COLLECTION HISTOIRE COURTE. Covoiturage (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Covoiturage (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Covoiturage (1/1)
• Êtes-vous Anna ?
• Oui, mais Ana avec un seul « n », je suis d’origine japonaise, mais mes parents seulement, je suis né à Cambrai, mais attention les bêtises et moi ça fait deux.
Je descends à Nice afin de me marier dans deux jours.
• Montez, inutile de perdre du temps surtout qu’il faut que nous passions au centre de Paris pour récupérer une vieille dame qui va elle aussi aux fiançailles de son fils à Cannes.

Galant, je descends de ma berline pour déposer le sac d’Ana dans mon coffre que j’ai déverrouillé avant de descendre.
C’est le moment de me présenter.
Adrien de Cornac, fils de Léon de Cornac et de Blanche ma mère, roturière autant que l’est la famille de mon père.
La famille a récupéré les terre du Sir de Cornac avec sa particule lors de la révolution.
On a toujours su dans la famille que si la tête du roi avait roulée dans la sciure, celle du Sir de Cornac avait fini au bout de la pique de notre aïeul.
Vingt-cinq ans, 1 mètre 88, 70 kilos, alors que lorsqu’elle est près de moi pour déposer son sac, Ana au bas mot doit mesurer 1 mètre 58 pour une quarantaine de kilos.
Avec ses yeux bridés, j’ai à mon côté une vraie poupée dont j’ignore son âge, mais qui doit avoisiner le mien.
Ma voiture démarre, chevaleresque jusqu’au bout des ongles, je lui ai ouvert sa portière.
Sans que je sois un voyeur, un instant sa courte jupe remontant, j’ai eu le temps de m’apercevoir qu’elle est rose.
Elle doit remarquer que j’ai vu, je la vois rougir, ce qui est bien agréable.

• Vous êtes bien attaché, attention au départ.
Oh ! pardon !

Ces mots, je les prononce au moment où passant ma main sur la ceinture de son côté pour voir si elle est bien serrée, je lui touche le sein.
Quelquefois je sais qu’elle s’enclenche mal, je l’ai signalée à mon garagiste, mais par manque de place, j’ai pris rendez-vous au retour de mes vacances à Nice, chez Lionel et Sahra, mes amis d’enfance.
Ils ont déménagé de Roubaix avant les risques de leur licenciement.
Ils travaillaient tous les deux dans la filature de mon père, l’une des dernières sur notre ville et ils ont anticipé la décision que je devrais prendre en début d’exercice de réduire le personnel.
En touchant la ceinture, donc, une fraction de seconde je touche le sein d’Ana, petit mais réagissant positivement, sa pointe ce durcissant.
J’ai nettement senti qu’il était libre, sa fraise dardant, se trouvant sans la moindre trace de sous-vêtements.
J’aime les femmes libres de leur corps, certaines dont j’ai eu affaire dans ma jeune carrière de séducteur, mettant de véritables armures dignes des belles du temps des chevaliers.

• Fais-tu souvent du covoiturage ?

Elle entend que je lui parle et enlève l’un de ses écouteurs qu’elle a mis dans son oreille.

• Pardon !

Ça va être gaie, traverser la France du nord au sud, avec une voisine écoutant sa propre musique.
Ça risque d’être fastidieux si je dois répéter mes questions chaque fois qu’elle enlèvera ce morceau de plastique placé dans son oreille.
Je suis un peu écolo et je lutte contre l’envahissement des océans ayant vu une conférence d’un spécialiste nous parlant du septième continent principalement dans le Pacifique, un océan de plastique.
C’était l’été dernier, dans le massif des bauges en Haute-Savoie, j’étais venu faire des randonnés pour m’oxygéner le cerveau après l’épisode de la pandémie prémise du dérèglement du monde pour Jennifer.
Jennifer, fraichement larguée par son mec, certainement soulé du tri sélectif dont elle était une ardente défenderesse.
Je l’avais croisé au-dessus d’Alby-sur-Chéran où j’avais mon hôtel me servant de camp de base.
J’avais choisi cette vieille cité médiévale, car tous les cinq ans, elle organise une fête où des jongleurs et des chevaliers viennent rivaliser de toute la France et d’Europe avec des épées que j’ai eu du mal à porter lorsque l’un d’eux m’en a confié une.
J’ai principalement apprécié deux choses, le cul de Jennifer rencontré lors de la soirée du samedi soir où les organisateurs nous avaient placé l’un à côté de l’autre.
L’autre, le combat que j’ai fait à peine trente secondes avec l’un de ces chevaliers en armure, comme je l’ai dit, m’ayant prêté l’une de ses épées.
Je suis bien baraqué, à Roubaix dans mes temps libres je vais à la salle soulever des barres de plus en plus lourde, mais là j’ai abandonné complètement épuisé.
Je me suis rattrapé jusqu’au matin ou ma chambre d’hôtel a raisonné des cris de Jennifer lorsque je la prenais en levrette.
Deux danses dans cette soirée, quelques coups de genoux sous la table, emballés, c’est pesé, mon charme naturel faisant le reste.
Dans une autre vie, elle avait dû être pute, tellement ses jeux érotiques étaient divers et variée.
J’ai beaucoup marché et appris avec elle, une vraie pipelette sur écologie.
Le seul moment où j’arrivais à la faire taire, s’était lorsque marchant dans la nature, je lui fourrais ma bite dans la bouche.
Elle était toujours partante dans les deux cas, mon sperme étant certainement écologique à ses yeux.
Par chance, elle habitait à Limoges ou elle vendait des billets pour pouvoir entrer dans le village martyre d’Oradour-sur-Glane.
C’est en bons amis, promettant de nous revoir, qu’elle a repris le train à Rumilly où je l’ai déposé avant de récupérer l’autoroute pour le Nord de la France.
J’en suis là de mes pensées un peu déplacées, Ana, descendant se marier et ayant été obligé de covoiturer à cause de grèves des transports lorsque nous arrivons sur le périphérique, j’ai bien roulé bien que les cuisses de ma voisine aient eu tendance à me troubler.
Dans quelques minutes, près de la place des Vosges, je vais charger la mémé et tout sera dit.
Je me vois mal demander à cette grand-mère, sa servante qui m’a jointe m’a dit que madame de Sain Brade avait soixante-six ans, « tu peux nous laisser seules, je vais me taper la petite ».
Au lieu de rendez-vous une femme BCBG est là, seule.

• Monsieur de Cornac, madame de Sain Brade est souffrante, elle se faisait une joie de faire route avec vous, mais elle doit garder le lit.
• Et les fiançailles de son fils, dommage, elle va les louper.

Cette femme de grande classe, se met à rire, elle est habillée d’un tailleur gris sur blouse blanche.
Ses seins se soulèvent en rythme, dommage que je la rencontre dans de telles circonstances, je lui aurais demandé d’ouvrir sa blouse pour les prendre en main.

• Dites-moi ce qui vous rend hilare ?
• Pardon, c’est nerveux, ma patronne a marié son fils il y a vingt ans, je venais de débuter comme dame de compagnie vers elle.
Elle s’ennuie d’être seule et a trouvé le covoiturage pour se divertir.
Chaque mois, j’appelle pour lui trouver un chauffeur vers le Sud et le lendemain, j’en trouve un autre qui la remonte.
J’ai déjà annulé son retour, je pense qu’elle recommencera dès qu’elle ira mieux.
J’ai essayé de vous joindre, mais j’ai eu votre répondeur, je voulais vous éviter le détour.

Voilà comment nous reprenons la direction de la porte d’Orléans en profitant pour regarder Paris au rythme des travaux et des embouteillages.
Il va falloir que je fasse le voyage seul avec sous les yeux les cuisses de ma voisine me faisant largement envie.
Nous finissons le parcours et de nouveau l’autoroute rapidement Ana dore, me laissant seul avec mes pensées.
Au bout d’un moment, sa tête a tendance à tomber sur le côté et venir se poser sur mon épaule.
Je suis galant, je la laisse comme cela même si la circulation dans mon bras se coupe, dû à l’ankylosant.
J’aurais dû réagir plus tôt lorsque sa main vient se poser sur mon sexe.
J’essaye de la regarder, je tourne ma tête au risque d’un accident, j’avais bien vu, elle est rose.
J’ai eu de nombreuses maitresses depuis ma maternel et mieux après lorsque je suis passé à leur petite chatte et elle me fait bander.

• Oh, pardon, je m’étais assoupi.

200 mètres, aire d’autoroute avec une table et des sapins, je mets ma flèche à droite.

• Tu t’arrêtes, on va se mettre en retard !

La voiture stoppée, assez retiré pour éviter d’être vu.
J’ouvre ma braguette libérant ma verge de mon boxer.

• Suce salope, finie le travail !

Elle aurait pu refuser, violer une fille, c’est loin d’être mon truc, mais ça marche, elle me prend en main dans toutes les acceptions du terme, sa main et sa bouche entrant rapidement en action.

• Attends, je vais jouir...

Trop tard, j’étais tellement excité que j’éjacule d’un coup, mais sans qu’elle en perde la moindre goutte.

• J’adore le sperme, le tien avait bon goût, dis-moi, tu vas ou après m’avoir déposé.

Nice, nous sommes arrivés.

• Tu me guides pour que je te dépose !
• Pourquoi, je viens d’envoyer un message à mon mec ?

« Mariage annulé, excuse pour les frais engagés. »

Je pourrais ajouter, mais j’ai trouvé mieux.
Lorsque j’arrive chez mes amis.

• Je vous présente Ana avec un seul « N ».

Si un jour, j’épouse ma petite Japonaise, j’adore ses petites culottes roses et encore plus lui enlever.
Rappelez-moi d’éviter d’engager des frais avant qu’elle ait dit « oui » préalablement à la mairie.
Le mariage en blanc se fera quelques jours plus tard et surtout d’éviter les grèves des transports en commun, comme je l’ai dit, Ana est originaire de Cambrai cela m’éviterait de faire des bêtises.

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