COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelage volé (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelage volé (1/1)
- Bonjour monsieur Robert, que puis-je pour vous ?
- Alice, pourquoi ce vous, tutoyons-nous !
- Monsieur Robert, vous êtes si vieux.
- C’est méchant Alice, mais j’ai horreur de parler sur le pas de ta porte, laisse-moi entrer, c’est toi que je viens voir.
- Moi, pas maman ?
- Pourquoi viendrais-je voir ta maman, non c’est toi.
- Maman, parce que...
- Parce que quoi Alice !?
- Non rien, entrez, venez dans le salon, vous me direz ce que vous voulez me dire.
- C’est bien Alice, tu sais tu n’as rien à craindre, ta maman a dû te dire de refuser de laisser entrer des inconnus. Suis-je un inconnu pour toi ?
- Non Monsieur Robert, vous est notre voisin.
- Et qui connais-tu encore, comme voisin ?
- Votre femme quand elle était encore là.
- Oui, tu sais la vie de couple c’est difficile, il y a des hauts et des bas, elle a rencontré un autre homme et a décidé de refaire sa vie.
- Je sais, Alain votre fils m’a expliqué que vous avez été désagrément surpris, mais elle avait peut-être des raisons que vous ignoriez !
- Et que tu connais.
- Non, même si…
- Pourrais-tu m’offrir un café j’adore ceux qui sont faits avec votre cafetière à grains.
J’ai l’impression que mon voisin a changé de sujet, il est bel homme mais il a un problème, il est vieux et moi mon problème j’espère le régler avec un jeune, avec son fils par exemple.
Maman m’a bien dit de faire attention qui entre chez nous, je sais qu’avec monsieur Robert, il restera un gentleman.
Je vais lui faire un café après l’avoir fait asseoir sur le canapé.
- Merci Alice, nous parlions des voisins, je vais te parler du voisin.
- De vous Monsieur Robert ?
- Non, mais arrête avec ce Monsieur, ça me vieillit et tu sais je suis encore vert.
C’est de mon fils Alain que je suis venu te parler.
- Alain, il lui est arrivé quelque chose ?
- Non, ce qui lui arrive est très naturel et chaque fois que tu le rencontres, tu ignores qu’il a ce problème.
- Vous voyez, vous parlez de problème, lequel ?
- Commençons par le début, très bon ton café, assieds-toi à mes côtés, j’ai bien mangé à midi et je suis loin d’être un ogre.
Je suis une jeune femme, du haut de mes dix-neuf ans, cet homme m’intrigue, je m’assois, il me prend les mains, elles sont chaudes, j’ai horreur des gens qui ont les mains froides.
- Alice, Alain mon fils est homosexuel !
- Pourquoi me dites-vous ça, Monsieur Robert ?
- Car c’est ainsi, chacun choisit ses orientations sexuelles, on ne peut rien à l’appel de sa condition, il est homo c’est tout.
Je t’explique, ce matin tu lui as bien téléphoné ?
- Oui, nous conversons de temps en temps, mais pourquoi ?
- Ce matin, je passais devant sa chambre et sa porte était mal fermée, j’ai entendu votre conversation, il avait posé son portable en mettant le haut-parleur.
Je le voyais sur son lit, il te parlait et il se masturbait.
- C’est dégueulasse, il se masturbait en me parlant ?
- Mieux Alice, c’est pourquoi je suis là, il se masturbait en regardant un film porno gay sur sa télé.
- Un porno gay, c’est impossible.
- Tu vois quand on le dit, on a du mal à le croire, mon fils est gay.
Ça fait des mois que j’ai découvert son secret.
Ma femme était encore là.
Un jour elle m’a demandé d’aller reposer la tringle à rideau étant décrochée, je suis monté, Alain était à la fac.
J’ai dû pousser le lit pour mettre mon escabeau.
Par chance Solange était partie au supermarché, j’ignore comment elle aurait pris ce que j’ai vu sous son lit, une valise.
- Une valise et vous l’avez ouverte ?
- Comment, tu me prends pour un fouineur, non, elle était mal fermée, une revue porno en dépassait !
Assez pour que je vois qu’un homme sodomisait un autre homme.
- Je comprends, ça a dû vous surprendre, vous avez ouvert la valise ?
- Oui, revues gay et films gay la remplissaient.
J’ai réparé la barre, replacé la valise comme elle était, la revue dépassant, et j’ai remis le lit à sa place.
C’est un de ces films qu’il regardait en se branlant et en te parlant.
- Vous avez entendu ce que j’ai dit concernant mon pucelage ?
- Oui, c’était très explicite, tu es vierge, tu es la seule parmi tes copines à l’être encore, ça te complexe et tu lui demandais de te dépuceler.
- C’est un peu ça, même si, ignorant ce qu’il est, je lui ai fait comprendre que j’avais envie de sortir avec lui.
- C’est vrai, mais tu comprends pourquoi, il a hésité à te répondre.
- Il est exact qu’à ma demande, il y a eu un blanc, j’ignorais que c’était à cause des garçons.
- Alors que me voulez-vous ?
- Je vais être direct, te rendre le service que tu lui demandais, regarde, j’ai tout ce qu’il faut pour ça.
Robert se lève, fait glisser son pantalon de survêtement me montrant une verge de bonne proportion.
J’en ai souvent vu sur Internet, le soir dans mon lit quand j’en regarde moi aussi et que je me masturbe.
Si les garçons et leurs bites intéressent Alain, les chattes des filles sont loin d’être mon truc.
Pour la première fois j’en ai une de bonne taille s’approchant de ma bouche.
Malgré ce que je sais, je la laisse entrer, ouvrant mes lèvres, allant même jusqu’à la saisir dans ma main et faire coulisser la peau cachant et ressortant son gland si gros.
- C’est bien petite salope, à fond, pompe à fond, je vais te faire sauter ton hymen.
Dans les films que je regarde, grâce à mes oreillettes, j’ai souvent entendu ce genre de phrase, j’aurais pu m’en offusquer mais je dois dire que j’aime beaucoup ce petit mot de salope.
- Viens que je t’enlève ton jean, fais-moi voir le centre de ton problème, tu verras, je serai très doux.
Mes vêtements sont partis avant que je n’aie le temps de réagir, sa queue sortie de ma bouche, c’est sa langue qu’il a mise dans ma chatte.
Mon clitoris était en feu, je savais que j’étais folle et qu’il faudrait assumer, mais j’avais attendu si longtemps qu’un homme vienne me prendre, qu’à ce moment-là, ce qu’il était et surtout son âge est passé au second plan.
J’allais enfin baiser, j’allais enfin me faire baiser, rattrapant le retard des copines et m’ouvrant au milieu du sexe.
C’est con, je suis jolie fille et le fait de cette première fois, je prenais toujours des râteaux du genre de celui avec le fils de l’homme qui, m’ayant allongé sur la peau de bête, présente sa verge à ma minette.
- Tu vois je fais doucement, doucement, tu vois ça force un peu.
Veux-tu que je ressorte ?
- Non attends.
Il s’arrête et c’est moi d’un grand coup de cul qui me le plante au fond de moi.
Mes jambes se soulèvent instinctivement le bloquant.
Sa bouche cherche ma bouche que je lui abandonne.
J’ai mal mais c’est supportable, je suis sûre que la prochaine fois je vais entièrement jouir, là j’ai simplement un petit frisson, euréka, je suis une femme.
- Alice, pourquoi pleures-tu ?
Je t’ai fait mal ?
- Non, c’était bien, mais tu es l’amant de maman !
C’est démentiel, Robert est encore en moi quand je lui assomme cette vérité.
- Pense à toi, tu avais un problème, je l’ai réglé.
Peu importe si je couche avec ta mère et que je la fais jouir.
Si je comprends bien, tu as dû nous entendre, pourtant quand je viens le soir on fait attention.
À partir de maintenant vie ta vie, ai de nombreux amants, ta chatte est ouverte à toutes les verges qui viendront en elle.
Comme tu sais que je suis l’amant de ta mère, restons-en là, nous ne l’aurons fait qu’une seule fois.
Robert s’est relevé, a remonté son pantalon et est sorti me donnant simplement une tape sur le bout de son nez.
À la fin de l’année de fac, j’ai eu de nombreux amants, je jouis chaque fois de façon démentielle.
J’ai souvent croisé Alain qui me regardait timidement, pauvre garçon, s’il savait que je sais, il faudrait qu’il fasse son coming out, j’ai envie de lui dire que son père sait et qu’il semble bien le prendre.
C’est au bal de fin d’année que les choses s’accélèrent.
- Alice, veux-tu danser ?
Le pauvre garçon, il me fait pitié, j’accepte de le suivre sur la piste de danse.
C’est rare, c’est un slow que le DJ a mis sur sa platine, nous dansons et une chose m’intrigue.
- Mais tu bandes Alain !
- Bien sûr j’ai envie de toi, je vais aller plus loin, je t’aime, j’espère qu’il en est de même pour toi.
- Mais tu es gai !
- Comme tu y vas qui t’as dit ça ?
- Ça se dit à la fac, certains de tes copains en parlent.
Comment parler de la valise sans dévoiler ma source ?
- Je sais que ce bruit court depuis que Fred mon copain m’a confié une valise qu’il souhaitait soustraire à son père !
C’est lui qui est gai, je reconnais que je l’ai ouverte, j’ai même eu le malheur de l’ouvrir et de regarder des films et des revues.
Je t’aime, je vais tout te dire, un jour je me suis masturbé devant un film, sans arriver à me faire jouir.
La valise, je la lui ai rendue, j’ai des films, tous hétéro.
Je vais les jeter pour te plaire.
- Alain, ton père et ma mère partent en voyage de noces demain pour quinze jours.
Garde-les, je viendrai les voir avec toi.
- Tu sais je suis puceau.
- Aucune crainte, nous ferons ça en douceur, j’ai perdu mon pucelage, je crois que l’on me l'a volé, mais celui qui 'la fait me l’a enlevé sans que j’aie mal.
Il va sans le dire que je garderai toute ma vie le nom de celui qui fait du bien à maman.
- Alice, pourquoi ce vous, tutoyons-nous !
- Monsieur Robert, vous êtes si vieux.
- C’est méchant Alice, mais j’ai horreur de parler sur le pas de ta porte, laisse-moi entrer, c’est toi que je viens voir.
- Moi, pas maman ?
- Pourquoi viendrais-je voir ta maman, non c’est toi.
- Maman, parce que...
- Parce que quoi Alice !?
- Non rien, entrez, venez dans le salon, vous me direz ce que vous voulez me dire.
- C’est bien Alice, tu sais tu n’as rien à craindre, ta maman a dû te dire de refuser de laisser entrer des inconnus. Suis-je un inconnu pour toi ?
- Non Monsieur Robert, vous est notre voisin.
- Et qui connais-tu encore, comme voisin ?
- Votre femme quand elle était encore là.
- Oui, tu sais la vie de couple c’est difficile, il y a des hauts et des bas, elle a rencontré un autre homme et a décidé de refaire sa vie.
- Je sais, Alain votre fils m’a expliqué que vous avez été désagrément surpris, mais elle avait peut-être des raisons que vous ignoriez !
- Et que tu connais.
- Non, même si…
- Pourrais-tu m’offrir un café j’adore ceux qui sont faits avec votre cafetière à grains.
J’ai l’impression que mon voisin a changé de sujet, il est bel homme mais il a un problème, il est vieux et moi mon problème j’espère le régler avec un jeune, avec son fils par exemple.
Maman m’a bien dit de faire attention qui entre chez nous, je sais qu’avec monsieur Robert, il restera un gentleman.
Je vais lui faire un café après l’avoir fait asseoir sur le canapé.
- Merci Alice, nous parlions des voisins, je vais te parler du voisin.
- De vous Monsieur Robert ?
- Non, mais arrête avec ce Monsieur, ça me vieillit et tu sais je suis encore vert.
C’est de mon fils Alain que je suis venu te parler.
- Alain, il lui est arrivé quelque chose ?
- Non, ce qui lui arrive est très naturel et chaque fois que tu le rencontres, tu ignores qu’il a ce problème.
- Vous voyez, vous parlez de problème, lequel ?
- Commençons par le début, très bon ton café, assieds-toi à mes côtés, j’ai bien mangé à midi et je suis loin d’être un ogre.
Je suis une jeune femme, du haut de mes dix-neuf ans, cet homme m’intrigue, je m’assois, il me prend les mains, elles sont chaudes, j’ai horreur des gens qui ont les mains froides.
- Alice, Alain mon fils est homosexuel !
- Pourquoi me dites-vous ça, Monsieur Robert ?
- Car c’est ainsi, chacun choisit ses orientations sexuelles, on ne peut rien à l’appel de sa condition, il est homo c’est tout.
Je t’explique, ce matin tu lui as bien téléphoné ?
- Oui, nous conversons de temps en temps, mais pourquoi ?
- Ce matin, je passais devant sa chambre et sa porte était mal fermée, j’ai entendu votre conversation, il avait posé son portable en mettant le haut-parleur.
Je le voyais sur son lit, il te parlait et il se masturbait.
- C’est dégueulasse, il se masturbait en me parlant ?
- Mieux Alice, c’est pourquoi je suis là, il se masturbait en regardant un film porno gay sur sa télé.
- Un porno gay, c’est impossible.
- Tu vois quand on le dit, on a du mal à le croire, mon fils est gay.
Ça fait des mois que j’ai découvert son secret.
Ma femme était encore là.
Un jour elle m’a demandé d’aller reposer la tringle à rideau étant décrochée, je suis monté, Alain était à la fac.
J’ai dû pousser le lit pour mettre mon escabeau.
Par chance Solange était partie au supermarché, j’ignore comment elle aurait pris ce que j’ai vu sous son lit, une valise.
- Une valise et vous l’avez ouverte ?
- Comment, tu me prends pour un fouineur, non, elle était mal fermée, une revue porno en dépassait !
Assez pour que je vois qu’un homme sodomisait un autre homme.
- Je comprends, ça a dû vous surprendre, vous avez ouvert la valise ?
- Oui, revues gay et films gay la remplissaient.
J’ai réparé la barre, replacé la valise comme elle était, la revue dépassant, et j’ai remis le lit à sa place.
C’est un de ces films qu’il regardait en se branlant et en te parlant.
- Vous avez entendu ce que j’ai dit concernant mon pucelage ?
- Oui, c’était très explicite, tu es vierge, tu es la seule parmi tes copines à l’être encore, ça te complexe et tu lui demandais de te dépuceler.
- C’est un peu ça, même si, ignorant ce qu’il est, je lui ai fait comprendre que j’avais envie de sortir avec lui.
- C’est vrai, mais tu comprends pourquoi, il a hésité à te répondre.
- Il est exact qu’à ma demande, il y a eu un blanc, j’ignorais que c’était à cause des garçons.
- Alors que me voulez-vous ?
- Je vais être direct, te rendre le service que tu lui demandais, regarde, j’ai tout ce qu’il faut pour ça.
Robert se lève, fait glisser son pantalon de survêtement me montrant une verge de bonne proportion.
J’en ai souvent vu sur Internet, le soir dans mon lit quand j’en regarde moi aussi et que je me masturbe.
Si les garçons et leurs bites intéressent Alain, les chattes des filles sont loin d’être mon truc.
Pour la première fois j’en ai une de bonne taille s’approchant de ma bouche.
Malgré ce que je sais, je la laisse entrer, ouvrant mes lèvres, allant même jusqu’à la saisir dans ma main et faire coulisser la peau cachant et ressortant son gland si gros.
- C’est bien petite salope, à fond, pompe à fond, je vais te faire sauter ton hymen.
Dans les films que je regarde, grâce à mes oreillettes, j’ai souvent entendu ce genre de phrase, j’aurais pu m’en offusquer mais je dois dire que j’aime beaucoup ce petit mot de salope.
- Viens que je t’enlève ton jean, fais-moi voir le centre de ton problème, tu verras, je serai très doux.
Mes vêtements sont partis avant que je n’aie le temps de réagir, sa queue sortie de ma bouche, c’est sa langue qu’il a mise dans ma chatte.
Mon clitoris était en feu, je savais que j’étais folle et qu’il faudrait assumer, mais j’avais attendu si longtemps qu’un homme vienne me prendre, qu’à ce moment-là, ce qu’il était et surtout son âge est passé au second plan.
J’allais enfin baiser, j’allais enfin me faire baiser, rattrapant le retard des copines et m’ouvrant au milieu du sexe.
C’est con, je suis jolie fille et le fait de cette première fois, je prenais toujours des râteaux du genre de celui avec le fils de l’homme qui, m’ayant allongé sur la peau de bête, présente sa verge à ma minette.
- Tu vois je fais doucement, doucement, tu vois ça force un peu.
Veux-tu que je ressorte ?
- Non attends.
Il s’arrête et c’est moi d’un grand coup de cul qui me le plante au fond de moi.
Mes jambes se soulèvent instinctivement le bloquant.
Sa bouche cherche ma bouche que je lui abandonne.
J’ai mal mais c’est supportable, je suis sûre que la prochaine fois je vais entièrement jouir, là j’ai simplement un petit frisson, euréka, je suis une femme.
- Alice, pourquoi pleures-tu ?
Je t’ai fait mal ?
- Non, c’était bien, mais tu es l’amant de maman !
C’est démentiel, Robert est encore en moi quand je lui assomme cette vérité.
- Pense à toi, tu avais un problème, je l’ai réglé.
Peu importe si je couche avec ta mère et que je la fais jouir.
Si je comprends bien, tu as dû nous entendre, pourtant quand je viens le soir on fait attention.
À partir de maintenant vie ta vie, ai de nombreux amants, ta chatte est ouverte à toutes les verges qui viendront en elle.
Comme tu sais que je suis l’amant de ta mère, restons-en là, nous ne l’aurons fait qu’une seule fois.
Robert s’est relevé, a remonté son pantalon et est sorti me donnant simplement une tape sur le bout de son nez.
À la fin de l’année de fac, j’ai eu de nombreux amants, je jouis chaque fois de façon démentielle.
J’ai souvent croisé Alain qui me regardait timidement, pauvre garçon, s’il savait que je sais, il faudrait qu’il fasse son coming out, j’ai envie de lui dire que son père sait et qu’il semble bien le prendre.
C’est au bal de fin d’année que les choses s’accélèrent.
- Alice, veux-tu danser ?
Le pauvre garçon, il me fait pitié, j’accepte de le suivre sur la piste de danse.
C’est rare, c’est un slow que le DJ a mis sur sa platine, nous dansons et une chose m’intrigue.
- Mais tu bandes Alain !
- Bien sûr j’ai envie de toi, je vais aller plus loin, je t’aime, j’espère qu’il en est de même pour toi.
- Mais tu es gai !
- Comme tu y vas qui t’as dit ça ?
- Ça se dit à la fac, certains de tes copains en parlent.
Comment parler de la valise sans dévoiler ma source ?
- Je sais que ce bruit court depuis que Fred mon copain m’a confié une valise qu’il souhaitait soustraire à son père !
C’est lui qui est gai, je reconnais que je l’ai ouverte, j’ai même eu le malheur de l’ouvrir et de regarder des films et des revues.
Je t’aime, je vais tout te dire, un jour je me suis masturbé devant un film, sans arriver à me faire jouir.
La valise, je la lui ai rendue, j’ai des films, tous hétéro.
Je vais les jeter pour te plaire.
- Alain, ton père et ma mère partent en voyage de noces demain pour quinze jours.
Garde-les, je viendrai les voir avec toi.
- Tu sais je suis puceau.
- Aucune crainte, nous ferons ça en douceur, j’ai perdu mon pucelage, je crois que l’on me l'a volé, mais celui qui 'la fait me l’a enlevé sans que j’aie mal.
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