COLLECTION HISTOIRE COURTE. Je partage Belle-Maman (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Je partage Belle-Maman (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Je partage Belle-Maman (1/1)
Qui aurait cru que ce que mon père sa femme et moi faisons est possible !
Mon père, Jean-Jacques remarié avec Jennifer après la mort de maman il y a cinq ans.
Jean-Jacques bel homme de 51 ans et Jennifer jeune pouliche de 30 ans, elle-même divorcés de Serge depuis deux ans.
Vous rajoutez le fils Christophe qui a l’honneur de vous conter ce qui est arrivé.

Jennifer a trente ans est une jeune femme dans la force de l’âge avec ce qu’il faut là où il faut.
Ni connaissant rien dans les tailles des bonnets de soutien-gorge il m’est impossible de définir comment ils sont gros.
Comparés à la Cicciolina actrice porno Italienne des années 70 à 80 dont je viens de voir l’un de ses films sur Internet, ils ont la moitié de leur volume.
La Cicciolina dans son film saute sur tout ce qui bouge.
Moi, j’ai fait bouger ma queue remplissant un mouchoir en papier de ma divine semence.
Je viens de passer dans la cuvette des toilettes pour jeter les millions de mes enfants qui resteront à jamais à l’état de spermatozoïde avant de me rendre dans la cuisine boire une grande gorgée d’eau.
En ce mois de juillet comme tous les ans, la canicule est là.
Il est dit que c’est le dérèglement climatique qui en serait la cause.
Quand avant que je referme la porte du frigo deux choses se produisent.
Une main sur la bouteille d’eau pétillante manquant de me la faire lâcher et des seins se collant sur mon dos me faisant rebander.
Privilège de l’âge, quand je suis passé devant la chambre de mon père, ses seins étaient en train de jouir et je pense qu’à cette heure mon géniteur à son âge est dans l’incapacité de retendre le bras avant un bon moment.
Je suis célibataire à 28 ans mais quand je réussis à attraper une girelle dans mes filets, je suis capable de la baiser trois à quatre fois dans une nuit.

- Toi aussi tu as soif Jennifer, je t’ai entendu faire des folies de ton corps avec mon père.
- Tu m’as entendu, il est vrai que lorsque je jouis, j’oublie d’être discrète.
C’est à toi tout ce que je tiens dans ma main.
- Contente-toi de la bouteille d’eau, sinon mon père va être cocu.
- Ça te dirait de le cocufier ?
- Pour me retrouver à la rue, déjà que je suis au chômage, je veux éviter d’aller coucher sous les ponts.
- Petit joueur, qui a peur de son gentil papa, pourtant je sens que je me serais bien amusée.
- Sale pute, se faire sauter par le père et s’attaquer à son fils, tu es immorale Jennifer.
- Et tu es loin d’avoir tout vu.

Je lui laisse la bouteille et je pars la laissant en plan devant le frigo.
La lumière allumée, la porte étant ouverte, j’ai le temps de voir le joli petit cul que j’aurais pu baiser si je manquais de sens moral et familial.

Dans ma chambre je remplace la Cicciolina par les seins en poire de Clara Morgane.
J’ai cinq de ses films –18 en C.D.
Pour me faire débander, je me tape un rassis afin de pouvoir dormir.

- Debout fainéant, il y a longtemps que ton père est parti gagner notre pitance.
Je t’ai apporté ton chocolat chaud.
- À quel jeu tu joues depuis hier, arrête de me provoquer tu es incapable de voir ma réaction.

Elle tire sur le drap que j’ai mis au matin la fraîcheur étant là.

- Tu vois tu bandes, je te fais envie !
- Espèce d’idiote, tous les matins je bande car j’ai envie de pisser.
- Toi, non, ton père oui.
Dès qu’il est passé aux toilettes, ils débandent et j’ai plus de mal à le faire repartir.
Je suis allée à la boulangerie t’acheter des croissants tout chauds.
- Et tu t’es remis presque à poil pour me les apporter.
- Il fait si chaud.
Voyons voir si ça tien ou si ça retombe.

Jennifer pose son plateau avec mon bol de chocolat que je bois systématiquement depuis mon enfance.
Véronique ma maman disait que ça rendait fort.
Quand je vois ma verge tendue vers le ciel, ça fonctionne, mes divers partenaires ont toujours apprécié la façon dont je les remplissais et surtout mon endurance leur permettant de prendre leur plaisir.
Je vois Jennifer ôter son peignoir retrouvant sa nudité de la nuit et monter sur mon lit.
Je suis tétanisé partagé entre deux sentiments.
Fidèle où infidèle à mon père.
Fidèle, non infidèle.
Trop tard, de nouveau sa main est sur ma verge et sa bouche s’en approche.
Elle fait mieux elle l’avale, elle m’avale et rapidement sa langue vient de s’enrouler autour de mon gland.
En même temps que sa main me masturbe l’autre me triturant les couilles elle me lèche et m’aspire.
Avec chaque partenaire, je me suis systématiquement fait sucer la verge mais là ma salope de belle-mère les dépasse de plusieurs têtes.
Elle m’aspire me donnant l’impression que ma verge voire tout mon corps vont finir en elle.
On dirait un vampire voulant me sucer tout mon sang.
Elle c’est mon sperme qu’elle veut.

- Tu vois, c’était baiser que tu voulais et non aller pisser un coup.

En me tenant ses propos agiles comme une chatte, elle saute sur moi, sa chatte m’aspirant à son tour.
J’avais l’impression quand sa bouche me suçait qu’un grand aspirateur s’était mis en marche.
Là, c’est une lessiveuse qui démarre quand elle monte et qu’elle descend le long de mon mat.
Heureusement que c’est ce matin que l’on commet notre acte immoral.
La nuit dernière, ses éructions quand elle jouit aurait immanquablement réveillé mon père malgré la fatigue dû à sa partie de jambes en l'air pratiquée par cette folle du cul.
Je suis résistant mais avec elle, je sens qu’elle aura toujours le dernier mot.

- À demain, tient voilà ton chocolat, il doit être froid.

C’est comme ça que je la vois me quitter récupérant seulement son peignoir qu’elle a placé négligemment sur son épaule.
Je vois le petit cul que je viens de remplir de mon bon sperme s’éloigner me faisant rebander.
Le lendemain et les jours suivant chaque matin sauf le samedi et le dimanche elle reste avec mon père me frustrant de rester seul ma trique en l’air.

- Ce matin, impossible de me prendre par ma chatte, j’ai mis un tampon.
- Rien de grave, c’est la nature, dans quatre cinq jours nous reprendront là où nous en étions hier.
- Hors de question je vois que tu as envie de moi, ton père refuse cette pratique mais j'adore, je le faisais avec Serge et j’aimerais retrouver ces sensations que je suis intégralement un sexe.

Elle me suce comme un rituelle et quand je suis prêt, se place en levrette m’offrant son anus.
Du beurre, non, je suis excessif mais savoir que je passe par la porte interdite me fait bander de plus belle.
Sodomiser ma belle-maman ce que mon père refuse de faire c’est jouissif au plus haut point.

Le lendemain, je la sodomise le matin et à midi elle me rejoint près de la piscine dans sa nudité si excitante.
Je viens de me baigner.
Elle se place en levrette sur la chaise de piscine voisine me tendant son cul.

- J’ai encore envie, viens m’enculer ton gland est énorme et me défonce divinement.

Je la rejoins, j’écarte son beau fessier et ma langue vient lui faire une feuille de rose.
Je vois la ficelle sortant de sa chatte, je la saisis avec mes dents et fais sortir le tampon qui tombe sur la chaise blanche.
Je pourrais m’attarder sur l’œuvre d’art que je viens de créer.
Un tampon imbibé de sang sur une chaise blanche, mais c’est ma bouche qui rejoint sa grotte.
Je lèche consciencieusement sa chatte avant de venir la pilonner avec ma verge.
Les tabous de certains et moi ça fait deux.
Je décharge au moment où l’inévitable se produit.
Tout ce qui doit arriver arrive.
À prendre de plus en plus de risques, on se brûle.
Je suis violemment tiré en arrière.

- Espèce de salopard, tu baises ma femme pendant mon absence et malgré ses règles, tu es immonde.
Va faire ton sac et tire-toi, j’ignorais que j’avais mis au monde avec ta mère un coucou.
- Calme toi Jean-Jacques ton fils n’est pour rien dans cette situation, c’est moi qui ai tous fait.
S’il part je pars aussi, même si je le sais il est comme toi, il aime son indépendance.
Ce sera toi qui te retrouveras cocu deux fois.
Même si certains disent que c’est impossible, je vous aime tous les deux.
Mieux autant follement l’un que l’autre.
Venez dans mes bras mes chéris.

Elle s’est assise sur la chaise longue.
Mon père à sa droite moi à sa gauche.
Je sens ma cuisse être mouillée.
C’est le tampon que je compresse, je m’en cague.

- Voilà nous allons faire un ménage à trois.
Comme je pense que vous avez assez de moral pour éviter les attouchements sexuels entre vous, bien que j’aimerais que vous me preniez en double pénétration, l’un serait avec moi les jours pairs et l’autre les impaires.
Si vous êtes d’accord, serrez-vous la main.

On se serre la main certainement contant de rester père et fils.

- Autre chose, je veux un enfant, je vais faire ôter mon stérilet.
Mon fils sera le mien et le vôtre, il aura la même base ADN et ainsi nous vivrons heureux.

Ça fait trois ans que je suis l’amant de ma belle-mère.
Un moment j’avais envisagé qu’ils divorcent pour pouvoir nous pacser avec notre amour en annulant notre engagement chaque année laissant la place à l’autre à son tour pour un an.
C’est facile, il y a que deux lettres à la mairie à faire mais notre fils puis notre fille sont nés et les papas ont bien d’autres choses à faire.
Surtout moi qui ai créé mon auto-entreprise de baby-sitter ce qui me permet de garder nos propres bébés.

Un gagnant pourtant dans notre contrat verbal, moi.
Je donne du plaisir à Jennifer les jours impaire et papa les paires.
31 jours un de plus que 30 sans compter l’année bissextile et le jour où elle est indisposée où je fonce tous droit.
Mais incontestablement c’est notre amour, belle-maman qui est la gagnante, chaque jour que dieu fait, elle a une bite à sa disposition et notre entière fidélité.

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