COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma petite-cousine découvre le sexe (1/1)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma petite-cousine découvre le sexe (1/1)
« Bonjour ma tante, je rentre du Vietnam, j’aimerais venir passer quelques jours chez vous ! »
C’est le coup de téléphone que j’envoie à ma tante June, la femme de mon oncle alors que je viens de rentrer de ma période obligatoire dans ce pays très humide et principalement couvert d’arbres.
« Tu seras le bienvenu, ton père a appelé son frère pour lui dire que tu étais rentré sauf.
J’ai tellement prié que dieu m’a entendu et exaucé.
Sharon, ta petite-cousine, sera enchantée, elle l’est déjà depuis que nous lui avons annoncé ton retour.
Elle parle très souvent de toi, le sauveur de notre belle Amérique. »
« Ma tante, je serais contente de la revoir, elle a dû énormément changé. »
« 16 ans, cette année, une vraie jeune femme, j’ai peur que nous ne puissions la retenir bien longtemps.
Mais là encore je pris Dieu pour qu’elle trouve un gentil garçon comme moi j’ai trouvé le frère de ton père. »
« Je te téléphone de la route 66, je m’étais juré de la faire si par chance j’évitais les balles de ces niacoués aux yeux bridés.
À part un doigt de ma main gauche, par chance je suis droitier, je reviens en un seul morceau. »
« Soit prudent, sur ta moto, Chris. »
« Ma moto, c’est une Harley, c’est plus qu’une moto, elle est mythique comme l’est la route 66, tantine. »
« Mythique ou pas, fais attention, j’attends ton coup de fil. »
À 25 ans, j’ai la vie devant moi.
Je prends mon temps, je sais qu’il y a peu de chance que je refasse cette route, dès mon retour, il faudra que je trouve du travail et que je reprenne mes études.
Je compte bien fonder une famille et refaire cette route avec des enfants, ce sera impossible.
• Bonjour John, bonjour June, comme je suis content de vous retrouver.
Sharon, est encore au lycée !
• Oui, je lui ai dit que tu arrivais, elle avait cours de sport, jusqu’à 17 heures.
Elle voulait sécher, mais comme tu es là pendant quatre à cinq jours, je lui ai imposé de nous rejoindre la journée terminée.
Surtout que ce sont les grandes vacances dans deux jours.
À cet effet, nous te laisserons seul avec elle, c’est en aout que nous avons nos vacances.
• Soi sans crainte tonton, Sharon, c’est un peu ma petite sœur et je prendrais soin d’elle.
• Si tu dois l’emmener sur ta moto, je la connais, casse-cou comme elle l’est, elle te tarabustera jusqu’à ce que tu cèdes.
J’ai fait de la moto étant jeune, mais après une chute ou j’ai failli y laisser une jambe, je l’ai revendue, mais dans le garage, il doit toujours y avoir mon casque.
Inutile de lui en acheter un.
Sharon arrive trente minutes plus tard, je la vois descendre de son bus jaune, elle a sa tenue d’écolière, mais à 16 ans, ses seins sont déjà prêts à défoncer son chemisier.
Elle me saute au cou, ses seins sont vraiment très fermes et je dois faire un effort pour éviter que ma queue ne se redresse.
• Dis-moi, cousin Chris, qu’est-ce qui était le plus dur lorsque tu patrouillais dans la jungle ?
• Dormir, tout trempé, c’était l’enfer.
Depuis mon retour c’est fou comme je dors, je suis comme un bébé, on peut sonner le tocsin, je continuerais à dormir.
• En parlant de dormir, ton oncle et moi nous nous levons à six heures, bien trop tôt pour vous.
• De toute façon Sharon, ne se lève pas avant 10 ou 11 heures, vous pourrez récupérer.
Je vais dans ta chambre faire ton lit.
• Je t’accompagne, bonsoir oncle John, dormez bien et l’on se revoit lorsque vous serez rentré du travail.
• J’ai prévu un barbecue, ils annoncent du beau temps, vous pourrez aller à la mer, Sharon adore se baigner.
Elle a fait acheter à sa mère une horreur qu’ils appellent un Bikini, j’ai honte que ma fille se balade presque à poil sur nos plages.
• Papa, c’est la mode, tu es vieux jeu toi qui te dit un papa à la pointe du progrès.
Viens Chris, je vais aider maman à faire ton lit, ça me calmera les nerfs, j’ai envie de hurler lorsque j’entends de telle ineptie.
Nous rejoignons ma chambre, dans le petit bungalow attenant à leur maison, c’est là que j’ai déposé mon sac lorsque je suis arrivé.
Le lit est vite fait, June d’un côté Sharon de l’autre.
Elle se penche pour que je puisse voir ses seins, car j’ai très nettement l’impression qu’elle fait exprès de se pencher exagérément.
• Mince, j’ai oublié la couverture Sharon peux-tu aller dans l’armoire de la chambre en chercher une.
• Inutile, tantine, je dors nu et un drap me suffira avec la chaleur de ce début d’été.
• Ok, je t’embrasse, Sharon tu viens, si tu veux que Chris t’emmène te baigner, il faut le laisser récupérer.
Les deux femmes m’embrassent, bien sûre Sharon frotte ses seins exagérément sur ma poitrine.
J’ai eu quelques aventures depuis mes 15 ans, dont la voisine de mes parents qui m’a dépucelé et je sens ma queue qui a tendance à réagir.
J’ai eu aussi des putes aux yeux bridés, elles étaient accros à nos dollars et voulaient se marier avec nous pour fuir la misère de leur pays.
Des potes l’on fait, l’un d’eux, Bob lors de la patrouille suivante a été pris par les viets et deux jours plus tard, on l’a retrouvé les couilles coupées s’étant vidé de son sang.
Quelle heure est-il, au matin, j’ai vaguement entendu mes oncles et tantes partir leur voiture étant garée dans le garage attenant au bungalow.
La porte de ma chambre a légèrement grincé lorsque quelqu’un l’a ouverte évitant de faire du bruit.
Au Viêtnam, j’aurais sauté sur mon couteau et l’intrus serait passé de vie à trépa la gorge tranchée.
Dans le rai de lumière, j’ai le temps de reconnaitre ma petite-cousine Sharon, je continue à faire celui qui dort.
Le drap a glissé montrant ma verge.
J’aurais eu le temps, je l’aurais recouverte, mais là je sens un souffle chaud non loin d’elle.
Sans la toucher, Sharon semble découvrir les mystères d’une verge d’homme.
D’un coup elle détale, mais en faisant attention à ne pas me réveiller.
Dans la journée, c’est derrière moi que je la conduis à la mer.
Ses affaires enlevées, je découvre le Bikini rose si décrié par Tonton.
Un vrai pousse au viol pour un garçon de mon âge découvrant cette nouvelle de s’habiller sur la plage.
À part ma queue que je dois faire entrer dans le sable, les petites adeptes au petit deux-pièces sont légion.
Il faut dire que Dieu a créé la femme, le film qui passe sur les écrans des cinémas de quartier et l’émancipation de ces dernières me semble inéluctable.
De retour, ils sont rentrés et nous passons une agréable soirée à manger au clair de lune des steaks à l’américaine aussi gros que les bœufs dont ils sont issus.
Dodo, j’espère la visite de Sharon lorsque j’entends ses parents repartir.
Je suis loin d’être déçu, hier, j’ai redit avoir dormi comme un loir en me réveillant seulement à l’heure où j’ai rejoint Sharon pour boire un bon café.
Autant de précaution, mais là j’ai prévu le coup, j’ai carrément enlevé le drap qui git au pied de mon lit.
Ma verge est entièrement disponible pour l’inspection de ma cousine.
Hier, elle s’est contentée de regarder, là discrètement elle la prend par deux de ses doigts.
Je me mets à bander, ça ce n’était pas prévu au programme.
Son souffle chaud alors que je fais des efforts surhumains, pour éviter de gicler, surtout que ça fait presque huit jours que je suis zen côté sexe.
J’ai juste baisé une autre motarde dans un relais de la route 66, elle avait envie de sexe autant que moi, j’en avais envie.
C’est sur la selle de sa moto, Harley comme la mienne, que je me suis enfoncé en elle, la faisant hurler de plaisir.
Par chance, un bruit à l’extérieur l’a fait fuir et c’est avec délice que j’ai fini par me masturber.
Lorsque je me lève, il pleut, un mot de Sharon.
« Je vais chez une copine. »
Je fais court, le lendemain matin, je veux voir si Sharon va revenir et franchir une nouvelle étape.
C’est le cas, elle s’enhardit et du souffle chaud, c’est sa langue qui vient titiller mon méat.
Heureusement que je me suis branlé hier, j’arrive à éviter de lui envoyer la purée.
Le soleil est revenu, de nouveau je remplis mes yeux de ces petits culs dont celui de Sharon.
C’est con, je prends goût à nos petits jeux, jusqu’à où ma petite-cousine est prête à aller ?
La porte, j’ai le temps de voir qu’elle a le même tee-shirt que les autres jours, elle me fait tendre le bras et sans plus de questions, elle monte sur le lit et enjambe ma verge.
Je suis à deux doigts de la balancer, mais ce serait lui faire voir que je suis réveillée.
Ça m’étonnerait qu’à son âge, elle est la moindre contraception.
Me voir papa du fils ou de la fille de ma petite-cousine, très peu pour moi.
J’ai le temps de l’entendre geindre cet incroyable aurais servi à lui enlever son pucelage !
Elle se lève remet pied à terre et disparait.
Une fois seul, j’ouvre la lumière, ma verge est couverte de sang.
C’était bien ça elle est venue perdre son pucelage profitant de ma verge.
Je fais mon sac, très peu pour moi d’expliquer à ses parents que je dormais et qu’elle a profité de moi pour se planter ma verge en elle.
Un mot sur la table de la cuisine, par chance Sharon doit être chez sa copine.
« Je dois partir, merci pour tout, excusez de ne pas vous avoir attendu.
À Bientôt »
• Sharon, veux-tu prendre pour épouse Elvis ici présent ?
Je suis revenu au mariage de ma petite-nièce, vieux vicieux, le père du polichinelle qu’elle a dans le ventre c’est un an après mon passage et son dépucelage.
Johnny a dû faire partie de ceux qui ont suivi le chemin que ma verge avait ouverte.
Nous passons près du jeune couple mes parents et moi, son mari parle avec le curé.
• Sharon, tu lui as dit qui lui avait ouvert la voie, il y a un an lors de mon passage dans votre bungalow ?
Elle m’a regardé, a compris que je m’étais joué d’elle autant qu’elle s’était jouée de moi et nous avons continué la soirée.
Trois ans après, c’est elle qui est venue à mon mariage, elle avait deux mouflets et un troisième en prépa dans les mois futurs.
Sharon participait à la repopulation de l’Amérique après les pertes en jeunes hommes dont j’aurais pu faire partie au Vietnam.
C’est le coup de téléphone que j’envoie à ma tante June, la femme de mon oncle alors que je viens de rentrer de ma période obligatoire dans ce pays très humide et principalement couvert d’arbres.
« Tu seras le bienvenu, ton père a appelé son frère pour lui dire que tu étais rentré sauf.
J’ai tellement prié que dieu m’a entendu et exaucé.
Sharon, ta petite-cousine, sera enchantée, elle l’est déjà depuis que nous lui avons annoncé ton retour.
Elle parle très souvent de toi, le sauveur de notre belle Amérique. »
« Ma tante, je serais contente de la revoir, elle a dû énormément changé. »
« 16 ans, cette année, une vraie jeune femme, j’ai peur que nous ne puissions la retenir bien longtemps.
Mais là encore je pris Dieu pour qu’elle trouve un gentil garçon comme moi j’ai trouvé le frère de ton père. »
« Je te téléphone de la route 66, je m’étais juré de la faire si par chance j’évitais les balles de ces niacoués aux yeux bridés.
À part un doigt de ma main gauche, par chance je suis droitier, je reviens en un seul morceau. »
« Soit prudent, sur ta moto, Chris. »
« Ma moto, c’est une Harley, c’est plus qu’une moto, elle est mythique comme l’est la route 66, tantine. »
« Mythique ou pas, fais attention, j’attends ton coup de fil. »
À 25 ans, j’ai la vie devant moi.
Je prends mon temps, je sais qu’il y a peu de chance que je refasse cette route, dès mon retour, il faudra que je trouve du travail et que je reprenne mes études.
Je compte bien fonder une famille et refaire cette route avec des enfants, ce sera impossible.
• Bonjour John, bonjour June, comme je suis content de vous retrouver.
Sharon, est encore au lycée !
• Oui, je lui ai dit que tu arrivais, elle avait cours de sport, jusqu’à 17 heures.
Elle voulait sécher, mais comme tu es là pendant quatre à cinq jours, je lui ai imposé de nous rejoindre la journée terminée.
Surtout que ce sont les grandes vacances dans deux jours.
À cet effet, nous te laisserons seul avec elle, c’est en aout que nous avons nos vacances.
• Soi sans crainte tonton, Sharon, c’est un peu ma petite sœur et je prendrais soin d’elle.
• Si tu dois l’emmener sur ta moto, je la connais, casse-cou comme elle l’est, elle te tarabustera jusqu’à ce que tu cèdes.
J’ai fait de la moto étant jeune, mais après une chute ou j’ai failli y laisser une jambe, je l’ai revendue, mais dans le garage, il doit toujours y avoir mon casque.
Inutile de lui en acheter un.
Sharon arrive trente minutes plus tard, je la vois descendre de son bus jaune, elle a sa tenue d’écolière, mais à 16 ans, ses seins sont déjà prêts à défoncer son chemisier.
Elle me saute au cou, ses seins sont vraiment très fermes et je dois faire un effort pour éviter que ma queue ne se redresse.
• Dis-moi, cousin Chris, qu’est-ce qui était le plus dur lorsque tu patrouillais dans la jungle ?
• Dormir, tout trempé, c’était l’enfer.
Depuis mon retour c’est fou comme je dors, je suis comme un bébé, on peut sonner le tocsin, je continuerais à dormir.
• En parlant de dormir, ton oncle et moi nous nous levons à six heures, bien trop tôt pour vous.
• De toute façon Sharon, ne se lève pas avant 10 ou 11 heures, vous pourrez récupérer.
Je vais dans ta chambre faire ton lit.
• Je t’accompagne, bonsoir oncle John, dormez bien et l’on se revoit lorsque vous serez rentré du travail.
• J’ai prévu un barbecue, ils annoncent du beau temps, vous pourrez aller à la mer, Sharon adore se baigner.
Elle a fait acheter à sa mère une horreur qu’ils appellent un Bikini, j’ai honte que ma fille se balade presque à poil sur nos plages.
• Papa, c’est la mode, tu es vieux jeu toi qui te dit un papa à la pointe du progrès.
Viens Chris, je vais aider maman à faire ton lit, ça me calmera les nerfs, j’ai envie de hurler lorsque j’entends de telle ineptie.
Nous rejoignons ma chambre, dans le petit bungalow attenant à leur maison, c’est là que j’ai déposé mon sac lorsque je suis arrivé.
Le lit est vite fait, June d’un côté Sharon de l’autre.
Elle se penche pour que je puisse voir ses seins, car j’ai très nettement l’impression qu’elle fait exprès de se pencher exagérément.
• Mince, j’ai oublié la couverture Sharon peux-tu aller dans l’armoire de la chambre en chercher une.
• Inutile, tantine, je dors nu et un drap me suffira avec la chaleur de ce début d’été.
• Ok, je t’embrasse, Sharon tu viens, si tu veux que Chris t’emmène te baigner, il faut le laisser récupérer.
Les deux femmes m’embrassent, bien sûre Sharon frotte ses seins exagérément sur ma poitrine.
J’ai eu quelques aventures depuis mes 15 ans, dont la voisine de mes parents qui m’a dépucelé et je sens ma queue qui a tendance à réagir.
J’ai eu aussi des putes aux yeux bridés, elles étaient accros à nos dollars et voulaient se marier avec nous pour fuir la misère de leur pays.
Des potes l’on fait, l’un d’eux, Bob lors de la patrouille suivante a été pris par les viets et deux jours plus tard, on l’a retrouvé les couilles coupées s’étant vidé de son sang.
Quelle heure est-il, au matin, j’ai vaguement entendu mes oncles et tantes partir leur voiture étant garée dans le garage attenant au bungalow.
La porte de ma chambre a légèrement grincé lorsque quelqu’un l’a ouverte évitant de faire du bruit.
Au Viêtnam, j’aurais sauté sur mon couteau et l’intrus serait passé de vie à trépa la gorge tranchée.
Dans le rai de lumière, j’ai le temps de reconnaitre ma petite-cousine Sharon, je continue à faire celui qui dort.
Le drap a glissé montrant ma verge.
J’aurais eu le temps, je l’aurais recouverte, mais là je sens un souffle chaud non loin d’elle.
Sans la toucher, Sharon semble découvrir les mystères d’une verge d’homme.
D’un coup elle détale, mais en faisant attention à ne pas me réveiller.
Dans la journée, c’est derrière moi que je la conduis à la mer.
Ses affaires enlevées, je découvre le Bikini rose si décrié par Tonton.
Un vrai pousse au viol pour un garçon de mon âge découvrant cette nouvelle de s’habiller sur la plage.
À part ma queue que je dois faire entrer dans le sable, les petites adeptes au petit deux-pièces sont légion.
Il faut dire que Dieu a créé la femme, le film qui passe sur les écrans des cinémas de quartier et l’émancipation de ces dernières me semble inéluctable.
De retour, ils sont rentrés et nous passons une agréable soirée à manger au clair de lune des steaks à l’américaine aussi gros que les bœufs dont ils sont issus.
Dodo, j’espère la visite de Sharon lorsque j’entends ses parents repartir.
Je suis loin d’être déçu, hier, j’ai redit avoir dormi comme un loir en me réveillant seulement à l’heure où j’ai rejoint Sharon pour boire un bon café.
Autant de précaution, mais là j’ai prévu le coup, j’ai carrément enlevé le drap qui git au pied de mon lit.
Ma verge est entièrement disponible pour l’inspection de ma cousine.
Hier, elle s’est contentée de regarder, là discrètement elle la prend par deux de ses doigts.
Je me mets à bander, ça ce n’était pas prévu au programme.
Son souffle chaud alors que je fais des efforts surhumains, pour éviter de gicler, surtout que ça fait presque huit jours que je suis zen côté sexe.
J’ai juste baisé une autre motarde dans un relais de la route 66, elle avait envie de sexe autant que moi, j’en avais envie.
C’est sur la selle de sa moto, Harley comme la mienne, que je me suis enfoncé en elle, la faisant hurler de plaisir.
Par chance, un bruit à l’extérieur l’a fait fuir et c’est avec délice que j’ai fini par me masturber.
Lorsque je me lève, il pleut, un mot de Sharon.
« Je vais chez une copine. »
Je fais court, le lendemain matin, je veux voir si Sharon va revenir et franchir une nouvelle étape.
C’est le cas, elle s’enhardit et du souffle chaud, c’est sa langue qui vient titiller mon méat.
Heureusement que je me suis branlé hier, j’arrive à éviter de lui envoyer la purée.
Le soleil est revenu, de nouveau je remplis mes yeux de ces petits culs dont celui de Sharon.
C’est con, je prends goût à nos petits jeux, jusqu’à où ma petite-cousine est prête à aller ?
La porte, j’ai le temps de voir qu’elle a le même tee-shirt que les autres jours, elle me fait tendre le bras et sans plus de questions, elle monte sur le lit et enjambe ma verge.
Je suis à deux doigts de la balancer, mais ce serait lui faire voir que je suis réveillée.
Ça m’étonnerait qu’à son âge, elle est la moindre contraception.
Me voir papa du fils ou de la fille de ma petite-cousine, très peu pour moi.
J’ai le temps de l’entendre geindre cet incroyable aurais servi à lui enlever son pucelage !
Elle se lève remet pied à terre et disparait.
Une fois seul, j’ouvre la lumière, ma verge est couverte de sang.
C’était bien ça elle est venue perdre son pucelage profitant de ma verge.
Je fais mon sac, très peu pour moi d’expliquer à ses parents que je dormais et qu’elle a profité de moi pour se planter ma verge en elle.
Un mot sur la table de la cuisine, par chance Sharon doit être chez sa copine.
« Je dois partir, merci pour tout, excusez de ne pas vous avoir attendu.
À Bientôt »
• Sharon, veux-tu prendre pour épouse Elvis ici présent ?
Je suis revenu au mariage de ma petite-nièce, vieux vicieux, le père du polichinelle qu’elle a dans le ventre c’est un an après mon passage et son dépucelage.
Johnny a dû faire partie de ceux qui ont suivi le chemin que ma verge avait ouverte.
Nous passons près du jeune couple mes parents et moi, son mari parle avec le curé.
• Sharon, tu lui as dit qui lui avait ouvert la voie, il y a un an lors de mon passage dans votre bungalow ?
Elle m’a regardé, a compris que je m’étais joué d’elle autant qu’elle s’était jouée de moi et nous avons continué la soirée.
Trois ans après, c’est elle qui est venue à mon mariage, elle avait deux mouflets et un troisième en prépa dans les mois futurs.
Sharon participait à la repopulation de l’Amérique après les pertes en jeunes hommes dont j’aurais pu faire partie au Vietnam.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très joli histoire surprenante mais emplie d’émotions fortes. Daniel
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