COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le flic (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le flic (1/1)
- Inspecteur Colombin, bonjour madame.
Vous avez appelé pour un cambriolage.
- Oui, c’est mon mari qui a cru bon de signaler ce qu’il prend pour un cambriolage.
Excusez ma tenue, je viens de me lever et je sortais de mon bain quand vous avez sonné.
- Aucun problème votre peignoir vous va à ravir.
- Merci du compliment.
Très appétissante la bourgeoise.
De 38 à 40 ans.
Environ l’âge de ma femme quand elle s’est tirée car je passais trop de nuits dehors à cause de mon travail surtout les planques durant des heures.
Elle a croisé son vêtement sur sa poitrine, mais je vois clairement qu’elle a des nibars fort intéressants.
Dommage que son mari soit si haut placé et important, je les aurais bien caressés.
- Pour le cambriolage, il se trompe.
- Non, s’ils sont entrés par la fenêtre comme il l’a dit au téléphone, mais sans rien emporter.
Regardez, Picasso et autres Chagall, Miro, sont tous là.
Si nous allons dans ma chambre, mon coffret à bijoux est toujours là et intact.
C’est la première chose que j’ai contrôlé quand nous sommes rentrés du restaurant.
J’ai un camée étant dans ma famille depuis des générations, c’est loin d’être une pièce de valeur mais c’est surtout sentimental.
Mon aïeul ayant perdu la tête à la révolution le portait avant qu’elle monte à l’échafaud.
Regardez, là dans le couloir c’est son portrait on le voit sur sa poitrine.
Mais dites-moi inspecteur, mon mari a appelé il y a deux jours et vous venez qu’aujourd’hui ?
- Les jeunes flics, quand votre mari a appelé, c’était un nouveau qui a répondu.
J’étais en vacances, je suis rentré ce matin.
J’ai regardé les PV édité pendant mon absence.
Quand j’ai vu le nom de votre mari, le PV placer dans le cassier des affaires à classer, j’ai su qu’il avait fait un imper et me voilà.
Votre mari est une personne qu’il faut traiter autrement que la façon dont ce jeune blanc bec a fait alors me voilà.
- Merci pour lui, mais ce jeune flic sans le savoir avait vu juste vous pouvez remettre ce PV, là où il était.
- Ça c’est vous qui le dite, le flic c’est moi.
Sans vouloir vous manquer de respect, puisque je suis là, pouvez-vous me conduire là où le ou les cambrioleurs sont entrés.
- Sans soucis, j’allais vous le proposer, c’est la fenêtre du salon.
Nous franchissons les quelques mètres du couloir vers la salle à manger où elle m’a montré les tableaux de valeur et me guide vers le salon.
Pièce borgne, seule une fenêtre me permet de voir la lumière du jour.
- Permettez que j’ouvre la fenêtre, je veux voir par où il est arrivé.
- Nous attendions votre visite avant de faire venir les vitriers pour changer le carreau cassé pour qu’il puisse ouvrir.
Marc a mis un carton pour briser le froid, il a fait une erreur ?
- Non, il a bien fait par ce froid vous auriez gelé sur place sans cette protection.
J’ai failli ajouter avec le peu que vous avez sur le dos.
En passant près d’elle pour entrer dans la salle à manger, je l’ai frôlé, mon regard est tombé sur ses seins, elle avait seulement son peignoir en soie lui arrivant à mi-cuisse.
Autant Véronique mon ex en avait des petits autant cette femme du monde en a qui doivent bien remplir la main.
J’avais épousé une salope s’étant tiré avec un Arabe qu’elle avait rencontré à son club de gym, alors que lorsque j’étais jeune je regardais Paris Hollywood piquer à un copain qui lui-même l’avait piqué à son père.
À l’intérieur, je me pignolais sur les photos des plus gros seins.
En ce temps-là comme on dit, sous les partis floutées j’ignorais que les femmes cachaient leurs chattes ce que j’ai découvert plus tard.
Surtout quand j’ai vu ma sœur uriner dans la forêt.
Nous faisions une balade, elle a eu envie de pisser.
Je faisais le guet car elle avait peur d’être surprise par un passant.
J’ai entendu du bruit comme un sifflement.
Une fraction de seconde j’ai tourné ma tête.
Laure était accroupie sa culotte sur ses pieds et c’était le bruit de l’urine forçant ses grandes lèvres qui émettaient ce petit sifflement.
C’est ce jour que le floutage a disparu de mon cerveau.
Nous avions un sexe nous permettant d’uriner, elles avaient des chattes leur permettant d’en faire de même.
Je devais avoir 14 ans.
C’est plus tard avec Colette que j’ai su que ces sexes faisaient double emploi.
Fonction urinée et fonction baise pour mon plus grand plaisir.
Après Laure qui m’a défloré, il y a eu Violette sa mère, eh oui, je fais partie de ces hommes qui ont eu le plaisir de baiser la fille puis la mère.
Qui était la plus salope ou la plus pute.
Chacune sa spécialité, la fille la levrette avec des sodomies, la mère les fellations.
Paris Hollywood, je le planquais sous mon matelas jusqu’au jour où ma mère a fait le ménage de printemps retournant mon matelas sur la face été.
Ça a été la mort du journal et une engueulade car j’étais un pervers.
Ma mère était très vieille France.
J’ouvre la fenêtre.
Nous sommes à l’angle de l’immeuble.
L’angle a des panneaux saillants permettant à une personne agile de descendre par là.
Quand je regarde de l’autre côté les fenêtres donnant sur la façade c'est impossible à un homme ou une femme de monter ou de descendre.
Je fais bouger la fenêtre.
Au sol dans le soleil quelques éclats de verre se voient, bien qu’ils aient ramassé les morceaux.
- C’est moi, j’avais peur que la bonne ne se coupe, j’ai mal fait ?
- Non, mais je m’interroge, pour sortir, celui qui a cassé la vitre est bien passé par là.
Regardé sans trop vous pencher, on voit une trace de plastic sur le mur.
Il a glissé et faillit finir sur la chaussée.
Belle chute.
Il est sorti mais il a fait une erreur.
La vitre brisée.
Voilà comment il a fait, il a ouvert la fenêtre et il a dû se placer comme s’il y entrait en brisant la vitre avec son coude pour se protéger.
L’erreur ce sont ces petites particules de verre, ils y en auraient au bord du mur alors que là ils sont plus loin.
L’homme était déjà dans les lieux et a fait croire qu’il sortait.
- Commissaire.
- Inspecteur, seulement inspecteur.
Qui c’était votre amant, votre mari vous a surpris.
Vous m’avez dit que vous rentriez du restaurant quand vous avez découvert l’effraction et le bris de votre fenêtre du salon.
Vous avez réussi à faire sortir de chez vous votre époux qui vous a invité et pendant ce temps votre amant s’échappait.
- Alors, j’attends !
Je prends son bras le tenant sans lui faire mal.
- J’avoue, j’avais rencontré un jeune homme fort beau de surcroit.
Pour la première fois, étant en manque, Marc étant parti depuis plus de huit jours, j’ai eu la faiblesse de lui offrir un dernier verre.
Commissaire.
Inutile de lui dire que je suis inspecteur.
J’ai affaire à une salope qui se fait tringler par de jeunes mecs pendant l’absence de son mari.
- Commissaire, je me suis laissée caresser dans l’ascenseur alors que dans ma tête je pensais à ce que j’allais pouvoir lui offrir, à part le whisky de Marc où je savais où il le rangeait.
Il a été à la hauteur, nous avons baisé pendant un long moment.
Ces femmes, combien de maîtresses j’ai eu devenant intarissable quand elles parlent de leurs parties de jambes en l’air.
Ma bourge rentre dans ce panel.
- J’ai entendu le bruit des clefs dans la serrure alors que Benoît me prenait sur la table de la salle.
Regardez, j’avais les fesses sur ce coin.
Je l’ai fait entrer dans le petit placard servant de rangement dans cette salle.
J’ai récupéré ma petite culotte que j’ai mise tout en poussant mes vêtements sous le canapé où il m’avait déshabillé.
Le canapé, la table de la salle, j’avais raison une salope.
- Une question, votre mari vous trouvant en petite tenue après plusieurs jours d’absence, vous a-t-il sauté ?
- Commissaire, voyons mais oui, mon amant venait de décharger et c’est dans son sperme qu’il a mis sa queue sur le même coin de table que lui.
- Je vois, je vais conclure mon enquête par un adultère ayant fait croire à un cambriolage.
- Au commissaire et si l’on s’arrangeait.
Mon mari est reparti pour une semaine au Canada avec un homme influant Marocain.
Elle se colle à moi, sa main se pose sur ma bite qui réagit.
Je fais glisser son peignoir.
La soie c’est facile.
Nul besoin de lui appuyer sur les épaules, elle descend à l’étage inférieur ouvre ma braguette et sortant ma bite me fait une magnifique fellation.
Je suis à deux doigts de la comparer à Violette, mais le plaisir montant en moi, je l’ai prix dans mes bras.
Elle s’est accrochée à moi comme si elle se noyait me serrant dans le dos par ses jambes musclées.
C’est dans le parc voisin qu’elle devait se les lever.
Je l’ai porté jusqu’à la table, juste à l’endroit qu’elle m’avait montré.
Je l’ai prise la faisant jouir rapidement.
J’ai toujours fait jouir mes maîtresses surtout quand je mords ses seins comme des obus que cette femme m’a dévoilés.
C’est marrant, c’est la première fois que je baise une femme, surtout de la haute, sans savoir son nom.
- Ah, ah, ah.
C’est fait je décharge une de plus à mon tableau de chasse.
- Dis-moi commissaire on vient de baiser, j’avais envie de gueuler ton nom.
Qu’elle est ton petit nom.
- Robert.
- Jennifer, moi c’est Jennifer.
- Merde l’heure, j’ai un rapport à faire, tu as le numéro de portable de ton mari.
Il est préférable que je l’appelle.
Disant cela, je me rajuste, j’ai baisé cette salope à poils et moi simplement avec ma queue sortie de mon pantalon.
Elle remet son peignoir le laissant ouvert.
Je vais pour ouvrir la porte palière, elle me met la main sur ma main.
- Dit, pour le cambriolage, tu arranges l’affaire, surtout avec mon mari.
- Pas sur, il se peut que demain je doive encore faire quelques constatations si tu es libre Jennifer.
- Je serais toujours libre pour toi chaque fois que Marc sera en voyage.
Je te joindrais dès qu’il aura quitté les lieux.
Je quitte l’immeuble, un bistrot a ouvert un bon café sera le bienvenu.
Vous avez appelé pour un cambriolage.
- Oui, c’est mon mari qui a cru bon de signaler ce qu’il prend pour un cambriolage.
Excusez ma tenue, je viens de me lever et je sortais de mon bain quand vous avez sonné.
- Aucun problème votre peignoir vous va à ravir.
- Merci du compliment.
Très appétissante la bourgeoise.
De 38 à 40 ans.
Environ l’âge de ma femme quand elle s’est tirée car je passais trop de nuits dehors à cause de mon travail surtout les planques durant des heures.
Elle a croisé son vêtement sur sa poitrine, mais je vois clairement qu’elle a des nibars fort intéressants.
Dommage que son mari soit si haut placé et important, je les aurais bien caressés.
- Pour le cambriolage, il se trompe.
- Non, s’ils sont entrés par la fenêtre comme il l’a dit au téléphone, mais sans rien emporter.
Regardez, Picasso et autres Chagall, Miro, sont tous là.
Si nous allons dans ma chambre, mon coffret à bijoux est toujours là et intact.
C’est la première chose que j’ai contrôlé quand nous sommes rentrés du restaurant.
J’ai un camée étant dans ma famille depuis des générations, c’est loin d’être une pièce de valeur mais c’est surtout sentimental.
Mon aïeul ayant perdu la tête à la révolution le portait avant qu’elle monte à l’échafaud.
Regardez, là dans le couloir c’est son portrait on le voit sur sa poitrine.
Mais dites-moi inspecteur, mon mari a appelé il y a deux jours et vous venez qu’aujourd’hui ?
- Les jeunes flics, quand votre mari a appelé, c’était un nouveau qui a répondu.
J’étais en vacances, je suis rentré ce matin.
J’ai regardé les PV édité pendant mon absence.
Quand j’ai vu le nom de votre mari, le PV placer dans le cassier des affaires à classer, j’ai su qu’il avait fait un imper et me voilà.
Votre mari est une personne qu’il faut traiter autrement que la façon dont ce jeune blanc bec a fait alors me voilà.
- Merci pour lui, mais ce jeune flic sans le savoir avait vu juste vous pouvez remettre ce PV, là où il était.
- Ça c’est vous qui le dite, le flic c’est moi.
Sans vouloir vous manquer de respect, puisque je suis là, pouvez-vous me conduire là où le ou les cambrioleurs sont entrés.
- Sans soucis, j’allais vous le proposer, c’est la fenêtre du salon.
Nous franchissons les quelques mètres du couloir vers la salle à manger où elle m’a montré les tableaux de valeur et me guide vers le salon.
Pièce borgne, seule une fenêtre me permet de voir la lumière du jour.
- Permettez que j’ouvre la fenêtre, je veux voir par où il est arrivé.
- Nous attendions votre visite avant de faire venir les vitriers pour changer le carreau cassé pour qu’il puisse ouvrir.
Marc a mis un carton pour briser le froid, il a fait une erreur ?
- Non, il a bien fait par ce froid vous auriez gelé sur place sans cette protection.
J’ai failli ajouter avec le peu que vous avez sur le dos.
En passant près d’elle pour entrer dans la salle à manger, je l’ai frôlé, mon regard est tombé sur ses seins, elle avait seulement son peignoir en soie lui arrivant à mi-cuisse.
Autant Véronique mon ex en avait des petits autant cette femme du monde en a qui doivent bien remplir la main.
J’avais épousé une salope s’étant tiré avec un Arabe qu’elle avait rencontré à son club de gym, alors que lorsque j’étais jeune je regardais Paris Hollywood piquer à un copain qui lui-même l’avait piqué à son père.
À l’intérieur, je me pignolais sur les photos des plus gros seins.
En ce temps-là comme on dit, sous les partis floutées j’ignorais que les femmes cachaient leurs chattes ce que j’ai découvert plus tard.
Surtout quand j’ai vu ma sœur uriner dans la forêt.
Nous faisions une balade, elle a eu envie de pisser.
Je faisais le guet car elle avait peur d’être surprise par un passant.
J’ai entendu du bruit comme un sifflement.
Une fraction de seconde j’ai tourné ma tête.
Laure était accroupie sa culotte sur ses pieds et c’était le bruit de l’urine forçant ses grandes lèvres qui émettaient ce petit sifflement.
C’est ce jour que le floutage a disparu de mon cerveau.
Nous avions un sexe nous permettant d’uriner, elles avaient des chattes leur permettant d’en faire de même.
Je devais avoir 14 ans.
C’est plus tard avec Colette que j’ai su que ces sexes faisaient double emploi.
Fonction urinée et fonction baise pour mon plus grand plaisir.
Après Laure qui m’a défloré, il y a eu Violette sa mère, eh oui, je fais partie de ces hommes qui ont eu le plaisir de baiser la fille puis la mère.
Qui était la plus salope ou la plus pute.
Chacune sa spécialité, la fille la levrette avec des sodomies, la mère les fellations.
Paris Hollywood, je le planquais sous mon matelas jusqu’au jour où ma mère a fait le ménage de printemps retournant mon matelas sur la face été.
Ça a été la mort du journal et une engueulade car j’étais un pervers.
Ma mère était très vieille France.
J’ouvre la fenêtre.
Nous sommes à l’angle de l’immeuble.
L’angle a des panneaux saillants permettant à une personne agile de descendre par là.
Quand je regarde de l’autre côté les fenêtres donnant sur la façade c'est impossible à un homme ou une femme de monter ou de descendre.
Je fais bouger la fenêtre.
Au sol dans le soleil quelques éclats de verre se voient, bien qu’ils aient ramassé les morceaux.
- C’est moi, j’avais peur que la bonne ne se coupe, j’ai mal fait ?
- Non, mais je m’interroge, pour sortir, celui qui a cassé la vitre est bien passé par là.
Regardé sans trop vous pencher, on voit une trace de plastic sur le mur.
Il a glissé et faillit finir sur la chaussée.
Belle chute.
Il est sorti mais il a fait une erreur.
La vitre brisée.
Voilà comment il a fait, il a ouvert la fenêtre et il a dû se placer comme s’il y entrait en brisant la vitre avec son coude pour se protéger.
L’erreur ce sont ces petites particules de verre, ils y en auraient au bord du mur alors que là ils sont plus loin.
L’homme était déjà dans les lieux et a fait croire qu’il sortait.
- Commissaire.
- Inspecteur, seulement inspecteur.
Qui c’était votre amant, votre mari vous a surpris.
Vous m’avez dit que vous rentriez du restaurant quand vous avez découvert l’effraction et le bris de votre fenêtre du salon.
Vous avez réussi à faire sortir de chez vous votre époux qui vous a invité et pendant ce temps votre amant s’échappait.
- Alors, j’attends !
Je prends son bras le tenant sans lui faire mal.
- J’avoue, j’avais rencontré un jeune homme fort beau de surcroit.
Pour la première fois, étant en manque, Marc étant parti depuis plus de huit jours, j’ai eu la faiblesse de lui offrir un dernier verre.
Commissaire.
Inutile de lui dire que je suis inspecteur.
J’ai affaire à une salope qui se fait tringler par de jeunes mecs pendant l’absence de son mari.
- Commissaire, je me suis laissée caresser dans l’ascenseur alors que dans ma tête je pensais à ce que j’allais pouvoir lui offrir, à part le whisky de Marc où je savais où il le rangeait.
Il a été à la hauteur, nous avons baisé pendant un long moment.
Ces femmes, combien de maîtresses j’ai eu devenant intarissable quand elles parlent de leurs parties de jambes en l’air.
Ma bourge rentre dans ce panel.
- J’ai entendu le bruit des clefs dans la serrure alors que Benoît me prenait sur la table de la salle.
Regardez, j’avais les fesses sur ce coin.
Je l’ai fait entrer dans le petit placard servant de rangement dans cette salle.
J’ai récupéré ma petite culotte que j’ai mise tout en poussant mes vêtements sous le canapé où il m’avait déshabillé.
Le canapé, la table de la salle, j’avais raison une salope.
- Une question, votre mari vous trouvant en petite tenue après plusieurs jours d’absence, vous a-t-il sauté ?
- Commissaire, voyons mais oui, mon amant venait de décharger et c’est dans son sperme qu’il a mis sa queue sur le même coin de table que lui.
- Je vois, je vais conclure mon enquête par un adultère ayant fait croire à un cambriolage.
- Au commissaire et si l’on s’arrangeait.
Mon mari est reparti pour une semaine au Canada avec un homme influant Marocain.
Elle se colle à moi, sa main se pose sur ma bite qui réagit.
Je fais glisser son peignoir.
La soie c’est facile.
Nul besoin de lui appuyer sur les épaules, elle descend à l’étage inférieur ouvre ma braguette et sortant ma bite me fait une magnifique fellation.
Je suis à deux doigts de la comparer à Violette, mais le plaisir montant en moi, je l’ai prix dans mes bras.
Elle s’est accrochée à moi comme si elle se noyait me serrant dans le dos par ses jambes musclées.
C’est dans le parc voisin qu’elle devait se les lever.
Je l’ai porté jusqu’à la table, juste à l’endroit qu’elle m’avait montré.
Je l’ai prise la faisant jouir rapidement.
J’ai toujours fait jouir mes maîtresses surtout quand je mords ses seins comme des obus que cette femme m’a dévoilés.
C’est marrant, c’est la première fois que je baise une femme, surtout de la haute, sans savoir son nom.
- Ah, ah, ah.
C’est fait je décharge une de plus à mon tableau de chasse.
- Dis-moi commissaire on vient de baiser, j’avais envie de gueuler ton nom.
Qu’elle est ton petit nom.
- Robert.
- Jennifer, moi c’est Jennifer.
- Merde l’heure, j’ai un rapport à faire, tu as le numéro de portable de ton mari.
Il est préférable que je l’appelle.
Disant cela, je me rajuste, j’ai baisé cette salope à poils et moi simplement avec ma queue sortie de mon pantalon.
Elle remet son peignoir le laissant ouvert.
Je vais pour ouvrir la porte palière, elle me met la main sur ma main.
- Dit, pour le cambriolage, tu arranges l’affaire, surtout avec mon mari.
- Pas sur, il se peut que demain je doive encore faire quelques constatations si tu es libre Jennifer.
- Je serais toujours libre pour toi chaque fois que Marc sera en voyage.
Je te joindrais dès qu’il aura quitté les lieux.
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