COLLECTION HISTOIRE COURTE. Grosse, surtout grosse (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Grosse, surtout grosse (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Grosse, surtout grosse (1/1)
À 19 ans on peut dire que j’aime faire ma vie.
J’aime sortir et chaque fois que je le peux j’aime ramener des devoirs à la maison.
Ma vie sexuelle a commencé à 16 ans quand j’ai quitté ma mère frustrée du cul dans une petite ville de province près de Lyon.
C’est à la suite des vacances à Lorient chez mon père que j’ai fait la connaissance de ma future patronne à Paris.
Elle était sur la plage avec monsieur Louis son mari.
Monsieur Louis et Maryse sont devenus des amis et quand ils m’ont proposé un emploi dans le prêt-à-porter avec une paye au smic, j’ai rapidement dit oui.
Surtout que je disposerais d’une chambre de bonne au-dessus de la boutique.
Les études et moi me dirigeaient directement dans la case chômage dans ma région alors j’ai fait ma valise et je les ai rejoints dès la rentrée.
Travail sympa et parie de baise dès le premier soir.
C’était un puceau, j’étais pucelle, le lendemain je reprenais mon boulot et lui ses étudiait en fac.
Deux puceaux de moins mais la pucelle frustrée elle s’était juste fait sauter son hymen sans jouir, il avait déchargé dès le travail fait.

Ce soir chou blanc dans la boîte où j’ai mes habitudes.
Pourtant mon ventre bouillonnait de se faire prendre.
Je marche dans la rue désabusée quand je vois un bar encore ouvert.
J’y prends un café à mon côté un grand black.
On engage la conversation.
Le patron nous fiche dehors, il marche à mes côtés les mains dans les poches.
Passant devant une impasse bien noire, il me saisit et m’entraîne dans ce trou noir.
Ma mini est loin de lui poser un problème ainsi que mon string.
L’attaque a été si fulgurante que je me retrouve accrochée à son cou sa verge me défonçant.
Jouissance, non jouissance, sous cette attaque mon cerveau est incapable de me rappeler si j’ai pris du plaisir.
Lui oui quand il décharge au fond de mon vagin et qu’il me laisse reposer mes jambes au sol appuyé sur ce mur sentant la crasse.

Le lendemain après une nuit blanche qui m’a fait prendre conscience que ce noir m'a violé.
Je prétexte un besoin de médecin pour me rendre au commissariat.

- C’est pour un dépôt de plainte.
- C’est pourquoi.
- J’ai été abusée en rentrant de boîte hier au soir par un noir que j’avais rencontré dans un café.
- Violé comme vous y allez mademoiselle, tatouage, piercing, jupe ras la minette et les nichons en bataille, si je vous avais rencontré c’est moi qui vous aurais fait passer un moment dont vous vous souviendrez toute votre vie.

Bref, j’ai quitté le commissariat étant coupable d’être une jeune fille canon.
La jupe, dans la ruelle, j’en ai parlé.
Quand j’ai quitté ma province, j’étais habillée classique, maman y tenait et j’évitais de la contrarier.
Madame Maryse m’a relooké afin que ça plaise à sa clientèle sans oublier de me faire 10 % de retenue sur salaire.
C’est mon deuxième amant tatoueur qui m’a initié aux tatouages et aux piercings.
J’ai été faible mais j’ai réussi à ce que ce soit discret dans les motifs ayant évité « À toi pour la vie » ou à « Bob que j’aime. »Ça c’est vrai, il s’appelait Robert et il se faisait appeler Bob.
Les piercings, la poitrine, sur mes pointes de seins.
Dans mes oreilles mais des diamants, il me les a offerts.
Ça a duré deux mois et c’est pour ça que le policier a vu ce qu’il me restait de cette période m’étant habitué.
Après il y en a eu d’autres, les piercings sur la pointe de mes seins ils aimaient.
Le patron aussi qui essaye de me coincer dans la réserve chaque fois que possible surtout quand Maryse est partie chez son amie.
Amie avec un grand E.
Myriame vient fréquemment à la boutique et c’est madame Maryse qui est allée dans la cabine entrant avec elle ce qu’elle m’interdit.
Lesbienne certainement, mais ça je m’en fiche mais je comprends que monsieur Louis cherche à me coincer si sa femme passe son temps à brouter des minettes.

Ce matin, je suis bougonne, j’ai fait un rêve que j’avais déjà fait, grosse et noire, il m’en faut des grosses et noires.
À partir de ce constat de rêves érotiques, je traîne vers des bars dans le quartier où des types baraqués peuvent correspondre à mes besoins.
Quand j’en repère un, je me frotte à lui jusqu’à le faire bander.
Je sens rapidement le volume de ce qu’il a à m’offrir.
Quand je trouve chaussure à mon pied, plutôt grosseur susceptible de me remplir la chatte la distendant au maximum, ainsi que ma bouche quand je les pompe je les entraîne chez moi ou chez eux.
Chez eux c’est rare car il faudrait que je me couche sous des tentes au canal saint Martin surtout que l’on parle de démantèlement.
Baiser avec des bâtons énormes, oui, prendre froid à la chatte et au risque d’un mal de dos non.
Bien sûr il y a la levrette ou je monte dessus.
Ça je le fais souvent mais pour les préliminaires, une couverture au sol c’est bien insuffisant pour une jeune femme aimant son nid douillet que je me suis fait au-dessus de la boutique.
Ma quette aux grosses bites, me font aller plusieurs fois dans les mêmes bars à blacks.
Ce soir au bar, aucune proie possible sauf un homme blanc comme moi, bien mis dans son costume trois-pièces.

- Je vous offre un verre ?

Je le regarde, un rien dédaigneuse.
Est-ce le trois-pièces ou le type, je l’ignore il faut reconnaître que le mec est beau gosse.
La trentaine maxi, les cheveux déjà poivre et sel, il s’approche à me toucher.

- C’est parce que je suis blanc, sentez, moi aussi j’en ai une impressionnante.
- Pour qui me prenez-vous ?
- Une jeune femme que j’ai vue deux fois partir avec des hommes de couleur ayant contrôlé qu’ils en avaient dans le pantalon.
Je vous offre un verre.

Est-ce ce que j’ai senti ou le regard de chien battu, mais j’accepte.
Je finis par le suivre jusqu’à quelques centaines de mètres passants mêmes devant la ruelle où tout a commencé.
Et là, là, là, là je découvre un trésor.
Non, pas dans la ruelle, dans l’immeuble où il me fait pénétrer et sur la porte de laquelle est marqué « Luc C. Orthophoniste. »
Dans son salon où nous prenons un dernier verre, je l’embrasse lui caressant ce que dès que je l’ai sortie de son enveloppe s’expose à moi dans toute sa splendeur.
Je me prosterne devant ce monument de chaire et de sang dans l’impossibilité de la faire entrer dans ma bouche.
Ma langue sursoit et j’ai l’impression que ça se développe encore plus.
Mes affaires enlevées, il me prend dans ses bras et m'entraîne vers sa chambre.
Nous tombons sur le lit nos bouches toujours soudées.
Dès qu’il entre en moi, je jouis.
Je sais que cette verge disproportionnée est de celle que je cherchais mais c’est mon cœur qui est pris dans les romans on appelle ça un coup de foudre.
Coup de foudre surtout qu’après m’avoir rempli par de longs jets de sperme il me câline dans ses bras.

- Tu as aimé, je dois te dire que j’ai eu une seule femme dans ma vie Ginette 70 ans.
Elle m’a dépucelé mais surtout elle a accepté ce machin que toutes les autres filles m’ont refusé.
Quand je t’ai vu draguer des noirs bien bâtis, j’ai vu mon salut en toi.
J’ai attendu que tu reviennes pour tenter ma chance et tu es là.

Je suis là bien que nous ayons déménagé.
Luc par un autre fait du hasard est d’une petite ville non loin de la mienne.
Il voulait depuis longtemps faire un retour dans son pays et je l’y ai encouragé.

En ce moment, je suis sur la terrasse de la villa que nous avons acheté.
J’admire les coteaux où les vignes s’étendent à perte de vue.
Je donne le sein à petit Luc sous le regard de maman venue nous dire bonjour.
Elle vient de le changer sans savoir que petit Luc prend le chemin de son papa du côté de son sexe.
Je regarde mon alliance, elle regarde mon alliance.
Qui serais-je si un soir rentrant chez moi une grosse bite m’avait ignoré.

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