COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le sexe, c’est comme le vélo, il faut toujours remonter (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le sexe, c’est comme le vélo, il faut toujours remonter (1/1)
- Bonjour jeune homme, asseyez-vous.
Alors, vous êtes le nouveau commercial de la société Picardie matériel de plomberie !
- Oui, madame, vous êtes ma première cliente.
- Josette, la dame s’appelle Josette, votre prédécesseur Pierre, nous nous connaissions depuis plus de vingt ans m’appelait Josette.
Il a commencé, il avait déjà plus de 40 ans et était devenu presque un ami.
J’espère qu’il en sera de même avec vous Christophe, si vous le permettez bien sûr.
Je connaissais Pierre depuis ses débuts.
Je tenais le secrétariat de notre société, quand moi aussi j’ai débuté et le fougueux patron qui est devenu mon mari, a su assurer ma promotion.
Femme et bras droit, ce fut notre manière de fonctionner jusqu’à, il y a deux ans.
Je lui ai succédé après son décès m’apercevant que toutes ces heures à travailler nous avions oubliés d’avoir des enfants.
- Remariez-vous et ayez un successeur.
- À mon âge, le pot est presque cassé !
- Presque, il reste une petite chance, pensez-y.
Bien nous regardons les besoins que vous avez.
Ce mois-ci, nous avons une grosse promotion sur le tube de 24 en cuivre.
Je vais être franc, c’est du chinois, c’est pour cela que nous le soldons, il a du mal à se vendre sans ce rabais.
- Merci, je prendrai donc de la production française plus sûre pour nos clients et plus rentable, car moins de malfaçons à remplacer et à gérer.
Nous continuons à regarder le catalogue que j’ai à proposer à la société de plomberie Duval dont madame Josette est la gérante.
Je viens d’être embauché par la société Picardie pour remplacer monsieur Pierre parti se reposer dans le sud.
Pour ma part, je viens de finir mon BTS technique de vente et j’ai tout le secteur nord de la France à couvrir.
Notre maison mère est à Amiens où je loue un studio.
Madame Josette est à Valenciennes à quelques kilomètres de la Belgique.
Je vais y passer la nuit dans une chambre qui sera souvent la mienne quand je serai, comme cette semaine, sur le secteur de cette ville.
Nous avons plus de clients que le jour de la semaine, c’est pour ça que notre secrétaire m’a pris ce rendez-vous à 17 heures, ce qui va me faire finir à plus de 19 heures.
Ce soir après diner, je vais essayer de voir les joies de Valencienne bye night.
Il y aura bien un bar à vins, ouvert et une petite gazelle assez effrontée pour aller dans un tel lieu le soir.
- Bien nous avons fait le tour des besoins de ma société.
Que faites-vous ce soir, vous pourriez très vite vous sentir seul dans notre ville, je peux vous inviter à manger pour cette première ?
Je regarde cette femme, un peu boulote, c’est certainement dû à l’âge, 50 ans ou même un peu plus.
- C’est possible.
- Monsieur Pierre descendait à l’hôtel des voyageurs, êtes-vous au même ?
- Oui, nos secrétaires manquent d’imagination, elles travaillent en mode répétition, à moins qu’elles touchent des rétrocommissions sur ces chambres qu’elles louent pour nous.
- Je vois l’appel du pied sur les rétrocommissions, si vous acceptez mon invitation, nous pourrions parler des petits avantages que je pourrais vous concevoir.
Surtout si vous continuez à bien me conseiller sur des éventuelles promotions qui s’avèrent être de mauvaises affaires comme pour le tuyau en cuivre de 24.
Je vais vous avouer quelque chose, vous avez toute ma sympathie, car je connaissais le problème du tube 24 chinois et il va sans dire que vous auriez eu un zéro à mettre dans la colonne de ce produit.
Bien sûr, si comme certains de vos collèges vous aviez insisté pour m’en fourguer, en face du chiffre final que vous avez sur votre bon de commande à présenter à votre chef, il serait à peu près de moitié.
La concurrence ça existe et chacun doit pouvoir vivre de son travail et de son expérience.
À 20 heures, elle est en bas dans une voiture sport Audi, ça marche dans la plomberie.
Ce qui me plait, c’est que son tailleur bon chic bon genre elle l’a remplacé par un pantalon en tissu beige avec une blouse légèrement transparente montrant un soutien-gorge, bien rempli, noir.
Vu la qualité des vêtements, comme pour le cuivre, madame Josette doit refuser d’acheter des produits « made in China », les étiquettes doivent être « made in France. »
À son bureau elle se fait un chignon qui lui donne un air sévère.
Là sa chevelure blonde tombe en cascade sur ses épaules.
Malgré notre différence d’âge, si je l’avais rencontrée dans un bar à vin ce soir, je lui aurais proposé de finir la nuit dans mon hôtel.
Le repas est sympa, mais conventionnel.
Trois pourcents, je vais percevoir trois pourcents, 12 000 cet après-midi, 360 € dans ma poche.
- Es-tu pressé à aller te coucher ?
Je connais une petite boîte ouverte jusqu’à une heure, je t’offre un verre.
Un verre et la petite piste de danse nous accueille.
Elle se coule dans mes bras et ses seins viennent se coller à mon torse.
Je bande, cette femme a du chien et sait ce qu’elle veut.
- Embrasse-moi, je sens que tu me trouves à ton goût malgré notre différence d’âge.
Nos bouches se trouvent, ma main prend son sein, encore très ferme.
Autour de nous deux couple dont l’un de lesbienne qui sont aussi attentionnés l’un pour l’autre, ou l’une pour l’autre.
- Veux-tu venir chez moi ?
Comment refusé, lorsque je l’ai vu à la sortie de mon hôtel, j’ai bien pensé que rencontrer dans un bar, je l’aurais suivi avec enthousiasme ?
- Entre Christophe, veux-tu un verre, à cette heure, on peut prévoir quelques excès.
- Les excès, c’est avec toi que je vais les faire.
C’est dans son salon que je commence à la dénuder en l’embrassant goulûment.
Ses lèvres sont pulpeuses et sa langue agile.
Depuis mes 16 ans avec une voisine de mes parents et après j’ai eu quelques conquêtes, la manière dont elle m’embrasse les dépasse toutes de deux têtes.
Elle me dénude en même temps.
On voit que la dame a de l’expérience, car mon pantalon tombe à mes pieds avec en même temps mon boxer.
Ma bouche la libère pour mieux attraper le mamelon gros et brun de son sein.
Incroyable, tout semble incroyable chez cette fille, pardon femme.
Femme, car il est impossible de faire plus femme quand mes doigts entrent dans son vagin qui est ruisselant de cyprine.
Elle s’est adossée, ses fesses à l’arrière de son canapé.
Est-ce moi ou elle qui la fait tomber en arrière ?
Ce que je peux dire, c’est que sa chatte à hauteur du coussin est entièrement à ma disposition.
Dans le mouvement que son corps fait, son sein m’échappe, mais sa fente épilée est prête à être pénétrée par ma langue.
Je m’empresse de lui pratiquer un magnifique cunnilingus facilité par les flots de cyprine qui s’en échappe.
Sans qu’elle me touche, bien que dans sa position inconfortable où elle s’est positionnée, sa main cherche ma queue.
Elle arrive à l’effleurer, mais je sens que je bande encore plus fort.
Je me redresse et ma verge bien prise en main, je lui caresse le sexe pour trouver l’entrée.
Comme je l’ai dit, c’est facile, un torrent de cyprine l’ouvre pour s’échapper.
Ma queue glisse en elle sous ses cris de plaisir.
Je lui prends les hanches pour taper le plus fort possible et d’aller le plus loin que je le peux.
Ses cris mélangés aux miens, je sais pour l’avoir vécu avec ma voisine qu’elle a un grand orgasme, la faisant éructer de plaisir en même temps que je me déverse en elle.
Je la libère, souple malgré son âge, elle fait pivoter ses fesses pour se retrouver allongé.
Je contourne le canapé, elle me tend les bras, sur son visage, son regard encore trouble me montre qu’elle a bel et bien pris son pied malgré la position.
Il nous faut récupérer jusqu’à ce que je reçoive un baiser encore plus profond que le précédent.
- Tu as été incroyable, je peux te décerner la médaille du meilleur amant que j’aie pu rencontrer.
- Sans être indiscret, tu en as eu de nombreux.
- Pour être franche aucun pendant mon mariage avec Jean .
- Alors après son décès.
- Je vais te surprendre et tu vas penser que je suis une vieille salope.
C’est le lendemain que je suis allée dans la petite boîte où je t’ai emmené.
J’avais trop vu de femme sécher comme un pruneau au décès de leur mari.
Le sexe, c’est comme le vélo, il faut toujours remonter quand on est tombé.
Depuis deux ans, je remonte souvent sur mon vélo.
Viens recommence à m’aimer.
- Oui, mademoiselle Mariane, faites entrer.
- Franck, c’est toi qu’ils ont détaché sur mon secteur après ma démission !
- Oui, et c’est loin d’être un cadeau Christophe.
J’avais réussi à décrocher le secteur bordelais depuis l’an passé après avoir été dans le nord.
À ton départ ils m’ont appelé pour me proposer ton poste.
J’ai refusé, mais ils m’ont montré la porte.
J’ai quatre gosses et il a bien fallu que je leur dise que la plage à côté de notre maison, c’est fini, nous sommes revenus à Amiens.
- C’est bon, le temps c’est de l’argent, qu’as-tu à me proposer ce mois-ci comme bonne affaire ?
- On a du tuyau en cuivre de 24 que l’on fait venir de Chine, à des prix hors de toute concurrence.
À Bordeaux, c’était mon produit-phare, tous mes plombiers se l’arrachaient.
Il va sans le dire, qu’une petite rétrocommission serait le bienvenu pour que je te fasse profiter de ce produit à saisir.
La concurrence, elle est venue une heure après par le représentant de la société Nord matériel.
La commerciale, ma vendue du tube en cuivre de 24 de fabrication française.
Je lui ai parlé d’avantages pour elle, j’ai cru qu’elle allait quitter mon bureau.
Chez Nord matériel, aucune rétrocommission au risque d’être viré.
- Chéri, depuis que nous sommes mariés et que tu gères avec moi notre société, je peux me louer de t’avoir demandé de m’épouser.
Notre chiffre d’affaires a grimpé de presque 30 %, Christophe je t’aime.
- Et moi aussi Poupette.
Oui, j’appelle ma femme Poupette, c’est plus bandant que Josette.
Excusez, je viens de sortir de mon bain après ma journée à la tête des plomberies Duval et ma chère et tendre se trouve dans notre chambre, nue sur notre lit.
Je sens que notre soirée va être chaude.
Alors, vous êtes le nouveau commercial de la société Picardie matériel de plomberie !
- Oui, madame, vous êtes ma première cliente.
- Josette, la dame s’appelle Josette, votre prédécesseur Pierre, nous nous connaissions depuis plus de vingt ans m’appelait Josette.
Il a commencé, il avait déjà plus de 40 ans et était devenu presque un ami.
J’espère qu’il en sera de même avec vous Christophe, si vous le permettez bien sûr.
Je connaissais Pierre depuis ses débuts.
Je tenais le secrétariat de notre société, quand moi aussi j’ai débuté et le fougueux patron qui est devenu mon mari, a su assurer ma promotion.
Femme et bras droit, ce fut notre manière de fonctionner jusqu’à, il y a deux ans.
Je lui ai succédé après son décès m’apercevant que toutes ces heures à travailler nous avions oubliés d’avoir des enfants.
- Remariez-vous et ayez un successeur.
- À mon âge, le pot est presque cassé !
- Presque, il reste une petite chance, pensez-y.
Bien nous regardons les besoins que vous avez.
Ce mois-ci, nous avons une grosse promotion sur le tube de 24 en cuivre.
Je vais être franc, c’est du chinois, c’est pour cela que nous le soldons, il a du mal à se vendre sans ce rabais.
- Merci, je prendrai donc de la production française plus sûre pour nos clients et plus rentable, car moins de malfaçons à remplacer et à gérer.
Nous continuons à regarder le catalogue que j’ai à proposer à la société de plomberie Duval dont madame Josette est la gérante.
Je viens d’être embauché par la société Picardie pour remplacer monsieur Pierre parti se reposer dans le sud.
Pour ma part, je viens de finir mon BTS technique de vente et j’ai tout le secteur nord de la France à couvrir.
Notre maison mère est à Amiens où je loue un studio.
Madame Josette est à Valenciennes à quelques kilomètres de la Belgique.
Je vais y passer la nuit dans une chambre qui sera souvent la mienne quand je serai, comme cette semaine, sur le secteur de cette ville.
Nous avons plus de clients que le jour de la semaine, c’est pour ça que notre secrétaire m’a pris ce rendez-vous à 17 heures, ce qui va me faire finir à plus de 19 heures.
Ce soir après diner, je vais essayer de voir les joies de Valencienne bye night.
Il y aura bien un bar à vins, ouvert et une petite gazelle assez effrontée pour aller dans un tel lieu le soir.
- Bien nous avons fait le tour des besoins de ma société.
Que faites-vous ce soir, vous pourriez très vite vous sentir seul dans notre ville, je peux vous inviter à manger pour cette première ?
Je regarde cette femme, un peu boulote, c’est certainement dû à l’âge, 50 ans ou même un peu plus.
- C’est possible.
- Monsieur Pierre descendait à l’hôtel des voyageurs, êtes-vous au même ?
- Oui, nos secrétaires manquent d’imagination, elles travaillent en mode répétition, à moins qu’elles touchent des rétrocommissions sur ces chambres qu’elles louent pour nous.
- Je vois l’appel du pied sur les rétrocommissions, si vous acceptez mon invitation, nous pourrions parler des petits avantages que je pourrais vous concevoir.
Surtout si vous continuez à bien me conseiller sur des éventuelles promotions qui s’avèrent être de mauvaises affaires comme pour le tuyau en cuivre de 24.
Je vais vous avouer quelque chose, vous avez toute ma sympathie, car je connaissais le problème du tube 24 chinois et il va sans dire que vous auriez eu un zéro à mettre dans la colonne de ce produit.
Bien sûr, si comme certains de vos collèges vous aviez insisté pour m’en fourguer, en face du chiffre final que vous avez sur votre bon de commande à présenter à votre chef, il serait à peu près de moitié.
La concurrence ça existe et chacun doit pouvoir vivre de son travail et de son expérience.
À 20 heures, elle est en bas dans une voiture sport Audi, ça marche dans la plomberie.
Ce qui me plait, c’est que son tailleur bon chic bon genre elle l’a remplacé par un pantalon en tissu beige avec une blouse légèrement transparente montrant un soutien-gorge, bien rempli, noir.
Vu la qualité des vêtements, comme pour le cuivre, madame Josette doit refuser d’acheter des produits « made in China », les étiquettes doivent être « made in France. »
À son bureau elle se fait un chignon qui lui donne un air sévère.
Là sa chevelure blonde tombe en cascade sur ses épaules.
Malgré notre différence d’âge, si je l’avais rencontrée dans un bar à vin ce soir, je lui aurais proposé de finir la nuit dans mon hôtel.
Le repas est sympa, mais conventionnel.
Trois pourcents, je vais percevoir trois pourcents, 12 000 cet après-midi, 360 € dans ma poche.
- Es-tu pressé à aller te coucher ?
Je connais une petite boîte ouverte jusqu’à une heure, je t’offre un verre.
Un verre et la petite piste de danse nous accueille.
Elle se coule dans mes bras et ses seins viennent se coller à mon torse.
Je bande, cette femme a du chien et sait ce qu’elle veut.
- Embrasse-moi, je sens que tu me trouves à ton goût malgré notre différence d’âge.
Nos bouches se trouvent, ma main prend son sein, encore très ferme.
Autour de nous deux couple dont l’un de lesbienne qui sont aussi attentionnés l’un pour l’autre, ou l’une pour l’autre.
- Veux-tu venir chez moi ?
Comment refusé, lorsque je l’ai vu à la sortie de mon hôtel, j’ai bien pensé que rencontrer dans un bar, je l’aurais suivi avec enthousiasme ?
- Entre Christophe, veux-tu un verre, à cette heure, on peut prévoir quelques excès.
- Les excès, c’est avec toi que je vais les faire.
C’est dans son salon que je commence à la dénuder en l’embrassant goulûment.
Ses lèvres sont pulpeuses et sa langue agile.
Depuis mes 16 ans avec une voisine de mes parents et après j’ai eu quelques conquêtes, la manière dont elle m’embrasse les dépasse toutes de deux têtes.
Elle me dénude en même temps.
On voit que la dame a de l’expérience, car mon pantalon tombe à mes pieds avec en même temps mon boxer.
Ma bouche la libère pour mieux attraper le mamelon gros et brun de son sein.
Incroyable, tout semble incroyable chez cette fille, pardon femme.
Femme, car il est impossible de faire plus femme quand mes doigts entrent dans son vagin qui est ruisselant de cyprine.
Elle s’est adossée, ses fesses à l’arrière de son canapé.
Est-ce moi ou elle qui la fait tomber en arrière ?
Ce que je peux dire, c’est que sa chatte à hauteur du coussin est entièrement à ma disposition.
Dans le mouvement que son corps fait, son sein m’échappe, mais sa fente épilée est prête à être pénétrée par ma langue.
Je m’empresse de lui pratiquer un magnifique cunnilingus facilité par les flots de cyprine qui s’en échappe.
Sans qu’elle me touche, bien que dans sa position inconfortable où elle s’est positionnée, sa main cherche ma queue.
Elle arrive à l’effleurer, mais je sens que je bande encore plus fort.
Je me redresse et ma verge bien prise en main, je lui caresse le sexe pour trouver l’entrée.
Comme je l’ai dit, c’est facile, un torrent de cyprine l’ouvre pour s’échapper.
Ma queue glisse en elle sous ses cris de plaisir.
Je lui prends les hanches pour taper le plus fort possible et d’aller le plus loin que je le peux.
Ses cris mélangés aux miens, je sais pour l’avoir vécu avec ma voisine qu’elle a un grand orgasme, la faisant éructer de plaisir en même temps que je me déverse en elle.
Je la libère, souple malgré son âge, elle fait pivoter ses fesses pour se retrouver allongé.
Je contourne le canapé, elle me tend les bras, sur son visage, son regard encore trouble me montre qu’elle a bel et bien pris son pied malgré la position.
Il nous faut récupérer jusqu’à ce que je reçoive un baiser encore plus profond que le précédent.
- Tu as été incroyable, je peux te décerner la médaille du meilleur amant que j’aie pu rencontrer.
- Sans être indiscret, tu en as eu de nombreux.
- Pour être franche aucun pendant mon mariage avec Jean .
- Alors après son décès.
- Je vais te surprendre et tu vas penser que je suis une vieille salope.
C’est le lendemain que je suis allée dans la petite boîte où je t’ai emmené.
J’avais trop vu de femme sécher comme un pruneau au décès de leur mari.
Le sexe, c’est comme le vélo, il faut toujours remonter quand on est tombé.
Depuis deux ans, je remonte souvent sur mon vélo.
Viens recommence à m’aimer.
- Oui, mademoiselle Mariane, faites entrer.
- Franck, c’est toi qu’ils ont détaché sur mon secteur après ma démission !
- Oui, et c’est loin d’être un cadeau Christophe.
J’avais réussi à décrocher le secteur bordelais depuis l’an passé après avoir été dans le nord.
À ton départ ils m’ont appelé pour me proposer ton poste.
J’ai refusé, mais ils m’ont montré la porte.
J’ai quatre gosses et il a bien fallu que je leur dise que la plage à côté de notre maison, c’est fini, nous sommes revenus à Amiens.
- C’est bon, le temps c’est de l’argent, qu’as-tu à me proposer ce mois-ci comme bonne affaire ?
- On a du tuyau en cuivre de 24 que l’on fait venir de Chine, à des prix hors de toute concurrence.
À Bordeaux, c’était mon produit-phare, tous mes plombiers se l’arrachaient.
Il va sans le dire, qu’une petite rétrocommission serait le bienvenu pour que je te fasse profiter de ce produit à saisir.
La concurrence, elle est venue une heure après par le représentant de la société Nord matériel.
La commerciale, ma vendue du tube en cuivre de 24 de fabrication française.
Je lui ai parlé d’avantages pour elle, j’ai cru qu’elle allait quitter mon bureau.
Chez Nord matériel, aucune rétrocommission au risque d’être viré.
- Chéri, depuis que nous sommes mariés et que tu gères avec moi notre société, je peux me louer de t’avoir demandé de m’épouser.
Notre chiffre d’affaires a grimpé de presque 30 %, Christophe je t’aime.
- Et moi aussi Poupette.
Oui, j’appelle ma femme Poupette, c’est plus bandant que Josette.
Excusez, je viens de sortir de mon bain après ma journée à la tête des plomberies Duval et ma chère et tendre se trouve dans notre chambre, nue sur notre lit.
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