COLLECTION HISTOIRE COURTE. La pente fatale (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. La pente fatale (1/1)
J’avais dix-huit ans quand je me suis retrouvée enceinte de mes jumelles, elles ont à ce jour douze ans et sont les trésors de ma vie.
Le mec qui m’a engrossé s’est tiré quand il l’a sue, le mec, tellement j’exècre ce genre de garçon qui refuse d’assumer surtout que j’étais une oie blanche.
Je dois à mes parents et surtout à mon papa de les avoir élevés dans le meilleur des conforts.
Mon papa, maman nous ayant quittés pour suivre un soldat américain travaillant à son ambassade à Paris.
J’avais papa qui me payait les traites de l’appartement que j’ai acheté par sécurité, à ce titre, j’ai contracté une dette de 150 000 € sur vingt-cinq ans.
Le souci pour moi et mes enfants, c’est le décès de papa, trouver du travail pour payer toutes les charges que la vie m’impose, à douze ans les jumelles ayant de plus en plus de besoin.
Téléphones portables pour chacune, vêtements de marque pour jeunes.
Sans oublier la garde une fois par mois quand je prends du temps pour moi.
On a beau avoir une vie dédiée aux autres et surtout à mes filles m’empêchant d’avoir une liaison durable.
Je connais plusieurs bars pour une femme encore très bien fichue où chaque mois je trouve un mec pour l’hygiène de mon corps.
Chaque mois, je suis de plus en plus salope, j’adore sucer et que dire des bites qui me déchirent jusqu’au matin attendant la prochaine charge de cavalerie le mois suivant.
Lorsque papa était encore là, c’est lui qui assurait la garde et je tiens à conserver ces soirées orgiaques pour mon équilibre, depuis sa disparition dans un accident de voiture, j’emprunte pour vivre ces moments intenses.
Mais depuis sa disparition, j’ai la chance d’avoir parrain qui s’occupe de moi.
Il est encore venu me voir pour m’assurer qu’il prendrait soin de mes filles au cas où, comme il l’avait promis à mon père avant sa mort.
Parrain et papa ont fondé une entreprise qui tournait très bien et qui leur rapportait beaucoup d’argent.
J’ai toujours ignoré les rapports qu’il y avait eux, mais je sentais qu’ils me cachaient quelque chose quand j’étais petite jusqu’au départ de maman.
• Julie, dans les mois avant sa mort, ton père avait une vie dissolue après le départ de ta mère.
Il a perdu un paquet de fric au poker, j’ai racheté ses parts et la totalité de notre entreprise est à moi.
Par la même occasion, j’ai racheté la dette de ton appartement, mais soit sans crainte, tu es chez toi avec tes filles.
Si tu as besoin d’argent demandes, tiens, voici 5 000 €, signe ici ce papier que je vais donner à mon notaire pour qu’il la place dans son coffre avec divers autres papiers.
Aie confiance, il a aussi un testament qui te nomme légataire testamentaire, tu es ma seule famille.
J’ai continué ma vie, j’ai signé de nombreuses reconnaissances de mes dettes, il avait toujours une excuse pour que je signe, mais comme c’était mon parrain, j’étais en confiance.
• Julie, c’est moi, peux-tu venir me voir ?
• Chez toi, c’est la première fois, j’arrive.
Que voulait mon parrain, je me rendais au rendez-vous très sereine !
• Julie, je viens de faire les comptes et j’ai décidé d’arrêter les frais avec toi.
Tu me dois plus de 300 000 € entre ta maison et les paquets de billets que je t’ai donnée au fil des trois dernières années.
• Parrain, tu m’avais dit que c’était pour respecter la volonté de papa que tu m’aidais.
• Et tu m’as cru, pauvre conne, tu es bien la fille de ton père et de ta putain de mère.
Je vais t’expliquer ce qu’ils m’ont fait il y a trente et un ans, j’étais amoureux de ta mère et il était prévu que je l’épouse.
Trois jours avant nos noces, ils sont venus me voir pour me dire qu’ils couchaient ensemble depuis des mois et que tu allais naître, j’ai fait bonne figure, mais j’ai décidé de me venger.
Ta mère s’est doutée de quelque chose et m’a échappé en traversant l’atlantique, j’avais un plan pour ton père que j’ai mis à exécution.
J’avais vu qu’il avait tendance à jouer et j’ai payé des joueurs professionnels qui l’ont plumé en trichant un peu.
J’ai atteint mon but quand il a vu ou je l’avais emmené.
C’est le jour où je lui ai demandé des comptes comme je le fais pour toi, qu’il a pris sa voiture et a eu un accident.
Quel con, il roulait trop vite, je suppute qu’il s’est volontairement arrêté dans un arbre.
• Mais parrain, pourquoi t’en prendre à moi ?
• Ton père ce salaud, j’ai réussi à le rayer de la terre, ta mère m’a échappé.
Je me suis bien rendu aux États-Unis pour la retrouver, mais elle a été prévoyante.
Malgré de nombreux détectives payés à prix d’or, comme je te le dis, elle m’a échappé.
Ta salope de mère partie, que me reste-t-il pour me venger, le fruit des amours de ces deux traîtres, à partir de maintenant tu ferras exactement ce que je voudrais.
• Tu peux toujours courir.
• Suce-moi sinon j’ai un plan B, ta mère m’a échappé, tu es la suivante sur ma liste, après toi si je regarde bien, si tu refuses que je te baise qui trouvons-nous ?
Tes jumelles, bien sûres, quand j’ai commencé à te prêter de l’argent, quel âge avaient-elles ?
Tu rajoutes trois ans et encore trois ans, elles seront majeures et c’est elles qui payeront ta dette.
J’ai attendu trente ans pour arriver à mettre mon plan à exécution avec ton père, je peux avoir la patiente pendant trois années de plus.
Alors, tu me suces ?
C’est comme ça que je suis devenue la pute de mon parrain, sa pute car dans le cadre de ses affaires, il me vendait à des clients pour les amadouer.
J’étais décidé à me venger ainsi que mes parents, mais je voulais que les choses soient parfaites.
• Julie, voici un visa pour Tokyo, tu vas rencontrer un homme d’affaires japonais qui t’attend.
Comme d’habitude, tu seras entièrement soumise, gare à toi s’il refuse de signer, j’ai entendu dire qu’il avait certaines envies.
Avant que je parte, il m’a pris sur son sofa en levrette la poitrine posée sur le dossier, vas-y pépère baise-moi, la vengeance est à plat qui se mange froid.
Au Japon, un chauffeur m’attend à l’aéroport, il me conduit dans une villa gardée par des hommes en armes, à l’intérieur, d’autres gardes les bras tatoués sont de faction.
Je suis introduite dans une pièce où rapidement un homme revêtu d’un kimono entre.
• Déshabille-toi et met ce kimono rouge, couleur du sang qui jalonne ma vie.
Il me parle dans un français impeccable.
• J’ai étudié cinq ans dans ton pays, mon fils en fait de même depuis deux ans, je te donnerais son adresse avant que tu rentres en France.
Il sera enchanté que je lui offre une gentille petite pute comme toi.
Viens ici, ton boss t’a dit que j’avais des goûts un peu spéciaux avec les femmes !
• Oui, je suis prête.
Je m’attends à être enculé, le mec de la dernière fois en Espagne a passé son temps à me la mettre dans l’anus.
Depuis qu’il m’a obligé à lui céder pour sauver mes filles, j’ai fait toutes les saloperies que les hommes savent inventer quand une fille comme moi leur est offerte.
• Allonge-toi et écarte tes cuisses, je prends mon plaisir en fistant les femmes.
Je fais ce qu’il me dit, j’écarte le plus possible mon sexe pour lui faciliter la pénétration.
J’ai accouché, je sais que mon vagin est assez grand, s’il sait le dilater pour accepter cette main qui s’avance vers moi après qu’il se soit fait couler un liquide sur ses doigts.
Il le fait sans problème, je suis réceptive, j’ai pris l’habitude d’être fataliste, j’ai tellement été vénale.
Il me prêtait pour que je parte en vacances à la mer avec les filles et je lui signais une reconnaissance sans m’inquiéter.
• Tu vois, je suis entré, je vais te faire ma spécialité, je vais entrer ma verge le long de ma main, tu vas voir, il y a de la place.
Dès qu’elle sera au fond de toi, je me masturberais jusqu’à ce que je décharge.
Il y a des malades sur cette terre, il glisse sa verge, je sens qu’il s’empoigne dans ma grotte et pendant presque une demi-heure il se masturbe au fond de mon sexe.
Il finit par gicler de longs jets de sperme.
• Julie, merci, je vais signer le contrat avec ton homme, il va être satisfait de toi.
Voilà un paquet avec l’adresse de mon fils, attention, c’est de l’argent pour ses mois prochains, fais attention à la douane.
Je passe l’argent et je rentre en France, je vais chez le fils du Japonnais qui me reçoit dans son appartement.
• Mon père s'est masturbé dans ta chatte, il est un peu malade, mais il a tellement de choses à gérer que nous lui pardonnons.
As-tu mon argent ?
• Je l’ai, mais avant de te le donner, j’ai une question à te poser.
• Si je peux te répondre !
• Ton père fait partie de la maffia japonaise !
• Oui, il en est fier, tu as vu ses tatouages, c’est le chef du plus grand groupe de Yakuza de Tokyo, je suis en France pour apprendre, je lui succéderais.
• Tu as donc la possibilité de faire venir un de vos hommes, de faire un contrat et ni vu ni connu retourner dans ton pays.
• Enfantin, dit moi qui t’embête et le travail sera bien fait.
• J’ai un parrain.
Parrain a bizarrement été retrouvé mort d’une crise cardiaque dans les semaines suivantes.
Le médecin a signé le permis d’inhumer et comme légataire testamentaire, je l’ai fait incinérer, j’ai repris la société créée par mon père que j’ai mise en gérance.
J’ai présenté mes filles au fils du yakuza, dès qu’elles ont eu dix-huit ans.
Ils vivent tous les trois, alors que moi, je suis retournée dans une villa au Japon, j’ai la protection de l’homme couvert de tatouages qui en ce moment me fiste et se masturbe dans mon vagin.
La vengeance est un plat qui se mange froid comme l’on dit.
Le mec qui m’a engrossé s’est tiré quand il l’a sue, le mec, tellement j’exècre ce genre de garçon qui refuse d’assumer surtout que j’étais une oie blanche.
Je dois à mes parents et surtout à mon papa de les avoir élevés dans le meilleur des conforts.
Mon papa, maman nous ayant quittés pour suivre un soldat américain travaillant à son ambassade à Paris.
J’avais papa qui me payait les traites de l’appartement que j’ai acheté par sécurité, à ce titre, j’ai contracté une dette de 150 000 € sur vingt-cinq ans.
Le souci pour moi et mes enfants, c’est le décès de papa, trouver du travail pour payer toutes les charges que la vie m’impose, à douze ans les jumelles ayant de plus en plus de besoin.
Téléphones portables pour chacune, vêtements de marque pour jeunes.
Sans oublier la garde une fois par mois quand je prends du temps pour moi.
On a beau avoir une vie dédiée aux autres et surtout à mes filles m’empêchant d’avoir une liaison durable.
Je connais plusieurs bars pour une femme encore très bien fichue où chaque mois je trouve un mec pour l’hygiène de mon corps.
Chaque mois, je suis de plus en plus salope, j’adore sucer et que dire des bites qui me déchirent jusqu’au matin attendant la prochaine charge de cavalerie le mois suivant.
Lorsque papa était encore là, c’est lui qui assurait la garde et je tiens à conserver ces soirées orgiaques pour mon équilibre, depuis sa disparition dans un accident de voiture, j’emprunte pour vivre ces moments intenses.
Mais depuis sa disparition, j’ai la chance d’avoir parrain qui s’occupe de moi.
Il est encore venu me voir pour m’assurer qu’il prendrait soin de mes filles au cas où, comme il l’avait promis à mon père avant sa mort.
Parrain et papa ont fondé une entreprise qui tournait très bien et qui leur rapportait beaucoup d’argent.
J’ai toujours ignoré les rapports qu’il y avait eux, mais je sentais qu’ils me cachaient quelque chose quand j’étais petite jusqu’au départ de maman.
• Julie, dans les mois avant sa mort, ton père avait une vie dissolue après le départ de ta mère.
Il a perdu un paquet de fric au poker, j’ai racheté ses parts et la totalité de notre entreprise est à moi.
Par la même occasion, j’ai racheté la dette de ton appartement, mais soit sans crainte, tu es chez toi avec tes filles.
Si tu as besoin d’argent demandes, tiens, voici 5 000 €, signe ici ce papier que je vais donner à mon notaire pour qu’il la place dans son coffre avec divers autres papiers.
Aie confiance, il a aussi un testament qui te nomme légataire testamentaire, tu es ma seule famille.
J’ai continué ma vie, j’ai signé de nombreuses reconnaissances de mes dettes, il avait toujours une excuse pour que je signe, mais comme c’était mon parrain, j’étais en confiance.
• Julie, c’est moi, peux-tu venir me voir ?
• Chez toi, c’est la première fois, j’arrive.
Que voulait mon parrain, je me rendais au rendez-vous très sereine !
• Julie, je viens de faire les comptes et j’ai décidé d’arrêter les frais avec toi.
Tu me dois plus de 300 000 € entre ta maison et les paquets de billets que je t’ai donnée au fil des trois dernières années.
• Parrain, tu m’avais dit que c’était pour respecter la volonté de papa que tu m’aidais.
• Et tu m’as cru, pauvre conne, tu es bien la fille de ton père et de ta putain de mère.
Je vais t’expliquer ce qu’ils m’ont fait il y a trente et un ans, j’étais amoureux de ta mère et il était prévu que je l’épouse.
Trois jours avant nos noces, ils sont venus me voir pour me dire qu’ils couchaient ensemble depuis des mois et que tu allais naître, j’ai fait bonne figure, mais j’ai décidé de me venger.
Ta mère s’est doutée de quelque chose et m’a échappé en traversant l’atlantique, j’avais un plan pour ton père que j’ai mis à exécution.
J’avais vu qu’il avait tendance à jouer et j’ai payé des joueurs professionnels qui l’ont plumé en trichant un peu.
J’ai atteint mon but quand il a vu ou je l’avais emmené.
C’est le jour où je lui ai demandé des comptes comme je le fais pour toi, qu’il a pris sa voiture et a eu un accident.
Quel con, il roulait trop vite, je suppute qu’il s’est volontairement arrêté dans un arbre.
• Mais parrain, pourquoi t’en prendre à moi ?
• Ton père ce salaud, j’ai réussi à le rayer de la terre, ta mère m’a échappé.
Je me suis bien rendu aux États-Unis pour la retrouver, mais elle a été prévoyante.
Malgré de nombreux détectives payés à prix d’or, comme je te le dis, elle m’a échappé.
Ta salope de mère partie, que me reste-t-il pour me venger, le fruit des amours de ces deux traîtres, à partir de maintenant tu ferras exactement ce que je voudrais.
• Tu peux toujours courir.
• Suce-moi sinon j’ai un plan B, ta mère m’a échappé, tu es la suivante sur ma liste, après toi si je regarde bien, si tu refuses que je te baise qui trouvons-nous ?
Tes jumelles, bien sûres, quand j’ai commencé à te prêter de l’argent, quel âge avaient-elles ?
Tu rajoutes trois ans et encore trois ans, elles seront majeures et c’est elles qui payeront ta dette.
J’ai attendu trente ans pour arriver à mettre mon plan à exécution avec ton père, je peux avoir la patiente pendant trois années de plus.
Alors, tu me suces ?
C’est comme ça que je suis devenue la pute de mon parrain, sa pute car dans le cadre de ses affaires, il me vendait à des clients pour les amadouer.
J’étais décidé à me venger ainsi que mes parents, mais je voulais que les choses soient parfaites.
• Julie, voici un visa pour Tokyo, tu vas rencontrer un homme d’affaires japonais qui t’attend.
Comme d’habitude, tu seras entièrement soumise, gare à toi s’il refuse de signer, j’ai entendu dire qu’il avait certaines envies.
Avant que je parte, il m’a pris sur son sofa en levrette la poitrine posée sur le dossier, vas-y pépère baise-moi, la vengeance est à plat qui se mange froid.
Au Japon, un chauffeur m’attend à l’aéroport, il me conduit dans une villa gardée par des hommes en armes, à l’intérieur, d’autres gardes les bras tatoués sont de faction.
Je suis introduite dans une pièce où rapidement un homme revêtu d’un kimono entre.
• Déshabille-toi et met ce kimono rouge, couleur du sang qui jalonne ma vie.
Il me parle dans un français impeccable.
• J’ai étudié cinq ans dans ton pays, mon fils en fait de même depuis deux ans, je te donnerais son adresse avant que tu rentres en France.
Il sera enchanté que je lui offre une gentille petite pute comme toi.
Viens ici, ton boss t’a dit que j’avais des goûts un peu spéciaux avec les femmes !
• Oui, je suis prête.
Je m’attends à être enculé, le mec de la dernière fois en Espagne a passé son temps à me la mettre dans l’anus.
Depuis qu’il m’a obligé à lui céder pour sauver mes filles, j’ai fait toutes les saloperies que les hommes savent inventer quand une fille comme moi leur est offerte.
• Allonge-toi et écarte tes cuisses, je prends mon plaisir en fistant les femmes.
Je fais ce qu’il me dit, j’écarte le plus possible mon sexe pour lui faciliter la pénétration.
J’ai accouché, je sais que mon vagin est assez grand, s’il sait le dilater pour accepter cette main qui s’avance vers moi après qu’il se soit fait couler un liquide sur ses doigts.
Il le fait sans problème, je suis réceptive, j’ai pris l’habitude d’être fataliste, j’ai tellement été vénale.
Il me prêtait pour que je parte en vacances à la mer avec les filles et je lui signais une reconnaissance sans m’inquiéter.
• Tu vois, je suis entré, je vais te faire ma spécialité, je vais entrer ma verge le long de ma main, tu vas voir, il y a de la place.
Dès qu’elle sera au fond de toi, je me masturberais jusqu’à ce que je décharge.
Il y a des malades sur cette terre, il glisse sa verge, je sens qu’il s’empoigne dans ma grotte et pendant presque une demi-heure il se masturbe au fond de mon sexe.
Il finit par gicler de longs jets de sperme.
• Julie, merci, je vais signer le contrat avec ton homme, il va être satisfait de toi.
Voilà un paquet avec l’adresse de mon fils, attention, c’est de l’argent pour ses mois prochains, fais attention à la douane.
Je passe l’argent et je rentre en France, je vais chez le fils du Japonnais qui me reçoit dans son appartement.
• Mon père s'est masturbé dans ta chatte, il est un peu malade, mais il a tellement de choses à gérer que nous lui pardonnons.
As-tu mon argent ?
• Je l’ai, mais avant de te le donner, j’ai une question à te poser.
• Si je peux te répondre !
• Ton père fait partie de la maffia japonaise !
• Oui, il en est fier, tu as vu ses tatouages, c’est le chef du plus grand groupe de Yakuza de Tokyo, je suis en France pour apprendre, je lui succéderais.
• Tu as donc la possibilité de faire venir un de vos hommes, de faire un contrat et ni vu ni connu retourner dans ton pays.
• Enfantin, dit moi qui t’embête et le travail sera bien fait.
• J’ai un parrain.
Parrain a bizarrement été retrouvé mort d’une crise cardiaque dans les semaines suivantes.
Le médecin a signé le permis d’inhumer et comme légataire testamentaire, je l’ai fait incinérer, j’ai repris la société créée par mon père que j’ai mise en gérance.
J’ai présenté mes filles au fils du yakuza, dès qu’elles ont eu dix-huit ans.
Ils vivent tous les trois, alors que moi, je suis retournée dans une villa au Japon, j’ai la protection de l’homme couvert de tatouages qui en ce moment me fiste et se masturbe dans mon vagin.
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