COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma nuit du nouvel An avec un Anglais (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma nuit du nouvel An avec un Anglais (1/1)
- Oui mon chéri, je t’appelle dès que tu arrives à Marseille. Dis donc il y a peu de voyageurs qui semblent partir ce soir ?
- Faire réveillon dans un train, c’est pas banal, si papa avait choisi un autre moment pour être hospitalisé en urgence, j’aurais préféré rester avec toi Loïc.
Quand mon frère nous a appelés de l’hôpital, je faisais les courses pour le réveillon du nouvel An de l’année 1975.
On parle d’un train à grande vitesse qui reliera Paris à Lyon, mais c’est dans les années futures, avec les retards habituels dans ce genre de travaux, on le verra quand j’aurais des rides et des cheveux blancs.
En attendant, je prends le train de nuit qui m’amènera à la gare Saint Charles ou Adrien mon frère m’attendra.
Mon frère est resté à Marseille et s’occupe de papa toute l’année alors que j’habite à Paris.
Loïc, j’aurais pu le rencontrer en Bretagne d’où ses parents sont originaires, à Lanvéoc plus principalement.
À 16 ans il a eu le choix entre la marine à Brest ou Paris. Cherchant à s’émanciper, il a choisi la capitale où il a commencé par être barman en même temps qu’il étudiait pour être dentiste.
Loïc à 35 ans, moi 5 de moins, je suis secrétaire de direction, toujours orientée vers mon travail que je privilégie aux enfants.
Nous sommes d’accord l’an prochain on en aura un.
Nos moyens sont suffisants pour voyager en première classe, moins de gens peuvent se payer ce supplément, je suis seule dans le compartiment.
« Le train pour Marseille va partir, il dessert la gare de Lyon La Pardieu et Marseille ».
Loïc m’a monté ma valise, il m’embrasse et sort du compartiment.
- Sorry.
- Pardon.
Je suis à la fenêtre pour envoyer un dernier baiser à mon mari.
- Permettez que je m’installe.
Sorry : dans le couloir, celui qui a dit ça, a dû gêner Loïc qui devait descendre précipitamment.
L’accent anglais, je peux difficilement me tromper, j’attends que le train démarre, pour envoyer un dernier baiser à mon mari.
Je me retourne, pour être anglais, il est anglais.
J’ai l’impression qu’il arrive directement de la city.
Costume trois pièces avec cravate, chapeau melon et parapluie à pommeau.
Attachée case à la main.
Sans oublier la chaîne de la montre et la moustache qu’il lisse de sa main libre.
- Je m’excuse pour my français, pardon, mon français, permettez-vous que je m’installe avec vous, jolie mademoiselle ?
Comment prendre peur d’un tel homme ?
Voyagé seule ou avec cet Anglais, certainement issu d’une grande famille, ça me rassure, je l’invite à s’installer.
- Je vais à Lyon et vous !
- Moi, au terminus à Marseille, je rejoins mon papa qui est entré à l’hôpital.
- Oh, my god, c’est une très mauvaise fin d’année.
- Et vous, pouvez-vous me dire pourquoi vous allez à Lyon, sans être indiscrète ?
- Je suis directeur de banque à la city, pour nous pas de Christmas lull, pardon, mon français est incertain.
- Trèves des confiseurs.
- Vous parlez anglais, j’ai oublié de me présenter, je manque à tous mes devoirs, John.
J’ai beaucoup de plaisir de passer la nouvelle année avec vous, je vous ai appelé mademoiselle, je vois que vous êtes mariée madame.
- Lucie, oui, c’est mon mari que vous avez croisé dans le couloir au départ du train.
Il place son attachée et son chapeau melon dans le porte-bagage, mais garde son parapluie à ses côtés.
Nous sommes installés, lui sur une banquette près de la porte, moi sur l’autre, je suis près de la fenêtre.
- Je vais me déplacer, le chauffage est juste, il gèle dehors, les fenêtres sont givrées.
- Venez en face de moi, c’est bientôt minuit, voilà pour vous réchauffer.
Il sort de sa poche de veste intérieure, une petite bouteille en métal argenté, l’ouvre et dans le bouchon verse un liquide ambré.
- C’est un whisky 50 ans d’âge, prenez, ça va vous réchauffer.
Je devrais refuser, mais j’aime boire un verre de whisky avec Loïc, je prends le petit verre faisant office de bouchon et je bois cul sec.
Il le remplit à son tour et le boit, le petit doigt en l’air.
- Alors Lucie, qu’en penses-tu ?
Il me tutoie, je devrais m’offusquer mais comme il me donne un deuxième bouchon, je laisse faire.
Il se sert lui aussi, deux partout, puis trois, puis quatre.
Nul doute, il est bon.
- Bonne année Lucie, embrassons-nous.
Pour nous embrasser, nous nous embrassons, à pleine bouche.
- J’ignore ce qui m’a pris, pardon.
Je vois mon anglais ouvrir sa braguette et sortir sa verge.
Elle est bien plus grande que celle de Loïc, j’ignorais que les rosbifs en avaient d’aussi grosses.
Surtout que Loïc est le seul homme que j’ai vu de si près, comparé à celle qu’il me montre.
- Viens et suce, je me souviendrai de mon voyage.
J’hésite, il prend son parapluie et avec la pointe il soulève ma robe.
De l’autre main, il se masturbe.
Et dire que l’on dit que les Anglais étaient des gentlemans, mais l’alcool échauffe mon sang !
- Ta culotte est rose, viens me sucer je te dis.
Je le fais, alors je me lève, il a écarté les jambes, je prends sa verge en main.
Je devrais m’arrêter car commencer l’année en trompant Loïs, c’est loin de ça que j’espérais.
Ma langue entoure cette verge différente de celle que j’ai pour habitude de sucer, mais j’aime bien, surtout que je sens un liquide couler.
Il reste du whisky, doucement, il en fait glisser sur son pieu.
Il veut me prendre, il veut ma chatte, il me soulève, me fait reposer sur le siège, face au sien.
Sa langue à son tour est sur mon vagin qui ruisselle.
Heureusement, ma culotte protège encore mon intimité, mais ses doigts arrivent à l’écarter et je sens sa moustache caresser mon clitoris.
Il va pouvoir la lisser, car ma cyprine coule avec abondance.
Il se redresse alors que je viens d’avoir mon premier orgasme de l’année avec un autre que celui qui m’a mis un anneau à mon annulaire gauche.
J’ai le dos à moitié coincé sur cette banquette, mais dès qu’il plonge en moi, écartant ma culotte, je hurle mon plaisir.
Nous sommes dans un train, mes cris doivent être atténués par le bruit des roues sur les rails.
Je jouis très fort, je reprends mon souffle, le train ralenti puis freine.
« Lyon, ici Lyon La Pardieu, les personnes pour la correspondance avec Grenoble changent de train ».
Mon Anglais se relève et avec tout son flegme anglais, se rajuste me cachant sa queue.
- Oh, my god, Lucie, je suis arrivé, vous m’avez fait passer un merveilleux nouvel An, je vous souhaite une bonne fin de voyage.
Il récupère son attachée case, son melon et son parapluie.
Il quitte le compartiment sans autre regard vers moi.
Le train repart, jusqu’à Marseille, je suis seule dans le compartiment, je dors avec mon ventre chaud de la semence qu’il a déversée en moi.
Hélas quand je retrouve mon frère, il m’apprend le décès de papa.
Les obsèques m’empêchent de penser à ce voyage très surprenant, surtout de la part de cet Anglais si bien mis.
Loïc me rejoint, nous passons trois jours près de mon frère, de sa femme et de mes deux neveux.
Il est venu en voiture et c’est ensemble que nous remontons à Paris m’évitant le train.
Quelques jours plus tard, j’attends mes règles, qui brillent par leur absence.
Un contrôle avec stylo, je suis enceinte.
Deux problèmes se trouvent devant moi.
J’espère que la gynéco évitera de dire que la date de conception de cet enfant serait vers le 1er janvier.
Il serait judicieux qu’à sa naissance en sortant de mon ventre, mon enfant oubliera de dire, soit :
« Good Morning, » soit « Good Afternoon, » suivant l’heure où il arrivera au monde et qu’il oubliera sa moustache et son chapeau melon.
- Faire réveillon dans un train, c’est pas banal, si papa avait choisi un autre moment pour être hospitalisé en urgence, j’aurais préféré rester avec toi Loïc.
Quand mon frère nous a appelés de l’hôpital, je faisais les courses pour le réveillon du nouvel An de l’année 1975.
On parle d’un train à grande vitesse qui reliera Paris à Lyon, mais c’est dans les années futures, avec les retards habituels dans ce genre de travaux, on le verra quand j’aurais des rides et des cheveux blancs.
En attendant, je prends le train de nuit qui m’amènera à la gare Saint Charles ou Adrien mon frère m’attendra.
Mon frère est resté à Marseille et s’occupe de papa toute l’année alors que j’habite à Paris.
Loïc, j’aurais pu le rencontrer en Bretagne d’où ses parents sont originaires, à Lanvéoc plus principalement.
À 16 ans il a eu le choix entre la marine à Brest ou Paris. Cherchant à s’émanciper, il a choisi la capitale où il a commencé par être barman en même temps qu’il étudiait pour être dentiste.
Loïc à 35 ans, moi 5 de moins, je suis secrétaire de direction, toujours orientée vers mon travail que je privilégie aux enfants.
Nous sommes d’accord l’an prochain on en aura un.
Nos moyens sont suffisants pour voyager en première classe, moins de gens peuvent se payer ce supplément, je suis seule dans le compartiment.
« Le train pour Marseille va partir, il dessert la gare de Lyon La Pardieu et Marseille ».
Loïc m’a monté ma valise, il m’embrasse et sort du compartiment.
- Sorry.
- Pardon.
Je suis à la fenêtre pour envoyer un dernier baiser à mon mari.
- Permettez que je m’installe.
Sorry : dans le couloir, celui qui a dit ça, a dû gêner Loïc qui devait descendre précipitamment.
L’accent anglais, je peux difficilement me tromper, j’attends que le train démarre, pour envoyer un dernier baiser à mon mari.
Je me retourne, pour être anglais, il est anglais.
J’ai l’impression qu’il arrive directement de la city.
Costume trois pièces avec cravate, chapeau melon et parapluie à pommeau.
Attachée case à la main.
Sans oublier la chaîne de la montre et la moustache qu’il lisse de sa main libre.
- Je m’excuse pour my français, pardon, mon français, permettez-vous que je m’installe avec vous, jolie mademoiselle ?
Comment prendre peur d’un tel homme ?
Voyagé seule ou avec cet Anglais, certainement issu d’une grande famille, ça me rassure, je l’invite à s’installer.
- Je vais à Lyon et vous !
- Moi, au terminus à Marseille, je rejoins mon papa qui est entré à l’hôpital.
- Oh, my god, c’est une très mauvaise fin d’année.
- Et vous, pouvez-vous me dire pourquoi vous allez à Lyon, sans être indiscrète ?
- Je suis directeur de banque à la city, pour nous pas de Christmas lull, pardon, mon français est incertain.
- Trèves des confiseurs.
- Vous parlez anglais, j’ai oublié de me présenter, je manque à tous mes devoirs, John.
J’ai beaucoup de plaisir de passer la nouvelle année avec vous, je vous ai appelé mademoiselle, je vois que vous êtes mariée madame.
- Lucie, oui, c’est mon mari que vous avez croisé dans le couloir au départ du train.
Il place son attachée et son chapeau melon dans le porte-bagage, mais garde son parapluie à ses côtés.
Nous sommes installés, lui sur une banquette près de la porte, moi sur l’autre, je suis près de la fenêtre.
- Je vais me déplacer, le chauffage est juste, il gèle dehors, les fenêtres sont givrées.
- Venez en face de moi, c’est bientôt minuit, voilà pour vous réchauffer.
Il sort de sa poche de veste intérieure, une petite bouteille en métal argenté, l’ouvre et dans le bouchon verse un liquide ambré.
- C’est un whisky 50 ans d’âge, prenez, ça va vous réchauffer.
Je devrais refuser, mais j’aime boire un verre de whisky avec Loïc, je prends le petit verre faisant office de bouchon et je bois cul sec.
Il le remplit à son tour et le boit, le petit doigt en l’air.
- Alors Lucie, qu’en penses-tu ?
Il me tutoie, je devrais m’offusquer mais comme il me donne un deuxième bouchon, je laisse faire.
Il se sert lui aussi, deux partout, puis trois, puis quatre.
Nul doute, il est bon.
- Bonne année Lucie, embrassons-nous.
Pour nous embrasser, nous nous embrassons, à pleine bouche.
- J’ignore ce qui m’a pris, pardon.
Je vois mon anglais ouvrir sa braguette et sortir sa verge.
Elle est bien plus grande que celle de Loïc, j’ignorais que les rosbifs en avaient d’aussi grosses.
Surtout que Loïc est le seul homme que j’ai vu de si près, comparé à celle qu’il me montre.
- Viens et suce, je me souviendrai de mon voyage.
J’hésite, il prend son parapluie et avec la pointe il soulève ma robe.
De l’autre main, il se masturbe.
Et dire que l’on dit que les Anglais étaient des gentlemans, mais l’alcool échauffe mon sang !
- Ta culotte est rose, viens me sucer je te dis.
Je le fais, alors je me lève, il a écarté les jambes, je prends sa verge en main.
Je devrais m’arrêter car commencer l’année en trompant Loïs, c’est loin de ça que j’espérais.
Ma langue entoure cette verge différente de celle que j’ai pour habitude de sucer, mais j’aime bien, surtout que je sens un liquide couler.
Il reste du whisky, doucement, il en fait glisser sur son pieu.
Il veut me prendre, il veut ma chatte, il me soulève, me fait reposer sur le siège, face au sien.
Sa langue à son tour est sur mon vagin qui ruisselle.
Heureusement, ma culotte protège encore mon intimité, mais ses doigts arrivent à l’écarter et je sens sa moustache caresser mon clitoris.
Il va pouvoir la lisser, car ma cyprine coule avec abondance.
Il se redresse alors que je viens d’avoir mon premier orgasme de l’année avec un autre que celui qui m’a mis un anneau à mon annulaire gauche.
J’ai le dos à moitié coincé sur cette banquette, mais dès qu’il plonge en moi, écartant ma culotte, je hurle mon plaisir.
Nous sommes dans un train, mes cris doivent être atténués par le bruit des roues sur les rails.
Je jouis très fort, je reprends mon souffle, le train ralenti puis freine.
« Lyon, ici Lyon La Pardieu, les personnes pour la correspondance avec Grenoble changent de train ».
Mon Anglais se relève et avec tout son flegme anglais, se rajuste me cachant sa queue.
- Oh, my god, Lucie, je suis arrivé, vous m’avez fait passer un merveilleux nouvel An, je vous souhaite une bonne fin de voyage.
Il récupère son attachée case, son melon et son parapluie.
Il quitte le compartiment sans autre regard vers moi.
Le train repart, jusqu’à Marseille, je suis seule dans le compartiment, je dors avec mon ventre chaud de la semence qu’il a déversée en moi.
Hélas quand je retrouve mon frère, il m’apprend le décès de papa.
Les obsèques m’empêchent de penser à ce voyage très surprenant, surtout de la part de cet Anglais si bien mis.
Loïc me rejoint, nous passons trois jours près de mon frère, de sa femme et de mes deux neveux.
Il est venu en voiture et c’est ensemble que nous remontons à Paris m’évitant le train.
Quelques jours plus tard, j’attends mes règles, qui brillent par leur absence.
Un contrôle avec stylo, je suis enceinte.
Deux problèmes se trouvent devant moi.
J’espère que la gynéco évitera de dire que la date de conception de cet enfant serait vers le 1er janvier.
Il serait judicieux qu’à sa naissance en sortant de mon ventre, mon enfant oubliera de dire, soit :
« Good Morning, » soit « Good Afternoon, » suivant l’heure où il arrivera au monde et qu’il oubliera sa moustache et son chapeau melon.
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