COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelée pour trois millions de dollars (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelée pour trois millions de dollars (1/1)
- Bonjours mademoiselle, je sais que vous avez toujours été célibataire.
Vous êtes bien Jennifer la jeune femme qui a vécu deux ans à New York il y a 10 ans ?
- Oui pourquoi m’avez-vous convoqué ?
- Je suis maître Édouard du cabinet Édouard.
Connaissez-vous monsieur John Schmitt médecin à la retraite du Tennessee où il s’est éteint ?
- Oui, j’ai travaillé chez lui il y a un peu plus de 10 ans comme femme de ménage mais à New York.
J’étais un peu sa confidente jusqu’à ce que je reçoive un coup de téléphone m’annonçant que maman était à l’article de la mort.
J’étais jeune et insouciante et je vivais au jour le jour.
C’était la première fois que j’avais trouvé un semblant de stabilité et John en homme du monde m’a offert mon billet de retour en France pour solde de tout compte.
Pourquoi cette question ?
- John Schmitt est décédé il y a plus d’un an et mon cabinet parisien est chargé de retrouver la jeune Jennifer ayant travaillé un temps chez lui.
Dès que vous aurez justifié de votre identité, mais après le long périple que nous avons fait pour vous retrouver, je doute que ce soit une autre que vous qui héritez de trois millions de dollars.
Saviez-vous que John Schmitt avait travaillé en France lui aussi ?
- Il me l’avait dit, c’était après guerre.
Il était médecin GI et un peu magouilleur, à ce qu’il m’avait dit.
Permettez que je respire un grand coup trois millions de dollars moi qui suis dans le rouge à ma banque dès le quinze du mois, ça fiche un coup.
- Je peux vous offrir un whisky pour vous remettre.
- Non merci, jamais d’alcool.
- Dans les biens dont vous héritez en France en Italie et aux USA, il y a un petit castel dans le Gers avec un élevage d’oies et de canards où il fond du foie gras.
John quand je l’ai connu, aimait le foie gras.
Il m’avait dit que lors de son séjour dans mon pays il en mangeait régulièrement et avait même une combine pour s’en faire venir.
J’ignorais que c’était de son propre élevage les gavant pour récupérer leur foie qui lui envoyait son plat favori.
John, homme de plus de 60 ans et qui m’a pris mon pucelage.
Il me l’a pris avec mon accord car j’ai eu pitié de cet homme vieillissant mais aussi un homme qui m’aurait appris la vie sans que nous nous prenions la tête.
Trois millions de dollars pour m’avoir pris mon hymen me faisant jouir dès la première fois.
J’ai rencontré John au commissariat de New York.
Je venais de quitter Bob celui avec lequel je savais que le lendemain de son arrestation je me donnerais à lui tellement sa jolie gueule me plaisait.
Le quitter car il partait pour le pénitencier le plus proche ayant essayé de braquer une banque a été facile.
John était le médecin qui avait constaté la mort d’un vigile et se trouvait là quand on m’a relâché faute de preuve prouvant que je l’avais aidé dans son braquage.
- Vous semblez paumée, le commissaire m’a dit que vous vous trouviez impliqué et que vous seriez une sorte de routarde venue de France.
Si vous le désirez j’ai le moyen de vous faire récupérer vos affaires, pour l’instant sous sceller et vous offrir l’hospitalité le temps que vous le désirez.
John me parlait dans un parfait français bien que je me débrouille bien en Anglais, plutôt en Américain.
- Vous avez emménagé avec lui au début comme femme de ménage.
- Non, comme gouvernante, je m’occupais de tout chez lui.
- Saviez-vous que John Schmitt tenait un journal ?
- Oui, un soir dans sa chambre, je l’ai vu écrire mais je pensais qu’il écrivait sa guerre en France et en Italie.
Du moins c’est ce qu’il m’avait dit quand je l’ai interrogé.
Un doute me vient et si John avait écrit ce que nous avons fait dans son journal que je prenais pour des mémoires de guerre.
- Je vois que vous réfléchissez !
Vous vous dite qu’avait écrit John sur moi ?
Monsieur Édouard devant moi ici à Bordeaux sait-il tous ce qui s’est passé entre John et moi ?
- John a-t-il écrit que je me suis donnée à cet homme vieillissant sans pour autant faire la pute car je me suis offerte quand il me l’a demandé sans rien en échange.
- Je sais tous ça madame Jennifer, John Schmitt avait tout écrit.
Rassurez-vous il dit que vous avez été une jeune femme aimante et c’est pour cela que ce jour où il vous a pris votre pucelage il a décidé de faire de vous son héritière lui qui était seul sans descendance.
Mon pucelage, c’est un mois après être venue chez lui dans son appartement au-dessus de son cabinet qu’il m’a emmené et où j’avais ma propre chambre que je lui ai offerte.
Comment ça c’est produit, un homme, une femme, un homme vieillissant une femme très jeune mais majeure.
Je me sentais redevable surtout que le soir même, il m’avait invité au restaurant sans jamais me faire ressentir que j’étais une jeune beauté qu’il exhibait à son bras.
- Je vous vois songeuse, vous vous remémorer des mots avec lui ?
Oh, que oui, le soir même c’est moi qui m’étant déshabillée, ayant pris un bain et m’étant parfumé au sel de bain que je me suis rendu nue dans sa chambre que je savais toujours ouverte même la nuit.
Il dormait coucher sur son dos.
Je l’ai regardé grâce au radio-réveil diffusant sa lumière bleue.
Malgré son âge on aurait dit un bébé.
C’est beau un homme qui dort, dégagé de tous les soucis du quotidien.
Il émettait un petit sifflement très plaisant alors je me suis glissée sous le drap qui le couvrait car il faisait chaud ce soir-là.
Il s’est retourné, j’ai eu peur pensant l’avoir réveillé, mais non.
Je me suis glissée comme une petite souris que j’étais et j’ai posé ma tête sur sa poitrine.
Dans la clarté bleue, j’ai dégagé le drap découvrant son sexe.
J’avais une interrogation, à son âge un homme était-il capable de bander ?
Je lui ai pris la verge jouant sans pour autant le réveiller.
Je l’ai vu se mettre à bander.
Pour la première fois j’étais en contact avec ce que j’avais refusé à plusieurs hommes.
L’un d’eux un soir juste avant de rencontrer Bob m’avait promis du fric si je le suçais.
Est-ce par esprit de contradiction, mais celle de John, je l’ai pris dans ma bouche gratuitement.
J’avais ma réponse, un vieillard pouvait bander.
Il m’a pris la tête me montrant qu’il était réveillé.
Sa verge dans ma bouche était douce.
Sa main dans mes cheveux me plaisait car il aurait pu me sauter dessus.
Gentleman, il a attendu d’être à la limite de l’éjaculation pour me faire venir sur mon dos, se coucher sur moi et me pénétrer.
Il venait de faire de moi une femme, la femme qu’il a fait jouir dès sa première fois.
- Je parie que dans vos souvenirs vous en êtes au moment où il est venu en vous !
- Oui, comment le savez-vous ?
- Dans son journal, il décrit très bien ce moment et surtout le lendemain quand il a découvert le sang sur ses draps.
Je vais vous faire une révélation à ce point de vos vies.
Vous étiez vierge et étrange que cela puisse paraître lui aussi.
Il a écrit que c’était un grand timide malgré qu’il voie de nombreuses belles femmes nues dans son milieu sans jamais pouvoir leur en proposer plus.
Même en France et Italie où toutes les femmes étaient à leurs pieds après qu’ils les ont eu libérées, il est resté vierge malgré ses poches pleines de bas de soie et de tablettes de chocolat.
Je sais ça fait cliché mais mettez-vous dans l’époque, ces femmes avaient manqué de tout.
Il parle de putes qu’il soignait de leurs blennorragies ou les véroles qu’il détectait ce qui lui coupait toutes envies de les sauter.
Je tombe des nues, je me suis fait dépuceler sans savoir que je dépucelais cet homme âgé.
Je comprends mieux qu’il m’ait couché sur son testament.
- Voilà, vous savez tout, je vais faire le nécessaire pour que vous ayez le moins de soucis possible.
Je suis prêt à vous aider pour vos affaires françaises.
- Merci, jusqu’à aujourd’hui j’étais une quantité négligeable, maintenant je vais devoir faire attention aux coureurs de dot.
- Je vous disais ça pour votre bien.
Un pucelage, pardon un dépucelage, pardon un double dépucelage et vous vous retrouvez attablé à la ferme que vous louez à un couple avec deux enfants.
Ils vous font goûter les produits que vous fabriquer avant de retourner à votre hôtel cinq-étoiles.
La plus belle suite bien sûr, avec petit déjeuner qui pourrait nourrir une famille avec cinq enfants.
Maître Édouard m’a dit que toutes les minutes en dormant mon capital augmente.
Vous avez devant les yeux l’ordi dont vous rêviez.
- Entrez jeune homme voici les 2 000 € que vous demandez pour me baiser.
Je sais je suis un peu forte mais je paye alors à nous.
C’est vrai il faut dire que depuis l’Amérique où j’étais grosse comme un fil avec l’âge, mes formes se sont arrondies.
- Voici le programme beau gosse, vous me léchez la chatte jusqu’à ce que je jouisse.
Ensuite levrette et vous me baiser avec votre gros sexe si ce que vous disiez sur votre site est bien réel.
On a le temps mais sans plus, j’ai mon avion pour les USA à 11 heures demain matin.
Devant mes yeux pendant qu’il me laboure m’ayant bien sucé j’ai mon billet pour le Tennessee.
Je dois me recueillir sur la tombe de John avant de faire la route 66 à moto.
Fantasme que la mort de maman m’avait empêché de faire.
J’ai déjà regardé.
Les sites américains d’escortes boys sont légion et je vais pouvoir en faire venir dans mon hôtel régulièrement.
Excusez, l’étalon qui joue avec ses pectoraux m’amène ce que je cherchais.
Sexe, sexe, sexe.
Orgasme, orgasme, orgasme.
Merci John.
Vous êtes bien Jennifer la jeune femme qui a vécu deux ans à New York il y a 10 ans ?
- Oui pourquoi m’avez-vous convoqué ?
- Je suis maître Édouard du cabinet Édouard.
Connaissez-vous monsieur John Schmitt médecin à la retraite du Tennessee où il s’est éteint ?
- Oui, j’ai travaillé chez lui il y a un peu plus de 10 ans comme femme de ménage mais à New York.
J’étais un peu sa confidente jusqu’à ce que je reçoive un coup de téléphone m’annonçant que maman était à l’article de la mort.
J’étais jeune et insouciante et je vivais au jour le jour.
C’était la première fois que j’avais trouvé un semblant de stabilité et John en homme du monde m’a offert mon billet de retour en France pour solde de tout compte.
Pourquoi cette question ?
- John Schmitt est décédé il y a plus d’un an et mon cabinet parisien est chargé de retrouver la jeune Jennifer ayant travaillé un temps chez lui.
Dès que vous aurez justifié de votre identité, mais après le long périple que nous avons fait pour vous retrouver, je doute que ce soit une autre que vous qui héritez de trois millions de dollars.
Saviez-vous que John Schmitt avait travaillé en France lui aussi ?
- Il me l’avait dit, c’était après guerre.
Il était médecin GI et un peu magouilleur, à ce qu’il m’avait dit.
Permettez que je respire un grand coup trois millions de dollars moi qui suis dans le rouge à ma banque dès le quinze du mois, ça fiche un coup.
- Je peux vous offrir un whisky pour vous remettre.
- Non merci, jamais d’alcool.
- Dans les biens dont vous héritez en France en Italie et aux USA, il y a un petit castel dans le Gers avec un élevage d’oies et de canards où il fond du foie gras.
John quand je l’ai connu, aimait le foie gras.
Il m’avait dit que lors de son séjour dans mon pays il en mangeait régulièrement et avait même une combine pour s’en faire venir.
J’ignorais que c’était de son propre élevage les gavant pour récupérer leur foie qui lui envoyait son plat favori.
John, homme de plus de 60 ans et qui m’a pris mon pucelage.
Il me l’a pris avec mon accord car j’ai eu pitié de cet homme vieillissant mais aussi un homme qui m’aurait appris la vie sans que nous nous prenions la tête.
Trois millions de dollars pour m’avoir pris mon hymen me faisant jouir dès la première fois.
J’ai rencontré John au commissariat de New York.
Je venais de quitter Bob celui avec lequel je savais que le lendemain de son arrestation je me donnerais à lui tellement sa jolie gueule me plaisait.
Le quitter car il partait pour le pénitencier le plus proche ayant essayé de braquer une banque a été facile.
John était le médecin qui avait constaté la mort d’un vigile et se trouvait là quand on m’a relâché faute de preuve prouvant que je l’avais aidé dans son braquage.
- Vous semblez paumée, le commissaire m’a dit que vous vous trouviez impliqué et que vous seriez une sorte de routarde venue de France.
Si vous le désirez j’ai le moyen de vous faire récupérer vos affaires, pour l’instant sous sceller et vous offrir l’hospitalité le temps que vous le désirez.
John me parlait dans un parfait français bien que je me débrouille bien en Anglais, plutôt en Américain.
- Vous avez emménagé avec lui au début comme femme de ménage.
- Non, comme gouvernante, je m’occupais de tout chez lui.
- Saviez-vous que John Schmitt tenait un journal ?
- Oui, un soir dans sa chambre, je l’ai vu écrire mais je pensais qu’il écrivait sa guerre en France et en Italie.
Du moins c’est ce qu’il m’avait dit quand je l’ai interrogé.
Un doute me vient et si John avait écrit ce que nous avons fait dans son journal que je prenais pour des mémoires de guerre.
- Je vois que vous réfléchissez !
Vous vous dite qu’avait écrit John sur moi ?
Monsieur Édouard devant moi ici à Bordeaux sait-il tous ce qui s’est passé entre John et moi ?
- John a-t-il écrit que je me suis donnée à cet homme vieillissant sans pour autant faire la pute car je me suis offerte quand il me l’a demandé sans rien en échange.
- Je sais tous ça madame Jennifer, John Schmitt avait tout écrit.
Rassurez-vous il dit que vous avez été une jeune femme aimante et c’est pour cela que ce jour où il vous a pris votre pucelage il a décidé de faire de vous son héritière lui qui était seul sans descendance.
Mon pucelage, c’est un mois après être venue chez lui dans son appartement au-dessus de son cabinet qu’il m’a emmené et où j’avais ma propre chambre que je lui ai offerte.
Comment ça c’est produit, un homme, une femme, un homme vieillissant une femme très jeune mais majeure.
Je me sentais redevable surtout que le soir même, il m’avait invité au restaurant sans jamais me faire ressentir que j’étais une jeune beauté qu’il exhibait à son bras.
- Je vous vois songeuse, vous vous remémorer des mots avec lui ?
Oh, que oui, le soir même c’est moi qui m’étant déshabillée, ayant pris un bain et m’étant parfumé au sel de bain que je me suis rendu nue dans sa chambre que je savais toujours ouverte même la nuit.
Il dormait coucher sur son dos.
Je l’ai regardé grâce au radio-réveil diffusant sa lumière bleue.
Malgré son âge on aurait dit un bébé.
C’est beau un homme qui dort, dégagé de tous les soucis du quotidien.
Il émettait un petit sifflement très plaisant alors je me suis glissée sous le drap qui le couvrait car il faisait chaud ce soir-là.
Il s’est retourné, j’ai eu peur pensant l’avoir réveillé, mais non.
Je me suis glissée comme une petite souris que j’étais et j’ai posé ma tête sur sa poitrine.
Dans la clarté bleue, j’ai dégagé le drap découvrant son sexe.
J’avais une interrogation, à son âge un homme était-il capable de bander ?
Je lui ai pris la verge jouant sans pour autant le réveiller.
Je l’ai vu se mettre à bander.
Pour la première fois j’étais en contact avec ce que j’avais refusé à plusieurs hommes.
L’un d’eux un soir juste avant de rencontrer Bob m’avait promis du fric si je le suçais.
Est-ce par esprit de contradiction, mais celle de John, je l’ai pris dans ma bouche gratuitement.
J’avais ma réponse, un vieillard pouvait bander.
Il m’a pris la tête me montrant qu’il était réveillé.
Sa verge dans ma bouche était douce.
Sa main dans mes cheveux me plaisait car il aurait pu me sauter dessus.
Gentleman, il a attendu d’être à la limite de l’éjaculation pour me faire venir sur mon dos, se coucher sur moi et me pénétrer.
Il venait de faire de moi une femme, la femme qu’il a fait jouir dès sa première fois.
- Je parie que dans vos souvenirs vous en êtes au moment où il est venu en vous !
- Oui, comment le savez-vous ?
- Dans son journal, il décrit très bien ce moment et surtout le lendemain quand il a découvert le sang sur ses draps.
Je vais vous faire une révélation à ce point de vos vies.
Vous étiez vierge et étrange que cela puisse paraître lui aussi.
Il a écrit que c’était un grand timide malgré qu’il voie de nombreuses belles femmes nues dans son milieu sans jamais pouvoir leur en proposer plus.
Même en France et Italie où toutes les femmes étaient à leurs pieds après qu’ils les ont eu libérées, il est resté vierge malgré ses poches pleines de bas de soie et de tablettes de chocolat.
Je sais ça fait cliché mais mettez-vous dans l’époque, ces femmes avaient manqué de tout.
Il parle de putes qu’il soignait de leurs blennorragies ou les véroles qu’il détectait ce qui lui coupait toutes envies de les sauter.
Je tombe des nues, je me suis fait dépuceler sans savoir que je dépucelais cet homme âgé.
Je comprends mieux qu’il m’ait couché sur son testament.
- Voilà, vous savez tout, je vais faire le nécessaire pour que vous ayez le moins de soucis possible.
Je suis prêt à vous aider pour vos affaires françaises.
- Merci, jusqu’à aujourd’hui j’étais une quantité négligeable, maintenant je vais devoir faire attention aux coureurs de dot.
- Je vous disais ça pour votre bien.
Un pucelage, pardon un dépucelage, pardon un double dépucelage et vous vous retrouvez attablé à la ferme que vous louez à un couple avec deux enfants.
Ils vous font goûter les produits que vous fabriquer avant de retourner à votre hôtel cinq-étoiles.
La plus belle suite bien sûr, avec petit déjeuner qui pourrait nourrir une famille avec cinq enfants.
Maître Édouard m’a dit que toutes les minutes en dormant mon capital augmente.
Vous avez devant les yeux l’ordi dont vous rêviez.
- Entrez jeune homme voici les 2 000 € que vous demandez pour me baiser.
Je sais je suis un peu forte mais je paye alors à nous.
C’est vrai il faut dire que depuis l’Amérique où j’étais grosse comme un fil avec l’âge, mes formes se sont arrondies.
- Voici le programme beau gosse, vous me léchez la chatte jusqu’à ce que je jouisse.
Ensuite levrette et vous me baiser avec votre gros sexe si ce que vous disiez sur votre site est bien réel.
On a le temps mais sans plus, j’ai mon avion pour les USA à 11 heures demain matin.
Devant mes yeux pendant qu’il me laboure m’ayant bien sucé j’ai mon billet pour le Tennessee.
Je dois me recueillir sur la tombe de John avant de faire la route 66 à moto.
Fantasme que la mort de maman m’avait empêché de faire.
J’ai déjà regardé.
Les sites américains d’escortes boys sont légion et je vais pouvoir en faire venir dans mon hôtel régulièrement.
Excusez, l’étalon qui joue avec ses pectoraux m’amène ce que je cherchais.
Sexe, sexe, sexe.
Orgasme, orgasme, orgasme.
Merci John.
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