COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’en fais un homme (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’en fais un homme (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’en fais un homme (1/1)
• Bonjour Marie, Bonjour Julien, tu viens jouer à ramasser les feuilles avec marraine !
• Oui, marraine Odile, maman m’a bien expliqué que je devrais t’aider à mettre dans les sacs, tout ce qui tombera par terre.
• C’est bien mon Julien, tu verras, on va bien amusé.
Il fait chaud, c’est bien d’avoir mis ta casquette.
• Elle est laide, c’est maman qui me l’a acheté, c’est celle du Barça et moi j’aime le P.S.G.
• Arrête de dire des bêtises Julien.
Odile, il a entendu un reportage à la télé sur un jeune joueur de football du P.S.G et depuis c’est lui et son club qui sont ses idoles.
• Elle est très belle ta casquette Julien.
• Oui, elle est très belle.

Celui qui me répond pourrait avoir 7 à 8 ans.
Non, mon filleul a 22 ans.
À sa naissance, il a accumulé un grand nombre de handicaps.
Son cordon enroulé autour de son cou, remarqué un peu tard ayant privé son cerveau d’oxygène et son père s’appelant Gaston.
Son cerveau le laissant dans son monde et Gaston son père que j’ai connu, s’est carapaté quand il a vu que toute sa vie, il devrait s’occuper de ce qu’il appelait un taré.
Marie et lui étaient nos voisins dans nos pavillons et Marie et moi, nous étions et sommes institutrices dans notre village.
Julien a été placé dans un institut pour jeunes déficients puis après ses dix-huit ans dans un établissement pour adultes par chance présents dans la commune voisine.
Marie le récupère les mercredis à midi jusqu’au lendemain matin et le samedi après-midi jusqu’au lundi matin.

• Soit sage, il faut que j’y aille, Charles m’attend avec son ambulance.

On a diagnostiqué à Marie une petite tumeur au sein droit et Charles l’ambulancier la conduit à l’hôpital de la ville pour un petit prélèvement et un premier examen.
Une fois parti, je taille un massif devenu trop touffu.
Julien met les branches dans la remorque que je conduirais samedi matin à la Déchetterie, elle aussi dans le village voisin.
Il fait chaud, je suis en maillot et en short avec de simples baskets au pied.
Je fais boire Julien fréquemment et il est dix-sept heures quand nous terminons.

• Odile est bien longue, viens, tu risques d’attraper la mort avec une telle sueur sur toi, tu vas prendre une douche.

J’ai très souvent baigné Julien quand il était petit du temps ou Paul mon mari était encore de ce monde.
Il m’a quitté il y a deux ans pendant la grande pandémie du covid19.
Il était plus vieux de 10 ans, mais notre complicité en tout temps et en tout moment aplanissait cette différence.
Il était tatoueur, j’en ai la preuve sur mon épaule, étant institutrice, un tatouage visible aurait été très mal interprété par certains parents malveillants de notre école.
Je me suis fait tatouer une libellule et Marie une petite tortue pour lui faire plaisir.
Le lièvre et la tortue, fable de La Fontaine qu’elle s’empresse d’apprendre aux enfants en âge.
Marie leur apprend, surtout pour la morale de cette fable, sur la vanité du lièvre.

Nous entrons dans ma salle de bains.
Quand il était petit, nous prenions de temps en temps Julien quand Marie avait à sortir certainement pour vivre un peu sa vie de femme.
Des amours éphémères, car connaissant sa franchise, elle parlait toujours du handicap de son enfant.
Son mari avait fui, les autres aussi, montrant le courage des gens.

Dans ce temps-là, nous avions une baignoire.
Je dois de dire qu’il m’arrivait souvent de me baigner avec lui sans jamais avoir la moindre pensée déviante.
C’était un enfant qui jouait avec un peu plus de démonstration que d’autres, massacrant ma salle de bain, l’eau giclant partout.
Il fallait le laver entièrement, car contrairement à d’autres enfants de son âge, il était incapable de le faire.

• Tu te souviens quand je te baignais, je t’avais appris à te mettre tout nu.
• Oui, je sais le faire.
• À l’institut, tu as continué !
• Non, la dame qui s’occupe de nous veut le faire elle-même, elle a les mains très douces.
• Nous allons la prendre ensemble.

Lui aussi en short, il le baisse et je comprends l’intérêt de cette femme pour les attributs de mon filleul.
C’est difficile de dire, un vrai monstre à cause de sa déficience mentale.
J’avais bien l’impression à un moment de notre travail m’étant baissé que le gonflement au niveau de son intimité cachait quelque chose de phénoménal.
Je me suis dit qu’il avait un mouchoir dans sa poche.
Non, c’est bien un sexe hors norme que la nature lui a offert.
Mon mari faisait 12, là il fait au moins 25.
Plus du double.
D’autant que dans ma mémoire, un tel engin, même au moment de son développement m’avait échappé.
Depuis la mort de mon mari, aucun rapport physique avec le moindre homme.
À la vue de cette verge, ma chatte ruisselle.
Je tourne les yeux, serais-je capable de résister.
Et la dame comme il dit, profite-t-elle d’une telle verge.
Le branle-t-elle ?
Lorsqu’il enlève une à une ses soquettes, je sens mon regard partir en biais.
Mon dieu, pourrais-je l’avoir en moi sans que ma chatte s’en trouve déformée.
Faire diversion, il faut que je fasse diversion.
Je me trouve piégée, je lui ai proposé de prendre ensemble.
Moi aussi je me mets nue.

• Attends, laisse-moi passer, je vais régler l’eau.
On va la prend un peu froide.

Ma hanche passe à la hauteur de son sexe.
Il fait un mouvement et je touche sa bite.
J’ai l’impression de m’être brûlé.
Par chance, je vois dans ma grande glace que lui est resté stoïque.
J’entre dans ma douche faisant toute la largeur de la pièce d’eau à l’italienne.
2 mètres de long sur 1,20 de large.
Beaucoup d’espace, c’est pour cela que j’ai proposé de nous doucher ensemble.

Je règle quand je sens que sans malice, il entre aussi.
Je suis légèrement penchée en avant son sexe entre carrément au contact de mes fesses.
Et là l’impensable ce produit.
Sa flèche se déploie comme le ferait celle d’un arc au moment de le bander.
Une flèche, c’est pointu.
Le gland incroyablement gros est bien rond.
Comme si une vipère m’avait piqué, je me retourne, amplifiant mon problème, car sa verge vient se ficher dans ma fourche ouverte quelques secondes.
Mon clito est appuyé dessus et si sa bite s’est réveillée, lui aussi.
Ma panique est totale, car même si ma douche est grande, il était si près de moi que mes seins entrent en contact avec sa poitrine bien découpée.
Son cerveau est peut-être en retard, mais ses muscles et son sexe sont hors du commun.
Pour ses muscles, je les ai vus lorsque nous travaillons.
Il a pris la remorque d’une main et il l’a amené près de ma voiture, la tirant sans aucun problème.
Je l’aurais fait moi-même, j’aurais été obligé de faire au moins quatre à cinq haltes pour reprendre mon souffle.

• Oh ! c’est bon, marraine.
• La dame, elle te fait ça aussi au centre.
• Non, seulement avec sa main.

Je sens que je suis la première à faire avec Julien un acte d’amour.
Dans le brouillard et l’eau me coulant dessus, je m’agenouille en même temps que je lui prends la verge en main.
Fini, la marraine, le filleul, le fils de Marie, mon amie.
Terminé le garçon que j’ai accompagné, la première fois avec sa maman le jour où il a été placé.
Je me mets à la lécher comme un mort de faim, le sexe d’un homme m’ayant été enlevé depuis trop longtemps.
Impossible de le faire entrer étant donné sa grosseur.
Ce qu’il me plait, c’est qu’il a une réaction d’adulte en me prenant la tête et me la faisant bouger comme la plupart des hommes le font lorsqu’une belle salope leur pratique une fellation.
Je sens qu’il va exploser, j’en veux plus, j’ignore, comment nous allons nous retrouver lorsqu’il aura explosé.
Il m’aide, me plaquant contre la paroi de cette divine douche.
Ma bouche se retrouve à la hauteur de la sienne et se soude comme tous les couples le font quand ils ont envie l’un de l’autre.
Un fétu de paille, lorsqu’il me soulève dans ces bras musculeux et qu’il me laisse retomber sur sa bite.
Je m’empale d’un coup sentant mes chaires s’ouvrir, mais divinement.
Elle entre si loin en moi, que j’ai l’impression que tous mes organes remontent vers nos bouches.
Je suis obligé de quitter la sienne pour avaler une grande goulée d’air et d’eau mélangée quand un orgasme venu du centre de la terre me dévaste.
Même mon clito est à la fête car dans la position où il me prend.
Centre de mon vagin, pourtour de ma vulve écartelé, clitoris compressé, je joins de tous les endroits possibles de mon intimité.
Même mes seins me font mal, car je suis en équilibre sur cette bite démesurée.
Mesdames, dans ma situation beaucoup diront que je suis une vieille salope profitant de l’état de faiblesse de garçon, qui plus est mon filleul.
Moi, je suis une salope, une chienne, bref ce que vous voudrez de bien salace.
Mais quand il éjacule en moi avant de me reposer au sol, je suis une femme qui vient de trouver l’amant qui va changer ma vie.
Petit, je lui apprenais à se servir de ses couverts alors qu’il avait tendance à manger avec ses doigts dans la simplicité de son cerveau.
Sans nous essuyer, les draps et la chaleur nous sécherons, je l’entraine dans ma chambre, voyant bien que malgré qu’il est éjaculé, il en veut encore.
Dans mon lit, il est ouvert à tout ce que je peux lui apprendre sur ce que peut faire un homme et une femme qui s’aime.

C’est moi qui rends les armes, sachant que Marie très en retard risque d’arriver.
Lorsqu’elle arrive, nous sommes tous les deux sagement assis sur ma terrasse à boire une limonade préparée moi-même.

• Excusez d’avoir été si longue, j’ai été retardé.

Son sourire et ses cheveux habituellement toujours impeccables sont en bataille et en disent long sur ce qu’elle vient de faire.

• Dis-moi, Marie, serais-tu allée faire un petit tour dans le bois de la Cramouille avec Charles l’ambulancier de notre ville ?
• Ça se voit tant que cela !
Tu te rends compte, avec Charles on se connaît depuis la maternel et a toujours été amoureux de moi.
Il connaît Julien et sait ses problèmes.
Il veut vivre avec moi, c’est lui qui me l’a proposé.
• Je suis un vrai homme maman.

Quand Julien lâche ses mots, je devrais me liquéfier, mais j’assume , j’allais dire à mon amie que j’avais fait l’amour avec son fils mon filleul.
Sans lui dire la bête de sexe que j’ai trouvé.
Voilà, Marie, habite dans la maison voisine avec Charles qui aime bien son fils Julien.
La grosseur était bénigne, juste un contrôle annuel que son mari aura facile à la conduire.
Je vis avec Julien, l’après-midi à jardiner lui ont ouvert des perspectives.
Mon homme a créé une société de jardinage.
Sa spécialité la taille des buis ou tous autres arbres décoratifs auxquels il donne des formes comme l’on en voit dans les parcs des grands châteaux.
Seules ses factures et sa compta, ce sont moi qui lui fais en rentrant de l’école.
Vous m’excuserez, j’entends qu’il rentre de sa journée de travail surement couvert de sueur.
Nous allons rejoindre notre salle de bains où notre douche va nous recevoir pour une grande partie de sexe collée le long de sa paroi.
Ce sera le premier round, d’une soirée ou il voudra me combler comme il le fait jusqu’à la nuit des temps.

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