question, pourquoi, pourquoi moi, vieux et avec une telle différence d’âge.
Tout ce dont je me souviens, c’est que ce fut cour, certes, mais si intense, je suis à deux doigts de penser que cette jolie femme Hayden a été la chance de ma fin de vie.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beau récit excitant
J'aimerais bien échanger par mail avec vous
Annie
J'aimerais bien échanger par mail avec vous
Annie
C'est ce que l'on apelle une coquille...
Oslo est en Norvège
Court mais intense mon cher Chris.