COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’ai été pris d’une envie de pisser (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’ai été pris d’une envie de pisser (1/1)
• Bonjours madame Laure, je suis satisfait de vous rencontrer, votre fille m’a invité, demain à sa boum !
Je l’ai dit à maman, elle est d’accord que je vienne, il faut bien que les jeunes s’amusent, mais elle m’a demandé ce dont vous auriez besoin afin que je vous l’apporte si je vous croisais.
• Bonjour Lionel, toi et toi seul, à mon âge, j’ai tout ce qu’il me faut, si peut-être, un bol de votre jeunesse, je commence à vieillir.
De toute façon, je pars dès dix-sept heures chez ma sœur laissant le pavillon à ma fille, j’ai entièrement confiance en elle.
Madame Laure est la mère de Gladys je devrais dire fille mère, malgré son instruction elle s’est fait avoir il y a un peu moins de dix-huit ans par un bellâtre pendant ses vacances.
Gladys est née de père inconnu, conçu elle aussi lors d’une boum de fin d’année.
Comment je le sais, papa et maman en étaient et c’est ce soir-là qu’ils se sont souhaité fidélités et ou neuf mois après je suis né ?
Madame Laure a continué ses études, étant enceinte dans un premier temps et en élevant sa fille lorsque celle-ci est née.
C’est papa qui me l’a dit, sans plus entrer dans les détails.
Madame Laure est devenue ma prof de math cette année de terminale et Gladys et moi avons eu notre bac avec mention « très bien » ensemble.
Être dans la classe de sa mère, est un peu dure et lorsqu’elle a accepté de lui laisser son pavillon pour faire une boum, elle m’a naturellement invité.
Une soirée c’est long, à un moment j’ai eu envie de pisser.
Excusez cette privauté, j’ai eu envie de trouver les gogues pour me soulager.
Je regarde madame Laure, s’éloigner, quelle jolie femme, dommage qu’elle ait été ma prof, j’aurais bien tenté ma chance.
Le boom arrive.
• Pierre sais-tu ou est Gladys, je voulais me soulager, j’ai trop bu ce qu’il y a dans ce saladier et j’ai envie de pisser.
Là, je parle à un pote, pisser est un terme courant entre garçons tant que l’un ou l’autre nous venons lui secouer la pine pour éviter la petite goutte dans le caleçon.
• Si tu veux un conseil d’ami, même si une chaîne barre l’escalier menant à l’étage.
Je viens d’aller aux gogues, beaucoup de filles font la queue, toutes doivent être atteintes d’infection urinaire, ou encore appelée cystites !
En haut de l’escalier tu vas vers la deuxième porte à gauche, tu seras peinard.
J’ai trop envie, je fais comme me le dit Pierre et sans être vu, j’arrive sur le palier.
Porte, toilettes, une petite plaque avec un Manneken-pis me confirme que je suis là ou je souhaite aller, madame Laure ou Gladys a dû aller à Bruxelles.
J’entends du bruit, ça me fait sursauter, j’ai une mauvaise réaction et j’envoie un jet d’urine sur la lunette que j’ai oublié de relever à cause de mon envie présente.
Avec du papier toilettes, je veux laisser les petits coins aussi propre qu’à mon entrer.
Je m’en mets sur les doigts, je sors, maman m’a appris à avoir les mains propres, hélas, dans ces toilettes, il manque un lavabo.
Pierre m’a désigné la porte des toilettes, ou se trouve la salle de bain, j’ouvre la porte contiguë, c’est un débarras, je vois le sac de tennis de Gladys, elle en fait à haut niveau, je crois même qu’elle est classée.
Un moment je me demande pourquoi je prends autant de précaution, madame Laure m’a dit aller chez sa sœur, ai-je peur de trouver un amant caché à cet étage ?
Je pousse une porte parmi celles qui sont en face, ce doit être celle de Gladys.
Aux murs un portrait de Nadal, un autre de Brad Pitt dans « Pirates des Caraïbes. »
Pour clore le tout, un lit de princesse avec ses voiles roses.
Je referme et c’est la suivante qui est la bonne, je vais pour ouvrir le robinet d’eau lorsque j’entends un bruit venant de la pièce opposée à la chambre de Gladys.
Je jette un œil, car j’entends des gémissements, quelqu’un de la boum est-il malade où un couple est-il venu discrètement à l’étage pour satisfaire un moment de plaisir.
Sans être voyeur, qui baise avec qui ?
Mon dieu, quel spectacle, madame Laure est sur son lit, la chatte à l’air et un gode enfoncé dans son vagin.
C’est un rotatif et le bruit de son moteur a dû cacher ma présence.
Non, même si le son est au plus bas, une glace me renvoie l’image d’un porno que ma professeur regarde en se godant la chatte.
Est-il possible qu’une femme de cette prestance, car madame Laure en possède énormément soit dans l’obligation de se faire jouir avec de tels artifices ?
Ce qui est su, c’est qu’au moment où je vais pour battre en retraite, ma main heurte le lavabo et la bague que j’ai au doigt, tape sur le lavabo.
• Qui est là, sortez immédiatement, vous êtes ignoble.
Je me sens obligé de m’avancer, piteux comme jamais.
• C’est toi Lionel, je te croyais un garçon plus discret.
Madame Laure, c’est drôle de l’appeler ainsi, « madame », quand cette femme moins de quarante ans certainement a un moteur qui tourne dans sa chatte, me montrant qu’elle se fait faire le tablier sans pour autant tout enlever.
• Je vous croyais chez votre sœur, j’avais besoin d’aller aux toilettes, mais celles d’en bas sont accaparées par les filles et j’avais du mal à me contenir, j’ai franchi l’interdiction par la chaîne que vous avez mise au pied de l’escalier.
En parlant, je me suis avancé, et je prends le gode pour le sortir de la vulve de ma prof.
Mes doigts effleurent son vagin et surtout son bouton d’amour qui doit être exaspéré par la petite bite qui le caresse avec le godemichet.
• Oh ! Lionel, je suis folle de rester ainsi devant toi, laisse-moi seule, j’ai honte de la situation ou je me trouve, je devais aller chez ma sœur et mais après que je t’ai...
Ah ! continu c’est bon...
Rencontrer, elle m’a appelé pour me dire qu’elle s’absentait, je me suis réfugié...
Oh oui ! oui...
Ici pensant être tranquille.
Je sors le gode qui donne du plaisir, je dois être devenu fou, Laure, lorsque votre doigt remplace le sexe mécanique comment dire encore « madame. »
• Lionel arrête, non continu, Lionel arrête, je suis folle, tu es le deuxième homme à me caresser, viens, je veux sentir ta verge en moi.
Voilà comment on se désape à vitesse grand V, j’ai le réflexe de sortir de la poche de mon pantalon le capote que j’ai toujours sur moi depuis que ma cousine m’a dépucelé, heureusement c’était cette petite salope qui en avait avec elle.
Vous savez comment on joue au papa et à la maman entre un homme, même jeune et une femme, même un peu plus âgé.
Je fais jouir Laure avant de me vider dans ma capote, je tombe sur le côté, Laure vient se réfugier dans mon bras.
Je la sens songeuse, surtout qu’à la télé, l’actrice bien connue depuis qu’elle a tourné ces pornos, Claire Morgan se fait mettre par un autre acteur que son partenaire habituel.
Bon, je l’avoue, j’ai vu ses films, mais quel garçon normalement constitué vous avouerait qu’il se bat la queue des pornos.
Laure, récupère la télécommande et arrête le spectacle ainsi que le gode continuant à vibrer le long de ma jambe.
• Je peux te poser une question, maintenant que nous sommes amant !
• Et un bel amant, c’est la première fois qu’un garçon qui plus est un de mes élèves me fait jouir.
• Justement lorsque tu m’as demandé de venir en toi, tu as parlé de deuxième, tu as eu un seul homme dans ta vie !
• Un seul homme et une seule fois, le jour où j’ai fauté lors d’une boum comme celle que ma fille organise.
• Et il est ton amant caché depuis toutes ces années, tu as bien caché ton jeu, au lycée et en ville de nombreuses personnes t’appellent la « none ».
• Depuis que je me suis retrouvée enceinte, je me contente de plaisir solitaire avec mes godes, comme celui avec lequel tu m’as surprise.
• Et le père de Gladys tu sais donc qui il est ?
• C’est à cause de lui que j’ai failli refuser cette boum organisée par ma fille quand j’ai su que tu venais, Gladys est ta demi-sœur !
• Ma demi-sœur, tu déconnes, mon père et toi !
• Après le père, le fils, je dois être née salope, pour que dans ma vie, mes deux amants soit père et fils.
Lors de la boum où je me suis retrouvée enceinte, nous avons fait l’amour une seule fois dans la chambre de ses parents.
Ton père m’a quitté satisfait de m’avoir eu, je suis rentrée chez moi, quelques semaines après j’ai avoué que j’avais fauté sans savoir qui était le garçon.
Mon père, lorsque je lui ai avoué être enceinte s’est saisi de son fusil et voulait s’en prendre à celui qui l’avait déshonoré ?
Entre-temps, j’ai appris qu’après moi, il avait rencontré ta mère qui s’est retrouvée dans la même situation, je t’ai dit la suite, dis-moi que je suis une salope ?
• Laure, c’est la vie, un jour tu gagnes un jour tu perds, aujourd’hui je t’ai gagné et mon père, je le pense t’a définitivement perdu.
Ta fille, c’est drôle comme l’on voit l’évidence que tous savent au lycée, elle est attirée par les filles et plus précisément Sandra avec laquelle elle joue en simple et surtout en double au tennis.
• Ma fille est lesbienne, j’espérais avoir des petits enfants à élever !
• Si tu veux, je descends, je la drague et si elle est partante je lui fais cet enfant.
• Méchant, tu ferais ça avec ta sœur, tu es un pervers !
• Alors pourquoi une autre que toi, nous seuls saurons que l’enfant que je vais te faire est le demi-frère de ta fille comme nous seuls savons que Gladys est la mienne ?
Voilà comment je baise régulièrement, la femme que mon père a dépucelée et engrossée, la deuxième situation lui ayant échappé.
Que ma demi-sœur prend dans ses bras, son demi-frère sans le savoir pour jouer à la maman aimant serrer dans ses bras sa compagne de tennis et de jeux amoureux depuis qu’elle nous a avoués faire son coming-out.
C’est moi qui ai refait la chambre de ma demi-sœur, qui ignorera toujours que je suis issu de la même bite qu’elle.
La chambre que je laisse dans les tons roses, mais avec un lit deux places, un détail qui a de l’importance, le lit de sa chambre de poupée étant devenu trop petit.
Le placard assez grand a disparu, un plombier est venu le transformer en salle d’eau donnant sur la chambre de l’autre côté du couloir.
Chacun chez soi en attendant que ce couple féminin prenne son envol et son indépendance.
Nous baisons avec ma femme d’un côté de la salle de bain, pendant qu’elle en fait de même de l’autre côté du couloir, mon fils ayant récupéré celle de Gladys dont je l’ai retapissé en bleu.
• Mon chéri, baise, moi prend moi en levrette, c’est la meilleure des positions depuis que tu m’as fait reprendre ma vie de femme.
Je vous laisse, ma bite est tendue et j’ai quelques minutes avant que mon fils réclame le sein de sa maman.
Un point supplémentaire, entre mon père et moi, il ignore que ma femme a été sa maîtresse et que c’est lui qui l’a engrossé.
Le meilleur c’est lui qui conduit la mariée près de son futur, seule Laure et moi, nous savons pourquoi elle était fille-mère.
Heureusement que j’ai eu envie de pisser et que les gogues du rez-de-chaussée étaient squattés avec de jeunes donzelles, la vie est ainsi faite de surprises.
Je l’ai dit à maman, elle est d’accord que je vienne, il faut bien que les jeunes s’amusent, mais elle m’a demandé ce dont vous auriez besoin afin que je vous l’apporte si je vous croisais.
• Bonjour Lionel, toi et toi seul, à mon âge, j’ai tout ce qu’il me faut, si peut-être, un bol de votre jeunesse, je commence à vieillir.
De toute façon, je pars dès dix-sept heures chez ma sœur laissant le pavillon à ma fille, j’ai entièrement confiance en elle.
Madame Laure est la mère de Gladys je devrais dire fille mère, malgré son instruction elle s’est fait avoir il y a un peu moins de dix-huit ans par un bellâtre pendant ses vacances.
Gladys est née de père inconnu, conçu elle aussi lors d’une boum de fin d’année.
Comment je le sais, papa et maman en étaient et c’est ce soir-là qu’ils se sont souhaité fidélités et ou neuf mois après je suis né ?
Madame Laure a continué ses études, étant enceinte dans un premier temps et en élevant sa fille lorsque celle-ci est née.
C’est papa qui me l’a dit, sans plus entrer dans les détails.
Madame Laure est devenue ma prof de math cette année de terminale et Gladys et moi avons eu notre bac avec mention « très bien » ensemble.
Être dans la classe de sa mère, est un peu dure et lorsqu’elle a accepté de lui laisser son pavillon pour faire une boum, elle m’a naturellement invité.
Une soirée c’est long, à un moment j’ai eu envie de pisser.
Excusez cette privauté, j’ai eu envie de trouver les gogues pour me soulager.
Je regarde madame Laure, s’éloigner, quelle jolie femme, dommage qu’elle ait été ma prof, j’aurais bien tenté ma chance.
Le boom arrive.
• Pierre sais-tu ou est Gladys, je voulais me soulager, j’ai trop bu ce qu’il y a dans ce saladier et j’ai envie de pisser.
Là, je parle à un pote, pisser est un terme courant entre garçons tant que l’un ou l’autre nous venons lui secouer la pine pour éviter la petite goutte dans le caleçon.
• Si tu veux un conseil d’ami, même si une chaîne barre l’escalier menant à l’étage.
Je viens d’aller aux gogues, beaucoup de filles font la queue, toutes doivent être atteintes d’infection urinaire, ou encore appelée cystites !
En haut de l’escalier tu vas vers la deuxième porte à gauche, tu seras peinard.
J’ai trop envie, je fais comme me le dit Pierre et sans être vu, j’arrive sur le palier.
Porte, toilettes, une petite plaque avec un Manneken-pis me confirme que je suis là ou je souhaite aller, madame Laure ou Gladys a dû aller à Bruxelles.
J’entends du bruit, ça me fait sursauter, j’ai une mauvaise réaction et j’envoie un jet d’urine sur la lunette que j’ai oublié de relever à cause de mon envie présente.
Avec du papier toilettes, je veux laisser les petits coins aussi propre qu’à mon entrer.
Je m’en mets sur les doigts, je sors, maman m’a appris à avoir les mains propres, hélas, dans ces toilettes, il manque un lavabo.
Pierre m’a désigné la porte des toilettes, ou se trouve la salle de bain, j’ouvre la porte contiguë, c’est un débarras, je vois le sac de tennis de Gladys, elle en fait à haut niveau, je crois même qu’elle est classée.
Un moment je me demande pourquoi je prends autant de précaution, madame Laure m’a dit aller chez sa sœur, ai-je peur de trouver un amant caché à cet étage ?
Je pousse une porte parmi celles qui sont en face, ce doit être celle de Gladys.
Aux murs un portrait de Nadal, un autre de Brad Pitt dans « Pirates des Caraïbes. »
Pour clore le tout, un lit de princesse avec ses voiles roses.
Je referme et c’est la suivante qui est la bonne, je vais pour ouvrir le robinet d’eau lorsque j’entends un bruit venant de la pièce opposée à la chambre de Gladys.
Je jette un œil, car j’entends des gémissements, quelqu’un de la boum est-il malade où un couple est-il venu discrètement à l’étage pour satisfaire un moment de plaisir.
Sans être voyeur, qui baise avec qui ?
Mon dieu, quel spectacle, madame Laure est sur son lit, la chatte à l’air et un gode enfoncé dans son vagin.
C’est un rotatif et le bruit de son moteur a dû cacher ma présence.
Non, même si le son est au plus bas, une glace me renvoie l’image d’un porno que ma professeur regarde en se godant la chatte.
Est-il possible qu’une femme de cette prestance, car madame Laure en possède énormément soit dans l’obligation de se faire jouir avec de tels artifices ?
Ce qui est su, c’est qu’au moment où je vais pour battre en retraite, ma main heurte le lavabo et la bague que j’ai au doigt, tape sur le lavabo.
• Qui est là, sortez immédiatement, vous êtes ignoble.
Je me sens obligé de m’avancer, piteux comme jamais.
• C’est toi Lionel, je te croyais un garçon plus discret.
Madame Laure, c’est drôle de l’appeler ainsi, « madame », quand cette femme moins de quarante ans certainement a un moteur qui tourne dans sa chatte, me montrant qu’elle se fait faire le tablier sans pour autant tout enlever.
• Je vous croyais chez votre sœur, j’avais besoin d’aller aux toilettes, mais celles d’en bas sont accaparées par les filles et j’avais du mal à me contenir, j’ai franchi l’interdiction par la chaîne que vous avez mise au pied de l’escalier.
En parlant, je me suis avancé, et je prends le gode pour le sortir de la vulve de ma prof.
Mes doigts effleurent son vagin et surtout son bouton d’amour qui doit être exaspéré par la petite bite qui le caresse avec le godemichet.
• Oh ! Lionel, je suis folle de rester ainsi devant toi, laisse-moi seule, j’ai honte de la situation ou je me trouve, je devais aller chez ma sœur et mais après que je t’ai...
Ah ! continu c’est bon...
Rencontrer, elle m’a appelé pour me dire qu’elle s’absentait, je me suis réfugié...
Oh oui ! oui...
Ici pensant être tranquille.
Je sors le gode qui donne du plaisir, je dois être devenu fou, Laure, lorsque votre doigt remplace le sexe mécanique comment dire encore « madame. »
• Lionel arrête, non continu, Lionel arrête, je suis folle, tu es le deuxième homme à me caresser, viens, je veux sentir ta verge en moi.
Voilà comment on se désape à vitesse grand V, j’ai le réflexe de sortir de la poche de mon pantalon le capote que j’ai toujours sur moi depuis que ma cousine m’a dépucelé, heureusement c’était cette petite salope qui en avait avec elle.
Vous savez comment on joue au papa et à la maman entre un homme, même jeune et une femme, même un peu plus âgé.
Je fais jouir Laure avant de me vider dans ma capote, je tombe sur le côté, Laure vient se réfugier dans mon bras.
Je la sens songeuse, surtout qu’à la télé, l’actrice bien connue depuis qu’elle a tourné ces pornos, Claire Morgan se fait mettre par un autre acteur que son partenaire habituel.
Bon, je l’avoue, j’ai vu ses films, mais quel garçon normalement constitué vous avouerait qu’il se bat la queue des pornos.
Laure, récupère la télécommande et arrête le spectacle ainsi que le gode continuant à vibrer le long de ma jambe.
• Je peux te poser une question, maintenant que nous sommes amant !
• Et un bel amant, c’est la première fois qu’un garçon qui plus est un de mes élèves me fait jouir.
• Justement lorsque tu m’as demandé de venir en toi, tu as parlé de deuxième, tu as eu un seul homme dans ta vie !
• Un seul homme et une seule fois, le jour où j’ai fauté lors d’une boum comme celle que ma fille organise.
• Et il est ton amant caché depuis toutes ces années, tu as bien caché ton jeu, au lycée et en ville de nombreuses personnes t’appellent la « none ».
• Depuis que je me suis retrouvée enceinte, je me contente de plaisir solitaire avec mes godes, comme celui avec lequel tu m’as surprise.
• Et le père de Gladys tu sais donc qui il est ?
• C’est à cause de lui que j’ai failli refuser cette boum organisée par ma fille quand j’ai su que tu venais, Gladys est ta demi-sœur !
• Ma demi-sœur, tu déconnes, mon père et toi !
• Après le père, le fils, je dois être née salope, pour que dans ma vie, mes deux amants soit père et fils.
Lors de la boum où je me suis retrouvée enceinte, nous avons fait l’amour une seule fois dans la chambre de ses parents.
Ton père m’a quitté satisfait de m’avoir eu, je suis rentrée chez moi, quelques semaines après j’ai avoué que j’avais fauté sans savoir qui était le garçon.
Mon père, lorsque je lui ai avoué être enceinte s’est saisi de son fusil et voulait s’en prendre à celui qui l’avait déshonoré ?
Entre-temps, j’ai appris qu’après moi, il avait rencontré ta mère qui s’est retrouvée dans la même situation, je t’ai dit la suite, dis-moi que je suis une salope ?
• Laure, c’est la vie, un jour tu gagnes un jour tu perds, aujourd’hui je t’ai gagné et mon père, je le pense t’a définitivement perdu.
Ta fille, c’est drôle comme l’on voit l’évidence que tous savent au lycée, elle est attirée par les filles et plus précisément Sandra avec laquelle elle joue en simple et surtout en double au tennis.
• Ma fille est lesbienne, j’espérais avoir des petits enfants à élever !
• Si tu veux, je descends, je la drague et si elle est partante je lui fais cet enfant.
• Méchant, tu ferais ça avec ta sœur, tu es un pervers !
• Alors pourquoi une autre que toi, nous seuls saurons que l’enfant que je vais te faire est le demi-frère de ta fille comme nous seuls savons que Gladys est la mienne ?
Voilà comment je baise régulièrement, la femme que mon père a dépucelée et engrossée, la deuxième situation lui ayant échappé.
Que ma demi-sœur prend dans ses bras, son demi-frère sans le savoir pour jouer à la maman aimant serrer dans ses bras sa compagne de tennis et de jeux amoureux depuis qu’elle nous a avoués faire son coming-out.
C’est moi qui ai refait la chambre de ma demi-sœur, qui ignorera toujours que je suis issu de la même bite qu’elle.
La chambre que je laisse dans les tons roses, mais avec un lit deux places, un détail qui a de l’importance, le lit de sa chambre de poupée étant devenu trop petit.
Le placard assez grand a disparu, un plombier est venu le transformer en salle d’eau donnant sur la chambre de l’autre côté du couloir.
Chacun chez soi en attendant que ce couple féminin prenne son envol et son indépendance.
Nous baisons avec ma femme d’un côté de la salle de bain, pendant qu’elle en fait de même de l’autre côté du couloir, mon fils ayant récupéré celle de Gladys dont je l’ai retapissé en bleu.
• Mon chéri, baise, moi prend moi en levrette, c’est la meilleure des positions depuis que tu m’as fait reprendre ma vie de femme.
Je vous laisse, ma bite est tendue et j’ai quelques minutes avant que mon fils réclame le sein de sa maman.
Un point supplémentaire, entre mon père et moi, il ignore que ma femme a été sa maîtresse et que c’est lui qui l’a engrossé.
Le meilleur c’est lui qui conduit la mariée près de son futur, seule Laure et moi, nous savons pourquoi elle était fille-mère.
Heureusement que j’ai eu envie de pisser et que les gogues du rez-de-chaussée étaient squattés avec de jeunes donzelles, la vie est ainsi faite de surprises.
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