COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’étalon (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’étalon (1/1)
Comme tous les matins de la semaine, je dépose Jules, mon fils chez Aline, notre voisine.
Elle va le déposer avec sa fille à l’école et le récupérer ce soir jusqu’à environ 18 heures où je le récupérerai.
Christian, mon mari est médecin, il part avant moi et revient après 20 heures.
Il travaille à l’hôpital Paris Saint-Joseph dans le 14e.
Pour ma part, je récupère un bus qui m’emmène vers le centre de Paris où je travaille depuis avant mon mariage chez un courtier en rachat de crédit.
Il me reste trois kilomètres environ lorsque le bus est bloqué.
Je décide comme d’autres passagers de descendre et de finir à pied.
J’ai bien fait, je fais 200 mètres lorsque je vois les secours réanimant sur la chaussée un jeune en vélo qui a dû, comme bon nombre d’entre eux traverser au feu vert.
Ce cycliste a dû se faire renverser par la voiture qui bloque complètement la circulation.
À un kilomètre de l’agence, je traverse une impasse et je vois une voiture garée avec à l’intérieur une femme avec son chignon.
Ça m’interpelle, ce chignon vite aperçu me fait penser à quelqu’un.
J’ai la possibilité de revenir sur mes pas, mais si ce que je crois avoir vu est réel, inutile de me faire repérer.
En face de cette impasse, il y a un café, j’y entre et à l’abri derrière la vitre j’attends pour voir si ce que je pense s’avère vrai.
Dix minutes environ, je la vois tourner le coin et remonter vers l’agence.
Adeline, ma belle-sœur la femme de mon frère Baudoin avec qui je travaille et que j’ai fait embaucher, car ils étaient un peu dans la panade.
Adeline, femme hautaine et fière dans ses tailleurs stricts qu’elle porte toute l’année même pendant les week-ends.
Adeline qui se refait le chignon tout en marchant d’un pas rapide.
Adeline qui ce matin fait l’ouverture à 8 h 30 et qui se dépêche, car elle est en retard.
Adeline a disparu de ma vue, lorsque la voiture sort de l’impasse, conduite par un homme que je connais aussi bien que ma belle-soeur William, notre jeune patron.
William qui a racheté l’agence à ma vieille patronne et qui je dois le dire est très séduisant.
Comment a-t-il pu devenir l’amant de ma belle-sœur, alors que travaillant près d’eux, je suis restée aveugle à toutes formes de manière déplacée.
Un seul moment, les déplacements chez certains clients qu’elle fait avec lui de temps en temps.
Je rejoins l’agence, Adeline reçoit un client venant très régulièrement pleuré pour de l’aide, car il est assez dépensier.
Il est 9 h 30 lorsque William arrive, impeccablement mis dans son costume fait sur mesure bien que la manière dont il est charpenté tout irait impeccablement sur lui.
• Bonjour mesdames, je vais dans mon bureau, j’ai un coup de fil à passer.
• Patron, auriez-vous quelques minutes à me consacrer dans la matinée, je voudrais évoquer un problème avec vous !
• Aucun souci, Marie, 10 heures, pour une demi-heure, ça vous suffira !
• Largement monsieur, j’ai un rendez-vous à 11 heures.
10 heures, j’entre dans son bureau.
• Patron, inutile de prendre des chemins détournés, j’ai vu ma belle-sœur et vous dans votre voiture de l’impasse près d’ici.
Je sais qu’Adeline est une petite oie blanche.
C’est grâce à moi qu’elle a été embauchée, car c’est la femme de mon frère. Vous comprendrez dans quelle situation vous me mettez, pourquoi elle ?
• Dois-je comprendre cette interrogation comme un malaise, que ce soit elle et non vous que j’ai dragué ?
Votre belle-sœur fait partie de ces femmes au port hautain avec son chignon et ses tailleurs toujours vieux genre.
Mais elle fait partie de ces femmes se couchant facilement dès qu’on leur fait un peu de rentre dedans.
Elles sont fières qu’un homme jeune portant bien les emmène déjeuner et leur propose des après-midis crapuleux.
Alors que vous Marie, vous faites partie de ces femmes, sachant être toujours séduisante comme aujourd’hui dans votre tailleur beige et vos cheveux toujours impeccablement coiffés, mais !
Il y a un « mais, » comme vous affichez sur votre visage toute la sérénité que vous avez dans votre vie, il me faudrait dépenser trop d’énergie et sur ce plan je suis un homme pressé.
Je vais vous surprendre, les femmes pour moi ce sont des Kleenex quelques bons coups et bye-bye.
Je crois que nous nous sommes tous dit, Marie !
Je retourne à mon travail, je passe devant la pièce où nous pouvons nous faire du café pour nous ou nos clients, Adeline est là.
Je me sers un café, je sens qu’elle meure d’envie pourquoi de savoir pourquoi je suis entrée dans le bureau de notre patron, mais comme d’habitude elle ferme sa jolie bouche.
Il est quatorze heures quand William me fait appeler.
• Marie, j’ai réfléchi à ce que vous m’avez dit ce matin, demain je vais à Vaucresson, chez un ancien qui a besoin de nos services.
Acceptez-vous de m’accompagner ?
• Sans problème, William, à quelle heure partirons-nous ?
• Je viendrai vous chercher à Châtillon, j’ai votre adresse dans mes fiches du personnel et un bon GPS dans ma voiture.
Je vous prendrai à 9 heures 30, devant chez vous.
Il est l’heure pour Jules de rejoindre sa nourrice, c’est elle qui passe, car je l’ai appelée.
Christian était de garde aux urgences hier au soir et il va y rester encore jusqu’à ce soir.
Je suis en peignoir quand Aline monte le chercher.
Dès qu’elle est partie je l’enlève, dessous je suis juste en porte jarretelle tendant mes bas noirs.
J’adore le contraste quand je me vois dans ma glace de chambre sur mes talons aiguilles dégageant la courbe de mes reins.
Je caresse sans insister la peau de mon pubis, hier après l’invitation, j’ai laissé Adeline fermer pour me rendre à mon institut de beauté.
Henriette, la jeune femme qui s’occupe de moi, m’a fait une épilation complète.
Ma chatte est très douce, inutile d’insister, je finirais par me mettre trois doigts risquant de me mettre en retard.
Sur mon lit, je prends ma mini-jupe blanche avec mon chemisier blanc lui aussi et je l’enroule autour de mes hanches.
Je prends mon boléro et mon petit sac blanc ou à part quelques mouchoirs un rouge à lèvres plus rouge qu’à l’ordinaire, je descends à la voiture qui m’attend.
• Tu t’es mis en beauté, Marie, allons-y le client nous attend.
En cours de chemin, il me pose une main sur ma cuisse largement dénudée.
Je l’enlève et je la repose sur le levier de vitesses.
Je sais où je vais, mais ma chatte ça se mérite.
À Vaucresson, le vieux nous demande de régler un problème de crédit qu’il veut faire pour donner l’argent à son fils, les banques refusant de l’assurer à son âge.
William me demande de prendre l’affaire en main et le client nous signe l’autorisation de nous occuper de ce crédit.
Sans assurance, les taux seront tels que nous prenons très peu de risques.
Nous quittons le vieux monsieur et retrouvons la voiture.
• Bien, le travail est terminé, il est temps d’aller déjeuner.
Les trois chasseurs, un seul va me suffire aujourd’hui.
Pendant le repas, je lui concède ma main, qu’il baise par-dessus la table.
Il est l’heure de le récompenser pour sa patiente malgré son regard qui m’a tout le temps déshabillé.
• Où est la chambre ?
• Tu es loin d’être banale, j’en ai connu des salopes, mais toi tu les bas de trois longueurs.
Au-dessus de nous le temps d’aller chercher la clef.
Un étalon, un véritable étalon, toute l’après-midi, il me prend, me faisant même le tourniquet espagnol, la brouette japonaise, la vallée de la morte.
Là, il est à deux doigts de m’enculer, mais au dernier moment il bifurque et c’est de nouveau ma chatte qu’il fait exploser.
Enfin, il termine par le bilboquet argentin, en parfait gaucho et macho de ce pays.
Bref, lorsqu’il me dépose, je suis cassée, mais satisfaite de mon après-midi.
Le lendemain, Christian est de repos et nous avons invité Adeline et Baudoin pour dîner.
J’adore mon frère, qui a du mérite avec sa femme, véritable glaçon.
• Adeline, peux-tu me rejoindre dans la cuisine pendant que nos hommes nous préparent un monde nouveau.
Elle se lève, égale à elle-même dans son tailleur gris.
Gris le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi comme ce soir samedi alors que j’ignore si elle le porte le dimanche.
On se voit rarement ce jour-là, car lorsque Christian est libre, la journée est consacrée à Jules.
On dirait que ce véritable uniforme lui est collé sur la peau.
Dès qu’elle passe la porte, je la plaque contre le mur, ma main sur sa bouche.
• Tu vas fermer ta gueule, j’ai à te parler.
Tu sais pourquoi je suis partie avec William, hier, j’ai vu ta figure dès que tu es arrivée.
Tu crois que je t’ai piqué ton amant, je t’ai vue te faire sauter dans sa voiture dans l’impasse l’autre matin.
Que crois-tu, tu penses que William, va te demander de divorcer pour qu’il t’épouse, tu te mets le doigt très profond ?
William est un étalon, je l’ai testé hier après-midi, tu dois connaître les trois chasseurs !
Elle me fait « oui » de la tête.
• C’est un niqueur, qui aime enrichir son tableau de chasse, nous sommes une parmi des centaines d’entre nous.
Que crois-tu qu’il fasse ce soir, qu’il pense à ton petit cul, mal fagoté, tu rêves ma fille ?
Chacune de nous doit savoir rester à sa place.
Lorsque j’étais plus jeune, j’ai épousé un jeune homme qui est devenu médecin.
Tu as choisi mon frère, simple chef d’équipe dans l’aéronautique.
Il fait ce qu’il faut pour passer cadre en faisant des cours du soir.
Contente-toi de ce que tu as et arrête de te mettre martel en tête.
Tu m’as bien compris, je te lâche et nous faisons bonne figure devant nos maris.
Elle me fait de nouveau « oui » et nous reprenons nos vies d’épouse.
Le lundi, j’arrive pour ouvrir les bureaux, Adeline brille par son absence.
William arrive.
• J’ai un message d’Adeline, elle a une incapacité passagère, elle sera là demain.
Dis-moi, mercredi peux-tu t’occuper de mon voyage à Bordeaux, je dois me rendre dans mon agence, il faut que je prenne des décisions, sur la personne qui va la gérer.
Je pensais y aller avec elle, mais après notre après-midi, je pense que tu serais plus à même de me donner les bons conseils, peux-tu te libérer ?
• Bien sûr, je t’accompagnerai compte sur moi.
Le lendemain, Adeline arrive, c’est une tout autre femme qui entre, elle a changé de look surtout sa coupe de cheveux son chignon ayant disparu au profit d’une coupe plus courte.
Son tailleur lui aussi, bleu clair, en fait une femme nouvelle.
Je lui annonce notre voyage à Bordeaux, j’attendais qu’elle fronce son nez, mais elle reste zen.
À Bordeaux, je sais bien ce que je vais faire avec mon étalon, surtout avec son sexe dont j’espère refaire tout ce que nous avons fait aux trois chasseurs.
J’ai dit à Adeline, qu’il fallait que nous restions à notre place, mais la place, je la veux très haute.
Déjà dans ma jeunesse, j’habitais dans une HLM de Gonesse, je devais suivre les traces de mes copines qui sont pour la plupart mariées, avec une chiée de gosses.
Je voulais m’en sortir et lorsque dans un café de Montrouge, j’ai compris que l’un des joueurs de baby faisait médecine, j’ai réussi à jouer avec lui.
C’était Christian et j’ai réussi une gamelle qui m’a propulsée dans son lit et à me permettre de changer de classe sociale.
À Paris quand l’agence s’est trouvée en vente, William me l’a soufflé sous le nez.
Prendre la gestion de son affaire à Bordeaux, me permettrait de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Christian, vous allez me dire !
Aucun problème, le manque de médecins urgentistes dans les CHU, lui permettra de trouver un poste au soleil.
Avant de partir, je regarde sur Internet, une jolie villa avec jardin à quelques kilomètres de la mer, plaira à Jules.
Pour finir avant de partir passer un bon moment avec mon étalon, si j’arrive à mettre mon plan en place, c’est moi qui pourra prendre du bon temps, un après-midi de temps en temps et d’être un étalon féminin.
Elle va le déposer avec sa fille à l’école et le récupérer ce soir jusqu’à environ 18 heures où je le récupérerai.
Christian, mon mari est médecin, il part avant moi et revient après 20 heures.
Il travaille à l’hôpital Paris Saint-Joseph dans le 14e.
Pour ma part, je récupère un bus qui m’emmène vers le centre de Paris où je travaille depuis avant mon mariage chez un courtier en rachat de crédit.
Il me reste trois kilomètres environ lorsque le bus est bloqué.
Je décide comme d’autres passagers de descendre et de finir à pied.
J’ai bien fait, je fais 200 mètres lorsque je vois les secours réanimant sur la chaussée un jeune en vélo qui a dû, comme bon nombre d’entre eux traverser au feu vert.
Ce cycliste a dû se faire renverser par la voiture qui bloque complètement la circulation.
À un kilomètre de l’agence, je traverse une impasse et je vois une voiture garée avec à l’intérieur une femme avec son chignon.
Ça m’interpelle, ce chignon vite aperçu me fait penser à quelqu’un.
J’ai la possibilité de revenir sur mes pas, mais si ce que je crois avoir vu est réel, inutile de me faire repérer.
En face de cette impasse, il y a un café, j’y entre et à l’abri derrière la vitre j’attends pour voir si ce que je pense s’avère vrai.
Dix minutes environ, je la vois tourner le coin et remonter vers l’agence.
Adeline, ma belle-sœur la femme de mon frère Baudoin avec qui je travaille et que j’ai fait embaucher, car ils étaient un peu dans la panade.
Adeline, femme hautaine et fière dans ses tailleurs stricts qu’elle porte toute l’année même pendant les week-ends.
Adeline qui se refait le chignon tout en marchant d’un pas rapide.
Adeline qui ce matin fait l’ouverture à 8 h 30 et qui se dépêche, car elle est en retard.
Adeline a disparu de ma vue, lorsque la voiture sort de l’impasse, conduite par un homme que je connais aussi bien que ma belle-soeur William, notre jeune patron.
William qui a racheté l’agence à ma vieille patronne et qui je dois le dire est très séduisant.
Comment a-t-il pu devenir l’amant de ma belle-sœur, alors que travaillant près d’eux, je suis restée aveugle à toutes formes de manière déplacée.
Un seul moment, les déplacements chez certains clients qu’elle fait avec lui de temps en temps.
Je rejoins l’agence, Adeline reçoit un client venant très régulièrement pleuré pour de l’aide, car il est assez dépensier.
Il est 9 h 30 lorsque William arrive, impeccablement mis dans son costume fait sur mesure bien que la manière dont il est charpenté tout irait impeccablement sur lui.
• Bonjour mesdames, je vais dans mon bureau, j’ai un coup de fil à passer.
• Patron, auriez-vous quelques minutes à me consacrer dans la matinée, je voudrais évoquer un problème avec vous !
• Aucun souci, Marie, 10 heures, pour une demi-heure, ça vous suffira !
• Largement monsieur, j’ai un rendez-vous à 11 heures.
10 heures, j’entre dans son bureau.
• Patron, inutile de prendre des chemins détournés, j’ai vu ma belle-sœur et vous dans votre voiture de l’impasse près d’ici.
Je sais qu’Adeline est une petite oie blanche.
C’est grâce à moi qu’elle a été embauchée, car c’est la femme de mon frère. Vous comprendrez dans quelle situation vous me mettez, pourquoi elle ?
• Dois-je comprendre cette interrogation comme un malaise, que ce soit elle et non vous que j’ai dragué ?
Votre belle-sœur fait partie de ces femmes au port hautain avec son chignon et ses tailleurs toujours vieux genre.
Mais elle fait partie de ces femmes se couchant facilement dès qu’on leur fait un peu de rentre dedans.
Elles sont fières qu’un homme jeune portant bien les emmène déjeuner et leur propose des après-midis crapuleux.
Alors que vous Marie, vous faites partie de ces femmes, sachant être toujours séduisante comme aujourd’hui dans votre tailleur beige et vos cheveux toujours impeccablement coiffés, mais !
Il y a un « mais, » comme vous affichez sur votre visage toute la sérénité que vous avez dans votre vie, il me faudrait dépenser trop d’énergie et sur ce plan je suis un homme pressé.
Je vais vous surprendre, les femmes pour moi ce sont des Kleenex quelques bons coups et bye-bye.
Je crois que nous nous sommes tous dit, Marie !
Je retourne à mon travail, je passe devant la pièce où nous pouvons nous faire du café pour nous ou nos clients, Adeline est là.
Je me sers un café, je sens qu’elle meure d’envie pourquoi de savoir pourquoi je suis entrée dans le bureau de notre patron, mais comme d’habitude elle ferme sa jolie bouche.
Il est quatorze heures quand William me fait appeler.
• Marie, j’ai réfléchi à ce que vous m’avez dit ce matin, demain je vais à Vaucresson, chez un ancien qui a besoin de nos services.
Acceptez-vous de m’accompagner ?
• Sans problème, William, à quelle heure partirons-nous ?
• Je viendrai vous chercher à Châtillon, j’ai votre adresse dans mes fiches du personnel et un bon GPS dans ma voiture.
Je vous prendrai à 9 heures 30, devant chez vous.
Il est l’heure pour Jules de rejoindre sa nourrice, c’est elle qui passe, car je l’ai appelée.
Christian était de garde aux urgences hier au soir et il va y rester encore jusqu’à ce soir.
Je suis en peignoir quand Aline monte le chercher.
Dès qu’elle est partie je l’enlève, dessous je suis juste en porte jarretelle tendant mes bas noirs.
J’adore le contraste quand je me vois dans ma glace de chambre sur mes talons aiguilles dégageant la courbe de mes reins.
Je caresse sans insister la peau de mon pubis, hier après l’invitation, j’ai laissé Adeline fermer pour me rendre à mon institut de beauté.
Henriette, la jeune femme qui s’occupe de moi, m’a fait une épilation complète.
Ma chatte est très douce, inutile d’insister, je finirais par me mettre trois doigts risquant de me mettre en retard.
Sur mon lit, je prends ma mini-jupe blanche avec mon chemisier blanc lui aussi et je l’enroule autour de mes hanches.
Je prends mon boléro et mon petit sac blanc ou à part quelques mouchoirs un rouge à lèvres plus rouge qu’à l’ordinaire, je descends à la voiture qui m’attend.
• Tu t’es mis en beauté, Marie, allons-y le client nous attend.
En cours de chemin, il me pose une main sur ma cuisse largement dénudée.
Je l’enlève et je la repose sur le levier de vitesses.
Je sais où je vais, mais ma chatte ça se mérite.
À Vaucresson, le vieux nous demande de régler un problème de crédit qu’il veut faire pour donner l’argent à son fils, les banques refusant de l’assurer à son âge.
William me demande de prendre l’affaire en main et le client nous signe l’autorisation de nous occuper de ce crédit.
Sans assurance, les taux seront tels que nous prenons très peu de risques.
Nous quittons le vieux monsieur et retrouvons la voiture.
• Bien, le travail est terminé, il est temps d’aller déjeuner.
Les trois chasseurs, un seul va me suffire aujourd’hui.
Pendant le repas, je lui concède ma main, qu’il baise par-dessus la table.
Il est l’heure de le récompenser pour sa patiente malgré son regard qui m’a tout le temps déshabillé.
• Où est la chambre ?
• Tu es loin d’être banale, j’en ai connu des salopes, mais toi tu les bas de trois longueurs.
Au-dessus de nous le temps d’aller chercher la clef.
Un étalon, un véritable étalon, toute l’après-midi, il me prend, me faisant même le tourniquet espagnol, la brouette japonaise, la vallée de la morte.
Là, il est à deux doigts de m’enculer, mais au dernier moment il bifurque et c’est de nouveau ma chatte qu’il fait exploser.
Enfin, il termine par le bilboquet argentin, en parfait gaucho et macho de ce pays.
Bref, lorsqu’il me dépose, je suis cassée, mais satisfaite de mon après-midi.
Le lendemain, Christian est de repos et nous avons invité Adeline et Baudoin pour dîner.
J’adore mon frère, qui a du mérite avec sa femme, véritable glaçon.
• Adeline, peux-tu me rejoindre dans la cuisine pendant que nos hommes nous préparent un monde nouveau.
Elle se lève, égale à elle-même dans son tailleur gris.
Gris le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi comme ce soir samedi alors que j’ignore si elle le porte le dimanche.
On se voit rarement ce jour-là, car lorsque Christian est libre, la journée est consacrée à Jules.
On dirait que ce véritable uniforme lui est collé sur la peau.
Dès qu’elle passe la porte, je la plaque contre le mur, ma main sur sa bouche.
• Tu vas fermer ta gueule, j’ai à te parler.
Tu sais pourquoi je suis partie avec William, hier, j’ai vu ta figure dès que tu es arrivée.
Tu crois que je t’ai piqué ton amant, je t’ai vue te faire sauter dans sa voiture dans l’impasse l’autre matin.
Que crois-tu, tu penses que William, va te demander de divorcer pour qu’il t’épouse, tu te mets le doigt très profond ?
William est un étalon, je l’ai testé hier après-midi, tu dois connaître les trois chasseurs !
Elle me fait « oui » de la tête.
• C’est un niqueur, qui aime enrichir son tableau de chasse, nous sommes une parmi des centaines d’entre nous.
Que crois-tu qu’il fasse ce soir, qu’il pense à ton petit cul, mal fagoté, tu rêves ma fille ?
Chacune de nous doit savoir rester à sa place.
Lorsque j’étais plus jeune, j’ai épousé un jeune homme qui est devenu médecin.
Tu as choisi mon frère, simple chef d’équipe dans l’aéronautique.
Il fait ce qu’il faut pour passer cadre en faisant des cours du soir.
Contente-toi de ce que tu as et arrête de te mettre martel en tête.
Tu m’as bien compris, je te lâche et nous faisons bonne figure devant nos maris.
Elle me fait de nouveau « oui » et nous reprenons nos vies d’épouse.
Le lundi, j’arrive pour ouvrir les bureaux, Adeline brille par son absence.
William arrive.
• J’ai un message d’Adeline, elle a une incapacité passagère, elle sera là demain.
Dis-moi, mercredi peux-tu t’occuper de mon voyage à Bordeaux, je dois me rendre dans mon agence, il faut que je prenne des décisions, sur la personne qui va la gérer.
Je pensais y aller avec elle, mais après notre après-midi, je pense que tu serais plus à même de me donner les bons conseils, peux-tu te libérer ?
• Bien sûr, je t’accompagnerai compte sur moi.
Le lendemain, Adeline arrive, c’est une tout autre femme qui entre, elle a changé de look surtout sa coupe de cheveux son chignon ayant disparu au profit d’une coupe plus courte.
Son tailleur lui aussi, bleu clair, en fait une femme nouvelle.
Je lui annonce notre voyage à Bordeaux, j’attendais qu’elle fronce son nez, mais elle reste zen.
À Bordeaux, je sais bien ce que je vais faire avec mon étalon, surtout avec son sexe dont j’espère refaire tout ce que nous avons fait aux trois chasseurs.
J’ai dit à Adeline, qu’il fallait que nous restions à notre place, mais la place, je la veux très haute.
Déjà dans ma jeunesse, j’habitais dans une HLM de Gonesse, je devais suivre les traces de mes copines qui sont pour la plupart mariées, avec une chiée de gosses.
Je voulais m’en sortir et lorsque dans un café de Montrouge, j’ai compris que l’un des joueurs de baby faisait médecine, j’ai réussi à jouer avec lui.
C’était Christian et j’ai réussi une gamelle qui m’a propulsée dans son lit et à me permettre de changer de classe sociale.
À Paris quand l’agence s’est trouvée en vente, William me l’a soufflé sous le nez.
Prendre la gestion de son affaire à Bordeaux, me permettrait de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Christian, vous allez me dire !
Aucun problème, le manque de médecins urgentistes dans les CHU, lui permettra de trouver un poste au soleil.
Avant de partir, je regarde sur Internet, une jolie villa avec jardin à quelques kilomètres de la mer, plaira à Jules.
Pour finir avant de partir passer un bon moment avec mon étalon, si j’arrive à mettre mon plan en place, c’est moi qui pourra prendre du bon temps, un après-midi de temps en temps et d’être un étalon féminin.
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