COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma belle-mère protège sa fille (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma belle-mère protège sa fille (1/1)
• Augustin, France m’a prévenu que le docteur pour la fin de sa grossesse lui impose pendant presque cinq mois la position allongée avec le minimum de positions debout.
Elle va être obligée de rester dans votre chambre et vous Augustin devrez vous contenter du canapé.
• Marie, vous vous trompez, j’ai la chambre d’amis à ma disposition à côté de celle de ma femme.
• Non, c’est vous qui vous trompez Augustin, je viens de voir avec Grégoire, votre beau-père, je prends la route et dans 8 heures je serais chez vous pour m’occuper de ma fille et de vous.
• Je peux le faire, je suis capable de m’occuper d’elle, je vais m’arranger dans mon travail.
• Augustin, Grégoire tient à ce que je vienne, de toute façon, je suis sur la route, je vous entends avec mon kit mains libres.
C’est foutu, je vais devoir me farcir belle maman pendant le reste de la grossesse de ma femme.
Belle maman est une très belle femme, ma femme tient d’elle, mais je peux dire que c’est une emmerdante de première chaque fois qu’elle vient nous voir.
Le plus drôle, c’est qu’elle prend toujours Grégoire à témoin, ça semble le cas encore aujourd’hui.
Lui dit amen à tout ce qu’elle dit, car il y a longtemps qu’il a compris la poloche et souhaite vivre pénard, sa principale activité, la pêche qu’il pratique dans le lac de Clairvaux.
France et moi, dès le début de notre relation avons souhaité éviter d’être nommé loin d’elle et grâce à notre métier commun.
Nous sommes des instits, sans qu’elle le sache, nous nous sommes fait affecter près de Toulouse.
Hélas, il y a les autoroutes, surtout ceux à péage qu’elle emprunte chaque fois que sa fille lui parle d’un problème.
Séjour relativement cour chaque fois, mais là, la grossesse de ma femme est le piège que je suis dans l’impossibilité de contourner.
• Bonjour Augustin, inutile de me demander si j’ai fait bon voyage, comme d’habitude, des camions, des camions et encore des camions.
J’ai entendu dire que si à un moment « T » on les mettrait cul à cul, le ruban irait de Paris à Nice, je suis sûr qu’ils se trompent, ils passeraient la frontière avec l’Italie.
Voici le genre de truc qui m’insupporte, je n’en ai rien à glander de la longueur des camions et de leurs fumées d’échappement.
Bref trois jours quelle est là et j’en ai déjà ras la casquette.
Ce soir, télé, que faire de plus, ce sont les grandes vacances et France est bordée pour la nuit.
Terrasse de notre villa, la piscine est là devant nous, nous sommes tous les deux en maillot de bain dans ce soir descendant.
Je décide d’aller me baigner avant de rejoindre mon canapé.
Quoique, depuis deux jours, je dorme à la belle étoile sur le lit de jardin où France vient de temps en temps question de prendre l’air.
Privé de chambre, mais aussi privée de clim, seules nos chambres sont climatisées, nous avons acheté la maison comme ça, sans penser à en mettre partout.
Je nage lentement, je veux me rafraichir et non me crever à faire une performance, je la vois qui me rejoint, féline autant que l’on peut l’être surtout avec ses longues jambes.
Nous nageons de concert jusqu’au retour aux marches permettant de rentrer ou de sortir et c’est avec de l’eau jusqu’à une grande partie de nos corps que la conversation s’engage.
• Dites-moi Augustin, comment faite vous pendant le temps où France doit arrêter vos rapports, c’est supportable ?
• Marie, quelle question saugrenue et déplacée dans votre bouche, comme l’on dit, je mets un nœud à ma queue, excusez ma vulgarité.
Mais, pourquoi cette question vous est-elle venue à l’esprit ?
• C’est simple lors de nos échanges ma fille m’a souvent dit que vous étiez porté sur la chose et ça vous est interdit jusqu’à la naissance de mon petit-fils.
Dès qu’elle a su que France était enceinte, elle s’est mise dans l’idée que c’était un garçon.
« Aujourd’hui, c’est sûr et certain, Yolande tu le portes sur l’avant, c’est un garçon que vous attendez. »
Résultat, la tante Yolande, s’est retrouvé avec six filles, ça c’est sûr et certain.
• Et vous avez peur pour elle que j’aille compter fleurettes à une autre femme que celle que j’aime profondément !
Si c’est le cas, ça cache un profond malaise de ce qui se serait passé dans votre propre vie !
• C’est vrai, j’étais enceinte avec des problèmes bien moins contraignants que ceux de France et Grégoire comme vous a dû faire un nœud avec sa queue.
Nous avions une jeune bonne dans ces années-là et le besoin de sexe a fait qu’il a été dans l’impossibilité de laisser son nœud sur sa queue.
Il m’a trompé avec cette fille pendant les mois de mon incapacité à baiser.
Tout en parlant la main de Marie s’avance vers mon slip de bain.
J’ai très bien compris où belle maman veut en venir et je dois admettre que ma queue est loin de faire un nœud.
Elle est droite comme la justice et je sens même sa tête dépasser l’élastique du maillot semblant dire à cette femme, coucou je suis là.
J’essaye de penser à autre chose, des fois qu’elle ait la bonne idée de rentrer se cacher là où elle aurait dû toujours rester.
• Grégoire t’a trompé avec cette petite pétasse !
• Pétasse, c’est bien le mot, elle avait des seins bien moins appétissants que ceux que tu vois là, regarde ce que je t’offre pour éviter que tu ne sois tenté d’aller courtiser une autre fille.
Une nouvelle fois, un propos, un geste pour mettre en phase mots et situation.
Elle dégrafe son haut de maillot laissant jaillir devant mes yeux deux roberts, deux melons dont les tétines se terminent en forme de poire.
À y bien regarder, quelques petites vergetures sont visibles sur les côtés, loin de me les faire repousser.
J’étais à deux doigts de lui échapper désirant me relever lorsqu’elle me prend par la nuque et me plaque contre elle.
Au moment de l’impact avec son sein droit, pourquoi ai-je ouvert ma bouche saisissant sa fraise, ça je l’ignore.
Si ma langue s’était contentée de la lécher voir de la mordiller, j’aurais pu certainement reprendre le contrôle de la situation.
Mais, hélas, sa main est venue se reposer sur ma queue qui s’est tendue de plus belle.
Elle la sort et se laissant glisser comme un crocodile le ferait pour mieux attaquer sa proie, sa bouche se retrouve, m’ayant fait lâcher le morceau à bonne hauteur pour m’avaler en me masturbant.
Se faire sucer par sa belle-mère, même par esprit de famille, un grand nombre de mes congénères s’étant trouvée en cette même situation, doit savoir de quoi je parle.
Ce n’est pas moi, c’est elle, c’est ce que je pourrais dire si j’étais pris sur le fait par France qui dort à quelques mètres de nous.
Il est vrai, que depuis quelques jours, le manque de sexe commence à me tarauder la partie inférieure de mon corps.
Seule, une simple pensée et je me tends.
• Tu vois, c’est facile, je suis là à ton service autant que tu voudras faire l’amour et quand tout sera rentré dans l’ordre avec ma fille, je rejoindrais Grégoire et je retrouverais ma vie de none.
Tu sais, ton beau-père est vieillissant et a de plus en plus de mal à tendre le bras.
Marie, qui a que de nom celui d’une vierge, a lâché ma queue avec sa bouche, mais continue à me masturber en me tenant ces propos.
Elle lève ses yeux de biches vers moi ce qui me fait continuer à la baiser alors que j’aurais pu arrêter nos jeux plutôt salaces.
• Oui, baise-moi, bien à fond, je suis une salope qui aime se faire baiser par une belle bite comme la tienne, Augustin !
Tu vois que j’ai bien fait de venir, non d’un chien, ma fille a de la chance de profiter de ta bite, tu me baises comme une reine.
Eh oui, j’ai craqué, j’ai aidé Marie à se redresser lui prenant sa bouche au passage.
Avant de l’aider à remonter les marches et de la conduire jusqu’au lit de jardin où France se repose après être descendue de notre chambre.
Cinq mois, c’est long et cours à la fois, lorsque l’on a à sa disposition un trou avec des poils et qui sent la cyprine.
Marie chaque fois que je le désire, se laisse bouffer la chatte, mais aujourd’hui j’ai décidé de voir jusqu’à ou elle est prête à aller pour que je reste fidèle à sa fille.
• Eh, qu’est-ce que tu fais, enlève-moi ce gland de l’endroit où tu viens de le mettre Augustin.
Pour voir jusqu’à ou va l’abnégation de ma belle-mère envers sa fille, je viens de la placer en levrette les seins sur la table de la cuisine, pour lui taquiner le cul avec mon gland.
• Belle maman, tu sais, hier à mon travail, Julie la secrétaire du patron est venue dans mon bureau et m’a proposé implicitement de me rendre le même service que celui que tu rends à ta fille !
Je l’ai éconduit, mais...
Je pousse en avant mon gland pénétrant de quelques centimètres dans son anus.
Plus aucune récrimination, je sens son cul taper sur mes couilles, je suis profondément enfoncé dans le rectum de Marie.
Toute chose a sa fin, F.I.N.
Marie est insatiable à quelques jours de l’accouchement de sa fille, sexuellement elle a une faim de loup, faim, F.A.I.M.
• Maman comment vas-tu, je te vois alors qu’avec Augustin et Jules nous sommes à plus de 15 000 kilomètres de toi ?
• France, si tu savais comme je m’ennuie, j’espère qu’Augustin est en forme !
Augustin après plusieurs mois à baiser Marie ma belle-mère a pris conscience qu’il nous fallait mettre de la distance entre nous et cette obsédée du cul.
L’accouchement de ma femme n’ayant, en rien, freiné ses envies de ma bite.
Un poste pour un couple, même avec enfants étant à pourvoir dans l’île de Moorea, j’ai fait jouer des appuis pour que nous l’ayons.
C’est au prix d’une longue distance que j’espère avoir remise de la sérénité dans mon couple, ma femme ayant repris sa place d’amante, aimant le cul auprès de moi.
Je suis lucide, France voudrait d’autres enfants, je lui dis peut-être sans pour autant lui faire enlever sa protection empêchant ses grossesses.
Prenant comme motif que la première a été trop astreignante pour elle.
Je suis faux cul et lucide, je refuse d’entendre belle-maman me dire malgré la distance.
• Augustin, France m’a prévenue de sa nouvelle grossesse, je saute dans un avion et j’arrive !
Elle va être obligée de rester dans votre chambre et vous Augustin devrez vous contenter du canapé.
• Marie, vous vous trompez, j’ai la chambre d’amis à ma disposition à côté de celle de ma femme.
• Non, c’est vous qui vous trompez Augustin, je viens de voir avec Grégoire, votre beau-père, je prends la route et dans 8 heures je serais chez vous pour m’occuper de ma fille et de vous.
• Je peux le faire, je suis capable de m’occuper d’elle, je vais m’arranger dans mon travail.
• Augustin, Grégoire tient à ce que je vienne, de toute façon, je suis sur la route, je vous entends avec mon kit mains libres.
C’est foutu, je vais devoir me farcir belle maman pendant le reste de la grossesse de ma femme.
Belle maman est une très belle femme, ma femme tient d’elle, mais je peux dire que c’est une emmerdante de première chaque fois qu’elle vient nous voir.
Le plus drôle, c’est qu’elle prend toujours Grégoire à témoin, ça semble le cas encore aujourd’hui.
Lui dit amen à tout ce qu’elle dit, car il y a longtemps qu’il a compris la poloche et souhaite vivre pénard, sa principale activité, la pêche qu’il pratique dans le lac de Clairvaux.
France et moi, dès le début de notre relation avons souhaité éviter d’être nommé loin d’elle et grâce à notre métier commun.
Nous sommes des instits, sans qu’elle le sache, nous nous sommes fait affecter près de Toulouse.
Hélas, il y a les autoroutes, surtout ceux à péage qu’elle emprunte chaque fois que sa fille lui parle d’un problème.
Séjour relativement cour chaque fois, mais là, la grossesse de ma femme est le piège que je suis dans l’impossibilité de contourner.
• Bonjour Augustin, inutile de me demander si j’ai fait bon voyage, comme d’habitude, des camions, des camions et encore des camions.
J’ai entendu dire que si à un moment « T » on les mettrait cul à cul, le ruban irait de Paris à Nice, je suis sûr qu’ils se trompent, ils passeraient la frontière avec l’Italie.
Voici le genre de truc qui m’insupporte, je n’en ai rien à glander de la longueur des camions et de leurs fumées d’échappement.
Bref trois jours quelle est là et j’en ai déjà ras la casquette.
Ce soir, télé, que faire de plus, ce sont les grandes vacances et France est bordée pour la nuit.
Terrasse de notre villa, la piscine est là devant nous, nous sommes tous les deux en maillot de bain dans ce soir descendant.
Je décide d’aller me baigner avant de rejoindre mon canapé.
Quoique, depuis deux jours, je dorme à la belle étoile sur le lit de jardin où France vient de temps en temps question de prendre l’air.
Privé de chambre, mais aussi privée de clim, seules nos chambres sont climatisées, nous avons acheté la maison comme ça, sans penser à en mettre partout.
Je nage lentement, je veux me rafraichir et non me crever à faire une performance, je la vois qui me rejoint, féline autant que l’on peut l’être surtout avec ses longues jambes.
Nous nageons de concert jusqu’au retour aux marches permettant de rentrer ou de sortir et c’est avec de l’eau jusqu’à une grande partie de nos corps que la conversation s’engage.
• Dites-moi Augustin, comment faite vous pendant le temps où France doit arrêter vos rapports, c’est supportable ?
• Marie, quelle question saugrenue et déplacée dans votre bouche, comme l’on dit, je mets un nœud à ma queue, excusez ma vulgarité.
Mais, pourquoi cette question vous est-elle venue à l’esprit ?
• C’est simple lors de nos échanges ma fille m’a souvent dit que vous étiez porté sur la chose et ça vous est interdit jusqu’à la naissance de mon petit-fils.
Dès qu’elle a su que France était enceinte, elle s’est mise dans l’idée que c’était un garçon.
« Aujourd’hui, c’est sûr et certain, Yolande tu le portes sur l’avant, c’est un garçon que vous attendez. »
Résultat, la tante Yolande, s’est retrouvé avec six filles, ça c’est sûr et certain.
• Et vous avez peur pour elle que j’aille compter fleurettes à une autre femme que celle que j’aime profondément !
Si c’est le cas, ça cache un profond malaise de ce qui se serait passé dans votre propre vie !
• C’est vrai, j’étais enceinte avec des problèmes bien moins contraignants que ceux de France et Grégoire comme vous a dû faire un nœud avec sa queue.
Nous avions une jeune bonne dans ces années-là et le besoin de sexe a fait qu’il a été dans l’impossibilité de laisser son nœud sur sa queue.
Il m’a trompé avec cette fille pendant les mois de mon incapacité à baiser.
Tout en parlant la main de Marie s’avance vers mon slip de bain.
J’ai très bien compris où belle maman veut en venir et je dois admettre que ma queue est loin de faire un nœud.
Elle est droite comme la justice et je sens même sa tête dépasser l’élastique du maillot semblant dire à cette femme, coucou je suis là.
J’essaye de penser à autre chose, des fois qu’elle ait la bonne idée de rentrer se cacher là où elle aurait dû toujours rester.
• Grégoire t’a trompé avec cette petite pétasse !
• Pétasse, c’est bien le mot, elle avait des seins bien moins appétissants que ceux que tu vois là, regarde ce que je t’offre pour éviter que tu ne sois tenté d’aller courtiser une autre fille.
Une nouvelle fois, un propos, un geste pour mettre en phase mots et situation.
Elle dégrafe son haut de maillot laissant jaillir devant mes yeux deux roberts, deux melons dont les tétines se terminent en forme de poire.
À y bien regarder, quelques petites vergetures sont visibles sur les côtés, loin de me les faire repousser.
J’étais à deux doigts de lui échapper désirant me relever lorsqu’elle me prend par la nuque et me plaque contre elle.
Au moment de l’impact avec son sein droit, pourquoi ai-je ouvert ma bouche saisissant sa fraise, ça je l’ignore.
Si ma langue s’était contentée de la lécher voir de la mordiller, j’aurais pu certainement reprendre le contrôle de la situation.
Mais, hélas, sa main est venue se reposer sur ma queue qui s’est tendue de plus belle.
Elle la sort et se laissant glisser comme un crocodile le ferait pour mieux attaquer sa proie, sa bouche se retrouve, m’ayant fait lâcher le morceau à bonne hauteur pour m’avaler en me masturbant.
Se faire sucer par sa belle-mère, même par esprit de famille, un grand nombre de mes congénères s’étant trouvée en cette même situation, doit savoir de quoi je parle.
Ce n’est pas moi, c’est elle, c’est ce que je pourrais dire si j’étais pris sur le fait par France qui dort à quelques mètres de nous.
Il est vrai, que depuis quelques jours, le manque de sexe commence à me tarauder la partie inférieure de mon corps.
Seule, une simple pensée et je me tends.
• Tu vois, c’est facile, je suis là à ton service autant que tu voudras faire l’amour et quand tout sera rentré dans l’ordre avec ma fille, je rejoindrais Grégoire et je retrouverais ma vie de none.
Tu sais, ton beau-père est vieillissant et a de plus en plus de mal à tendre le bras.
Marie, qui a que de nom celui d’une vierge, a lâché ma queue avec sa bouche, mais continue à me masturber en me tenant ces propos.
Elle lève ses yeux de biches vers moi ce qui me fait continuer à la baiser alors que j’aurais pu arrêter nos jeux plutôt salaces.
• Oui, baise-moi, bien à fond, je suis une salope qui aime se faire baiser par une belle bite comme la tienne, Augustin !
Tu vois que j’ai bien fait de venir, non d’un chien, ma fille a de la chance de profiter de ta bite, tu me baises comme une reine.
Eh oui, j’ai craqué, j’ai aidé Marie à se redresser lui prenant sa bouche au passage.
Avant de l’aider à remonter les marches et de la conduire jusqu’au lit de jardin où France se repose après être descendue de notre chambre.
Cinq mois, c’est long et cours à la fois, lorsque l’on a à sa disposition un trou avec des poils et qui sent la cyprine.
Marie chaque fois que je le désire, se laisse bouffer la chatte, mais aujourd’hui j’ai décidé de voir jusqu’à ou elle est prête à aller pour que je reste fidèle à sa fille.
• Eh, qu’est-ce que tu fais, enlève-moi ce gland de l’endroit où tu viens de le mettre Augustin.
Pour voir jusqu’à ou va l’abnégation de ma belle-mère envers sa fille, je viens de la placer en levrette les seins sur la table de la cuisine, pour lui taquiner le cul avec mon gland.
• Belle maman, tu sais, hier à mon travail, Julie la secrétaire du patron est venue dans mon bureau et m’a proposé implicitement de me rendre le même service que celui que tu rends à ta fille !
Je l’ai éconduit, mais...
Je pousse en avant mon gland pénétrant de quelques centimètres dans son anus.
Plus aucune récrimination, je sens son cul taper sur mes couilles, je suis profondément enfoncé dans le rectum de Marie.
Toute chose a sa fin, F.I.N.
Marie est insatiable à quelques jours de l’accouchement de sa fille, sexuellement elle a une faim de loup, faim, F.A.I.M.
• Maman comment vas-tu, je te vois alors qu’avec Augustin et Jules nous sommes à plus de 15 000 kilomètres de toi ?
• France, si tu savais comme je m’ennuie, j’espère qu’Augustin est en forme !
Augustin après plusieurs mois à baiser Marie ma belle-mère a pris conscience qu’il nous fallait mettre de la distance entre nous et cette obsédée du cul.
L’accouchement de ma femme n’ayant, en rien, freiné ses envies de ma bite.
Un poste pour un couple, même avec enfants étant à pourvoir dans l’île de Moorea, j’ai fait jouer des appuis pour que nous l’ayons.
C’est au prix d’une longue distance que j’espère avoir remise de la sérénité dans mon couple, ma femme ayant repris sa place d’amante, aimant le cul auprès de moi.
Je suis lucide, France voudrait d’autres enfants, je lui dis peut-être sans pour autant lui faire enlever sa protection empêchant ses grossesses.
Prenant comme motif que la première a été trop astreignante pour elle.
Je suis faux cul et lucide, je refuse d’entendre belle-maman me dire malgré la distance.
• Augustin, France m’a prévenue de sa nouvelle grossesse, je saute dans un avion et j’arrive !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Attention elle va revenir Cyrille
Ahhh si seulement toutes les belle-mères étaient aussi conciliante...
Merci Chris
Cyrille
Merci Chris
Cyrille
Merci
Belle histoire