COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’offre une petite chienne à mon époux (1/1)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. J’offre une petite chienne à mon époux (1/1)
Il y a six ans, après bien des hésitations, j’ai préféré privilégier ma carrière à donner des enfants à William, mon époux.
Je me voyais mal voir mon corps, si magnifique, se déformer sous l’effet d’une grossesse comme de nombreuses femmes qui m’entourent.
À ce jour, j’ai été nommé Procureur de la République au tribunal d’une grande ville au sud de la France.
Je tairais son nom, pour protéger tous mes collègues qui travaillent dans cette région.
J’ai décidé de prendre en charge une jeune femme d’un milieu défavorisé, c’était facile pour moi, de regarder dans mes dossiers une jeune fille douée, mais sans le sou.
Gladys fut celle-là, dans notre villa avec piscine, William étant traducteur de livres chez un éditeur de Français en Anglais et l’inverse suivant la nécessité.
La chambre prévue pour un éventuel bébé, encore d’actualité lorsque nous avons décidé de construire cette maison, je l’ai fait installer en chambre de jeune fille afin d’accueillir Gladys.
C’est le lendemain de son arrivée, que je lui ai décidé, le soir, alors que nous regardions la télé de l’offrir à mon mari comme sa petite chienne.
• Gladys, ta place n’est pas à côté de nous sur ce canapé, vient t’assoir aux pieds de ton maître.
Je veux bien t’accueillir, mais tu lui dois bien ça en retour !
En étudiant les prétendantes, je savais que toute sa scolarité Gladys avait été le souffre-douleur de sa classe.
Une vraie petite chienne soumise.
Le lendemain, sans que j’aie à lui dire, ayant fini ses devoirs cette année c’est Bac de Français, d’elle-même elle est venue se coucher au pied de celui qui était devenu son maître.
• Lorsque tu viens aux pieds de ton maître, je te veux nue.
Sans se relever, elle a fait passer par-dessus sa tête, la veste de son pyjama et fait glisser son pantalon.
Blonde des cheveux et de la chatte, je tenais à ce qu’elle soit blonde.
J’avais trois dossiers qui me présentaient des cas intéressants, mais Gladys avait un avantage sur les autres.
Sa mère était fille-mère et elle avait trois autres frères, chacun d’eux étant le fruit de pères différents.
De plus, deux d’entre eux, les ainés étaient emprisonnés pour vole et coups et blessures.
Gladys, devait savoir qu’avec une telle famille, il valait mieux être la petite chienne de William, que celle de ses frères.
Elle savait que pour eux, sa petite chatte blonde, ils la convoiteraient dès qu’ils sortiraient de prison.
Deux ans, c’est moi qui les avais fait condamner, deux ans à se taper des pignoles alors le demi-inceste, n’était pas là pour les faire reculer.
• Petite chienne, vient voir ce que ton maître t’a acheté !
À quatre pattes, elle est venue nue jusqu’à moi, elle était revenue de sa chambre dans le plus simple appareil, comme hier, je lui avais demandé.
• Regarde ce joli collier de toutou, chaque fois que tu seras à la maison, tu demanderas à ton maître se te l’attacher.
De plus peux-tu donner cette laisse à ton maître qu’il te l’attachera à ce mousqueton ?
Le collier posé et la laisse dans la main de William, j’avais enfin devant mes yeux, la jolie petite chienne, qui allait me permettre de refuser à mon époux tout rapport avec lui.
Je venais de lui fournir sa chienne étant sûre d’éviter de me retrouver enceinte.
Bien sûr, le troisième soir, la docilité de Gladys me le permettant, l’ordre tomba.
• Ton maître aime le sexe et je suis incapable de le satisfaire, sors sa verge de son pantalon et suce là jusqu’à ce qu’il éjacule.
En deux temps trois mouvements, Gladys s’est exécutée sans plus se poser de question.
Je me suis étonnée qu’elle sache si bien y faire, le troisième frère toujours présent au domicile de la mère, se faisait-il faire des pipes par sa demi-sœur ?
• Viens là, petite pute, ton maître va te baiser, je veux que tu prennes la pilule, de toute façon, c’est moi tous les soirs qui te la donnerait.
Inutile de croire que ton maître va t’engrosser et t’épouser en me fichant dehors.
Bac de Français et bac général, Gladys après le lycée est entré en fac pour devenir professeur des écoles.
J’avais bien choisi, elle a tout réussi et William par ami interposé lui a trouvé un poste dans l’école privée catholique où tous les dimanches nous allons à la messe dans la chapelle de ce lycée privée.
J’étais près de ma quarantaine, je voulais être mère, mais sans voir la tête d’un bébé sortir entre mes cuisses.
Comme j’avais tout calculé, William baisant Gladys tous les soirs en levrette comme un chien le ferait avec sa chienne, elle nous annonça que cela faisait deux fois que ses règles avaient disparu.
Je lui ai passé un savon, elle a pleuré, mais a accepté de se faire disputer bien que ce soit moi qui ai remplacé sa pilule par d’autres de même forme et de même couleur.
J’aime à la punir surtout lorsqu’elle n’y est pour rien.
• William, conduit cette petite pute chez ta mère en Angleterre, jusqu’à ce qu’elle accouche.
Tu y resteras à la surveiller, traduire ici ou là-bas, c’est du pareil au même et ta mère sera contente de t’avoir.
De mon côté, je vais simuler une grossesse jusqu’à ce que tu me préviennes que mon fils va naître ou je vous rejoindrais pour de mon côté simuler un accouchement.
Nous ferons enregistrer la naissance à mon nom et ainsi j’aurais mon bébé.
Mon plan s’est déroulé à merveille.
Six mois plus tard, la forme gonflable au fil des mois, tous mes collègues compatissaient en voyant mon joli ventre s’arrondir surtout par cette chaleur.
• William, tu me dis que Gladys à de plus en plus de contraction, je prends le TGV et l’Eurostar et j’arrive près de vous.
Mon fils est né sept jours plus tard, ça fait mal d’accoucher, même par personne interposé et en enlevant simplement ma baudruche.
J’ai poussé avec Gladys pour que mon fils sorte plus vite.
Bien sûr, c’est belle-maman qui m’a aidé pour mon premier accouchement, Gladys étant restée tout ce temps chez elle sans avoir besoin de voir un médecin.
• William, regarde comme notre fils est beau, Gladys, que fais-tu ?
Tu reprends tes bonnes habitudes, tu es toujours la petite chienne de mon mari.
En plus de satisfaire mon époux tu seras la baby-sitter de mon fils, tu ne crois pas que je vais mettre mes jolies mains dans son caca.
Au tribunal, ils ont loué mon abnégation au travail.
Trois jours après mon retour d’Angleterre où les trépidations du train avaient provoqué mon accouchement prématuré, j’étais déjà de retour pour emprisonner la veuve et l’orphelin.
Un mois se passe, j’aime à me pencher sur le berceau de mon fils et le voir me téter lorsqu’il boit son lait à la poitrine de Gladys.
Son retour de couches ayant eu lieu, Gladys a recommencé à satisfaire son maître tous les soirs, nous sommes une famille heureuse, mon mari mon fils et moi.
• Madame la procureur, puis-je vous voir ?
• Entrer capitaine Vargas, qui me vaut votre visite, y a-t-il un problème pour la police avec l’un de mes dossiers ?
• Non madame et sauf votre respect, tendez-moi vos jolies mains que je leur passe mes menottes.
• Vous êtes devenu fou, capitaine, j’aimerais bien jouer à la femme soumise et que vous me baisiez, je vous ai toujours trouvé très beau.
Mais faire ça dans mon bureau qui plus est au tribunal, ce serait prendre des risques inutiles.
• Madame, loin de moi l’idée d’un jeu, c’est pourquoi je suis venu en personne au lieu de vous envoyer un de mes adjoints.
Votre mari et votre baby-sitter ont porté plainte contre vous pour leur avoir volé leur bébé.
Ils ont fourni des tests ADN certifiant que celui que vous dites être votre fils, possède les mêmes caractéristiques que son papa et sa maman.
Vous pouvez contester ces preuves en vous soumettant vous-même à un test ADN prouvant qu’ils mentent.
• Inutile, je reconnais les faits, le tribunal tiendra compte de ma participation à l’éclaircissement de mon affaire.
J’en doute, depuis que je suis en poste dans cette région, j’ai toujours entendu dire, ras-le-bol dans ce tribunal de la personne que vous êtes, toujours insatisfaite.
Je suis incarcérée, William a demandé le divorce, là encore en plus de mon travail je vais tout perdre.
En plus en prison, je retrouve bon nombre de celles avec qui j’ai été loin d’être tendre.
J’ai nettement l’impression que je vais être la petite chienne de certaines de ces détenues.
• Gladys, ma petite chienne, gardons nos bonnes habitudes, viens à mes pieds regarder la télé.
À la fin du film, je vais te saillir afin que tu donnes à son frère une petite sœur, nous aurons le choix du roi mon amour.
Moralité ?
Il n’y en a pas, à si, bien mal acquis ne profitera pas.
Je me voyais mal voir mon corps, si magnifique, se déformer sous l’effet d’une grossesse comme de nombreuses femmes qui m’entourent.
À ce jour, j’ai été nommé Procureur de la République au tribunal d’une grande ville au sud de la France.
Je tairais son nom, pour protéger tous mes collègues qui travaillent dans cette région.
J’ai décidé de prendre en charge une jeune femme d’un milieu défavorisé, c’était facile pour moi, de regarder dans mes dossiers une jeune fille douée, mais sans le sou.
Gladys fut celle-là, dans notre villa avec piscine, William étant traducteur de livres chez un éditeur de Français en Anglais et l’inverse suivant la nécessité.
La chambre prévue pour un éventuel bébé, encore d’actualité lorsque nous avons décidé de construire cette maison, je l’ai fait installer en chambre de jeune fille afin d’accueillir Gladys.
C’est le lendemain de son arrivée, que je lui ai décidé, le soir, alors que nous regardions la télé de l’offrir à mon mari comme sa petite chienne.
• Gladys, ta place n’est pas à côté de nous sur ce canapé, vient t’assoir aux pieds de ton maître.
Je veux bien t’accueillir, mais tu lui dois bien ça en retour !
En étudiant les prétendantes, je savais que toute sa scolarité Gladys avait été le souffre-douleur de sa classe.
Une vraie petite chienne soumise.
Le lendemain, sans que j’aie à lui dire, ayant fini ses devoirs cette année c’est Bac de Français, d’elle-même elle est venue se coucher au pied de celui qui était devenu son maître.
• Lorsque tu viens aux pieds de ton maître, je te veux nue.
Sans se relever, elle a fait passer par-dessus sa tête, la veste de son pyjama et fait glisser son pantalon.
Blonde des cheveux et de la chatte, je tenais à ce qu’elle soit blonde.
J’avais trois dossiers qui me présentaient des cas intéressants, mais Gladys avait un avantage sur les autres.
Sa mère était fille-mère et elle avait trois autres frères, chacun d’eux étant le fruit de pères différents.
De plus, deux d’entre eux, les ainés étaient emprisonnés pour vole et coups et blessures.
Gladys, devait savoir qu’avec une telle famille, il valait mieux être la petite chienne de William, que celle de ses frères.
Elle savait que pour eux, sa petite chatte blonde, ils la convoiteraient dès qu’ils sortiraient de prison.
Deux ans, c’est moi qui les avais fait condamner, deux ans à se taper des pignoles alors le demi-inceste, n’était pas là pour les faire reculer.
• Petite chienne, vient voir ce que ton maître t’a acheté !
À quatre pattes, elle est venue nue jusqu’à moi, elle était revenue de sa chambre dans le plus simple appareil, comme hier, je lui avais demandé.
• Regarde ce joli collier de toutou, chaque fois que tu seras à la maison, tu demanderas à ton maître se te l’attacher.
De plus peux-tu donner cette laisse à ton maître qu’il te l’attachera à ce mousqueton ?
Le collier posé et la laisse dans la main de William, j’avais enfin devant mes yeux, la jolie petite chienne, qui allait me permettre de refuser à mon époux tout rapport avec lui.
Je venais de lui fournir sa chienne étant sûre d’éviter de me retrouver enceinte.
Bien sûr, le troisième soir, la docilité de Gladys me le permettant, l’ordre tomba.
• Ton maître aime le sexe et je suis incapable de le satisfaire, sors sa verge de son pantalon et suce là jusqu’à ce qu’il éjacule.
En deux temps trois mouvements, Gladys s’est exécutée sans plus se poser de question.
Je me suis étonnée qu’elle sache si bien y faire, le troisième frère toujours présent au domicile de la mère, se faisait-il faire des pipes par sa demi-sœur ?
• Viens là, petite pute, ton maître va te baiser, je veux que tu prennes la pilule, de toute façon, c’est moi tous les soirs qui te la donnerait.
Inutile de croire que ton maître va t’engrosser et t’épouser en me fichant dehors.
Bac de Français et bac général, Gladys après le lycée est entré en fac pour devenir professeur des écoles.
J’avais bien choisi, elle a tout réussi et William par ami interposé lui a trouvé un poste dans l’école privée catholique où tous les dimanches nous allons à la messe dans la chapelle de ce lycée privée.
J’étais près de ma quarantaine, je voulais être mère, mais sans voir la tête d’un bébé sortir entre mes cuisses.
Comme j’avais tout calculé, William baisant Gladys tous les soirs en levrette comme un chien le ferait avec sa chienne, elle nous annonça que cela faisait deux fois que ses règles avaient disparu.
Je lui ai passé un savon, elle a pleuré, mais a accepté de se faire disputer bien que ce soit moi qui ai remplacé sa pilule par d’autres de même forme et de même couleur.
J’aime à la punir surtout lorsqu’elle n’y est pour rien.
• William, conduit cette petite pute chez ta mère en Angleterre, jusqu’à ce qu’elle accouche.
Tu y resteras à la surveiller, traduire ici ou là-bas, c’est du pareil au même et ta mère sera contente de t’avoir.
De mon côté, je vais simuler une grossesse jusqu’à ce que tu me préviennes que mon fils va naître ou je vous rejoindrais pour de mon côté simuler un accouchement.
Nous ferons enregistrer la naissance à mon nom et ainsi j’aurais mon bébé.
Mon plan s’est déroulé à merveille.
Six mois plus tard, la forme gonflable au fil des mois, tous mes collègues compatissaient en voyant mon joli ventre s’arrondir surtout par cette chaleur.
• William, tu me dis que Gladys à de plus en plus de contraction, je prends le TGV et l’Eurostar et j’arrive près de vous.
Mon fils est né sept jours plus tard, ça fait mal d’accoucher, même par personne interposé et en enlevant simplement ma baudruche.
J’ai poussé avec Gladys pour que mon fils sorte plus vite.
Bien sûr, c’est belle-maman qui m’a aidé pour mon premier accouchement, Gladys étant restée tout ce temps chez elle sans avoir besoin de voir un médecin.
• William, regarde comme notre fils est beau, Gladys, que fais-tu ?
Tu reprends tes bonnes habitudes, tu es toujours la petite chienne de mon mari.
En plus de satisfaire mon époux tu seras la baby-sitter de mon fils, tu ne crois pas que je vais mettre mes jolies mains dans son caca.
Au tribunal, ils ont loué mon abnégation au travail.
Trois jours après mon retour d’Angleterre où les trépidations du train avaient provoqué mon accouchement prématuré, j’étais déjà de retour pour emprisonner la veuve et l’orphelin.
Un mois se passe, j’aime à me pencher sur le berceau de mon fils et le voir me téter lorsqu’il boit son lait à la poitrine de Gladys.
Son retour de couches ayant eu lieu, Gladys a recommencé à satisfaire son maître tous les soirs, nous sommes une famille heureuse, mon mari mon fils et moi.
• Madame la procureur, puis-je vous voir ?
• Entrer capitaine Vargas, qui me vaut votre visite, y a-t-il un problème pour la police avec l’un de mes dossiers ?
• Non madame et sauf votre respect, tendez-moi vos jolies mains que je leur passe mes menottes.
• Vous êtes devenu fou, capitaine, j’aimerais bien jouer à la femme soumise et que vous me baisiez, je vous ai toujours trouvé très beau.
Mais faire ça dans mon bureau qui plus est au tribunal, ce serait prendre des risques inutiles.
• Madame, loin de moi l’idée d’un jeu, c’est pourquoi je suis venu en personne au lieu de vous envoyer un de mes adjoints.
Votre mari et votre baby-sitter ont porté plainte contre vous pour leur avoir volé leur bébé.
Ils ont fourni des tests ADN certifiant que celui que vous dites être votre fils, possède les mêmes caractéristiques que son papa et sa maman.
Vous pouvez contester ces preuves en vous soumettant vous-même à un test ADN prouvant qu’ils mentent.
• Inutile, je reconnais les faits, le tribunal tiendra compte de ma participation à l’éclaircissement de mon affaire.
J’en doute, depuis que je suis en poste dans cette région, j’ai toujours entendu dire, ras-le-bol dans ce tribunal de la personne que vous êtes, toujours insatisfaite.
Je suis incarcérée, William a demandé le divorce, là encore en plus de mon travail je vais tout perdre.
En plus en prison, je retrouve bon nombre de celles avec qui j’ai été loin d’être tendre.
J’ai nettement l’impression que je vais être la petite chienne de certaines de ces détenues.
• Gladys, ma petite chienne, gardons nos bonnes habitudes, viens à mes pieds regarder la télé.
À la fin du film, je vais te saillir afin que tu donnes à son frère une petite sœur, nous aurons le choix du roi mon amour.
Moralité ?
Il n’y en a pas, à si, bien mal acquis ne profitera pas.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La Chippie est égale à elle même c'est pour cela qu'on l'aime nous les auteurs...
Mais on vous aime bien aussi chère lectrice, première à l'école en orthographe, permettez que si vous étiez première hélas il faut aussi des derniers.
Une anecdote m'a maman est allée dans les Vosges après guerre
Elle a demandé à un jeune si ça allait bien à l'école
Oui lui a -t-il répondu je suis troisième
C'est bien lui dit ma mère, sur combien?
Mais sur trois madame...
Mais on vous aime bien aussi chère lectrice, première à l'école en orthographe, permettez que si vous étiez première hélas il faut aussi des derniers.
Une anecdote m'a maman est allée dans les Vosges après guerre
Elle a demandé à un jeune si ça allait bien à l'école
Oui lui a -t-il répondu je suis troisième
C'est bien lui dit ma mère, sur combien?
Mais sur trois madame...
On s’en fout des fautes. Vous n’êtes pas sur 1 site ou ça parle des dictées de Maître Capello bande de naze. 😤🤦♀️😡
La chipie
La chipie
arrêtez avec l'orthographe, vous vous êtes doué cher lecteur moi je suis mauvais malgré deux correcteurs.
Je pense être bon en rédaction voir idée, alors qi ca vous gène, lorsque vous voyez "texte de CHRIS71" passez votre chemin...
Merci Daniel dommage que les lecteurs comme toi soi si rare...
Je pense être bon en rédaction voir idée, alors qi ca vous gène, lorsque vous voyez "texte de CHRIS71" passez votre chemin...
Merci Daniel dommage que les lecteurs comme toi soi si rare...
Pour un sois disant procureur Bonjour les fautes d'orthographe
Bravo Chris ton histoire est bien bâtie et comme d’habitude tu nous scotchés, ton final est superbe .Daniel
Merci cher lecteur, je préfère vos deux mots à ceux de cette chère lectrice même si elle a le droit d'avoir ses idées mais qu'elle devrait trouvez autre part que sur HDS
jolie histoire
Autre chose, ca serait honteux si ca n'était pas justement une histoire chère lectrice...
Chère lectrice, lisez le "journal de Cosette " dans Pif gadget ?
Donner moi les titres que vous avez écrit que j'apprenne comment écrire....
Merci
Donner moi les titres que vous avez écrit que j'apprenne comment écrire....
Merci
Pour une procureure de la République, tu as une curieuse orthographe...
Et une curieuse idée du consentement, toi la prétendue juriste...
Histoire honteuse.
Et une curieuse idée du consentement, toi la prétendue juriste...
Histoire honteuse.

