COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’ai baisé Minnie Mousse (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’ai baisé Minnie Mousse (1/1)
• Jeune homme, permettez que je vous offre une coupe de champagne !
Lorsque cet allemand m’offre de boire une coupe, je venais de sortir de la piste de la boîte de nuit ou j’espérais sauter une petite étrangère de passage à Paris.
J’ai vingt-deux ans, je suis coursier dans la capitale pour une célèbre marque de restauration livrée à domicile.
J’avais repéré une petite, qui je le pensais, finirais dans mon lit, ça sentait la salope à des kilomètres à la ronde.
C’est à ce moment que dans ma ligne de mire, le gros cul de cette femme est venu se frotter à ma verge.
Quel âge, la cinquantaine, mais avec des fringues de qualité.
Ça sentait le pognon avec les bijoux qu’elle avait, mais le fric à mon âge, du moment que j’avais de quoi vivre, on verrait plus tard si je décidais de fonder une famille.
J’avais soif et c’est en passant devant la table de ce couple qu’il m’apostrophe me proposant de boire avec eux.
Comme tout un chacun, j’aime boire du champagne et j’ai accepté de m’assoir à côté d’eux.
• Je parle votre langue, je l’ai appris dans ma jeunesse, mais Ulla ma femme parle seulement l’allemand.
Il parle dans sa langue à Ulla, forte femme comme on en voit dans les films allemands.
Vous voyez, la grosse Berta.
• Ya !
Ce sera de sa part le premier « ya » qui sortira de sa bouche.
Elle retourne danser, elle est grosse, mais elle est souple, elle se tortille en cadence montrant ses seins aussi volumineux que son cul.
• Va la rejoindre, elle adore danser et moi, j’aime la regarder.
Je la rejoins, la situation m’amuse, surtout quand lascivement elle vient frotter ses fesses sur ma queue, elle arrive presque à me faire bander.
La soirée se termine, nous buvons une dernière coupe.
• Peut-on te raccompagner jusque chez toi, ça nous ferait plaisir ?
• Si vous le désirez, mais j’habite à deux kilomètres, je pourrais rentrer à pied.
Pourtant, je monte dans leur grosse Mercedes, Walter ouvre la portière arrière, pour que je m’assoie.
Je suis étonné qu’il m’ouvre alors que sa femme est encore sur le trottoir, mais avant que j’aie le temps de dire ouf, elle me pousse pour s’installer à mon côté.
Elle vient directement se coller à moi alors que son mari contourne la voiture pour prendre le volant.
• Guide-moi !
Deux kilomètres en ligne droite, je quitte la bouche d’Ulla pour le guider et lui dire d’arrêter au pied d’un immeuble ancien.
• Ma femme aimerait monter chez toi, elle aime les jeunes hommes comme toi, c’est sans équivoque, j’attendrais dans ma voiture.
C’est comme ça que je me retrouve à suivre le gros cul d’Ulla jusqu’au cinquième sans ascenseur, la situation devenant comique, dès le second, elle souffle à s’éclater les poumons.
Des Allemands viennent voir les petites femmes de Paris, Ulla vient se faire un beau gosse de la capitale.
Au troisième, elle continue à souffler, une vraie locomotive.
Une première fois au quatrième elle s’arrête, sa poitrine que j’ai dit volumineuse ressemble à un soufflet de forge.
Jusqu’au cinquième, ce sont mes mains sur son cul rebondi qui l’aide à arriver devant la porte de ma chambre mansardée.
J’oublie que la salope ignore notre langue, je lui parle comme je le faisais avec Walter.
• Ya.
C’est sa seule réponse lorsque je lui dis que l’on est arrivé et pour me payer une tranche de rire que je vais te baiser salope.
Il va sans dire que sa seule réponse, ça a été « ya ».
Je vis dans cette pièce mansardée avec tout le confort, un lit deux places, table coin toilettes, cuisine et une penderie où je range mes quelques affaires.
J’ai même un ordi avec écran me permettant de voir la télé, deux en un et surtout d’éviter de payer la redevance.
Je lui montre le lit, si Walter avait voulu l’accompagner, j’aurais refusé.
La place certes, mais tremper ma queue dans le vagin d’une femme sous le regard de son mari, je savais que ce serait hors de ma portée.
Il m’est déjà arrivé en sortie de la boîte de faire monter des jeunes femmes chez moi.
À une exception près, je savais que si ces femmes acceptaient de venir, s’était pour s’allonger.
La seule fois, ce fut une femme mariée, la quarantaine, elle voulait se venger de son mari infidèle, mais au moment de rejoindre mon lit elle s’est sauvée.
Avec Ulla, son numéro dans la voiture ou nos langues se sont retrouvées en présence de Walter, je savais pouvoir attaquer.
Ma chemise, je l’enlève à un mètre de ma future partenaire.
Je m’entraîne en salle et j’ai appris à faire bouger mes pectoraux, ce qui les faits kiffés, ça fonctionne à tous les coups.
• Ya.
La main d’Ulla vient les caresser, me montrant qu’elle apprécie.
Je passe ma main dans l’échancrure de sa robe, elle est remplie par ses mamelles comme jamais.
Je défais mon pantalon sortant ma verge, sa main vient me saisir et sa bouche m’avale.
Dans le temps dans Paris, une femme s’appelait La Goulue, j’ignore si elle tenait son nom de la fureur de sa bouche sur ma queue.
Masturbé, sucé, aspiré comme si j’étais dans un aspirateur, je suis à deux doigts de décharger, je réussis à ce qu’elle me libère.
Je la mets à poil.
Ce qui est dur avec la barrière de la langue, c’est de vouloir que la donzelle change de position.
Ça a été le cas avec la dernière qui a froissé mes draps.
• Met toi a quatre pattes.
• Met toi en levrette.
Et si la fille a eu un peu d’éducation sexuelle, elle prend la position et vous la bourrée jusqu’à la faire crier.
Avec Ulla, c’est plus difficile, mais j’arrive à ce qu’elle se mette à quatre pattes.
J’ai devant mes yeux le plus gros cul jamais présent dans cette mansarde, du moins depuis le temps que je l’occupe.
Je lui lèche la raie me perdant dans les graisses de son vagin.
• Ya, ya, ya, yaaaaa.
Au moins là je sais qu’elle apprécie le traitement, ces « yas » sont de plus en plus longs et saccadés.
Je me relève et je la fourre.
Je lui claque les fesses, ma main rebondissant sur les ballons formant son fessier.
Les « yas » sont là, alors j’insiste.
J’aime limer ces salopes un max de temps, c’est le cas avec Ulla, jusqu’à extinction des feux ayant déchargé dans la teutonne qui éructe des « yas » à l’infini.
Je m’écroule à ses côtés, j’ai tout donné et dans ma tête, la fin du dernier « ya » se termine dans un murmure.
Lorsque j’émerge, il fait jour, je suis seule dans mon lit.
Ulla m’a quitté pourtant j’aime le petit coup du matin avec mes conquêtes.
Je vais à la fenêtre mansardée et je regarde dans la rue.
La voiture est partie, je vais pour me faire un café, un coup de queue matinal et un café généralement la journée commence bien surtout que j’ai eu le temps de voir qu’il fait beau.
Ils sont là sur la table devant mes yeux.
Deux beaux billets, deux gros billets, m’ont-ils pris pour une pute, deux de 500, les plus gros billets émis.
J’avais entendu que les Allemands raffolaient de ces grosses coupures, c’était les premiers que je voyais.
Elle me les aurait donnés lorsque j’étais réveillé, je les aurais refusés.
Malgré qu’il soit gros son cul était intéressant et j’ai pris un panard aussi fort qu’avec un cul en goutte d’huile.
Mille euros, je vais pouvoir réaliser mon rêve, passer deux jours au parc de Marne la Vallée.
J’y suis déjà allé, mais sans y coucher, là, je vais pouvoir dormir dans l’hôtel Disney.
Je vais sur mon ordi et je réserve.
Je viens de m’installer, la chambre est comme je l’espérais féérique avec vue sur le parc et ses attractions.
Je vais en faire certaine, je croise Mickey et ses grandes oreilles et après le chien Pluto.
Minnie Mouse est là, je veux faire l’intéressant.
• Minnie, ce soir je t’offre le restaurant, chute, inutile de le dire à Mickey !
• Après la parade j’ai fini ma journée, je serais devant ce restaurant là-bas, il va sans dire que je vais cacher à Mickey ce rendez-vous, il est jaloux comme une teigne.
Minnie me quitte entrainée par de jeunes enfants voulant faire des photos.
Je la vois pendant la parade, ce rendez-vous est le plus étrange de ma vie, Minnie s’est-elle fichue de ma tête sous sa grosse tête.
La parade commence, j’ai la chance d’être au premier rang, à son passage, elle fait un signe dans ma direction, mais est-ce bien dans ma direction ?
Le plus étrange, c’est d’avoir un rencard avec une jeune femme sans avoir vu son visage.
La seule chose que je peux dire, c’est qu’elle est un peu plus petite que moi, malgré sa grosse tête.
La parade se termine, je vais vers le restaurant à deux pas de mon hôtel.
J’attends vingt minutes, Minnie m’a posé un lapin, c’est plutôt étonnant au pays d’Alice au pays des merveilles.
• Alors beau gosse, on cherche Minnie.
• Pardon, non, je crois que je viens de la trouver, tu me paraissais plus grande.
Nous éclatons de rire, sans le savoir, j’ai tiré le gros lot, une véritable poupée, j’ai parlé d’Alice lorsque je pensais qu’elle m’avait posé un lapin.
Mais elle pourrait facilement tenir le rôle de la jeune fille du comte vu ses boucles blondes.
Le repas est un peu loin de la hauteur du reste de mon séjour, mais les visiteurs du parc sont-ils là pour gouter à la gastronomie française.
C’est sans aucune difficulté qu’elle accepte de me suivre dans ma chambre.
Quand elle entre pour la première fois dans cet hôtel de Disney qu’elle voyait tous les jours sans y jamais y avoir pénétré, c’est le visage d’une jeune fille émerveillée qui finit dans mes bras.
Nuit de rêve, même si elle a déjà connu le loup, c’est normal à vingt-deux ans.
Pour la deuxième fois, nous sommes dans une de ces chambres, après le « oui » prononcé à la mairie de Marne la Vallée.
Pour notre nuit de noces, de nouveau dans cet hôtel de rêve, je fais l’amour à Minnie.
Aujourd’hui, je suis à côté de Minnie pour le démarrage de la parade.
C’est moi qui fais des signes aux petits enfants, car j’ai été embauché par les responsables du parc grâce à elle.
Dingo, je suis dans le costume de Dingo, l’un des héros de mon enfance, car souvent mon père me disait « espèce de Dingo ».
Un seul regret, le couple d’Allemands que j’aurais envie de remercier de m’avoir pris pour une queue à vendre.
Mais lorsque je prends Minnie en levrette comme je l’ai fait avec Ulla, j’admire une nouvelle fois son cul ni en goutte d’huile ni ayant des proportions indéfinissables.
Un cul de rêve tout en courbe et en douceur, un cul que j’espère gardera ses formes harmonieuses, fait de plein et de délié.
Dingo derrière Minnie la bourre aussi fort que j’ai bourré Ulla et qui grâce à elle, Dingo fait de Mickey un cocu.
Il faut éviter de se méprendre, j’ai bourré Ulla sans la présence de Walter, j’en fais de même avec Mickey.
Nous l’avons laissé au resto nous échappant comme s’échappent tous les couples amoureux pour consommer leur nuit de noce.
Non, ce que Minnie a de différent, c’est sa tête, pour notre mariage, nous étions tous dans nos costumes de parade et j’ai pu emmener Minnie pour sa nuit de noce.
Petit cul, mais grosses têtes et pour moi grand nez et grandes oreilles comme ma queue que je plonge avec délice dans celui de Minnie.
À oui, Ulla, c’était « ya » finissant par « yaaas », combien de « A » majuscule, avait-elle prononcé ?
Yaaas, avec un « s », sans me souvenir s’il y en avait un.
De la bouche de Minnie cachée dans sa grosse tête, je suis sûr qu’elle commence par des « ouis » et se finissant par des « ouis », « ouis », « ouiiiissss ».
Après notre nuit de noces, à Marne la vallée, nous embarquons à Roissy, direction les États-Unis et Disneyland à Anaheim, en Californie.
Premier couple des personnages du cocu Mickey, nous sommes les invités d’honneur de ce mythique parc d’attractions américain.
Si vous connaissez Ulla et Walter, dite leur que j’ai beaucoup aimé le gros cul d’Ulla et qu’elle restera à jamais dans l’œil de Dingo.
Lorsque cet allemand m’offre de boire une coupe, je venais de sortir de la piste de la boîte de nuit ou j’espérais sauter une petite étrangère de passage à Paris.
J’ai vingt-deux ans, je suis coursier dans la capitale pour une célèbre marque de restauration livrée à domicile.
J’avais repéré une petite, qui je le pensais, finirais dans mon lit, ça sentait la salope à des kilomètres à la ronde.
C’est à ce moment que dans ma ligne de mire, le gros cul de cette femme est venu se frotter à ma verge.
Quel âge, la cinquantaine, mais avec des fringues de qualité.
Ça sentait le pognon avec les bijoux qu’elle avait, mais le fric à mon âge, du moment que j’avais de quoi vivre, on verrait plus tard si je décidais de fonder une famille.
J’avais soif et c’est en passant devant la table de ce couple qu’il m’apostrophe me proposant de boire avec eux.
Comme tout un chacun, j’aime boire du champagne et j’ai accepté de m’assoir à côté d’eux.
• Je parle votre langue, je l’ai appris dans ma jeunesse, mais Ulla ma femme parle seulement l’allemand.
Il parle dans sa langue à Ulla, forte femme comme on en voit dans les films allemands.
Vous voyez, la grosse Berta.
• Ya !
Ce sera de sa part le premier « ya » qui sortira de sa bouche.
Elle retourne danser, elle est grosse, mais elle est souple, elle se tortille en cadence montrant ses seins aussi volumineux que son cul.
• Va la rejoindre, elle adore danser et moi, j’aime la regarder.
Je la rejoins, la situation m’amuse, surtout quand lascivement elle vient frotter ses fesses sur ma queue, elle arrive presque à me faire bander.
La soirée se termine, nous buvons une dernière coupe.
• Peut-on te raccompagner jusque chez toi, ça nous ferait plaisir ?
• Si vous le désirez, mais j’habite à deux kilomètres, je pourrais rentrer à pied.
Pourtant, je monte dans leur grosse Mercedes, Walter ouvre la portière arrière, pour que je m’assoie.
Je suis étonné qu’il m’ouvre alors que sa femme est encore sur le trottoir, mais avant que j’aie le temps de dire ouf, elle me pousse pour s’installer à mon côté.
Elle vient directement se coller à moi alors que son mari contourne la voiture pour prendre le volant.
• Guide-moi !
Deux kilomètres en ligne droite, je quitte la bouche d’Ulla pour le guider et lui dire d’arrêter au pied d’un immeuble ancien.
• Ma femme aimerait monter chez toi, elle aime les jeunes hommes comme toi, c’est sans équivoque, j’attendrais dans ma voiture.
C’est comme ça que je me retrouve à suivre le gros cul d’Ulla jusqu’au cinquième sans ascenseur, la situation devenant comique, dès le second, elle souffle à s’éclater les poumons.
Des Allemands viennent voir les petites femmes de Paris, Ulla vient se faire un beau gosse de la capitale.
Au troisième, elle continue à souffler, une vraie locomotive.
Une première fois au quatrième elle s’arrête, sa poitrine que j’ai dit volumineuse ressemble à un soufflet de forge.
Jusqu’au cinquième, ce sont mes mains sur son cul rebondi qui l’aide à arriver devant la porte de ma chambre mansardée.
J’oublie que la salope ignore notre langue, je lui parle comme je le faisais avec Walter.
• Ya.
C’est sa seule réponse lorsque je lui dis que l’on est arrivé et pour me payer une tranche de rire que je vais te baiser salope.
Il va sans dire que sa seule réponse, ça a été « ya ».
Je vis dans cette pièce mansardée avec tout le confort, un lit deux places, table coin toilettes, cuisine et une penderie où je range mes quelques affaires.
J’ai même un ordi avec écran me permettant de voir la télé, deux en un et surtout d’éviter de payer la redevance.
Je lui montre le lit, si Walter avait voulu l’accompagner, j’aurais refusé.
La place certes, mais tremper ma queue dans le vagin d’une femme sous le regard de son mari, je savais que ce serait hors de ma portée.
Il m’est déjà arrivé en sortie de la boîte de faire monter des jeunes femmes chez moi.
À une exception près, je savais que si ces femmes acceptaient de venir, s’était pour s’allonger.
La seule fois, ce fut une femme mariée, la quarantaine, elle voulait se venger de son mari infidèle, mais au moment de rejoindre mon lit elle s’est sauvée.
Avec Ulla, son numéro dans la voiture ou nos langues se sont retrouvées en présence de Walter, je savais pouvoir attaquer.
Ma chemise, je l’enlève à un mètre de ma future partenaire.
Je m’entraîne en salle et j’ai appris à faire bouger mes pectoraux, ce qui les faits kiffés, ça fonctionne à tous les coups.
• Ya.
La main d’Ulla vient les caresser, me montrant qu’elle apprécie.
Je passe ma main dans l’échancrure de sa robe, elle est remplie par ses mamelles comme jamais.
Je défais mon pantalon sortant ma verge, sa main vient me saisir et sa bouche m’avale.
Dans le temps dans Paris, une femme s’appelait La Goulue, j’ignore si elle tenait son nom de la fureur de sa bouche sur ma queue.
Masturbé, sucé, aspiré comme si j’étais dans un aspirateur, je suis à deux doigts de décharger, je réussis à ce qu’elle me libère.
Je la mets à poil.
Ce qui est dur avec la barrière de la langue, c’est de vouloir que la donzelle change de position.
Ça a été le cas avec la dernière qui a froissé mes draps.
• Met toi a quatre pattes.
• Met toi en levrette.
Et si la fille a eu un peu d’éducation sexuelle, elle prend la position et vous la bourrée jusqu’à la faire crier.
Avec Ulla, c’est plus difficile, mais j’arrive à ce qu’elle se mette à quatre pattes.
J’ai devant mes yeux le plus gros cul jamais présent dans cette mansarde, du moins depuis le temps que je l’occupe.
Je lui lèche la raie me perdant dans les graisses de son vagin.
• Ya, ya, ya, yaaaaa.
Au moins là je sais qu’elle apprécie le traitement, ces « yas » sont de plus en plus longs et saccadés.
Je me relève et je la fourre.
Je lui claque les fesses, ma main rebondissant sur les ballons formant son fessier.
Les « yas » sont là, alors j’insiste.
J’aime limer ces salopes un max de temps, c’est le cas avec Ulla, jusqu’à extinction des feux ayant déchargé dans la teutonne qui éructe des « yas » à l’infini.
Je m’écroule à ses côtés, j’ai tout donné et dans ma tête, la fin du dernier « ya » se termine dans un murmure.
Lorsque j’émerge, il fait jour, je suis seule dans mon lit.
Ulla m’a quitté pourtant j’aime le petit coup du matin avec mes conquêtes.
Je vais à la fenêtre mansardée et je regarde dans la rue.
La voiture est partie, je vais pour me faire un café, un coup de queue matinal et un café généralement la journée commence bien surtout que j’ai eu le temps de voir qu’il fait beau.
Ils sont là sur la table devant mes yeux.
Deux beaux billets, deux gros billets, m’ont-ils pris pour une pute, deux de 500, les plus gros billets émis.
J’avais entendu que les Allemands raffolaient de ces grosses coupures, c’était les premiers que je voyais.
Elle me les aurait donnés lorsque j’étais réveillé, je les aurais refusés.
Malgré qu’il soit gros son cul était intéressant et j’ai pris un panard aussi fort qu’avec un cul en goutte d’huile.
Mille euros, je vais pouvoir réaliser mon rêve, passer deux jours au parc de Marne la Vallée.
J’y suis déjà allé, mais sans y coucher, là, je vais pouvoir dormir dans l’hôtel Disney.
Je vais sur mon ordi et je réserve.
Je viens de m’installer, la chambre est comme je l’espérais féérique avec vue sur le parc et ses attractions.
Je vais en faire certaine, je croise Mickey et ses grandes oreilles et après le chien Pluto.
Minnie Mouse est là, je veux faire l’intéressant.
• Minnie, ce soir je t’offre le restaurant, chute, inutile de le dire à Mickey !
• Après la parade j’ai fini ma journée, je serais devant ce restaurant là-bas, il va sans dire que je vais cacher à Mickey ce rendez-vous, il est jaloux comme une teigne.
Minnie me quitte entrainée par de jeunes enfants voulant faire des photos.
Je la vois pendant la parade, ce rendez-vous est le plus étrange de ma vie, Minnie s’est-elle fichue de ma tête sous sa grosse tête.
La parade commence, j’ai la chance d’être au premier rang, à son passage, elle fait un signe dans ma direction, mais est-ce bien dans ma direction ?
Le plus étrange, c’est d’avoir un rencard avec une jeune femme sans avoir vu son visage.
La seule chose que je peux dire, c’est qu’elle est un peu plus petite que moi, malgré sa grosse tête.
La parade se termine, je vais vers le restaurant à deux pas de mon hôtel.
J’attends vingt minutes, Minnie m’a posé un lapin, c’est plutôt étonnant au pays d’Alice au pays des merveilles.
• Alors beau gosse, on cherche Minnie.
• Pardon, non, je crois que je viens de la trouver, tu me paraissais plus grande.
Nous éclatons de rire, sans le savoir, j’ai tiré le gros lot, une véritable poupée, j’ai parlé d’Alice lorsque je pensais qu’elle m’avait posé un lapin.
Mais elle pourrait facilement tenir le rôle de la jeune fille du comte vu ses boucles blondes.
Le repas est un peu loin de la hauteur du reste de mon séjour, mais les visiteurs du parc sont-ils là pour gouter à la gastronomie française.
C’est sans aucune difficulté qu’elle accepte de me suivre dans ma chambre.
Quand elle entre pour la première fois dans cet hôtel de Disney qu’elle voyait tous les jours sans y jamais y avoir pénétré, c’est le visage d’une jeune fille émerveillée qui finit dans mes bras.
Nuit de rêve, même si elle a déjà connu le loup, c’est normal à vingt-deux ans.
Pour la deuxième fois, nous sommes dans une de ces chambres, après le « oui » prononcé à la mairie de Marne la Vallée.
Pour notre nuit de noces, de nouveau dans cet hôtel de rêve, je fais l’amour à Minnie.
Aujourd’hui, je suis à côté de Minnie pour le démarrage de la parade.
C’est moi qui fais des signes aux petits enfants, car j’ai été embauché par les responsables du parc grâce à elle.
Dingo, je suis dans le costume de Dingo, l’un des héros de mon enfance, car souvent mon père me disait « espèce de Dingo ».
Un seul regret, le couple d’Allemands que j’aurais envie de remercier de m’avoir pris pour une queue à vendre.
Mais lorsque je prends Minnie en levrette comme je l’ai fait avec Ulla, j’admire une nouvelle fois son cul ni en goutte d’huile ni ayant des proportions indéfinissables.
Un cul de rêve tout en courbe et en douceur, un cul que j’espère gardera ses formes harmonieuses, fait de plein et de délié.
Dingo derrière Minnie la bourre aussi fort que j’ai bourré Ulla et qui grâce à elle, Dingo fait de Mickey un cocu.
Il faut éviter de se méprendre, j’ai bourré Ulla sans la présence de Walter, j’en fais de même avec Mickey.
Nous l’avons laissé au resto nous échappant comme s’échappent tous les couples amoureux pour consommer leur nuit de noce.
Non, ce que Minnie a de différent, c’est sa tête, pour notre mariage, nous étions tous dans nos costumes de parade et j’ai pu emmener Minnie pour sa nuit de noce.
Petit cul, mais grosses têtes et pour moi grand nez et grandes oreilles comme ma queue que je plonge avec délice dans celui de Minnie.
À oui, Ulla, c’était « ya » finissant par « yaaas », combien de « A » majuscule, avait-elle prononcé ?
Yaaas, avec un « s », sans me souvenir s’il y en avait un.
De la bouche de Minnie cachée dans sa grosse tête, je suis sûr qu’elle commence par des « ouis » et se finissant par des « ouis », « ouis », « ouiiiissss ».
Après notre nuit de noces, à Marne la vallée, nous embarquons à Roissy, direction les États-Unis et Disneyland à Anaheim, en Californie.
Premier couple des personnages du cocu Mickey, nous sommes les invités d’honneur de ce mythique parc d’attractions américain.
Si vous connaissez Ulla et Walter, dite leur que j’ai beaucoup aimé le gros cul d’Ulla et qu’elle restera à jamais dans l’œil de Dingo.
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Cyrille
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