COLLECTION HISTOIRE COURTE. Manif à Paris pour « un papa et une maman » (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Manif à Paris pour « un papa et une maman » (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Manif à Paris pour « un papa et une maman » (1/1)
• Gros cul, tu avances, c’est avec des gros culs cul comme le tient qu’on attend des plombs pour avancer.

Certes, trois grossesses dont la dernière un peu difficile à manger des fraises et du chocolat on finit par faire de la jeune femme fine sans être anorexique que j’étais, une de ces nombreuses femmes au cul plutôt avantageux.
Par chance, ça plait à Georges mon mari, père de mes trois enfants et seul homme de ma vie.
Nous nous sommes connus chez les scouts cathos, Georges étant chez les ainés, il avait presque vingt ans et moi Mauricette, je faisais encore partie des éclaireuses.
Signe caractéristique puceau et pucelle tous les deux, il est facile de comprendre que dans notre milieu familial, l’amour, plutôt le sexe s’était réservé à la procréation et donc seulement après la bague au doigt.
Ce fut notre cas, surtout que Georges lors de marches où nous étions ensemble, car on appréciait notre engagement dans le mouvement et notre foi chrétienne restait souvent à mes côtés.
Il me disait souvent envisager la prêtrise, semblant avoir entendu l’appelle de notre seigneur.
Est-ce lui qui a déjoué ses plans lors de la marche du 15 août ou longeant un torrent dans nos Pyrénées, j’ai failli tomber et ou Georges m’a sauvé la vie me retenant par mon sac à dos ?
Nul pour le savoir, ce qui est sûr c’est qu’il a senti mon sein sous ma chemise avec mon foulard noué autour de mon cou et que son attitude à entièrement changer.

• Veuillez accueillir dans la maison de Dieu ce jeune couple qui va affronter la vie à partir de cet instant après avoir échangé leurs vœux, de fidélité et d’amour l’un pour l’autre, comme leurs parents l’on fait il y a quelques années.

Bref, après le repas de noces, nous avons eu droit à notre départ discret pour l’hôtel voisin où Georges devait me prendre mon hymen pour le bien de la famille que nous venions de fonder.
Nous étions prêts à devenir une famille avec un papa et une maman.
Ce que j’ai vu de ma première fois, pas grand-chose, Georges a voulu éteindre la lumière, nous éteignons toujours la lumière au moment de l’acte sexuel.
J’ai vu pour la première fois une vraie bite au matin, lorsque Georges s’est levé après avoir planté une deuxième fois son pieu qui m’avait fait mal la première fois, en moi.
Résultat trois grossesses et deux fosses couches dans les cinq années suivantes me forgeant ce cul magnifique que je promène dans les rues de notre village et aujourd’hui dans Paris.
Personne pour prendre la fonction de maire, j’ai été sollicité par notre curé pour briguer la fonction ou j’ai été élue à l’unanimité des quarante et un votants, moins une voix la mienne, par politesse, je me suis abstenue.
Trois gosses, le café du village que Georges a repris pour éviter qu’il ne meure et à part des marches dans les rues de notre joli village au fond de notre vallée aucun sport même le ski l’hiver.
Ces naissances ont fait de moi cette grosse femme au gros cul se faisant insulter dans cette manif parisienne.

• Mauricette, je te confis mon troupeau, je suis trop vieux pour monter à Paris manifester pour un papa et une maman que chaque enfant sur cette terre a le droit d’avoir comme tes trois enfants ont les siens.

Lorsque je me fais insulter de gros culs, un instant j’ai l’impression de m’être trompé de manif et d’être venue pour celle de la CGT que je vois à la télé les jours de leurs manifestations où l’on se bat et que l’on s’insulte.
Il est vrai que parti à dix heures, pardon vingt-deux heures de notre village pour être avant douze heures à Paris, je suis très fatiguée, surtout que notre groupe est loin de m’avoir attendu.
C’est en m’arrêtant pour essayer de voir si j’arrivais à les repérer qu’ils m’ont définitivement semé et que j’ai gêné ce type insultant mes rondeurs.
Ça la foutait mal, je devais réunir notre troupeau et c’est lui qui a semé son berger.
À la mairie, nous avons un ordinateur malgré nos faibles moyens, c’est Jacques le papa de deux filles de notre village, qui nous l’a récupéré, il est instituteur à la ville voisine et il changeait le leur encore en état.
Avec l’imprimante, j’ai pris les renseignements avec la compagnie de cars et chacun des manifestants a un plan pour savoir où se trouve le nôtre et pouvoir le retrouver.
C’est au croisement de deux rues qu’à l’abri d’une porte cochère, je le consulte, par chance en prenant à droite puis à gauche et encore à droite, je me trouve devant une multitude de bus.
J’avais une pancarte avec « un papa et une maman » marqué dessus, nous avions passé une soirée à la mairie à les imprimer grevant notre budget « cartouche d’encre. »
C’est drôle l’encre noir qu’il faut pour imprimer tout ça, mais je pose ma pancarte sous ce porche les services parisiens d’entretien pourrai le récupérer.
Par chance, le cinquième bus est le nôtre, Jean l’un des deux chauffeurs se tient près de la porte avant et fume une clope.
Pour ce parcours en si peu de temps, ils sont deux, Jean et Johnny, plus jeune qui brille par son absence.

• Mauricette, t’es déjà là, tu as calé, une manif, c’est dur sans entraînement, veux-tu monter te reposer à moins que tu veuilles une clope ?

On va trouver ce chauffeur un peu cavalier, mais j’ai passé une partit de ma nuit à ses côtés avant qu’il relaye Johnny qui avait fait le départ et qui m’avait rejoint pour dormir.

• Non, j’ai fumé étant jeune pour faire comme mes copines, mais j’ai arrêté lors de ma première grossesse.
• Ben dit donc, tu m’en diras tant, fumer, toi qui es venu manifester pour une papa et un maman.

Je sens le ton ironique que Jean a envers moi, et surtout envers la cause que nous sommes venues défendre en inversant les « unes et les uns. »

Il éteint sa clope et déclenche l’ouverture de la porte.

• Viens au fond, on a le temps avant le retour des autres, ça sera plus confortable qu'à l'avant où se trouve ta place qui es en plein soleil.

En passant entre les sièges, je vois Johnny qui est calé dans un oreiller qui devait être dans la soute à bagages, il dort, il faut dire qu’à l’arrêt il fait une grande chaleur sous les tôles.
Je m’assieds à l’arrière et je prends mon mouchoir dans la poche de ma robe pour me le passer sur ma figure.
Mes pieds me brulent, j’ôte mes chaussures et j’étends mes jambes, Jean s’est mis à mes côtés sans que moi je pense à mal, toute la nuit du moins le temps où il attendait son tour pour conduire je l’ai eu comme voisin.

• Je sais, c’est insupportable dans ces bus lorsqu’il fait chaud, mais on a interdiction de laisser tourner le moteur sans client, restriction de carburant.
Nos patrons regardent les mouchards sur les moteurs et nous enlèvent des primes si l’on consomme à l’arrêt.
Tu peux ouvrir ta robe, ça te fera un peu de fraicheur.

Dois-je dire « comme une conne, » je suis la proposition de Jean oubliant ma poitrine généreuse qui déborde de mon soutien-gorge ?

• Dis donc, tes nibards sont généreux, Georges en a dans la main lorsqu’il les malaxe, Wafae, mon ancienne femme avait des œufs sur le plat.
Elle est partie les faire cuire avec un autre mec au bled.

Disant ces mots, il porte sa main sur mon sein, c’est la première fois qu’un homme me tâte les seins, même mon mari, sauf au bord du torrent où il m’a sauvé la vie.
Ça m’échauffe encore plus que le soleil sur les tôles.
Mais que dire lorsqu’il se penche et qu’il gobe mon droit, faisant bander mon mamelon fort gros depuis que les enfants les ont tétés.
Qui de lui ou de moi, fait sortir sa verge de son pantalon, peu importe, pour la première fois lorsqu’il m’appuie sans violence sur la tête j’ai le temps de voir un gros gland de si prêt.
Depuis mon mariage, j’ai découvert que certaines salopes suçaient leurs mecs pour leur plaisir, mais avec Georges, ces jeux restent tabous dans notre couple.
Je rappelle qu’à cette heure, je suis sur terre pour procréer et non m’amuser.
Sucer une bite, c’est con, c’est facile et je dois reconnaitre que faire monter la tige d’un homme, j’y prends gout.

• Johnny bouffe lui la chatte, regarde comme elle aime pomper, sa joue les dames patronnesse alors que c’est une vraie salope.

Eh ! oui, je suce une bite ce qui m’empêche de voir Johnny qui a dû entendre que je me laissais faire et qu’il pouvait participer à nos jeux.
J’ai dit avoir enlevé mes chaussures et avoir allongé mes jambes, je sens que le jeune garçon les écarte et qu’il touche à ma grosse petite culotte.
Grosse à cause de mon cul et petite car c’est mon sous-vêtement.
Première fellation et premier cunnilingus, ma culotte était simplement écartée.
Première pour tout ce qui va suivre, je rappelle qu’avec Georges, nous sommes dans le noir et qu’il se contente de venir sur moi pour se vider les couilles.
Pardon pour ces mots, ais-ce bien eux qui viennent à mon cerveau moi qui ai du mal à dire simplement « merde » lorsque avec un marteau je me tape sur les doigts lorsque je bricole pour la mairie.

• Plante là depuis que tu m’emmerdes à parler de ton pucelage, je l’entends roucouler sur ma verge pendant qu’elle la suce, elle a un gros cul mais je suis sûr qu’il est chaud comme de la braise.

Comment Jean sait-il que je deviens folle sous la langue de ce jeune garçon ayant le double de l’âge seulement de mon fils ainé ?
Je sens le haut de ma vulve grossir sous cette langue et oui, j’ignore que j’ai un clito qui pour la première fois, une de plus, est sollicité.
Avec Georges, la première fois, j’ai eu mal, cette première avec ce pieu qui entre en moi, c’est tout le contraire, il me fait devenir femme.
Je sers la verge qui est tendue dans ma bouche, ça lui fait perdre sa semence et les myriades de petits enfants que j’avale tellement Jean coule dans ma bouche.
Johnny alors que mon corps explose, m’inonde comme l’homme est fait sur la terre pour qu’il y ait un papa et une maman.

Redevenir la dame patronnesse et la maire de ma commune lorsque les autres arrivent, ayant fini leur parcours, tous s’excusent de m’avoir laissé en plan.
Quelle bande de cons, s’il savait que grâce à eux je sais maintenant que malgré mon gros cul, je suis une femme possiblement comblée.
De retour dans mes Pyrénées, deux choses à dire.
Jean qui aime passer à ma mairie, ou se trouve aussi l’école, c’est lui qui a la rentrée a été désigné par ses patrons pour conduire les quelques enfants du village au collège et à l’école primaire dont mon village dépend.
Contrairement au car, mon bureau est climatisé et je baise avec lui m’éclatant chaque fois qu’il me plante sur la table du conseil municipal.
Georges est content, non pas d’être cocu, nous sommes discrets et il l’ignore.
Mais c’est que je sois enceinte une quatrième fois, là encore ce qu’il ignore, c’est que c’est quelques semaines après mon voyage pour « un papa et une maman » que je l’ai découvert.
Cocu par Jean maintenant et par Johnny, une seule fois, mais qui a su me fournir assez de spermatozoïdes pour m’apporter mon quatrième enfant.
Comment je sais qu’il est de lui, Jean j’ai baisé dans mon bureau avec capote malgré que je sache déjà que j’étais enceinte ?
Quant à Georges, vous les femmes qui avez fait votre devoir de mère, vous savez presque à l’heure près avec qui et comment vous l’avez conçu.
Je viens d’accoucher, dans la ville voisine, dans son petit berceau j’ai la preuve vivante de ce que j’avance Johnny mon dernier fils, par chance Georges a pleuré le chanteur à sa mort, a accepté de l’appeler ainsi.
Mes trois premiers sont noirs de poils et mon chérubin est aussi blond que celui du car et je suis certaine que si j’avais la photo de sa naissance, ils auraient les mêmes expressions.
Dernière chose, j’essaye le sport et de perdre mon gros cul, c’est trop dangereux, ça plait tellement à de nombreux hommes !

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