COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’ai baisé « la truie » (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 996 249 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 556 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’ai baisé « la truie » (1/1)
C’est dans mon petit village morvandiau que cette aventure m’est arrivée.
Je m’appelle Christophe vingt-deux ans, cancre, mais travailleur.
J’ai quitté l’école à seize ans.
Je l’ai fui la veille de cet âge au grand dam de mon père qui me voyait président de la République.
Cantonnier, entretenir la commune, les lundis, s’il y a eu match, mon supérieur nous emmène pour la remise en l’état de la pelouse de notre terrain de foot.
J’ai horreur du foot et l’on peut comprendre que de remettre en l’état ce terrain où ils perdent régulièrement m’indispose.
Lorsque je parle de mon supérieur, c’est Laurent, le chef des quatre cantonniers de notre commune.
Bien sûr, nous avons un chef suprême, je devrais dire une cheffe suprême, la grosse truie.
La grosse truie, c’est madame la mairesse élue après la mort de son mari.
Dans le village, nous pouvons dire qu’il y a deux clans, les vieux et les jeunes.
Moite, moite aux élections, mais, hélas, quelques vieux de plus qui font l’élection et qui place Adelina à la mairie.
Adelina, femme d’Émile, est d’origine portugaise, noire de peau avec des touffes de poils sous les bras qu’elle expose chaque été avec des débardeurs montrant aussi ses grosses mamelles.
Je sais ça fait clicher, la portugaise, noire de peau avec des hérissons sous les bras, les mamelles avenantes, on a souvent présenté les femmes de ce pays sous ce jour.
Si vous ajoutez, les valises en cartons au début de leur arrivée vous avez le cliché complet.
Pourtant, c’est la réalité, Adelina est une femme seule, personne pour essayer de la monter.
J’emploie encore un mot extrême, « monter », mais sans beaucoup me tromper, elle doit peser au bas mot plus de cent kilos.
Cent kilos pour un mètre cinquante, cinquante centimètres au-dessus d’un mètre, bref je fais voir mes carences en mathématiques, son IMC doit donner un chiffre vertigineux de son surpoids.
De plus, inutile de me demander ce qu’est l’IMC, j’ai vu ça dans une publicité à la télé.
Entre copains nous nous demandons comment Émile pouvait trouver le trou de sa chatte et trouver son chemin.
Avec mes copains, c’est au bistrot du village que nous nous posons ces questions surtout qu’il avait vingt ans de plus que notre truie, elle doit avoir la quarantaine.
J’ai un cousin habitant dans une ville de moyenne importance comme la nôtre.
Quand il vient ici, il aime retrouver le bistrot de son enfance trop vite abandonnée au fil des années dans de nombreux villages.
Il faut dire que les odeurs de vinasse et de pisse, certains de ces anciens, se soulageant sur place le long du bar dans leur pantalon trop grand tenu par des bretelles, finissent par persister.
Un peu bourré, Jacky, c’est le nom de mon cousin, a émis un pari fou entre nous.
Il offrirait un repas à l’hostellerie du château, dont chacun d’entre nous est dans l’impossibilité de se payer, à celui qui lui amènerait la culotte de la truie.
Dans cette hostellerie, la poularde de Bresse dans les menus est à plus de 200 €.
Les vins à 2 000 €, moi l’un des mieux payés de la commune avec mes 1 100 € par mois.
Je suis presque considéré comme un nabab, car je touche ça tous les mois et excusez du peu, cette somme avec le 13e mois.
De plus, je dois être deux fois honnête, les 1 100, c’est net après charges et impôts, mais j’ai des revenus parallèles, car je suis, comme je l’ai dit, un cancre, mais un travailleur infatigable.
Si j’ai du mal à faire des tables de multiplication, au bistro si tu as du mal à finir un chantier, tu m’appelles on se tape dans la main devant un verre de bière et rapidement l’affaire est faite.
Parmi mes habitués, il y a la vieille Germaine, si la truie reste la truie, Germaine à quatre-vingt-douze ans a atteint la date de péremption, je vois mal qui pourrait y gouter.
Marguerite, sûrement pas la vache de Fernandel qui est repassée en couleur dans notre salle de cinéma encore plus délabrée que notre bistrot.
Ah ! le « palace », salle mythique ou dans un temps jadis, nos très chers anciens, eux devant leur verre de rouge, nous raconte les pornos que le père Antoine passait.
Ce ciné est resté ouvert jusqu’à l’avènement des cassettes vidéo et de Canal ou les pignoles se sont déplacées dans les salons.
À ce qu’ils disent, c’est la période où ça baisait dans les salons dans toutes les positions alors que leurs parents se contentaient du classique missionnaire.
Marguerite donc après cet aparté et la réouverture de ce cinéma des années après grâce à William, un anglais adepte des films anciens cramant de temps en temps et qui a réouvert il y a peu.
Marguerite est la femme de Serge, l’épicier.
La fille de Germaine a ce qui est dit là encore aurait la cuisse aussi légère que sa mère, qui était une fieffée salope.
Marguerite est la femme ayant moins de dépucelage à son actif que sa mère, mais au moins c’est elle qui m’a pris le mien.
C’est dans l’arrière-boutique que je l’ai tringlé un jour où son mari était parti faire sa tournée.
Mon patron m’avait envoyé chercher une pelote de ficelle afin de réparer les filets du terrain de foot ayant cédé après les quinze buts encaissés.
En plus de ma queue plantée dans sa chatte épilée, j’ai eu droit à un roudoudou lorsque je lui ai avoué qu’elle était la première.
Il faut dire qu’à peine entré, à peine sorti, car j’avais été un éjaculateur précausse.
Depuis, je me suis rattrapé, lorsque nous travaillons à nettoyer les rues du village, chacun notre tour avec mes copains nous nous couvrons les autres lorsqu’elle met le panneau, je reviens de suite. »Neuf fois sur dix, si vous la cherchez elle se fait tringler dans l’arrière-boutique.
Mais revenons à ce pari complètement loufoque.
Malgré la différence d’âge, Adelina avait fait un mariage d’amour.
Je suis chargé particulièrement de l’entretien du cimetière.
Si vous saviez le nombre de vieux enterré au fil du temps dont les enfants sont des Parigots et qui viennent fleurir la tombe de leurs parents à deux occasions.
Le 1er novembre avec des chrysanthèmes que je suis chargé de mettre à la poubelle lorsqu’ils sont fanés souvent ayant subi le gel si intense à cette période.
Mais il y a leur deuxième passage, en juillet ou en août lorsqu’ils partent pour leurs vacances sur la côte ou en Italie.
La grisaille ayant fait place à un beau soleil, les tenus sont plus décontractés.
Passons les hommes, les tarlouses très peu pour moi, mais les femmes presque déjà en tenue de plage.
En tong dans le cimetière et les robes sans aucun soutien ou lorsqu’elle se penche pour poser quelques fleurs ou laver la tombe me montrent leurs seins et même leur cul, la robe étant remontée.
Si Marguerite m’a dépucelé, je suis ce que l’on appelle un chaud lapin, j’arrive à pécho quelques gamines étant bien protégée, car les grossesses menant au mariage très peu pour moi.
À cet effet, j’ai toujours sur moi quelques capotes que j’enfile sur ma queue lorsque l’occasion se présente.
La dernière fois au cimetière, j’ai aidé une de ces bourges parisiennes à porter son arrosoir pour arroser un rosier planté au pied de la tombe de la mère de son mari.
Ce dernier fâché avec sa mère restait à l’hostellerie à l’ombre de la terrasse.
Nous avons fini ses genoux sur le marbre de la tombe et comme le cimetière était vide, ma queue dans sa bouche puis dans sa chatte.
J’étais à deux doigts de changer de capote pour l’enculer quand nous avons entendu la grille du cimetière grincer.
J’ai eu le temps de la faire jouir et de remplir ma capote quand Adelina est arrivée avec la rose que chaque matin elle vient mettre dans le vase en marbre identique la tombe d’Émile.
Chacun de nous ayant repris une tenue décente, il va falloir que je récupère ma capote que j’ai jetée lors de l’arrivée de la truie et que je vois sur le visage de la photo de ma grand-mère.
Alors que la parisienne part entre les allées, la truie s’approche de moi.
• Christophe combien de fois dois-je te dire de mettre de la graisse sur la grille du cimetière.
Solange est passée à la mairie pour se plaindre qu’elle fait du bruit toute la journée.
• J’y vais de suite et je passerais m’excuser.
Solange l’âge de la truie, femme de mon pote chasseur Louison qui travaille dans le supermarché de la ville voisine et qui aime me sucer avant que je la baise sur la table de la cuisine.
On va me prendre pour un obsédé, c’est loin d’être faux, mais Louison sait que je tringle Solange, mais est loin d’être jaloux.
Au début, j’ai même eu peur qu’il veuille participer et mater quand je baise sa femme.
• Avant d’y aller, aurais-tu du temps le soir et le week-end pour me repeindre et changer le papier de ma salle à manger.
Émile voulait le faire juste avant sa mort et depuis je repoussais ayant peur de perdre un peu de lui en changeant le papier.
Je suis allé chez la mairesse pour changer le chauffe-eau, les rhododendrons violets étaient du plus bel effet, un vrai cauchemarde.
Quelle chance, j’irai lorsque Adelina sera à la mairie et je passerai dans sa chambre lui piquer une culotte.
Qui ira voir que je l’ai piqué sans pour autant enfiler la truie et à moi le repas.
• Vous vous occupez d’acheter le papier, je vais passer calculer le nombre de rouleaux et vous pourrez aller les acheter en ville.
• Tu sais où je cache la clef depuis le chauffe-eau, elle est toujours là.
Le papier plus champêtre est là, la colle aussi, je commence à arracher l’horreur de tapisserie, comment a-t-elle fait pour vivre avec ça devant ses yeux depuis des années.
Ça fait deux fois que j’ai l’occasion de gagner le pari, mais j’hésite, sauter des salopes même si elles sont mariées, ça je le peux, mais voler semble au-dessus de mes forces.
Ce soir j’ai deux heures à tuer.
Je vais pouvoir poncer le mur avant de mettre une couche de peinture.
Ça permettra à celui qui changera le papier, la prochaine fois, de l’enlever plus facilement que le temps que j’ai passé à défaire celui-là.
Non seulement il était moche, mais il était résistant, il refusait de nous quitter.
Ce vendredi soir, je prends la clef et je rentre, à cette heure la patronne se trouve encore à la mairie retenue par le conseil municipal.
J’ai le temps de passer le rouleau et ainsi dès demain je commencerais à poser le papier la peinture étant à séchage rapide.
Demain samedi, je pourrai reprendre mon chantier et si tout va bien dimanche soir, j’aurais terminé et ainsi me faire payer.
Je passe devant la chambre de la truie et si je me payais un repas sur le compte de la mairesse, j’entre.
• Christophe que fais-tu là !
Celle que je croyais absente est nue sur son lit, les cuisses ouvertes à 180° et un gode vibrant rose planté dans sa chatte.
Elle a une touffe à la hauteur de ses poils sous les bras, j’aurais pu me sentir couillon, mais je m’avance, j’enlève mes vêtements, je bande comme jamais à cette vision.
Certains ont un coup de foudre, j’ai un coup de toison, noire et prolifique.
J’approche, je monte sur le lit, elle semble tétanisée et je compte bien en profiter.
• Laisse ton gode, je vais m’occuper de ton clito, il est très proéminent.
Je profite de son interlocation pour passer ma langue sur son clito qui réagit par chance pour moi positivement.
Je sens les vibrations de son gode sur mon menton recouvert d’un petit bouc.
Je le laisse pousser, ça fait plus viril et ça plait aux femmes.
Florent Pagny, D’Artagnan on me compare souvent à ces deux personnages si loin l’un de l’autre.
Elle met ses mains sur ma tête, j’ai gagné elle m’aurait repoussé, j’aurais perdu, elle appuie, j’ai gagné et me redressant après un premier orgasme, j’ôte son gode et je la plante.
Pardon, je lui fais l’amour, prouvant qu’une femme plus que ronde est capable de rester femme.
Deux jours, nous faisons l’amour deux jours et même trois nuits, mangeant sur place, laissant tomber le chantier de la salle à manger le temps d’un week-end.
Nous avons stoppé nos jeux sexuels le temps d’appeler Romain son premier adjoint pour reporter d’une semaine le conseil municipal.
• Bonjour, monsieur le maire, je suis content de vous voir, que désirez-vous manger madame !
Eh oui, il y a deux ans que j’ai déménagé pour vivre avec celle que l’on appelait d’un nom que je me refuse à prononcer, elle est Adelina.
Presque vingt ans d’écart, mais une complicité de tous les instants.
C’est ensemble que nous avons été changer le papier peint plus près de nos gouts communs.
Nous avons même changé le papier de la chambre et nous avons repeint la cuisine et les commodités, bref nous avons une maison aussi claire que l’amour qui nous a traversés.
Monsieur le maire, car les élections ayant eu lieu, c’est Adelina qui a imposé ma candidature.
Pour devenir maire, j’ai quitté les services municipaux pour gérer la fortune de ma meuf comme il est de bon ton de dire de celle qui est ma femme sans être marié, il va de soi.
Comme tous les dimanches midi, nous avons rejoint la carte de l’hostellerie du château ou nous avons notre table.
Chaque semaine nous avons un invité de ceux qui pariaient sur le cul d’Adelina.
Son cul, c’est moi qui le pilonnerais dès notre retour en levrette position que j’adore et qu’elle adore.
Je la prendrais sauvagement en ayant plein les mains en lui tirant sur ses mamelles.
Ce qu’elle aime aussi c’est que je lui claque les fesses, ma main s’enfonçant dans sa graisse et la faisant vibrer.
Une dernière chose, tous les jours nous allons au cimetière porté une rose rouge à Émile.
• Sébastien !
• Oui, monsieur le maire !
• Combien de fois devrais-je vous dire de graisser le portail en fer, il grince et les voisins vous ce plaindre du bruit qu’il fait.
Je m’appelle Christophe vingt-deux ans, cancre, mais travailleur.
J’ai quitté l’école à seize ans.
Je l’ai fui la veille de cet âge au grand dam de mon père qui me voyait président de la République.
Cantonnier, entretenir la commune, les lundis, s’il y a eu match, mon supérieur nous emmène pour la remise en l’état de la pelouse de notre terrain de foot.
J’ai horreur du foot et l’on peut comprendre que de remettre en l’état ce terrain où ils perdent régulièrement m’indispose.
Lorsque je parle de mon supérieur, c’est Laurent, le chef des quatre cantonniers de notre commune.
Bien sûr, nous avons un chef suprême, je devrais dire une cheffe suprême, la grosse truie.
La grosse truie, c’est madame la mairesse élue après la mort de son mari.
Dans le village, nous pouvons dire qu’il y a deux clans, les vieux et les jeunes.
Moite, moite aux élections, mais, hélas, quelques vieux de plus qui font l’élection et qui place Adelina à la mairie.
Adelina, femme d’Émile, est d’origine portugaise, noire de peau avec des touffes de poils sous les bras qu’elle expose chaque été avec des débardeurs montrant aussi ses grosses mamelles.
Je sais ça fait clicher, la portugaise, noire de peau avec des hérissons sous les bras, les mamelles avenantes, on a souvent présenté les femmes de ce pays sous ce jour.
Si vous ajoutez, les valises en cartons au début de leur arrivée vous avez le cliché complet.
Pourtant, c’est la réalité, Adelina est une femme seule, personne pour essayer de la monter.
J’emploie encore un mot extrême, « monter », mais sans beaucoup me tromper, elle doit peser au bas mot plus de cent kilos.
Cent kilos pour un mètre cinquante, cinquante centimètres au-dessus d’un mètre, bref je fais voir mes carences en mathématiques, son IMC doit donner un chiffre vertigineux de son surpoids.
De plus, inutile de me demander ce qu’est l’IMC, j’ai vu ça dans une publicité à la télé.
Entre copains nous nous demandons comment Émile pouvait trouver le trou de sa chatte et trouver son chemin.
Avec mes copains, c’est au bistrot du village que nous nous posons ces questions surtout qu’il avait vingt ans de plus que notre truie, elle doit avoir la quarantaine.
J’ai un cousin habitant dans une ville de moyenne importance comme la nôtre.
Quand il vient ici, il aime retrouver le bistrot de son enfance trop vite abandonnée au fil des années dans de nombreux villages.
Il faut dire que les odeurs de vinasse et de pisse, certains de ces anciens, se soulageant sur place le long du bar dans leur pantalon trop grand tenu par des bretelles, finissent par persister.
Un peu bourré, Jacky, c’est le nom de mon cousin, a émis un pari fou entre nous.
Il offrirait un repas à l’hostellerie du château, dont chacun d’entre nous est dans l’impossibilité de se payer, à celui qui lui amènerait la culotte de la truie.
Dans cette hostellerie, la poularde de Bresse dans les menus est à plus de 200 €.
Les vins à 2 000 €, moi l’un des mieux payés de la commune avec mes 1 100 € par mois.
Je suis presque considéré comme un nabab, car je touche ça tous les mois et excusez du peu, cette somme avec le 13e mois.
De plus, je dois être deux fois honnête, les 1 100, c’est net après charges et impôts, mais j’ai des revenus parallèles, car je suis, comme je l’ai dit, un cancre, mais un travailleur infatigable.
Si j’ai du mal à faire des tables de multiplication, au bistro si tu as du mal à finir un chantier, tu m’appelles on se tape dans la main devant un verre de bière et rapidement l’affaire est faite.
Parmi mes habitués, il y a la vieille Germaine, si la truie reste la truie, Germaine à quatre-vingt-douze ans a atteint la date de péremption, je vois mal qui pourrait y gouter.
Marguerite, sûrement pas la vache de Fernandel qui est repassée en couleur dans notre salle de cinéma encore plus délabrée que notre bistrot.
Ah ! le « palace », salle mythique ou dans un temps jadis, nos très chers anciens, eux devant leur verre de rouge, nous raconte les pornos que le père Antoine passait.
Ce ciné est resté ouvert jusqu’à l’avènement des cassettes vidéo et de Canal ou les pignoles se sont déplacées dans les salons.
À ce qu’ils disent, c’est la période où ça baisait dans les salons dans toutes les positions alors que leurs parents se contentaient du classique missionnaire.
Marguerite donc après cet aparté et la réouverture de ce cinéma des années après grâce à William, un anglais adepte des films anciens cramant de temps en temps et qui a réouvert il y a peu.
Marguerite est la femme de Serge, l’épicier.
La fille de Germaine a ce qui est dit là encore aurait la cuisse aussi légère que sa mère, qui était une fieffée salope.
Marguerite est la femme ayant moins de dépucelage à son actif que sa mère, mais au moins c’est elle qui m’a pris le mien.
C’est dans l’arrière-boutique que je l’ai tringlé un jour où son mari était parti faire sa tournée.
Mon patron m’avait envoyé chercher une pelote de ficelle afin de réparer les filets du terrain de foot ayant cédé après les quinze buts encaissés.
En plus de ma queue plantée dans sa chatte épilée, j’ai eu droit à un roudoudou lorsque je lui ai avoué qu’elle était la première.
Il faut dire qu’à peine entré, à peine sorti, car j’avais été un éjaculateur précausse.
Depuis, je me suis rattrapé, lorsque nous travaillons à nettoyer les rues du village, chacun notre tour avec mes copains nous nous couvrons les autres lorsqu’elle met le panneau, je reviens de suite. »Neuf fois sur dix, si vous la cherchez elle se fait tringler dans l’arrière-boutique.
Mais revenons à ce pari complètement loufoque.
Malgré la différence d’âge, Adelina avait fait un mariage d’amour.
Je suis chargé particulièrement de l’entretien du cimetière.
Si vous saviez le nombre de vieux enterré au fil du temps dont les enfants sont des Parigots et qui viennent fleurir la tombe de leurs parents à deux occasions.
Le 1er novembre avec des chrysanthèmes que je suis chargé de mettre à la poubelle lorsqu’ils sont fanés souvent ayant subi le gel si intense à cette période.
Mais il y a leur deuxième passage, en juillet ou en août lorsqu’ils partent pour leurs vacances sur la côte ou en Italie.
La grisaille ayant fait place à un beau soleil, les tenus sont plus décontractés.
Passons les hommes, les tarlouses très peu pour moi, mais les femmes presque déjà en tenue de plage.
En tong dans le cimetière et les robes sans aucun soutien ou lorsqu’elle se penche pour poser quelques fleurs ou laver la tombe me montrent leurs seins et même leur cul, la robe étant remontée.
Si Marguerite m’a dépucelé, je suis ce que l’on appelle un chaud lapin, j’arrive à pécho quelques gamines étant bien protégée, car les grossesses menant au mariage très peu pour moi.
À cet effet, j’ai toujours sur moi quelques capotes que j’enfile sur ma queue lorsque l’occasion se présente.
La dernière fois au cimetière, j’ai aidé une de ces bourges parisiennes à porter son arrosoir pour arroser un rosier planté au pied de la tombe de la mère de son mari.
Ce dernier fâché avec sa mère restait à l’hostellerie à l’ombre de la terrasse.
Nous avons fini ses genoux sur le marbre de la tombe et comme le cimetière était vide, ma queue dans sa bouche puis dans sa chatte.
J’étais à deux doigts de changer de capote pour l’enculer quand nous avons entendu la grille du cimetière grincer.
J’ai eu le temps de la faire jouir et de remplir ma capote quand Adelina est arrivée avec la rose que chaque matin elle vient mettre dans le vase en marbre identique la tombe d’Émile.
Chacun de nous ayant repris une tenue décente, il va falloir que je récupère ma capote que j’ai jetée lors de l’arrivée de la truie et que je vois sur le visage de la photo de ma grand-mère.
Alors que la parisienne part entre les allées, la truie s’approche de moi.
• Christophe combien de fois dois-je te dire de mettre de la graisse sur la grille du cimetière.
Solange est passée à la mairie pour se plaindre qu’elle fait du bruit toute la journée.
• J’y vais de suite et je passerais m’excuser.
Solange l’âge de la truie, femme de mon pote chasseur Louison qui travaille dans le supermarché de la ville voisine et qui aime me sucer avant que je la baise sur la table de la cuisine.
On va me prendre pour un obsédé, c’est loin d’être faux, mais Louison sait que je tringle Solange, mais est loin d’être jaloux.
Au début, j’ai même eu peur qu’il veuille participer et mater quand je baise sa femme.
• Avant d’y aller, aurais-tu du temps le soir et le week-end pour me repeindre et changer le papier de ma salle à manger.
Émile voulait le faire juste avant sa mort et depuis je repoussais ayant peur de perdre un peu de lui en changeant le papier.
Je suis allé chez la mairesse pour changer le chauffe-eau, les rhododendrons violets étaient du plus bel effet, un vrai cauchemarde.
Quelle chance, j’irai lorsque Adelina sera à la mairie et je passerai dans sa chambre lui piquer une culotte.
Qui ira voir que je l’ai piqué sans pour autant enfiler la truie et à moi le repas.
• Vous vous occupez d’acheter le papier, je vais passer calculer le nombre de rouleaux et vous pourrez aller les acheter en ville.
• Tu sais où je cache la clef depuis le chauffe-eau, elle est toujours là.
Le papier plus champêtre est là, la colle aussi, je commence à arracher l’horreur de tapisserie, comment a-t-elle fait pour vivre avec ça devant ses yeux depuis des années.
Ça fait deux fois que j’ai l’occasion de gagner le pari, mais j’hésite, sauter des salopes même si elles sont mariées, ça je le peux, mais voler semble au-dessus de mes forces.
Ce soir j’ai deux heures à tuer.
Je vais pouvoir poncer le mur avant de mettre une couche de peinture.
Ça permettra à celui qui changera le papier, la prochaine fois, de l’enlever plus facilement que le temps que j’ai passé à défaire celui-là.
Non seulement il était moche, mais il était résistant, il refusait de nous quitter.
Ce vendredi soir, je prends la clef et je rentre, à cette heure la patronne se trouve encore à la mairie retenue par le conseil municipal.
J’ai le temps de passer le rouleau et ainsi dès demain je commencerais à poser le papier la peinture étant à séchage rapide.
Demain samedi, je pourrai reprendre mon chantier et si tout va bien dimanche soir, j’aurais terminé et ainsi me faire payer.
Je passe devant la chambre de la truie et si je me payais un repas sur le compte de la mairesse, j’entre.
• Christophe que fais-tu là !
Celle que je croyais absente est nue sur son lit, les cuisses ouvertes à 180° et un gode vibrant rose planté dans sa chatte.
Elle a une touffe à la hauteur de ses poils sous les bras, j’aurais pu me sentir couillon, mais je m’avance, j’enlève mes vêtements, je bande comme jamais à cette vision.
Certains ont un coup de foudre, j’ai un coup de toison, noire et prolifique.
J’approche, je monte sur le lit, elle semble tétanisée et je compte bien en profiter.
• Laisse ton gode, je vais m’occuper de ton clito, il est très proéminent.
Je profite de son interlocation pour passer ma langue sur son clito qui réagit par chance pour moi positivement.
Je sens les vibrations de son gode sur mon menton recouvert d’un petit bouc.
Je le laisse pousser, ça fait plus viril et ça plait aux femmes.
Florent Pagny, D’Artagnan on me compare souvent à ces deux personnages si loin l’un de l’autre.
Elle met ses mains sur ma tête, j’ai gagné elle m’aurait repoussé, j’aurais perdu, elle appuie, j’ai gagné et me redressant après un premier orgasme, j’ôte son gode et je la plante.
Pardon, je lui fais l’amour, prouvant qu’une femme plus que ronde est capable de rester femme.
Deux jours, nous faisons l’amour deux jours et même trois nuits, mangeant sur place, laissant tomber le chantier de la salle à manger le temps d’un week-end.
Nous avons stoppé nos jeux sexuels le temps d’appeler Romain son premier adjoint pour reporter d’une semaine le conseil municipal.
• Bonjour, monsieur le maire, je suis content de vous voir, que désirez-vous manger madame !
Eh oui, il y a deux ans que j’ai déménagé pour vivre avec celle que l’on appelait d’un nom que je me refuse à prononcer, elle est Adelina.
Presque vingt ans d’écart, mais une complicité de tous les instants.
C’est ensemble que nous avons été changer le papier peint plus près de nos gouts communs.
Nous avons même changé le papier de la chambre et nous avons repeint la cuisine et les commodités, bref nous avons une maison aussi claire que l’amour qui nous a traversés.
Monsieur le maire, car les élections ayant eu lieu, c’est Adelina qui a imposé ma candidature.
Pour devenir maire, j’ai quitté les services municipaux pour gérer la fortune de ma meuf comme il est de bon ton de dire de celle qui est ma femme sans être marié, il va de soi.
Comme tous les dimanches midi, nous avons rejoint la carte de l’hostellerie du château ou nous avons notre table.
Chaque semaine nous avons un invité de ceux qui pariaient sur le cul d’Adelina.
Son cul, c’est moi qui le pilonnerais dès notre retour en levrette position que j’adore et qu’elle adore.
Je la prendrais sauvagement en ayant plein les mains en lui tirant sur ses mamelles.
Ce qu’elle aime aussi c’est que je lui claque les fesses, ma main s’enfonçant dans sa graisse et la faisant vibrer.
Une dernière chose, tous les jours nous allons au cimetière porté une rose rouge à Émile.
• Sébastien !
• Oui, monsieur le maire !
• Combien de fois devrais-je vous dire de graisser le portail en fer, il grince et les voisins vous ce plaindre du bruit qu’il fait.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...