COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’avocate (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’avocate (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’avocate (1/1)
• Jules, mon chéri, je pars, j’ai mon train dans une heure pour Bordeaux.
• Tu plaides quand ?
• Non, je vais voir un nouveau client qui risque d’en prendre pour quinze ans.
On m’a passé son dossier, je pense que je vais pouvoir lui ramener sa peine à 10 ans, voire moins.
• Tu es la meilleure, tes clients ont une chance d’avoir une avocate de ton calibre ma chérie.
Le seul problème, c’est que ça t’amène à me quitter trop souvent mon amour, mais il faut savoir se sacrifier pour la justice française.

Je suis dans le bureau que j’ai emménagé dans notre appartement, je prends mon cartable ou je suis censé avoir rangé mes dossiers et ma robe d’avocate, je vais pour le quitter.

• Bordeaux, pour trois jours avec les voyages et simplement un petit cartable avec ta robe.

Cette question, j’étais sûr que je l’entendrais un jour et je suis prête à y répondre.

• Tu veux que je te montre les petites culottes dans un plastique au fond de mon cartable, avec deux paires de collants.
Je sais, tu préfères mes bas et jarretelles, mais là c’est seulement pour toi mon amour, aller il faut que je parte.

Mes bas et mes jarretelles, je vais les mettre, mais dans mon studio à l’autre bout de Paris.
Je prendrais ma mini Austin au sous-sol de l’immeuble et je prendrais la route pour Tour, c’est là qu’un client m’attend.
Comme avocate, non, comme pute, escorte si vous voulez.
Ce logement, c’est le mien depuis que j’ai réussi à me le payer.
Tout a commencé trois jours après mon anniversaire où je venais d’atteindre mes dix-huit ans.
Je venais d’intégrer la fac de Vincennes et d’emménager dans une chambre louée par une mémé.
Elle est morte quelques semaines plus tard et son fils a été en droit de récupérer ma chambre.
Je sais, le bail.
C’est moi qui avais trouvé cette chambre et mémé Jeanne, a accepté mon argent mensuel sans vouloir payer les charges.
Je me suis retrouvée à la rue, il a simplement accepté que je laisse quelques cartons, surtout de fringues.
Trouver un logement en novembre est devenue mission impossible.
J’ai trouvé un hôtel où mes quelques maigres économies ont fondu comme neige au soleil.
J’ai réussi à ruser pendant quelques jours, mais le patron un jour m’a coincé et a voulu que je quitte l’hôtel.
C’est à ce moment que mon monde a basculé.

• Tu es canon, Jennifer, si tu veux, j’ai une solution pour toi.
• Merci monsieur Hamed, que faut-il faire.

J’ai cru qu’il allait me demander de venir dans son petit logement derrière sa réception.
Non, il m’a donné un numéro de téléphone à appeler.

• Qu’est que j’aurais à faire, le ménage !
• Le ménage !
Tu es drôle, tu es canon, c’est le costume trois-pièces, d’Albert que tu auras à lui nettoyer.

J’ai compris que si je devais me coucher, s’était chez un client et pas dans son logement.
J’ai lâché le billet avec le numéro.
À dix-huit ans et deux jours, j’étais une femme depuis mes seize ans avec Sylvain, le fils de nos voisins.
Nous avons baisé pendant six mois.
J’attendais qu’il me fasse une demande pour sceller notre amour surtout que j’aimais tout, que je lui faisais tout et surtout que j’adorais le sexe.
Mais tout a une fin, il m’a trompé, mais avec la Légion étrangère.
Quelques mois plus tard, j’ai appris qu’il avait fracturé une banque et qu’il était recherché, c’est dans cette unité qu’il est allé se racheter une virginité.

• Je te donne cinq minutes pour quitter les lieux, ta chambre, j’ai de la demande.

Le billet lâché, j’ai rejoint ma chambre ou j’ai commencé à pleurer sur ma malchance.
Je venais de rentrer et mon cerveau avait encore froid.
Je suis redescendu.

• Tu verras, il est très gentil, il aime aider les jeunes filles en détresse.

La peur au ventre, j’ai appelé le numéro.
Sucer, écarter les cuisses, j’ai kiffé surtout quand je suis arrivée et qu’il m’a donné de quoi payer ma chambre et même me faire un Mac Do.

• Tu vois, ça c’est bien passer, si tu veux, j’ai un autre numéro.

Les numéros ont succédé aux numéros et les billets aux billets.
J’ai remplacé la chambre d’hôtel par le studio que j’ai payé cash et où je me préparais à aller me faire baiser pour du pognon.

• Tiens, Hamed un petit cadeau avant mon départ.
• Tu me gâtes avec une montre de marque Rolex.
Si tu veux, voilà le numéro d’une soirée sélect où l’organisateur cherche quelques filles comme toi.

Un max de pognon, car j’étais bonne et que mes clients soient me redemandait, soit me faisait appeler par certains de leurs amis.
J’aurais pu me lasser de me coucher et de recevoir toutes ses bites en moi, mais j’aimais tellement ça que mes études en ont souffert.
J’ai redoublé deux fois en espérant décrocher mon diplôme.

Je suis allée dans cette soirée et dans bons nombres d’autres toujours dans la même villa sur les bords de Marnes.
Le plus drôle, c’est que je la connaissais, mais de l’extérieur.
Mes parents habitent de l’autre côté dans leur HLM de la ville.
À 5 000 € la soirée, j’ai les moyens de leur offrir un petit pavillon comme celui qui est en vente en face du portail qui s’ouvre laissant entrer la mini que je venais de m’acheter.

J’arrive à Tours, je connais bien le petit pavillon et surtout mon client.
Alex, 64 ans retraités de la Banque de France.
Ça été l’un de mes premiers clients quand Hamed m’a fourni son numéro et que je l’ai appelé.
Il avait pour habitude de se payer les services d’une pute chaque mois et en changeait souvent.
Avant qu’il parte pour Tours , les mille euros qu’il me donnait, j’étais à deux doigts de penser qu’il allait m’offrir une bague pour que je le suive.
Il s’est contenté de monter la somme frais de déplacement compris.
Il m’attend sur le pas de la porte en robe de chambre.
Il m’a toujours reçu en robe de chambre, même à Paris.
Je passe la porte et en le regardant droit dans les yeux, je passe ma main en dessous.
Il est flasque.
Il y a longtemps que je dois me défoncer pour gagner mon pognon.
Je sors sa queue et je le suce.
Presque 20 minutes à le sucer du gland à ses grosses couilles avant qu’il tende le bras et qu’il me relève avant de me faire poser une jambe sur le guéridon qui a fait le voyage de Paris à Tours lors de son déménagement.
Ma mini rose sur ma veste de tailleur rose se relève et il me pénètre.
D’A à Z, je sais tous, de la suite de ma prestation, jusqu’à son lit où il finit par une sodomie que Sylvain mon premier amant, le légionnaire, m’avait appris à aimer.
Peut-être s’exerçait-il à se retrouver dans des déserts où les seuls culs à baiser sont ceux de ses copains.

Bordeaux trois jours, c’est ce que j’ai dit à Jules avant de partir, car après avoir rejoint mon hôtel et pris un bon bain dans cette chambre 4 étoiles.
Après une nuit récupératrice, j’attends Adrien homme marié qui a dit à sa femme qu’il aurait une réunion très tard.
Le soir je mange dans un restaurant, il m’est arrivé deux fois de me faire draguer par des hommes seuls qui ont voulu me baiser.
Sans aucun tabou, je leur ai dit que j’étais une pute et que j’étais d’accord pour baiser avec eux moyant l’ouverture de leur portefeuille.
Et deux fois ils l’ont ouvert, ce fut trois jours avec un profit maxi.

De retour vers la capitale, j’essaye de réfléchir ou je vais dans cette double vie.
Comme je l’ai dit, je suis allée plusieurs fois sur les bords de Marne à 5 000 la soirée.
J’ai vite compris que le proprio taisait à ses invités qu’il nous payait pour aller jusqu’à coucher avec certains de ses invités, mais jamais dans leur villa.
La dernière fois, il y a huit mois, Jules était là.

• Je suis chef d’entreprise, j’ai mon affaire de plasturgie à Évry, mais j’habite près du Trocadéro.
• Et toi ?
• Je finis des études d’avocate, j’aurai mon diplôme dans deux mois.

Jules était un très bel homme de 40 ans, cheveux poivre et sel, l’un des hommes que j’aime rencontrer quand je tapine, je suis sortie trois jours avec lui m’enfermant dans mon semi-mensonge.
J’allais en fac de moins en moins souvent et quand nous avons fait l’amour, j’ai persisté à lui mentir sur ma véritable activité.
J’avais 27 ans et comme de juste j’ai été recalé.

• Félicitation Jennifer, une avocate à la maison, je saurais à qui m’adresser lorsque j’aurais des problèmes.

Il s’est agenouillé et m’a tendu une bague refermant mon mensonge surtout lorsque je l’ai accepté.
Retour dans mon appartement de Vincennes et retour à la maison en taxi me déposant au pied de mon immeuble.
L’escorte, le sac à main rempli de billets, redevient Jennifer, l’avocate de retour dans son tailleur rose sa mini ras la chatte, officiellement de Bordeaux.
Jules est là, l’air sévère.

• D’où viens-tu Jennifer ?
• De Bordeaux chéri.
• Tu te fous de ma gueule, j’aime la vérité.

Je décide de jouer la vérité.
J’aime Jules, mais j’aime aussi les sexes multiples que ma prostitution me rapporte.
J’ai montré et je montre que je peux me débrouiller seul dans ma vie.
Je lui raconte ce que je suis à moitié en larmes.

• Inutile de pleurer, comment j’ai découvert ta vie parallèle à la nôtre.
J’étais à Tours avant-hier pour un problème grave pour mon entreprise.
J’ai vu une mini Cooper avec une femme te ressemblant en plus vulgaire au niveau de ton maquillage qui s’est rendu dans un hôtel de haut luxe.
Je suis allée à la réception et moyennant un gros billet, le réceptionniste m’a dit que tu étais une pute et qu’un client viendrait pour toi, le soir.
J’ai eu confirmation en allant sur Internet le registre des avocats.
Tu dois te douter que Jennifer soit inconnue.
Tu viens de me confirmer que tu es bien une escorte.
• Je vais faire mes valises, je suis propriétaire d’un logement à Vincennes, je vais y retourner.
• Je sais je t’ai suivi et pendant que tu retrouvais ton rôle de femme fidèle, je suis rentré ici pour t’attendre.
• Et toi pourquoi étais-tu à Tours.
• Je te l’ai dit, un fournisseur me réclamait un supplément pour ma matière première, ce qui va m’obliger de déposer le bilan.
Je suis en faillite, je vais tout perdre.
• Combien te faudrait-il pour remonter la pente.

Jules est resté muet, j’ai pris un petit sac, mon pyjama en pilou et je suis retournée à Vincennes attendre ma convocation pour notre divorce.
Le lendemain, je me préparer à retourner au turbin dans un Palace parisien.
On a sonné.

• Jennifer, tu m’as dit pouvoir me prêter les 50 000 pour me sortir la tête de l’eau.

Je l’ai entraîné vers mon lit et nous avons fait l’amour divinement.
Mon Dieu que je l’aime avec ses cheveux poivre et sel.
J’ai négocié la réhabilitation de notre couple pour un chèque de 100 000 €, Jules ayant des envies d’extension de l’entreprise ou je vais signer un accord de participation.

100 000, dès ce soir, j’ai une soirée sur les bords de Marne.
Quand il me quitte retournant faire fructifier notre capital, je passe une de mes robes longues sir mon corps mannequin, la chatte libre de toute entrave.
Mes tarifs ont augmenté, sur le chèque qu’il a porté à sa banque je vais en gagner pas loin d’un dixième avec ma chatte ce soir.

Le lendemain, ayant fait l’amour dans l’hôtel des invités, pas une question déplacée quand je passe à Évry à notre entreprise.

• Chérie, j’ai un petit cadeau pour toi.
• Une montre Rolex, tu me gâtes.

La même phrase qu’Hamed, celui qui m’a mis le pied à l’étrier.

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