COLLECTION HISTOIRE COURTE. Jogging d’été (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2020 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Jogging d’été (1/1)
- Non, mon chéri, les enfants dorment trop près de nous, ils pourraient nous entendre.
- Ça fait trois jours que nous sommes arrivés en vacances dans ce bungalow.
Mes couilles sont comme des montgolfières.
Ton petit cul que je sens au bout de ma verge, m’attire comme un aimant.
- Dors, on peut rester quinze jours sans faire l’amour.
Tu l’as bien fait il y a quatre ans quand j’ai accouché de Pierre et Paul.
Pour Alice, il y a douze ans, à ce que je sache tu as attendu sans aller aux putes.
- Il faut toujours qu’insidieusement tu reviennes à l’enterrement de vie de garçon de Christian où vous avez su qu’Adrien le témoin avait fait venir des escortes chez lui.
Je t’ai juré que si certains ont consommé, je me suis contenté de regarder.
- Tu vas me faire croire que tu es candauliste alors que pour un rien tu bandes !
Allez dormons, la baignade m’a fatigué.
Cul tourné, avec Amel, inutile d’insister, mais il est 5 heures quand je me réveille, le bâton des bâtons entre les jambes.
Je me lève, je sors ma tenue de joggeur et je m’habille pensant faire le moindre bruit possible.
Le jour se pointe et une légère fraîcheur s’installe.
Lorsque j’ai pris cette tenue, Amel a parié qu’elle resterait au chaud dans la valise.
Hélas, elle se réveille au moment où j’attache mes baskets.
Dans ce bungalow exigu, il a fallu que je m’asseye sur le lit pour serrer mes lacets.
- Mes yeux voient bien, tu vas courir, attends cinq minutes et je t’accompagne.
- Et les enfants ?
- Je vais laisser un mot sur la table de la cuisine expliquant à Alice que nous revenons rapidement.
Je vais lui dire que je vais t’aider à perdre ton petit ventre rond.
Mais tu sais bien, qu’avant midi on peut sonner le clairon sans succès.
Nous quittons La Palmyre côte à côte, nos bungalows donnant directement sur la plage de la grande cote, non loin du zoo où nous irons avant la fin de notre séjour.
La chaleur est supportable à cette heure et pendant cette canicule on aurait mieux fait de rester au lit.
Nous longeons la forêt de pins.
Une idée me vient, je tourne vers une trouée, courir sous les arbres sera plus agréable.
Un chemin se retrouve parallèle à la plage, nous la longeons jusqu’à une petite clairière.
Amel en meilleure forme me prend quelques mètres.
Son petit cul se balançant régulièrement me fait de nouveau de l’effet.
Je la rattrape et la plaque le long d’un pin.
- Qu’est-ce que tu fais, tu es fou, on pourrait nous voir ?
- Dans le bungalow, impossible, il y a les enfants, ici on pourrait nous voir.
Suce salope.
Quand je prononce ces deux mots, je m’en veux, il est sûr que sa petite chatte me sera refusée dans les heures qui vont suivre.
Mais contre toute attente, elle se retourne s’agenouille descend mon pantalon et commence à me sucer.
Je suis tellement en attente que je manque de tout lâcher alors que c’est son vagin dans lequel je veux décharger.
Je la redresse alors qu’elle s’accroche à sa sucette à deux doigts du scandale, elle a toujours refusé que je décharge sur ses amygdales.
Je l’embrasse lui montrant tout l’amour que j’ai pour elle.
Elle continue à me branler le temps de lui descendre son petit short jaune.
Je la retourne, car même son regard serait susceptible de me faire décharger.
Elle enserre le pin où je l’ai coincé et écartant ses cuisses, je la plante divinement.
Je commence à la labourer même si cette terre est loin d’être vierge depuis que nous faisons l’amour.
Je soulève son débardeur lui caressant les seins.
Elle adore que je lui caresse les seins alors je les saisis avec du mal, car ils ont beaucoup grossi après la naissance et l’allaitement de nos jumeaux.
Il est vrai que si nous avions fait l’amour hier au soir, les cris de plaisir qui sortent de sa gorge, aurait certainement réveillé toute la maison ou alors elle les aurait retenues gâchant son plaisir.
Mes couilles vidées, nous retournons vers notre vie routinière, il va être temps de nous occuper de nos progénitures.
Deux jours passent et le besoin de courir ce fait de nouveau sentir, je me prépare.
- Je t’accompagne, j’avais gardé le papier pour Alice, je suis prête dans deux minutes.
C’est vrai, comme la première fois, le jour se lève.
C’est elle qui mène la course me faisant le même effet que la première fois.
Nous passons devant des pêcheurs avec leur grande cane fixée dans le sable.
Je m’étais renseigné, il pêche le bar sur les hauts fonds.
À hauteur de la trouée menant à la clairière où je l’ai baisé, elle s’engage.
Même clairière, même pin, le souvenir de la manière dont je l’ai honoré doit être gravé dans sa mémoire et elle souhaite un deuxième voyage au bout de ma verge.
Elle s’agenouille de manière identique avec la première fois et me suce en me masturbant.
Elle me quitte et levant la tête me regarde avec ses yeux de biche.
- Alex, il y a un homme qui nous regarde.
- Comment !
Je tourne la tête, quand nous nous sommes engagés, une canne était fixée sur le sable et c’est le pécheur qui doit profiter du spectacle.
Ce voyant découvert, il s’approche descendant son pantalon.
- Je peux, cette salope tu l’as pécho à la boîte de nuit.
Suce.
Je devrais lui mettre mon poing dans la gueule , mais contre toute attente Amel le prend en main et le met dans sa bouche.
Je suis cocu devant mes yeux, mais voir, ce que ma femme m’a toujours caché me fait bander.
- Venez jusqu’à ma tente, ici les gendarmes patrouilles et on risque une amende.
Il aide ma femme à se remettre debout et la prenant par la main il la dirige plus loin dans la forêt.
Cinquante mètres plus loin une tente est montée.
- Quand je viens pêcher, j’aime être dans cette nature sauvage et je plante ma tente ici, même si c’est interdit à cause des incendies.
Un peu de confort mademoiselle, baiser dans le sable ça gratte les fesses.
Il sort de sa tente un matelas deux places qu’il dépose devant moi.
- Tu commences où je commence, mademoiselle, qui des deux préférez-vous en premier.
- Toi, beau gosse, mon mari, je le connais comme si je l’avais fait.
- Ton mari, merde.
- Inutile de jurer, il adore regarder, un, mon chéri, tu aimes me voir baisé avec d’autres !
Je devrais une nouvelle fois me mettre en rogne et la prendre par la main pour la faire rejoindre ses enfants.
Mais il y a un siège de pêche alors je m’assieds.
Elle s’agenouille de nouveau et me regardant fixement elle se remet à le sucer.
Je bande, voir Amel sucer un autre me fait autant d’effet que le soir où j’ai regardé mes copains baiser leurs putes.
Ce soir-là, c’était par fidélité à celle qui se comporte comme une salope que je suis resté à regarder.
Là c’est autre chose, comme elle l’a dit suis-je candauliste ?
- Veux-tu vraiment que je baise ta femme ?
- C’est elle qui choisit, moi je vais me contenter de regarder.
Ils le font, elle se place en levrette et d’un coup il est en elle.
Dire qu’il m’a fallu des mois après notre mariage et la naissance de notre fille pour qu’elle accepte cette position dans nos ébats.
Rapidement, la pine qui est en elle étant légèrement plus grosse que la mienne, elle se met à hurler son plaisir comme le long du sapin, l’autre fois.
Quand son corps se tend me prouvant qu’un orgasme la frappe, je suis à deux doigts de l’apoplexie, mais je veux lui faire voir que moi je sais résister et je me garde bien de gicler.
C’est le pécheur qui gicle en elle la libérant sa queue couverte de son sperme.
C’est dans les bras l’un de l’autre que je l’aide à marcher après lui avoir remis ses vêtements pour éviter le scandale dans les bungalows de nombreux vacanciers prenant leur petit déjeuner.
Une fois douché ensemble dans la petite cabine, que je la sèche avant de se coucher en attendant le réveil des enfants.
Elle passe sa main sous le drap, suivi de sa tête, sa bouche venant sur le chapiteau que mon sexe forme tellement je bande.
Contrairement à son amant je résiste, mais pas trop longtemps surtout quand mon sperme sort dans sa cavité buccale, sa main m’empêchant de me retirer et goulument avalant toute la purée.
C’est la vielle de notre retour à Paris qu’elle me réveille déjà dans son petit short.
- On va courir !
Hélas pour elle plus de matelas gonflable, de tente et de pécheur alors c’est seulement de mon sexe qu’elle doit se contenter pour notre plus grand bonheur, amoureux comme au premier jour.
Octobre, c’est mon anniversaire.
- Mon cœur, je t’ai préparé tes affaires, je t’emmène au restaurant.
Belle maman garde les enfants, le resto est super.
Lorsque nous sortons, elle m’entraîne devant une boîte où il y a marqué « Club privé ».
- Où m’emmènes-tu ?
- Dans un club libertin, j’ai eu David et Alexandra les gérants au téléphone.
Ils m’ont dit que la plupart des couples viennent pour satisfaire madame avec de beaux gosses célibataire pendant qu’ils sont assis dans des profonds fauteuils satisfaisant leurs envies de nous voir nous faire sauter.
Quand nous entrons, accueilli par ce magnifique couple black.
Je sais que tout ceci est dû à un coup de pine qu’elle m’a refusée pendant nos vacances.
Cette soirée me permet de pimenter ma vie selon mes fantasmes surtout pour mon anniversaire et surtout d’éviter les reproches d’avoir été avec des putes dans l’enterrement de vie de garçon de mon pote.
- Ça fait trois jours que nous sommes arrivés en vacances dans ce bungalow.
Mes couilles sont comme des montgolfières.
Ton petit cul que je sens au bout de ma verge, m’attire comme un aimant.
- Dors, on peut rester quinze jours sans faire l’amour.
Tu l’as bien fait il y a quatre ans quand j’ai accouché de Pierre et Paul.
Pour Alice, il y a douze ans, à ce que je sache tu as attendu sans aller aux putes.
- Il faut toujours qu’insidieusement tu reviennes à l’enterrement de vie de garçon de Christian où vous avez su qu’Adrien le témoin avait fait venir des escortes chez lui.
Je t’ai juré que si certains ont consommé, je me suis contenté de regarder.
- Tu vas me faire croire que tu es candauliste alors que pour un rien tu bandes !
Allez dormons, la baignade m’a fatigué.
Cul tourné, avec Amel, inutile d’insister, mais il est 5 heures quand je me réveille, le bâton des bâtons entre les jambes.
Je me lève, je sors ma tenue de joggeur et je m’habille pensant faire le moindre bruit possible.
Le jour se pointe et une légère fraîcheur s’installe.
Lorsque j’ai pris cette tenue, Amel a parié qu’elle resterait au chaud dans la valise.
Hélas, elle se réveille au moment où j’attache mes baskets.
Dans ce bungalow exigu, il a fallu que je m’asseye sur le lit pour serrer mes lacets.
- Mes yeux voient bien, tu vas courir, attends cinq minutes et je t’accompagne.
- Et les enfants ?
- Je vais laisser un mot sur la table de la cuisine expliquant à Alice que nous revenons rapidement.
Je vais lui dire que je vais t’aider à perdre ton petit ventre rond.
Mais tu sais bien, qu’avant midi on peut sonner le clairon sans succès.
Nous quittons La Palmyre côte à côte, nos bungalows donnant directement sur la plage de la grande cote, non loin du zoo où nous irons avant la fin de notre séjour.
La chaleur est supportable à cette heure et pendant cette canicule on aurait mieux fait de rester au lit.
Nous longeons la forêt de pins.
Une idée me vient, je tourne vers une trouée, courir sous les arbres sera plus agréable.
Un chemin se retrouve parallèle à la plage, nous la longeons jusqu’à une petite clairière.
Amel en meilleure forme me prend quelques mètres.
Son petit cul se balançant régulièrement me fait de nouveau de l’effet.
Je la rattrape et la plaque le long d’un pin.
- Qu’est-ce que tu fais, tu es fou, on pourrait nous voir ?
- Dans le bungalow, impossible, il y a les enfants, ici on pourrait nous voir.
Suce salope.
Quand je prononce ces deux mots, je m’en veux, il est sûr que sa petite chatte me sera refusée dans les heures qui vont suivre.
Mais contre toute attente, elle se retourne s’agenouille descend mon pantalon et commence à me sucer.
Je suis tellement en attente que je manque de tout lâcher alors que c’est son vagin dans lequel je veux décharger.
Je la redresse alors qu’elle s’accroche à sa sucette à deux doigts du scandale, elle a toujours refusé que je décharge sur ses amygdales.
Je l’embrasse lui montrant tout l’amour que j’ai pour elle.
Elle continue à me branler le temps de lui descendre son petit short jaune.
Je la retourne, car même son regard serait susceptible de me faire décharger.
Elle enserre le pin où je l’ai coincé et écartant ses cuisses, je la plante divinement.
Je commence à la labourer même si cette terre est loin d’être vierge depuis que nous faisons l’amour.
Je soulève son débardeur lui caressant les seins.
Elle adore que je lui caresse les seins alors je les saisis avec du mal, car ils ont beaucoup grossi après la naissance et l’allaitement de nos jumeaux.
Il est vrai que si nous avions fait l’amour hier au soir, les cris de plaisir qui sortent de sa gorge, aurait certainement réveillé toute la maison ou alors elle les aurait retenues gâchant son plaisir.
Mes couilles vidées, nous retournons vers notre vie routinière, il va être temps de nous occuper de nos progénitures.
Deux jours passent et le besoin de courir ce fait de nouveau sentir, je me prépare.
- Je t’accompagne, j’avais gardé le papier pour Alice, je suis prête dans deux minutes.
C’est vrai, comme la première fois, le jour se lève.
C’est elle qui mène la course me faisant le même effet que la première fois.
Nous passons devant des pêcheurs avec leur grande cane fixée dans le sable.
Je m’étais renseigné, il pêche le bar sur les hauts fonds.
À hauteur de la trouée menant à la clairière où je l’ai baisé, elle s’engage.
Même clairière, même pin, le souvenir de la manière dont je l’ai honoré doit être gravé dans sa mémoire et elle souhaite un deuxième voyage au bout de ma verge.
Elle s’agenouille de manière identique avec la première fois et me suce en me masturbant.
Elle me quitte et levant la tête me regarde avec ses yeux de biche.
- Alex, il y a un homme qui nous regarde.
- Comment !
Je tourne la tête, quand nous nous sommes engagés, une canne était fixée sur le sable et c’est le pécheur qui doit profiter du spectacle.
Ce voyant découvert, il s’approche descendant son pantalon.
- Je peux, cette salope tu l’as pécho à la boîte de nuit.
Suce.
Je devrais lui mettre mon poing dans la gueule , mais contre toute attente Amel le prend en main et le met dans sa bouche.
Je suis cocu devant mes yeux, mais voir, ce que ma femme m’a toujours caché me fait bander.
- Venez jusqu’à ma tente, ici les gendarmes patrouilles et on risque une amende.
Il aide ma femme à se remettre debout et la prenant par la main il la dirige plus loin dans la forêt.
Cinquante mètres plus loin une tente est montée.
- Quand je viens pêcher, j’aime être dans cette nature sauvage et je plante ma tente ici, même si c’est interdit à cause des incendies.
Un peu de confort mademoiselle, baiser dans le sable ça gratte les fesses.
Il sort de sa tente un matelas deux places qu’il dépose devant moi.
- Tu commences où je commence, mademoiselle, qui des deux préférez-vous en premier.
- Toi, beau gosse, mon mari, je le connais comme si je l’avais fait.
- Ton mari, merde.
- Inutile de jurer, il adore regarder, un, mon chéri, tu aimes me voir baisé avec d’autres !
Je devrais une nouvelle fois me mettre en rogne et la prendre par la main pour la faire rejoindre ses enfants.
Mais il y a un siège de pêche alors je m’assieds.
Elle s’agenouille de nouveau et me regardant fixement elle se remet à le sucer.
Je bande, voir Amel sucer un autre me fait autant d’effet que le soir où j’ai regardé mes copains baiser leurs putes.
Ce soir-là, c’était par fidélité à celle qui se comporte comme une salope que je suis resté à regarder.
Là c’est autre chose, comme elle l’a dit suis-je candauliste ?
- Veux-tu vraiment que je baise ta femme ?
- C’est elle qui choisit, moi je vais me contenter de regarder.
Ils le font, elle se place en levrette et d’un coup il est en elle.
Dire qu’il m’a fallu des mois après notre mariage et la naissance de notre fille pour qu’elle accepte cette position dans nos ébats.
Rapidement, la pine qui est en elle étant légèrement plus grosse que la mienne, elle se met à hurler son plaisir comme le long du sapin, l’autre fois.
Quand son corps se tend me prouvant qu’un orgasme la frappe, je suis à deux doigts de l’apoplexie, mais je veux lui faire voir que moi je sais résister et je me garde bien de gicler.
C’est le pécheur qui gicle en elle la libérant sa queue couverte de son sperme.
C’est dans les bras l’un de l’autre que je l’aide à marcher après lui avoir remis ses vêtements pour éviter le scandale dans les bungalows de nombreux vacanciers prenant leur petit déjeuner.
Une fois douché ensemble dans la petite cabine, que je la sèche avant de se coucher en attendant le réveil des enfants.
Elle passe sa main sous le drap, suivi de sa tête, sa bouche venant sur le chapiteau que mon sexe forme tellement je bande.
Contrairement à son amant je résiste, mais pas trop longtemps surtout quand mon sperme sort dans sa cavité buccale, sa main m’empêchant de me retirer et goulument avalant toute la purée.
C’est la vielle de notre retour à Paris qu’elle me réveille déjà dans son petit short.
- On va courir !
Hélas pour elle plus de matelas gonflable, de tente et de pécheur alors c’est seulement de mon sexe qu’elle doit se contenter pour notre plus grand bonheur, amoureux comme au premier jour.
Octobre, c’est mon anniversaire.
- Mon cœur, je t’ai préparé tes affaires, je t’emmène au restaurant.
Belle maman garde les enfants, le resto est super.
Lorsque nous sortons, elle m’entraîne devant une boîte où il y a marqué « Club privé ».
- Où m’emmènes-tu ?
- Dans un club libertin, j’ai eu David et Alexandra les gérants au téléphone.
Ils m’ont dit que la plupart des couples viennent pour satisfaire madame avec de beaux gosses célibataire pendant qu’ils sont assis dans des profonds fauteuils satisfaisant leurs envies de nous voir nous faire sauter.
Quand nous entrons, accueilli par ce magnifique couple black.
Je sais que tout ceci est dû à un coup de pine qu’elle m’a refusée pendant nos vacances.
Cette soirée me permet de pimenter ma vie selon mes fantasmes surtout pour mon anniversaire et surtout d’éviter les reproches d’avoir été avec des putes dans l’enterrement de vie de garçon de mon pote.
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