COLLECTION HISTOIRE COURTE. Les blacks ! (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Les blacks ! (1/1)
Mon histoire aurait pu se retrouver dans « la collection Black » de Chris71.
Est-ce le nombre ou la longueur de cette histoire, il a préféré la mettre dans sa « la collection Histoire Courte ».
Moi je m’en balance, la chose principale, c’est qu’il écrive ce que je lui rapporte le plus précisément possible.
Vous vous souvenez peut-être de moi, je suis une jeune femme habitant sur la côte et véritable petite poupée, malgré mes vingt-cinq ans.
Blonde aux yeux bleus, je suis de celle qui fait bander les hommes d’un simple regard de moi.
Cette soirée que je vais vous la rapporter, il faut que vous l’imaginiez, au début un homme de trente ans, black de surcroit et beau comme un dieu mon voisin.
Comme je l’ai dit une poupée Barbie, libre de sa vie depuis que j’ai quitté l’homme qui je le pensais était l’homme de ma vie.
Pour clore le décor, Souma un frère jumeau de Yousef ce voisin, identique au premier et ses deux cousins Yassin et Djibril du même format boxeur catégorie poids super moyen.
Je vais un peu vite, en présentant ces quatre Réunionnais.
Au début, je m’apprête à sortir dans ma boîte habituelle où comme disent les jeunes depuis ma séparation avec mon mari, je pêche à tour de bras de quoi rassasier mon grand appétit de sexe.
Je ferme ma porte d’entrée et je range ma clef dans mon baise-en-ville.
J’ai toujours un petit sac avec un minimum de chose lorsque je vais à la pêche de verge comme je l’ai dit susceptible de me rassasier.
Devant la porte face à la mienne, Yousef, lui, ouvre sa porte pour rentrer chez lui.
• Véronique, je vois que tu pars pour une soirée dont tu as le secret !
• Oui, je vais au « Macumba » comme tous les samedis soir.
Je suis jeune et je profite de ma liberté retrouvée.
• Je rentre du boulot, une douche et moi aussi je dois m’y rendre et y retrouver mon frère et mes deux cousins.
• Veux-tu que je t’attende, je m’ennuyais étant prête alors j’ai décidé de profiter de la fraicheur du soir pour m’y rendre en prenant mon temps ?
• Entre, installe-toi dans le canapé, cinq minutes pour ma douche, j’ai déjà préparé mes affaires sur mon lit.
Veux-tu un whisky coca, je sais que c’est cela que tu bois lorsque tu es en goguette ?
Disant ces mots, Yousef prend derrière le tonneau coupé lui servant de bar, un verre, une bouteille de coca dans le petit frigo et me sert un whisky.
Il disparait, je regarde autour de moi, c’est la première fois que je rentre chez lui.
Tout est propre, il a peut-être une femme de ménage, mais à ce jour, à part son frère, aucune femme rencontrée.
Il m’a dit cinq minutes, ça lui en prend dix, mais du policier en tenue sort du couloir un bad boy avec chaîne autour du cou sur une chemise blanche au col ouvert.
Lunette de soleil cachant ses yeux et bien sûr jean sur bottes de cuir.
• Fini ton verre on y va.
Le couloir, il claque sa porte, l’escalier, nous sommes au premier d’un immeuble neuf qui en comprend trois.
La rue, la nuit est là, nous avons un peu plus d’un kilomètre à faire pour nous retrouver devant l’entrée de la boîte, qui brille des mille feux de son enseigne au néon.
En chemin je rencontre une petite mémé qui semble offusquée de voir une poupée blonde avec ce grand black qui fait mauvais garçon.
• Bonsoir Youssef, ton frère est arrivé avec tes cousins, bonne soirée.
• Merci Mohamed, Véronique est avec moi.
• Sans problème, madame Véronique passez une bonne soirée vous aussi.
Mohamed, c’est le videur du club « Macumba ».
Même carrure que mon chevalier servant avec plus de ventre.
C’est plein dans la boîte comme tous les samedis soir, 200, 300 personnes, c’est facile pour moi de trouver un cavalier de fin de nuit qui va me ramoner la façade et entretenir pour une semaine mes parties intimes.
Depuis mon divorce et ma première visite à ce club, quatre, non, cinq mecs qui m’ont chauffé et avec qui j’ai fini la nuit.
Quatre bons coups et un connard ayant déchargé en cinq secondes me frustrant si je suis rapide à m’enflammer du clitoris, il faut le stimuler quelques minutes ce qui a été loin d’être le cas.
Par chance, nous étions sur le parking de la boîte dans sa voiture et la capote qu’il a remplie, je me fais baiser toujours couverte, a rejoint le caniveau pendant que je rejoignais mon chez-moi.
Comment s’appelait-il ce puceau, car au matin lorsque je me suis fait jouir avec « prospère » mon gode, je me demandais quel nom il m’avait donné ?
J’ai deux copains fidèles dans ma chambre, « prospère » je viens de dire qui il était et mon « doudou » mon ours en peluche, que j’ai depuis ma naissance.
Il lui manque un œil, il est dans ma table de nuit, je dois lui recoudre, outre que la couture et moi ça fait deux, avec deux yeux, ce serait un autre que Doudou.
C’est lui qui est une partie de la cause de mon divorce, vingt-cinq ans après, il m’est impossible de m’endormir sans qu’il soit dans mes bras.
À l’intérieur, je retrouve le frère et les deux cousins, j’ai déjà défleuré le sujet en parlant d’eux, ils ont un coin semblant leur être réservés, je les ai déjà vus dans les semaines passées.
• Whisky coca pour tout le monde Susy.
Ça, c’est la première tournée, je suis là pour draguer, mais je pense que ce soir, Youssef fera bien l’affaire, mais aussi pour danser, j’aime me trémousser au rythme mis par le DJ, ce soir soirée spéciale « Bob Sinclar. »
Avant ma première soirée, j’ai su que « David Guetta. »
Bob Sinclar, je le suivrais bien jusque dans sa chambre d’hôtel qui doit lui être réservée après sa prestation.
Mais malgré que je sois une poupée Barbie, nous sommes au moins une centaine à penser la même chose, même un moment où je danse non loin de lui où il mixte, il aurait pu me repérer.
Qui des quatre garçons avec qui je danse, je leur frôle le sexe avec mes jolies petites fesses ?
Technique infaillible pour déclencher l’envie de mon partenaire d’un soir, pardon d’une fin de soirée, là ils sont quatre, j’ai des envies de l’impossible, me faire baiser par quatre montagnes et qui de plus son black.
• Bonsoir Véronique, tu me remets, Claude, l’autre fois nous avons été dans ma voiture.
Claude, c’est ça, c’est lui le puceau dont j’avais oublié le nom, hélas pour lui, je suis la convoitise de quatre forces de la nature, deux mains l’empoigne et il comprend qu’il doit passer son chemin.
Danse, whisky coca, la soirée est à son terme, Bob salue son public et dans un dernier morceau, retour vers ma demeure.
Je suis crevée et un peu, beaucoup bourré.
Youssef me prend sur ses épaules, l’un des trois autres garçons pourrait me dire que ma mini blanche est remontée et que les rares passants qui nous suivent voient mon cul et mon string.
Mes jambes entourant son abdomen, elle repose sur sa queue que je sens déjà tendue certainement dû à leur frottement.
Nous montons à l’étage, je vois la porte s’ouvrir et le canapé d’où je suis partie après avoir bu mon premier verre.
Les trois s’asseyent sauf Youssef, qui me pose sur les genoux d’un des trois.
Inutiles de me demander son nom et va nous reservir à boire.
De grosses lèvres viennent se poser sur mes lèvres, là aussi je sens une queue tendue sous mes fesses.
Le deuxième m’attire à lui et comme tous ont de grosses lèvres, la poupée que je suis, est ballottée de l'un à l’autre.
Mes vêtements me quittent, comment puis-je être une aussi grande salope pour me laisser faire finissant à quatre pattes devant chacun à leur sucer leurs verges.
Elles sont si conséquentes qu’avec les autres et aussi mon mari, j’arrivais à leur faire des gorges profondes.
Là me rendant compte que je baise avec quatre blacks, ce que je fais me dégrise, mais pas suffisamment pour lorsqu’ils me prennent chacun par où ils le peuvent, même la sodo, c’est moi qui leur demande.
Combien de fois, ai-je joui ?
Inutile de compter, j’ai l’impression ce dimanche vers 17 heures à mon réveil qu’un train m’est passé dessus, mais un train de plaisir et de jouissance.
Je suis dans mon lit doudou dans mes bras.
Je me souviens vaguement que l’un d’entre eux, certainement Youssef m’ayant baigné, me passant la savonnette là où j’avais été défoncé, pénétré, massacré pour mon plus grand plaisir par quatre bites gigantesques.
Je me lève, un peu la gueule de bois, j’ai faim, je vais me passe de l’eau sur ma figure, la baignoire est pleine, j’aurais pu rêver ce bain, mais non l’un d’entre eux la fait.
Biscote, deux, café au lait, deux, biscote avec beurre sorti du frigo et marmelade d’oranges.
Tous les mercredis, je vais faire mes courses, je suis folle de la marmelade d’oranges, j’en ai toujours quatre cinq pots dans mon frigo.
Je me suis réveillée nue, je suis nue chez moi, ils leur auraient été impossibles de trouver un vêtement de nuit.
Malgré les heures où j’ai dormi pour récupérer, le lundi je suis d’attaque pour retourner au travail.
J’ai simplement un peu mal au cul, mon mari m’avait appris la sodomie, mais les doubles pénétrations, j’allais dire « subits, » non acceptées avec les grosses bites des jumeaux et des cousins, tous montés comme des taureaux.
Ça me rappelle la fin de nuit du samedi soir, voir plutôt le dimanche matin que j’ai pratiqué dans la suite de ma sortie en boîte.
• Bonjour Youssef, tu as remis ta tenue, tu vas prendre ton service !
• Oui, la police doit être présente 24 heures sur 24, dis-moi, samedi prochain, es-tu partante pour venir avec nous passer la soirée au « Macumba » !
• Pourquoi pas, si vous êtes encore tous les quatre, passez me chercher, je serais prête !
Je sais, j’ai soutenu que depuis mon divorce, je change de partenaires chaque fois !
Je peux faire une exception, ils sont quatre, je peux dire que ce samedi, c’est Youssef qui était le chef de file de ces bads boys.
Samedi prochain, ce sera Souma, suivi des cousins, ça me laisse du temps pour profiter de leurs magnifiques attributs.
Cette boîte, le « Macumba » toute lumière éteinte, je passe devant pour rejoindre mon travail.
• Bonjour madame, Pierre as-tu passé un bon week-end.
• Oui madame, j’étais chez ma grand-mère.
Cette grand-mère, c’est la dame que j’ai croisée alors que j’étais avec Youssef en route pour ma nuit orgiaque.
Je suis prof des écoles, classe de CM1, il y a des salopes dans tous les corps de métiers.
Les samedis soir et pendant mes vacances toutes les sept semaines, depuis mon divorce, je tiens à les assumer comme je les entends, même si c’est avec quatre blacks.
Est-ce le nombre ou la longueur de cette histoire, il a préféré la mettre dans sa « la collection Histoire Courte ».
Moi je m’en balance, la chose principale, c’est qu’il écrive ce que je lui rapporte le plus précisément possible.
Vous vous souvenez peut-être de moi, je suis une jeune femme habitant sur la côte et véritable petite poupée, malgré mes vingt-cinq ans.
Blonde aux yeux bleus, je suis de celle qui fait bander les hommes d’un simple regard de moi.
Cette soirée que je vais vous la rapporter, il faut que vous l’imaginiez, au début un homme de trente ans, black de surcroit et beau comme un dieu mon voisin.
Comme je l’ai dit une poupée Barbie, libre de sa vie depuis que j’ai quitté l’homme qui je le pensais était l’homme de ma vie.
Pour clore le décor, Souma un frère jumeau de Yousef ce voisin, identique au premier et ses deux cousins Yassin et Djibril du même format boxeur catégorie poids super moyen.
Je vais un peu vite, en présentant ces quatre Réunionnais.
Au début, je m’apprête à sortir dans ma boîte habituelle où comme disent les jeunes depuis ma séparation avec mon mari, je pêche à tour de bras de quoi rassasier mon grand appétit de sexe.
Je ferme ma porte d’entrée et je range ma clef dans mon baise-en-ville.
J’ai toujours un petit sac avec un minimum de chose lorsque je vais à la pêche de verge comme je l’ai dit susceptible de me rassasier.
Devant la porte face à la mienne, Yousef, lui, ouvre sa porte pour rentrer chez lui.
• Véronique, je vois que tu pars pour une soirée dont tu as le secret !
• Oui, je vais au « Macumba » comme tous les samedis soir.
Je suis jeune et je profite de ma liberté retrouvée.
• Je rentre du boulot, une douche et moi aussi je dois m’y rendre et y retrouver mon frère et mes deux cousins.
• Veux-tu que je t’attende, je m’ennuyais étant prête alors j’ai décidé de profiter de la fraicheur du soir pour m’y rendre en prenant mon temps ?
• Entre, installe-toi dans le canapé, cinq minutes pour ma douche, j’ai déjà préparé mes affaires sur mon lit.
Veux-tu un whisky coca, je sais que c’est cela que tu bois lorsque tu es en goguette ?
Disant ces mots, Yousef prend derrière le tonneau coupé lui servant de bar, un verre, une bouteille de coca dans le petit frigo et me sert un whisky.
Il disparait, je regarde autour de moi, c’est la première fois que je rentre chez lui.
Tout est propre, il a peut-être une femme de ménage, mais à ce jour, à part son frère, aucune femme rencontrée.
Il m’a dit cinq minutes, ça lui en prend dix, mais du policier en tenue sort du couloir un bad boy avec chaîne autour du cou sur une chemise blanche au col ouvert.
Lunette de soleil cachant ses yeux et bien sûr jean sur bottes de cuir.
• Fini ton verre on y va.
Le couloir, il claque sa porte, l’escalier, nous sommes au premier d’un immeuble neuf qui en comprend trois.
La rue, la nuit est là, nous avons un peu plus d’un kilomètre à faire pour nous retrouver devant l’entrée de la boîte, qui brille des mille feux de son enseigne au néon.
En chemin je rencontre une petite mémé qui semble offusquée de voir une poupée blonde avec ce grand black qui fait mauvais garçon.
• Bonsoir Youssef, ton frère est arrivé avec tes cousins, bonne soirée.
• Merci Mohamed, Véronique est avec moi.
• Sans problème, madame Véronique passez une bonne soirée vous aussi.
Mohamed, c’est le videur du club « Macumba ».
Même carrure que mon chevalier servant avec plus de ventre.
C’est plein dans la boîte comme tous les samedis soir, 200, 300 personnes, c’est facile pour moi de trouver un cavalier de fin de nuit qui va me ramoner la façade et entretenir pour une semaine mes parties intimes.
Depuis mon divorce et ma première visite à ce club, quatre, non, cinq mecs qui m’ont chauffé et avec qui j’ai fini la nuit.
Quatre bons coups et un connard ayant déchargé en cinq secondes me frustrant si je suis rapide à m’enflammer du clitoris, il faut le stimuler quelques minutes ce qui a été loin d’être le cas.
Par chance, nous étions sur le parking de la boîte dans sa voiture et la capote qu’il a remplie, je me fais baiser toujours couverte, a rejoint le caniveau pendant que je rejoignais mon chez-moi.
Comment s’appelait-il ce puceau, car au matin lorsque je me suis fait jouir avec « prospère » mon gode, je me demandais quel nom il m’avait donné ?
J’ai deux copains fidèles dans ma chambre, « prospère » je viens de dire qui il était et mon « doudou » mon ours en peluche, que j’ai depuis ma naissance.
Il lui manque un œil, il est dans ma table de nuit, je dois lui recoudre, outre que la couture et moi ça fait deux, avec deux yeux, ce serait un autre que Doudou.
C’est lui qui est une partie de la cause de mon divorce, vingt-cinq ans après, il m’est impossible de m’endormir sans qu’il soit dans mes bras.
À l’intérieur, je retrouve le frère et les deux cousins, j’ai déjà défleuré le sujet en parlant d’eux, ils ont un coin semblant leur être réservés, je les ai déjà vus dans les semaines passées.
• Whisky coca pour tout le monde Susy.
Ça, c’est la première tournée, je suis là pour draguer, mais je pense que ce soir, Youssef fera bien l’affaire, mais aussi pour danser, j’aime me trémousser au rythme mis par le DJ, ce soir soirée spéciale « Bob Sinclar. »
Avant ma première soirée, j’ai su que « David Guetta. »
Bob Sinclar, je le suivrais bien jusque dans sa chambre d’hôtel qui doit lui être réservée après sa prestation.
Mais malgré que je sois une poupée Barbie, nous sommes au moins une centaine à penser la même chose, même un moment où je danse non loin de lui où il mixte, il aurait pu me repérer.
Qui des quatre garçons avec qui je danse, je leur frôle le sexe avec mes jolies petites fesses ?
Technique infaillible pour déclencher l’envie de mon partenaire d’un soir, pardon d’une fin de soirée, là ils sont quatre, j’ai des envies de l’impossible, me faire baiser par quatre montagnes et qui de plus son black.
• Bonsoir Véronique, tu me remets, Claude, l’autre fois nous avons été dans ma voiture.
Claude, c’est ça, c’est lui le puceau dont j’avais oublié le nom, hélas pour lui, je suis la convoitise de quatre forces de la nature, deux mains l’empoigne et il comprend qu’il doit passer son chemin.
Danse, whisky coca, la soirée est à son terme, Bob salue son public et dans un dernier morceau, retour vers ma demeure.
Je suis crevée et un peu, beaucoup bourré.
Youssef me prend sur ses épaules, l’un des trois autres garçons pourrait me dire que ma mini blanche est remontée et que les rares passants qui nous suivent voient mon cul et mon string.
Mes jambes entourant son abdomen, elle repose sur sa queue que je sens déjà tendue certainement dû à leur frottement.
Nous montons à l’étage, je vois la porte s’ouvrir et le canapé d’où je suis partie après avoir bu mon premier verre.
Les trois s’asseyent sauf Youssef, qui me pose sur les genoux d’un des trois.
Inutiles de me demander son nom et va nous reservir à boire.
De grosses lèvres viennent se poser sur mes lèvres, là aussi je sens une queue tendue sous mes fesses.
Le deuxième m’attire à lui et comme tous ont de grosses lèvres, la poupée que je suis, est ballottée de l'un à l’autre.
Mes vêtements me quittent, comment puis-je être une aussi grande salope pour me laisser faire finissant à quatre pattes devant chacun à leur sucer leurs verges.
Elles sont si conséquentes qu’avec les autres et aussi mon mari, j’arrivais à leur faire des gorges profondes.
Là me rendant compte que je baise avec quatre blacks, ce que je fais me dégrise, mais pas suffisamment pour lorsqu’ils me prennent chacun par où ils le peuvent, même la sodo, c’est moi qui leur demande.
Combien de fois, ai-je joui ?
Inutile de compter, j’ai l’impression ce dimanche vers 17 heures à mon réveil qu’un train m’est passé dessus, mais un train de plaisir et de jouissance.
Je suis dans mon lit doudou dans mes bras.
Je me souviens vaguement que l’un d’entre eux, certainement Youssef m’ayant baigné, me passant la savonnette là où j’avais été défoncé, pénétré, massacré pour mon plus grand plaisir par quatre bites gigantesques.
Je me lève, un peu la gueule de bois, j’ai faim, je vais me passe de l’eau sur ma figure, la baignoire est pleine, j’aurais pu rêver ce bain, mais non l’un d’entre eux la fait.
Biscote, deux, café au lait, deux, biscote avec beurre sorti du frigo et marmelade d’oranges.
Tous les mercredis, je vais faire mes courses, je suis folle de la marmelade d’oranges, j’en ai toujours quatre cinq pots dans mon frigo.
Je me suis réveillée nue, je suis nue chez moi, ils leur auraient été impossibles de trouver un vêtement de nuit.
Malgré les heures où j’ai dormi pour récupérer, le lundi je suis d’attaque pour retourner au travail.
J’ai simplement un peu mal au cul, mon mari m’avait appris la sodomie, mais les doubles pénétrations, j’allais dire « subits, » non acceptées avec les grosses bites des jumeaux et des cousins, tous montés comme des taureaux.
Ça me rappelle la fin de nuit du samedi soir, voir plutôt le dimanche matin que j’ai pratiqué dans la suite de ma sortie en boîte.
• Bonjour Youssef, tu as remis ta tenue, tu vas prendre ton service !
• Oui, la police doit être présente 24 heures sur 24, dis-moi, samedi prochain, es-tu partante pour venir avec nous passer la soirée au « Macumba » !
• Pourquoi pas, si vous êtes encore tous les quatre, passez me chercher, je serais prête !
Je sais, j’ai soutenu que depuis mon divorce, je change de partenaires chaque fois !
Je peux faire une exception, ils sont quatre, je peux dire que ce samedi, c’est Youssef qui était le chef de file de ces bads boys.
Samedi prochain, ce sera Souma, suivi des cousins, ça me laisse du temps pour profiter de leurs magnifiques attributs.
Cette boîte, le « Macumba » toute lumière éteinte, je passe devant pour rejoindre mon travail.
• Bonjour madame, Pierre as-tu passé un bon week-end.
• Oui madame, j’étais chez ma grand-mère.
Cette grand-mère, c’est la dame que j’ai croisée alors que j’étais avec Youssef en route pour ma nuit orgiaque.
Je suis prof des écoles, classe de CM1, il y a des salopes dans tous les corps de métiers.
Les samedis soir et pendant mes vacances toutes les sept semaines, depuis mon divorce, je tiens à les assumer comme je les entends, même si c’est avec quatre blacks.
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