COLLECTION HISTOIRE COURTE. La chattounette (1/1) - histoire érotique

Un petit nom peut-il changer le court d’une vie ?
À cette question, je réponds, oui !
Pour moi, ce nom, ce fut « chattounette » !
Nom inconnu du dictionnaire, mais faisant partie de ces petits noms que l’on donne à sa compagne ou son compagnon dans l’intimité.
Lorsque commence mon histoire, je suis l’homme le plus heureux au monde.
J’ai 32 ans mariés depuis 5 ans avec Jeanne, mon amie d’enfance, elle est de 4 ans ma cadette.
À 28 ans, mon épouse, est une femme sportive et épanouie.
Nous avons un fils, que nous adorons, cette année il vient d’entrer à la maternelle.
Jeanne m’a toujours paru une femme heureuse et comblée.
Aussi bien sur le plan familial et sur le plan sexuel.
Je suis loin d’être une bête de sexe, mais je suis loin de ce que certains ou certaine, « 5 minutes douches comprises. »
Je sais que mon épouse aime les préliminaires et surtout que je m’occupe de ses seins qui par ailleurs sont magnifiques.
Comme beaucoup d’hommes, j’aime la lingerie féminine, portée par ma femme il va sans dire, j’adore qu’elle porte des jarretelles avec bas et hauts talons, principalement des chaussures à semelle rouge.
Je suis un cadre commercial, pour du matériel nucléaire et à ce titre je gagne largement ma vie pour donner à ma femme et mon fils, le maximum de plaisir que peut apporter la vie.
Mes beaux-parents habitent, comme nous, non loin du parc Montsouris et chaque fois que nous le souhaitons, quand je suis là bien sûr, ils gardent Hugo afin que nous ayons la possibilité de sortir le soir.
Régulièrement nous allons au théâtre, suivi d’un resto avec Alexi et Solange, nos amis.
Le 1er octobre, nous sommes allés au théâtre de la Renaissance, voir la reprise de la pièce « La dégustation » avec Isabelle Carré et Bernard Campan , Molière de l’année 2021.
Après nous nous sommes rendus dans un restaurant-brasserie non loin de là.
Rentré à une heure du matin, j’ai trouvé la force de faire l’amour à mon épouse jusqu’à la faire crier de plaisir.
L’absence de Hugo a l’avantage de libérer madame qui a des orgasmes fulgurants étant si puissants et profonds qu’elle gueule son plaisir.
Souvent le matin de ce week-end rempli de débauche, je remets le couvert pendant minimum une heure à une heure et demie.
Je la libère de mes étreintes après qu’elle ait eu de multiples orgasmes et qu’elle rende les armes, rassasiée de sexe pour les semaines ou je suis absent.
Comme bien des couples je l’imagine, nous avons des petits mots à nous que nous aimons dire à l’être aimé ou que l’être aimé nous dise.
Dans nos premiers jours lorsque je lui disais que j’allais la transpercer avec ma flèche d’argent, elle me répondait que sa petite chattounette était prête à se faire massacrer.
Chattounette était restée alors que pour moi, plus communément nous parlons de mon pieu, ma lance et moins de ma flèche, j’ai la vision de mon sexe plutôt bien monté.

De retour d’un chantier en Finlande et repartant pour trois jours sur l’E.P.R de Flamanville à partir de mercredi.
Ce midi nous avons invité Alexi et Solange à déjeuner.
Hugo étant couché avec Jade la fille du couple du même âge l’un et l’autre pour faire sa sieste, le sexe est comme bien souvent venu dans la conversation.
Inutile de demander comment le sujet a commencé, j’étais dans la cuisine à découper le gigot lorsque Alexi a lâché ce mot de chattounette en parlant du sexe de femme.
J’ai failli en foutre parterre le plat de stupeur.
Combien de chance peut-il y avoir que deux couples amis de surcroit ont inventé ce mot chattounette même pas inscrit au dictionnaire.
Au plus loin de ma mémoire et des synonymes de chatte dans le dico, ce mot est resté strictement entre nous lors de ma présence.
Par quel miracle, Alexi le connaît, sinon parce que Jeanne lui aurait révélé lors de tête à tête, car à un aucun moment, je suis certain que l’un ou l’autre m’a dit s’être vu en dehors de nos couples.
Il serait plutôt étonnant que croisant Jeanne dans la rue, ce qui est possible, ils se soient dit « comment va ta bite et toi ta chattounette ! »
Je suis certain, je dois être cocu. Alexi ayant une profession libérale sur Paris se réserver des heures pour venir baiser Jeanne et me faire cocu.

Je passe une nuit à me ronger le sang, jusqu’au lendemain ou je me rends au siège de ma multinationale pour préparer mes dossiers.
Mon chef de service m’a demandé de limiter mes heures, même si je suis un cadre.
Il veut que je me repose un peu plus lorsque je suis sur Paris, pour lui qui a fait un infarctus, qui veut voyager loin ménage sa monture.
Je sais que Solange et Jeanne dépose les enfants à 8 h 45 à la maternel.
Je décide d’aller à la pêche, à des moments ou des heures différentes pour avoir plus de chance de coincer le couple adultérin.
Ce lundi, rien, à signaler, les deux femmes déposent les enfants et rentrent chacune chez elle.
Mardi, je me libère à 14 heures et je vais chez moi.

J’ouvre l’appartement, bingo, j’entends du bruit venant de la chambre, deux voix, mais deux voix de femme.
J’avance discrètement me figeant quand je vois ce qu’il s’y passe.
Alexi, que nenni, Solange entre les cuisses de Jeanne aussi nue que le jour de leur naissance l’une et l’autre lui suçant ce que j’appelle sa chattounette.
La langue agile de Solange lui fait de l’effet, car j’assiste dans l’encoignure de la porte à un orgasme de ma compagne aussi puissante que sous ma flèche d’argent.

• Une nouvelle fois je t’ai fait jouir, mon amour.
Tu vois tu as hésité à entamer une relation avec moi sans que cela nuise à l’amour que tu portes à ton mari.
Reconnais que j’avais raison de vouloir satisfaire ta chattounette !

Le mot est lâché, surtout qu’en quelques minutes la situation est parfaitement claire.
Les deux femmes, magnifiques, dans leur nudité se calent dans les oreillers.

• À ce sujet mon cœur, Alexi m’a fait peur dimanche pendant le repas, il a parlé de chattounette en parlant du sexe des femmes.
J’ai cru que Philippe, s’il avait entendu, pense que j’étais la maîtresse de ton mari.
• Je sais, je m’en suis rendu compte, tu aimes ton mari comme j’aime le mien et lors de la soirée théâtre et resto du 1er octobre, en entrant nous avons fait l’amour.
Au moment de jouir, ayant pris l’habitude de parler de nos chattounettes, j’ai lâché ce petit mot que nous adorons toutes les deux nous dire lorsque nous nous occupons d’elles.
Dimanche, Alexi a trouvé le moyen de le répéter en parlant des femmes.

C’est le moment que je choisis pour entrer dans la chambre.

• Vous avez raison mesdames, j’ai parfaitement entendu ce qu’Alexi à dit parlant des chattounettes, j’ai cru que tu me trompais Jeanne avec lui.
Je viens de filmer deux jolies salopes se donnant du plaisir.
J’ai vu ma femme se faisant faire minette pour mon plus grand plaisir.
Ta chatte blonde est très bien taillée Solange.
• Pourquoi te déshabilles-tu mon cœur ?

C’est vrai tout en leur montrant les images que j’ai filmées de ma main libre, je me dénude.

• Quand j’ai la preuve que j’ai à ma disposition deux belles gougnottes avec lesquelles je vais m’éclater, pourquoi laisserais-je ce plaisir m’échapper.
Faite moi une place entre vous.

Les deux femmes s’écartent, je m’installe.
Rapidement, deux bouches et deux langues se partagent ma flèche et me font bander.
Je sais, certaines d’entre vous, mesdames vont ce dire, ce fumier pensait être cocu par son copain Alexi et c’est lui qui le cocufie, le poignardant par-derrière.
Vous avez raison, mais l’occasion fait le larron, mon chef de service veut que je prenne un peu plus de bon temps.
Une après-midi de temps en temps bien programmée pour retrouver Jeanne et Solange en levrette comme dans la position où elles viennent de se mettre à mon injonction, nous aiderons à passer le temps.
Je peux et je pourrai alternativement bourrer les chattounettes de l’une et l’autre comme je le fais en ce moment alors que les deux belles salopes s’embrassent à pleine bouche.