COLLECTION HISTOIRE COURTE. Infidélité dans les dunes (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Infidélité dans les dunes (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Infidélité dans les dunes (1/1)
- Chéri, il y a trop de brise venue de la mer, pouvons-nous nous replier dans les dunes.
- Bien sûr ma chérie, juste le temps de monter les affaires là-bas.
J’ai toujours froid dès qu’un souffle de vent vient sur ma peau.
Heureusement ici il y a des dunes et dans leur intérieur je suis abritée et je peux me faire bronzer.
- Chérie, tu peux me mettre de la crème solaire sinon ce soir, aucune petite gâterie pour toi, quand je ressemblerais à un homard.
Jean cherche et peste.
- Quel con, j’ai oublié ton sac avec les produits solaires sur le toit de notre voiture.
Tu as le parasol, ça te suffit, la voiture est à 15 minutes plus de 30 allée et retour.
- Le parasol protège du soleil et laisse passer les UV.
Leurs UV est pire que les rayons et en plus, à part ma tête le reste sera exposé au soleil.
- C’est bon, j’y vais, c’est moi qui ai fait la connerie quand j’ai saisi le parasol qui glissait.
Prend ton temps, je vais mettre mon loup noir et faire une sieste, cette marche dans le sable m’a épuisé.
Je m’allonge, j’ai mon maillot deux pièces roses.
J’ôte mon soutien-gorge j’ai horreur de ces marques disgracieuses quand je mets d’autres vêtements décolletés.
J’ai horreur d’entendre les copines me dire.
« Tu t’es fait sauter sur la plage quand tu te faisais bronzer. »
J’ai eu le malheur de leur dire que nous allions sur la grande côte et une grande partie de cette plage est naturiste.
Avec Jean, nous aimons le calme et c’est sur la partie textile très peu fréquentée et surtout avec peu d’enfants car le chemin à faire avec eux exaspère les parents quand ils se plaignent tout le long.
C’était le cas l’année où nous étions venus avec nos fils et où ils se sont pleins tout le long pour finir par trouver un panneau plage naturiste.
Coup de chance à part un vieux assis sur un arbre mort venu là aux grandes marées d’hiver et où il était assis se paluchant.
Il me regardait, faisant demi-tour protégeant les enfants de ces débauchés montrant leurs sexes à qui voulaient les reluquer.
Nous en avions parlé à notre voisine de tente et c’est elle qui nous a indiqué l’endroit où nous garer et le chemin pour rejoindre la partie textile de la plage.
Les enfants devenus grands, nous avons retrouvé le chemin et le calme contrairement à toutes les plages de cette côte.
Je dors depuis quelque temps quand je sens la main de Jean me caresser la poitrine.
C’est rare, mes seins pour lui semblaient avoir pour but que d’allaiter mes fils.
Mais j’aime, surtout quand le soleil les cuit.
Je pourrais enlever mon masque et lui faire voir que je suis réveillée mais je décide de jouer le jeu et de le laisser faire surtout que mon corps apprécie qu’il se souvienne qu’il existe.
Je sens qu’il détache les ficelles de chaque côté de ma petite culotte.
Toute petite culotte.
Même si je la garde pour bronzer contrairement à mes seins, personne d’autre que Jean peut voir les traces de bronzages évitant les quolibets et les questions foireuses.
Les doigts sur ma poitrine pinçant même mes tétons les faisant bander et maintenant un doigt sur mon bouton.
Quelle bonne sensation depuis si longtemps oubliées.
Certes Jean me fait fréquemment l’amour mais toujours comme s’il postait une lettre.
Il entre dans ma fente.
Met son pli de travers l’obligeant à le faire entrer et sortir.
Ayant trouvé la bonne profondeur le lâche m’inondant l’intérieur de mon vagin en poussant un petit cri de plaisir.
Immanquablement il se retourne et me souhaite bonne nuit.
Par chance, il a arrêté de fumer après la naissance de notre plus jeune fils.
Dans ce temps-là, après avoir craché son sperme, il en « allumait une » comme il disait satisfait du devoir accompli.
Moi qui ai toujours eu horreur de l’odeur du tabac, quand il a arrêté de fumer, j’espérais un peu de romantisme.
Hélas jusqu’à maintenant dans cette dune où il semble retrouver les points sensibles de mon corps je dois reconnaître dans mon for intérieur que je suis une femme à la longue frustrée.
Un doigt, deux doigts puis trois qui comme un crochet me force à écarter les cuisses pour mieux les sentir en moi.
Un soupir m’échappe mince, il va voir que je me suis réveillé.
On m’enjambe et je sens sa verge se mettre entre mes seins assez volumineux depuis mes allaitements.
J’ai vu un porno sur notre ordi un jour où j’avais ouvert un message inconnu.
L’homme refermait ses mains sur les seins de la femme et l’homme lui parlait de branlette espagnole.
J’aime, c’est une autre façon qu’à trouver mon mari me surprenant de s’occuper de mes seins.
Je sens une chose sur mes lèvres.
Son gland.
Une fellation, il veut que je lui fasse une fellation.
Une où deux fois dans notre voiture en retour de repas chez des amis, on s’est arrêté au bout de notre rue avant de rejoindre la baby-sitter et je l’ai sucé.
Je dois reconnaître que j’ai fait semblant pour lui faire plaisir mais que cette pratique est loin de me plaire.
Heureusement, les deux fois j’ai pu prendre un mouchoir en papier sous le tableau de bord de notre 4L et je l’ai fait cracher à l’intérieur avant de faire coulisser la vitre et le jeter dans le caniveau.
Une fraction de seconde j’ai failli la prendre en main mais une nouvelle fois, je veux qu’il pense que je dors et éviter de casser l’enchantement.
Il entre et ma langue le caresse comme si je le faisais dans mon sommeil.
Je sens que les choses bougent autour de nous.
Mince un autre gland vient caresser mon bouton et essaye de rentrer dans ma chatte.
Elle se frotte de haut en bas s’attardant sur mon clitoris.
Je suis en train de me faire prendre par deux bites donc deux hommes ou alors Jean est un alien possédant deux sexes depuis notre mariage.
Même si je suis un peu frustré, il nous arrive de nous retrouver nus dans notre salle de bains, à ce jour une est visible.
Le problème même si je suis en train de me faire violer, c’est que j’aime ce qui m’arrive.
Mon loup me protège et ces deux hommes doivent penser que je suis consentante alors je vais leur montrer même s’il y a le risque que Jean me trouve dans cette situation.
Je saisis la verge dans ma bouche.
Mon Dieu.
Non, il est inutile de faire appel à lui, il me serait d’aucune utilité, mais le pieu que je masturbe est bien plus grand que celui que je côtoie tous les jours.
Dans ma chatte, la verge entre et sors et je retrouve la boule que je sentais avant la naissance de mes enfants.
Il faut cet événement pour que je prenne conscience que ma sexualité a évolué entre mon mari et moi depuis ces événements pourtant heureux.
Jusqu’à où suis-je responsable de tout ça ?
Suis-je devenue mère plutôt qu’amante mais comment rectifier le tir quand nous allons nous retrouver toute à l’heure ?
Excusez, je vous laisse quelles minutes où mon aventure va être émaillée d'ah, ah, ah.
Non impossible celle qui bande et que je masturbe m’en empêche.
Bref je jouis ma bouche étant arrosée avant d’être libéré et que je sente des giclées frapper mon utérus.
Les grognements qui accompagnent les éjaculations sont les premiers sons qui arrivent à mes oreilles vite remplacer par des bruits de pas quand je me retrouve libéré.
J’enlève mon loup, je m’assois.
J’ai du sperme aux coins des lèvres.
Pas si désagréable que ça.
Combien de temps depuis que Jean est parti.
Nous amenons de l’eau, lorsque nous venons sur cette place.
Je bois un coup me lavant la bouche et mes amygdales.
Je voudrais profiter des ondes qui continuent à irradier mon corps mais je sens que s’il me trouve dans cette situation, je devrais me justifier de mes acceptations de sucer et de me laisser sauter sans réaction que mon plaisir.
J’entends des pas.
Mince mes ficelles, j’en rattache une.
- Chérie, je viens de croiser deux pêcheurs remontant de la plage, les as-tu vus ?
- Non, je viens de me réveiller.
J’ai entendu le crissement du sable, je pensais que tu revenais.
Ils devaient être passés quand je me suis réveillée.
Il est vrai que lorsque nous sommes arrivés, il y avait deux pêcheurs plus loin sur la plage.
Si j’avais su qu’ils allaient me sauter, je me serais un peu plus intéressé à eux.
Mais là j’aurais été une salope alors que là je me suis laissée glisser sur les pentes du plaisir.
- Attention avant de te relever, la ficelle de ton slip de bain est défaite, si tu te relèves tu vas te retrouver toute nue.
- Ça te déplairait.
- Tu te rends compte si d’autres personnes passaient !
- Voir ta femme se faire admirer par d’autres que toi ça te déplairait.
- S’ils sont passés près de toi, ils en ont assez vu avec tes seins nus.
- Approche.
Il avance.
Heureusement que je me suis nettoyée la bouche.
Je descends son slip et je le prends en bouche.
Quand on est infidèle, il faut penser à tout.
Ma chatte débordant de sperme m’oblige à le pomper et le masturber avec plus de facilité sa verge étant moins volumineuse que celle de tout à l’heure.
Quand il éjacule j’avale son sperme trouvant ce goût de plus en plus agréable.
La fellation va dans le futur relancer mon couple.
Cet après-midi sur la plage marque un nouveau départ pour nous deux car je sens qu’il est très réceptif.
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Infidélité dans les dunes (1/1)
- Chéri, il y a trop de brise venue de la mer, pouvons-nous nous replier dans les dunes.
- Bien sûr ma chérie, juste le temps de monter les affaires là-bas.
J’ai toujours froid dès qu’un souffle de vent vient sur ma peau.
Heureusement ici il y a des dunes et dans leur intérieur je suis abritée et je peux me faire bronzer.
- Chérie, tu peux me mettre de la crème solaire sinon ce soir, aucune petite gâterie pour toi, quand je ressemblerais à un homard.
Jean cherche et peste.
- Quel con, j’ai oublié ton sac avec les produits solaires sur le toit de notre voiture.
Tu as le parasol, ça te suffit, la voiture est à 15 minutes plus de 30 allée et retour.
- Le parasol protège du soleil et laisse passer les UV.
Leurs UV est pire que les rayons et en plus, à part ma tête le reste sera exposé au soleil.
- C’est bon, j’y vais, c’est moi qui ai fait la connerie quand j’ai saisi le parasol qui glissait.
Prend ton temps, je vais mettre mon loup noir et faire une sieste, cette marche dans le sable m’a épuisé.
Je m’allonge, j’ai mon maillot deux pièces roses.
J’ôte mon soutien-gorge j’ai horreur de ces marques disgracieuses quand je mets d’autres vêtements décolletés.
J’ai horreur d’entendre les copines me dire.
« Tu t’es fait sauter sur la plage quand tu te faisais bronzer. »
J’ai eu le malheur de leur dire que nous allions sur la grande côte et une grande partie de cette plage est naturiste.
Avec Jean, nous aimons le calme et c’est sur la partie textile très peu fréquentée et surtout avec peu d’enfants car le chemin à faire avec eux exaspère les parents quand ils se plaignent tout le long.
C’était le cas l’année où nous étions venus avec nos fils et où ils se sont pleins tout le long pour finir par trouver un panneau plage naturiste.
Coup de chance à part un vieux assis sur un arbre mort venu là aux grandes marées d’hiver et où il était assis se paluchant.
Il me regardait, faisant demi-tour protégeant les enfants de ces débauchés montrant leurs sexes à qui voulaient les reluquer.
Nous en avions parlé à notre voisine de tente et c’est elle qui nous a indiqué l’endroit où nous garer et le chemin pour rejoindre la partie textile de la plage.
Les enfants devenus grands, nous avons retrouvé le chemin et le calme contrairement à toutes les plages de cette côte.
Je dors depuis quelque temps quand je sens la main de Jean me caresser la poitrine.
C’est rare, mes seins pour lui semblaient avoir pour but que d’allaiter mes fils.
Mais j’aime, surtout quand le soleil les cuit.
Je pourrais enlever mon masque et lui faire voir que je suis réveillée mais je décide de jouer le jeu et de le laisser faire surtout que mon corps apprécie qu’il se souvienne qu’il existe.
Je sens qu’il détache les ficelles de chaque côté de ma petite culotte.
Toute petite culotte.
Même si je la garde pour bronzer contrairement à mes seins, personne d’autre que Jean peut voir les traces de bronzages évitant les quolibets et les questions foireuses.
Les doigts sur ma poitrine pinçant même mes tétons les faisant bander et maintenant un doigt sur mon bouton.
Quelle bonne sensation depuis si longtemps oubliées.
Certes Jean me fait fréquemment l’amour mais toujours comme s’il postait une lettre.
Il entre dans ma fente.
Met son pli de travers l’obligeant à le faire entrer et sortir.
Ayant trouvé la bonne profondeur le lâche m’inondant l’intérieur de mon vagin en poussant un petit cri de plaisir.
Immanquablement il se retourne et me souhaite bonne nuit.
Par chance, il a arrêté de fumer après la naissance de notre plus jeune fils.
Dans ce temps-là, après avoir craché son sperme, il en « allumait une » comme il disait satisfait du devoir accompli.
Moi qui ai toujours eu horreur de l’odeur du tabac, quand il a arrêté de fumer, j’espérais un peu de romantisme.
Hélas jusqu’à maintenant dans cette dune où il semble retrouver les points sensibles de mon corps je dois reconnaître dans mon for intérieur que je suis une femme à la longue frustrée.
Un doigt, deux doigts puis trois qui comme un crochet me force à écarter les cuisses pour mieux les sentir en moi.
Un soupir m’échappe mince, il va voir que je me suis réveillé.
On m’enjambe et je sens sa verge se mettre entre mes seins assez volumineux depuis mes allaitements.
J’ai vu un porno sur notre ordi un jour où j’avais ouvert un message inconnu.
L’homme refermait ses mains sur les seins de la femme et l’homme lui parlait de branlette espagnole.
J’aime, c’est une autre façon qu’à trouver mon mari me surprenant de s’occuper de mes seins.
Je sens une chose sur mes lèvres.
Son gland.
Une fellation, il veut que je lui fasse une fellation.
Une où deux fois dans notre voiture en retour de repas chez des amis, on s’est arrêté au bout de notre rue avant de rejoindre la baby-sitter et je l’ai sucé.
Je dois reconnaître que j’ai fait semblant pour lui faire plaisir mais que cette pratique est loin de me plaire.
Heureusement, les deux fois j’ai pu prendre un mouchoir en papier sous le tableau de bord de notre 4L et je l’ai fait cracher à l’intérieur avant de faire coulisser la vitre et le jeter dans le caniveau.
Une fraction de seconde j’ai failli la prendre en main mais une nouvelle fois, je veux qu’il pense que je dors et éviter de casser l’enchantement.
Il entre et ma langue le caresse comme si je le faisais dans mon sommeil.
Je sens que les choses bougent autour de nous.
Mince un autre gland vient caresser mon bouton et essaye de rentrer dans ma chatte.
Elle se frotte de haut en bas s’attardant sur mon clitoris.
Je suis en train de me faire prendre par deux bites donc deux hommes ou alors Jean est un alien possédant deux sexes depuis notre mariage.
Même si je suis un peu frustré, il nous arrive de nous retrouver nus dans notre salle de bains, à ce jour une est visible.
Le problème même si je suis en train de me faire violer, c’est que j’aime ce qui m’arrive.
Mon loup me protège et ces deux hommes doivent penser que je suis consentante alors je vais leur montrer même s’il y a le risque que Jean me trouve dans cette situation.
Je saisis la verge dans ma bouche.
Mon Dieu.
Non, il est inutile de faire appel à lui, il me serait d’aucune utilité, mais le pieu que je masturbe est bien plus grand que celui que je côtoie tous les jours.
Dans ma chatte, la verge entre et sors et je retrouve la boule que je sentais avant la naissance de mes enfants.
Il faut cet événement pour que je prenne conscience que ma sexualité a évolué entre mon mari et moi depuis ces événements pourtant heureux.
Jusqu’à où suis-je responsable de tout ça ?
Suis-je devenue mère plutôt qu’amante mais comment rectifier le tir quand nous allons nous retrouver toute à l’heure ?
Excusez, je vous laisse quelles minutes où mon aventure va être émaillée d'ah, ah, ah.
Non impossible celle qui bande et que je masturbe m’en empêche.
Bref je jouis ma bouche étant arrosée avant d’être libéré et que je sente des giclées frapper mon utérus.
Les grognements qui accompagnent les éjaculations sont les premiers sons qui arrivent à mes oreilles vite remplacer par des bruits de pas quand je me retrouve libéré.
J’enlève mon loup, je m’assois.
J’ai du sperme aux coins des lèvres.
Pas si désagréable que ça.
Combien de temps depuis que Jean est parti.
Nous amenons de l’eau, lorsque nous venons sur cette place.
Je bois un coup me lavant la bouche et mes amygdales.
Je voudrais profiter des ondes qui continuent à irradier mon corps mais je sens que s’il me trouve dans cette situation, je devrais me justifier de mes acceptations de sucer et de me laisser sauter sans réaction que mon plaisir.
J’entends des pas.
Mince mes ficelles, j’en rattache une.
- Chérie, je viens de croiser deux pêcheurs remontant de la plage, les as-tu vus ?
- Non, je viens de me réveiller.
J’ai entendu le crissement du sable, je pensais que tu revenais.
Ils devaient être passés quand je me suis réveillée.
Il est vrai que lorsque nous sommes arrivés, il y avait deux pêcheurs plus loin sur la plage.
Si j’avais su qu’ils allaient me sauter, je me serais un peu plus intéressé à eux.
Mais là j’aurais été une salope alors que là je me suis laissée glisser sur les pentes du plaisir.
- Attention avant de te relever, la ficelle de ton slip de bain est défaite, si tu te relèves tu vas te retrouver toute nue.
- Ça te déplairait.
- Tu te rends compte si d’autres personnes passaient !
- Voir ta femme se faire admirer par d’autres que toi ça te déplairait.
- S’ils sont passés près de toi, ils en ont assez vu avec tes seins nus.
- Approche.
Il avance.
Heureusement que je me suis nettoyée la bouche.
Je descends son slip et je le prends en bouche.
Quand on est infidèle, il faut penser à tout.
Ma chatte débordant de sperme m’oblige à le pomper et le masturber avec plus de facilité sa verge étant moins volumineuse que celle de tout à l’heure.
Quand il éjacule j’avale son sperme trouvant ce goût de plus en plus agréable.
La fellation va dans le futur relancer mon couple.
Cet après-midi sur la plage marque un nouveau départ pour nous deux car je sens qu’il est très réceptif.
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