COLLECTION HISTOIRE COURTE. La baignade de nuit (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. La baignade de nuit (1/1)
Mon Dieu, qu’il fait chaud, mais que je suis bête et si je sortais malgré la nuit pour aller me baigner dans notre piscine.
Je suis un peu peureuse, je sais que nous avons une bonne clôture, mais petite, un ami s’était caché et m’ayant fait peur, depuis la nuit me fait frayeur.
Je pourrais allumer, mais nous attendons le réparateur du store de notre chambre et l’éclairage extérieur embêterait Serge qui s’est couché de bonne heure, il part demain pour trois jours à Berlin pour son travail.
Un autre point, même dans la nuit, je suis pudique et je suis nue, mes maillots de bain sont dans notre armoire et je risque là encore de réveiller mon homme.
C’est un peu con, avoir une piscine, mourir de chaleur, je prends sur moi, j’ouvre la porte-fenêtre de la salle à manger et je sors sur la terrasse.
Depuis peu, notre voisin spécialiste des alarmes de sécurités nous a conseillé d’en installer une surtout que je puisse m’en servir lorsque je suis seule.
Serge est architecte et c’est pour la rénovation de tout un quartier qu’il part souvent là-bas.
Ce soir il fait chaud, au moment où nous sommes montés nous coucher, il l’a laissé sur « arrêt » laissant des fenêtres ouvertes.
J’entends de la musique dans la villa voisine, les Dubois, ceux qui ont une entreprise d’alarme, m’ont prévenu que leur fils fêtait ses dix-huit ans, ils lui ont laissé la maison, partant dormir à l’hôtel de notre petite ville.
Ça tombe bien Sylvie m’a dit à la boulangerie que c’était leurs vingt ans de mariage et qu’ils en profiteraient pour se retrouver avec Yvon son mari.
La clarté très faible d’un croisant de lune, me permet d’aller dans ma piscine sans risque de me casser la figure, surtout lorsque j’arrive aux marches.
Trois, l’eau me caresse les pieds, son contact est divin, en cette période, je me baigne plusieurs fois par jour et chaque fois il me faut une heure, j’exagère un peu, pour entrer.
Là, à part ma minette qui me ralenti, rapidement je fais la planche, j’ai chaud, mais je suis trop fatiguée pour nager.
• Viens, Robin je te dis qu’ils dorment.
Mon père leur a vendu une alarme juste de la maison, ils dorment et nous ne serons pas dérangés.
Tu verras, ils nous ont invités à venir nous baigner après que l’alarme est été posée, l’eau va être divine.
À peine murmuré, j’ai la frayeur de ma vie, mais très vite alors que j’entends l’eau clapoter lorsque comme moi ils descendent les marches, je cherche à reprendre pied, mais j’ai dérivé et à cet endroit, impossible de toucher le fond.
Comme l’on dit, je bois la tasse.
• Madame Rose, c’est moi Jules, nous voulions profiter de votre piscine avec Robin mon copain et nous sommes passés par le coin du garage et votre mur.
Nous voulions juste nous rafraichir sans savoir que vous aussi vous étiez en train de vous baigner.
Je tousse un coup et je reprends mon souffle, j’ai perdu pied à l’autre bout de la piscine, je suis de retour vers les marches.
• Madame Rose, vous êtes belle, vous avez de jolis seins.
C’est bien le moment de parler de mes seins, surtout que je prends conscience que je suis nue et à ce que je vois eux aussi.
Ils devaient se dévêtir lorsque Jules parlait de l’alarme et de son père l’ayant posé, à mots en sourdine.
Ça, c’est ce que je pense une fraction de seconde, mais la main d’un des deux garçons, vient prendre mon sein droit.
Ma fraise aussi grosse que mon sein, en rapport bien sûr, me trahit, car elle grossit à cette caresse.
• Madame Rose, je suis amoureux de vous, j’avais envie de vous le crier lorsque nous sommes venues avec mes parents.
Votre petite robe à fleurs vous moulait divinement.
Quelle femme est insensible à un compliment surtout venant d’un garçon jeune et ayant du charme, moi aussi je l’avais constaté lors de cette soirée, mais sans penser à tromper Serge.
Qui de lui ou de moi a réduit la distance entre nos bouches ?
Lui, surement car une marche me casse le dos.
Je devrais m’éloigner et lui mettre une baffe, suis-je une salope, ma main passe derrière sa tête et j’accentue notre baiser.
Je sens des mains partout, mon corps s’enflamme, des doigts caressent ma toison.
Oh ! toute petite, juste ce que l’on appelle un toupet.
À qui sont-ils, Jules ou Robin l’inconnu qui est avec lui et qui devait participer à sa fête ?
Ma propre main s’égare, je saisis une verge, bien mieux montée que celle de mon mari et instinctivement j’écarte mes jambes pour être pénétré.
Viol ?
Au que non, mon corps ayant été refroidi par le bain que j’ai déjà pris, se réchauffe, mais pour une autre raison.
Mon mari me quitte pour quelques jours, mais à cause de la chaleur, il est allé se coucher sans ce que je dirais vulgairement me mettre un coup de bite.
• Je peux, tu seras la première !
• Oui, moi aussi !
Là, c’est la voix de Jules, je sens les doigts, être remplacé par ce que je sens être un gland, qui écarte mes lèvres vaginales et une longue tige entrée profondément en moi.
C’est dans une parfaite communion que nos corps s’embrasent ensemble, lui décharge en moi et moi j’ai un orgasme, un méga orgasme.
• Je peux, tu seras la première !
• Oui, moi aussi !
Quand je prends cette deuxième bite ayant été libérée de Jules, c’est la voix de ce Robin qui me pourfend et j’accepte cette seconde verge comme je l’ai fait de la première.
Oui, deux fois oui, pourquoi crierais-je au viol alors que je leur dis oui, de plus la deuxième fois aussi nous avons un orgasme simultané, je jouis, même de la situation, que du sperme qui gicle en moi.
Au moment où j’ai été libéré de la verge de Jules et que Robin est entré dans ma chatte, Robin a présenté sa verge à ma bouche et sans me faire prier avant qu’elle ne débande, je la prends dans ma bouche.
C’est puissant à cet âge, de nouvelles giclées se déchargent dans ma bouche.
• Merci Rose, je peux te poser une question !
• Oui, bien sûr !
• Quand l’un et l’autre nous t’avons dit que c’était la première fois, tu as dit « moi aussi ».
J’éclate de rire, prenant conscience que Serge peut m’entendre, il est à moins de vingt mètres de nous, je réponds moi aussi la mettant aussi en sourdine.
• Oui, j’ai accepté de baiser avec vous à tour de rôle et « moi aussi », car c’était la première fois que je trompais Serge.
• Quand j’ai présenté ma verge de puceau, tu dis que c’était la première fois, tu te trompes, avec moi ça a été la deuxième.
Les lumières s’allument autour de nous, créant une volée de moineau autour de moi.
Serge a dû se réveiller et a allumé, je me laisse glisser et je nage en brassant.
• Chérie, c’est toi, j’ai entendu des rires et ça m’a réveillé, j’ai eu peur qu’un intrus ne se soit introduit chez nous, tu aurais dû allumer.
Aussi nu qu’un ver, il s’avance vers moi et commence à rentrer dans l’eau, je me rapproche de lui.
• Les rires, je les ai entendus, ça venait de chez Sylvie et Yvon, tu sais bien que Jules fête ses dix-huit ans.
Et, oui, je suis une femme et une femme sait très bien mentir pour se sortir d’une situation scabreuse.
Surtout que mes amants ont filé si vite récupérant leurs affaires que le temps mis par Serge pour aller du bouton allumant l’extérieur a la porte, leur a permis de repartir d’où ils étaient venus.
• Ma chérie, tient toi au rebord, je vais te faire l’amour, je rêve depuis que nous l’avons fait poser d’un bain de minuit où nous pourrions une nouvelle fois de faire cet enfant qui semble nous être refusé !
Est-ce que je me réveille d’un mauvais rêve, j’ai été tellement surprise par l’arrivée de Jules et Robin, dont j’ignore jusqu’à son visage, mais non sa bite en moi, que j’ai baisé avec eux sans protection.
À trente ans et notre situation familiale bien assise, nous avons décidé dans un accord commun d’avoir un enfant.
Hélas, ça fait trois mois que nos efforts, si faire l’amour être un effort et que lamentablement ça échoue.
Il y a quelques jours, nous avons consulté et j’ai branlé Serge pour fournir à ma gynéco un échantillon de sa semence de mon côté ma gynéco nous disant que tout était normal.
Nous attendons les résultats, en attendant, il entre en moi alors que j’ai l’impression de faire la planche comme je le faisais lorsque mes petits voisins ont débarqué.
À la différence, c’est que je me tenais à la lisse de notre piscine.
Je jouis et il me comble lui aussi de sperme et de plaisir.
Le lendemain, je le conduis à l’aéroport, comme prévu, il me quitte pour trois jours.
Rentré chez nous, je rejoins la piscine pour attendre son coup de fil pour me dire qu’il avait bien atterri.
Non loin du garage, mon œil est attiré par quelque chose de bleu.
Un boxer, certainement abandonné dans leur fuite par l’un des deux garçons à qui j’ai appartenu hier, ou ce matin, il était passé minuit.
Demain les éboueurs passent, je le jette à la poubelle, inutile que Serge le trouve.
J’ai eu beaucoup de chance qu’il se soit trouvée hors du chemin qu’il a fait lorsqu’il est venu me retrouver dans la piscine.
J’ai reçu le coup de fil rapidement tout va bien pour mon voyageur, il est sur le chemin de son hôtel.
À onze heures, je récupère le courrier, les résultats sont là.
« ...Vos chances de concevoir est possible, mais est très limité... »
• Monsieur Serge, vous êtes un cas que nous devrions faire étudier à l’université.
Rose votre femme attend des jumeaux, vous aviez du mal à en avoir et j’étais très sceptique lorsque j’ai reçu vos examens de spermatozoïdes.
Au prochain examen, je pourrais vous dire et si vous le voulez si ce sont deux garçons ou deux filles !
Vous vous savez, gardez bien le secret, trois bites, trois coups de bite sans protection.
Côté maladie, rien à craindre, sans savoir que cette nuit de débauche aura pu régler notre problème de couple, j’ai fait une prise de sang sans que Serge le sache, « rien à signaler ».
• Vous voulez savoir !
• Oui, nous sommes d’accord tous les deux !
• Des jumeaux dizygotes, un garçon et une fille, encore un autre exploit monsieur Serge, vous avez réussi à féconder deux œufs, avec vos quelques spermatozoïdes, je vous disais bien que vous êtes un cas.
Trois bites, trois fois du sperme en moi, deux ovulations, qui ?
Ce secret restera ma propriété si vous savez tenir vos langues, surtout qu’après leur naissance, Serge est gaga de ses deux enfants.
Je suis un peu peureuse, je sais que nous avons une bonne clôture, mais petite, un ami s’était caché et m’ayant fait peur, depuis la nuit me fait frayeur.
Je pourrais allumer, mais nous attendons le réparateur du store de notre chambre et l’éclairage extérieur embêterait Serge qui s’est couché de bonne heure, il part demain pour trois jours à Berlin pour son travail.
Un autre point, même dans la nuit, je suis pudique et je suis nue, mes maillots de bain sont dans notre armoire et je risque là encore de réveiller mon homme.
C’est un peu con, avoir une piscine, mourir de chaleur, je prends sur moi, j’ouvre la porte-fenêtre de la salle à manger et je sors sur la terrasse.
Depuis peu, notre voisin spécialiste des alarmes de sécurités nous a conseillé d’en installer une surtout que je puisse m’en servir lorsque je suis seule.
Serge est architecte et c’est pour la rénovation de tout un quartier qu’il part souvent là-bas.
Ce soir il fait chaud, au moment où nous sommes montés nous coucher, il l’a laissé sur « arrêt » laissant des fenêtres ouvertes.
J’entends de la musique dans la villa voisine, les Dubois, ceux qui ont une entreprise d’alarme, m’ont prévenu que leur fils fêtait ses dix-huit ans, ils lui ont laissé la maison, partant dormir à l’hôtel de notre petite ville.
Ça tombe bien Sylvie m’a dit à la boulangerie que c’était leurs vingt ans de mariage et qu’ils en profiteraient pour se retrouver avec Yvon son mari.
La clarté très faible d’un croisant de lune, me permet d’aller dans ma piscine sans risque de me casser la figure, surtout lorsque j’arrive aux marches.
Trois, l’eau me caresse les pieds, son contact est divin, en cette période, je me baigne plusieurs fois par jour et chaque fois il me faut une heure, j’exagère un peu, pour entrer.
Là, à part ma minette qui me ralenti, rapidement je fais la planche, j’ai chaud, mais je suis trop fatiguée pour nager.
• Viens, Robin je te dis qu’ils dorment.
Mon père leur a vendu une alarme juste de la maison, ils dorment et nous ne serons pas dérangés.
Tu verras, ils nous ont invités à venir nous baigner après que l’alarme est été posée, l’eau va être divine.
À peine murmuré, j’ai la frayeur de ma vie, mais très vite alors que j’entends l’eau clapoter lorsque comme moi ils descendent les marches, je cherche à reprendre pied, mais j’ai dérivé et à cet endroit, impossible de toucher le fond.
Comme l’on dit, je bois la tasse.
• Madame Rose, c’est moi Jules, nous voulions profiter de votre piscine avec Robin mon copain et nous sommes passés par le coin du garage et votre mur.
Nous voulions juste nous rafraichir sans savoir que vous aussi vous étiez en train de vous baigner.
Je tousse un coup et je reprends mon souffle, j’ai perdu pied à l’autre bout de la piscine, je suis de retour vers les marches.
• Madame Rose, vous êtes belle, vous avez de jolis seins.
C’est bien le moment de parler de mes seins, surtout que je prends conscience que je suis nue et à ce que je vois eux aussi.
Ils devaient se dévêtir lorsque Jules parlait de l’alarme et de son père l’ayant posé, à mots en sourdine.
Ça, c’est ce que je pense une fraction de seconde, mais la main d’un des deux garçons, vient prendre mon sein droit.
Ma fraise aussi grosse que mon sein, en rapport bien sûr, me trahit, car elle grossit à cette caresse.
• Madame Rose, je suis amoureux de vous, j’avais envie de vous le crier lorsque nous sommes venues avec mes parents.
Votre petite robe à fleurs vous moulait divinement.
Quelle femme est insensible à un compliment surtout venant d’un garçon jeune et ayant du charme, moi aussi je l’avais constaté lors de cette soirée, mais sans penser à tromper Serge.
Qui de lui ou de moi a réduit la distance entre nos bouches ?
Lui, surement car une marche me casse le dos.
Je devrais m’éloigner et lui mettre une baffe, suis-je une salope, ma main passe derrière sa tête et j’accentue notre baiser.
Je sens des mains partout, mon corps s’enflamme, des doigts caressent ma toison.
Oh ! toute petite, juste ce que l’on appelle un toupet.
À qui sont-ils, Jules ou Robin l’inconnu qui est avec lui et qui devait participer à sa fête ?
Ma propre main s’égare, je saisis une verge, bien mieux montée que celle de mon mari et instinctivement j’écarte mes jambes pour être pénétré.
Viol ?
Au que non, mon corps ayant été refroidi par le bain que j’ai déjà pris, se réchauffe, mais pour une autre raison.
Mon mari me quitte pour quelques jours, mais à cause de la chaleur, il est allé se coucher sans ce que je dirais vulgairement me mettre un coup de bite.
• Je peux, tu seras la première !
• Oui, moi aussi !
Là, c’est la voix de Jules, je sens les doigts, être remplacé par ce que je sens être un gland, qui écarte mes lèvres vaginales et une longue tige entrée profondément en moi.
C’est dans une parfaite communion que nos corps s’embrasent ensemble, lui décharge en moi et moi j’ai un orgasme, un méga orgasme.
• Je peux, tu seras la première !
• Oui, moi aussi !
Quand je prends cette deuxième bite ayant été libérée de Jules, c’est la voix de ce Robin qui me pourfend et j’accepte cette seconde verge comme je l’ai fait de la première.
Oui, deux fois oui, pourquoi crierais-je au viol alors que je leur dis oui, de plus la deuxième fois aussi nous avons un orgasme simultané, je jouis, même de la situation, que du sperme qui gicle en moi.
Au moment où j’ai été libéré de la verge de Jules et que Robin est entré dans ma chatte, Robin a présenté sa verge à ma bouche et sans me faire prier avant qu’elle ne débande, je la prends dans ma bouche.
C’est puissant à cet âge, de nouvelles giclées se déchargent dans ma bouche.
• Merci Rose, je peux te poser une question !
• Oui, bien sûr !
• Quand l’un et l’autre nous t’avons dit que c’était la première fois, tu as dit « moi aussi ».
J’éclate de rire, prenant conscience que Serge peut m’entendre, il est à moins de vingt mètres de nous, je réponds moi aussi la mettant aussi en sourdine.
• Oui, j’ai accepté de baiser avec vous à tour de rôle et « moi aussi », car c’était la première fois que je trompais Serge.
• Quand j’ai présenté ma verge de puceau, tu dis que c’était la première fois, tu te trompes, avec moi ça a été la deuxième.
Les lumières s’allument autour de nous, créant une volée de moineau autour de moi.
Serge a dû se réveiller et a allumé, je me laisse glisser et je nage en brassant.
• Chérie, c’est toi, j’ai entendu des rires et ça m’a réveillé, j’ai eu peur qu’un intrus ne se soit introduit chez nous, tu aurais dû allumer.
Aussi nu qu’un ver, il s’avance vers moi et commence à rentrer dans l’eau, je me rapproche de lui.
• Les rires, je les ai entendus, ça venait de chez Sylvie et Yvon, tu sais bien que Jules fête ses dix-huit ans.
Et, oui, je suis une femme et une femme sait très bien mentir pour se sortir d’une situation scabreuse.
Surtout que mes amants ont filé si vite récupérant leurs affaires que le temps mis par Serge pour aller du bouton allumant l’extérieur a la porte, leur a permis de repartir d’où ils étaient venus.
• Ma chérie, tient toi au rebord, je vais te faire l’amour, je rêve depuis que nous l’avons fait poser d’un bain de minuit où nous pourrions une nouvelle fois de faire cet enfant qui semble nous être refusé !
Est-ce que je me réveille d’un mauvais rêve, j’ai été tellement surprise par l’arrivée de Jules et Robin, dont j’ignore jusqu’à son visage, mais non sa bite en moi, que j’ai baisé avec eux sans protection.
À trente ans et notre situation familiale bien assise, nous avons décidé dans un accord commun d’avoir un enfant.
Hélas, ça fait trois mois que nos efforts, si faire l’amour être un effort et que lamentablement ça échoue.
Il y a quelques jours, nous avons consulté et j’ai branlé Serge pour fournir à ma gynéco un échantillon de sa semence de mon côté ma gynéco nous disant que tout était normal.
Nous attendons les résultats, en attendant, il entre en moi alors que j’ai l’impression de faire la planche comme je le faisais lorsque mes petits voisins ont débarqué.
À la différence, c’est que je me tenais à la lisse de notre piscine.
Je jouis et il me comble lui aussi de sperme et de plaisir.
Le lendemain, je le conduis à l’aéroport, comme prévu, il me quitte pour trois jours.
Rentré chez nous, je rejoins la piscine pour attendre son coup de fil pour me dire qu’il avait bien atterri.
Non loin du garage, mon œil est attiré par quelque chose de bleu.
Un boxer, certainement abandonné dans leur fuite par l’un des deux garçons à qui j’ai appartenu hier, ou ce matin, il était passé minuit.
Demain les éboueurs passent, je le jette à la poubelle, inutile que Serge le trouve.
J’ai eu beaucoup de chance qu’il se soit trouvée hors du chemin qu’il a fait lorsqu’il est venu me retrouver dans la piscine.
J’ai reçu le coup de fil rapidement tout va bien pour mon voyageur, il est sur le chemin de son hôtel.
À onze heures, je récupère le courrier, les résultats sont là.
« ...Vos chances de concevoir est possible, mais est très limité... »
• Monsieur Serge, vous êtes un cas que nous devrions faire étudier à l’université.
Rose votre femme attend des jumeaux, vous aviez du mal à en avoir et j’étais très sceptique lorsque j’ai reçu vos examens de spermatozoïdes.
Au prochain examen, je pourrais vous dire et si vous le voulez si ce sont deux garçons ou deux filles !
Vous vous savez, gardez bien le secret, trois bites, trois coups de bite sans protection.
Côté maladie, rien à craindre, sans savoir que cette nuit de débauche aura pu régler notre problème de couple, j’ai fait une prise de sang sans que Serge le sache, « rien à signaler ».
• Vous voulez savoir !
• Oui, nous sommes d’accord tous les deux !
• Des jumeaux dizygotes, un garçon et une fille, encore un autre exploit monsieur Serge, vous avez réussi à féconder deux œufs, avec vos quelques spermatozoïdes, je vous disais bien que vous êtes un cas.
Trois bites, trois fois du sperme en moi, deux ovulations, qui ?
Ce secret restera ma propriété si vous savez tenir vos langues, surtout qu’après leur naissance, Serge est gaga de ses deux enfants.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Chris pour ces merveilleux moments de lecture excitante et passionnante
Cyrille
Cyrille