COLLECTION HISTOIRE COURTE. Me faire sodomiser, jamais… (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Me faire sodomiser, jamais… (1/1)
Dans cette histoire qui a été une partie de ma vie, les lecteurs qui aiment celles qui parlent de sodomie, aujourd’hui en seront pour leurs faits.
La sodomie, très peu pour moi, donc je me ferais baiser, mais sans scène de pénétration anale, ça je peux l’affirmer.
Fellations, levrettes, missionnaires même dans cette position bien faite, c’est très agréable surtout que j’aime le sexe.
Bref baise classique même si quelques fantaisies sont loin de me déplaire.
Vingt ans, je sais à notre époque c’est tard, mais je voulais me donner à l’amour de ma vie.
Vingt ans, lorsque je rencontre Julien lors d’un stage en entreprise.
C’était le directeur de cette start-up en informatique.
Je veux travailler dans ce secteur et c’est avec pas mal de difficultés que j’ai été prise en région parisienne.
Pour faire ce stage en entreprise ça a été difficile à trouver mais de là à coucher avec Julien, c’est par amour que je me suis donnée à lui.
Dix ans d’écart, c’est peu quand on est amoureuse, persuadée que c’est le bon.
Le saligaud, il avait bien caché son jeu.
C’est deux ans et demi plus tard que j’ai compris qu’il avait d’énormes lacunes dans sa moralité.
Tout a commencé un soir où étant rentré un peu éméché s’est mis en tête de me sodomiser.
Nous venions de nous coucher et malgré son état, il m’avait persuadé de me mettre en levrette pour me baiser comme il aimait le faire en temps normal.
• Je veux ton anus !
Donne-moi ton cul !
Redresse-toi remet toi en position que je t’encule.
Les putes comme toi ça se sodomise, je vais te sodomiser.
J’aurais pu prendre cela comme des paroles d’ivrogne, mais directement après, je l’avais fait tomber du lit, fait ma valise et parti chez ma copine Susy.
Heureusement j’avais protégé mon intimité, mon anus était toujours vierge et il le resterait, ça je peux l’affirmer.
Quelques semaines de galère heureusement aidée par Susy.
Un soir dans une boîte où nous étions allés passer la soirée, un beau gosse a voulu nous offrir une coupe de champagne.
La coupe de ce breuvage offert par l’homme marié qu’elle fréquentait étant bourrée de pognon, mais fidèle à celle qu’il avait épousée à délier leurs langues.
Je devais être obnubilé par la sodomie bien que je la refuse.
• Quels sont vos pratiques sexuelles préférées ?
• L’exhibitionnisme.
Ça sa a été la réponse de Susy.
Il est vrai que dans son appartement que je skatais, dès qu’elle entrait elle faisait tomber tous ses vêtements.
Elle se promenait dans le plus simple appareil malgré le manque de rideau et les voisins de HLM presque à touche-touche.
Un peu gauchiste, cette jeune femme plus près de l’androgyne que la femme à la poitrine fortement développée qui est la mienne aurait pu passer par un jeune éphèbe avec sa coupe à la garçonne.
Pour elle, qu’elle parle d’exhibitionnisme, c’est tout à fait ce qu’elle est.
• L’exhibitionnisme c’est bien Susy et toi Jennifer !
• La sodomie.
Voilà le mot fatidique était lâché, « sodomie ».
• Tu as quelqu’un en ce moment.
• Non, je suis en recherche d’emploi, j’ai quitté un homme qui justement a voulu me sodomiser.
C’était mon amant que je croyais être l’homme de ma vie doublé de mon patron.
En refusant qu’il me sodomise, j’ai perdu et l’un et l’autre.
• Un jour tu rencontreras l’homme qui saura t’amener vers ce plaisir divin.
Dit lui Susy, tu t’éclates quand je t’encule comment tu prends ton pied et si nous allions chez moi ma chérie, ça me donne des idées.
Ils sont partis, je suis restée pour finir mon verre et simplement écouter la musique.
J’allais pour quitter l’établissement à mon tour ayant fini mon verre quand j’ai été abordé.
• Vous dansez, je m’appelle Vichy.
Une magnifique rousse, je venais de parler de sodomie quand cette femme m’invite.
Ses yeux d’un vert profond comme celui des océans m’ont subjugé bien que je sois loin d’être lesbienne.
Avec une femme j’étais persuadé que les risques de sodomie était nul.
Quand elle m’a entraîné sur la piste de danse, nos sexes se sont trouvés et je me suis mise à mouiller comme une dingue.
J’ignorais qu’une femme puisse me faire autant d’effet.
• Chez toi ou chez moi ?
Vicky était directe, Julien était fan de l’OM, dont la devise était « droit au but », ce devait être pour ça qu’il avait voulu me sodomiser.
• Chez toi, j’habite chez une copine qui vient de partir avec son mec.
Sans plus attendre, sur de son fait, je me retrouve avec la langue d’une femme dans ma bouche dès que nous avons rejoint sa voiture.
À ce moment j’ignorais si elle aussi supportait l’OM, mais sa main sous ma jupe lui a rapidement fait comprendre que de ce côté de mon anatomie, j’étais prête à sauter le pas des amours féminins.
Lorsque nous avons parcouru les quelques kilomètres de la boîte à chez elle, dans le
16e, je rigolais intérieurement, car le magnifique immeuble où elle logeait se trouvait à peu d’encablure du Parc des Princes.
Les amateurs de foot verront là le comique de la situation.
Ascenseur, appartement, terrasse, seule les gens au sommet de la tour Effel pouvait nous voir et encore avec une longue vue à très gros grossissement.
Une coupe en main en cette belle nuit d’été, tout était fait pour que rapidement nous soyons nues.
Autant Susy est filiforme, autant Vicky est pourvue des attributs qu’une femme peut posséder.
Sein plus beau que les miens que je prends un par un dans ma bouche, autant qu’elle prend les miens dans la sienne.
J’avais peur de la décevoir, mais lorsque pour la première fois, de toute façon tous ce que je vais découvrir cette nuit sera une première fois, je plonge un doigt dans sa chatte, je la trouve dégoulinante comme moi je le suis.
• Je parie que je te dis le nombre de femmes que tu as connues dans ta vie !
Aucune, tu es pleine de bonne volonté, mais je te sens fébrile, comme je l’étais la première fois où j’ai eu des rapports féminins, je vais tout t’apprendre.
Vicky aime les joujoux féminins et dans le petit meuble près du lit de jardin en osier recouvert d’un épais matelas, aux premiers rayons du soleil, je sais comment lui mette un gode bien profond autant qu’elle m’en met un.
Celui qu’elle a choisi, dans toute sa collection, à deux énormes glands à chacune de ses extrémités.
Je suis à un bout Vichy de l’autre et rapidement le mouvement de son corps passe dans le mien.
Une pub disait que ça ressemble mais sait bien plus.
Alors quand j’éclate de plaisir, c’est réciproque pour l’autre bout de la verge en silicone.
Gode deux glands, mais aussi nos simples bouches dans un 69 que j’apprécie d’autant mieux que des 69, j’en ai fait avec Julien.
Mais la bouche de cette femme dont je suis de plus en plus amoureuse, s’y prend plus voluptueusement m’incitant à lui faire de même.
Sa langue bien profondément ancrée en moi, sa main qu’elle a libérée s’occupe de caresser mon clitoris.
De mon côté je découvre l’odeur poivrée de cette foune rousse me faisant délirer.
Sa cyprine coule divinement dans ma bouche, là encore, c’est une première sans comparaison possible.
Je peux simplement dire que j’apprécie.
Mais d’un coup e sens un doigt caresser ma rosette.
Il y a peu, ‘aurais fait bouler Vicky hors de ce lit où il semble qu’elle ait des intentions de me sodomiser avec son doigt.
Pourtant la pénétration lente et continue me plait, surtout lorsqu’un mouvement de muscles anaux, enserre son doigt, comme si je voulais le garder définitivement en moi.
Ma langue comme pour la remercier de me faire connaître ce plaisir tant redouté, se met à lui lécher son trou du cul.
• Oui, Jennifer, j’adore les feuilles de rose, mets ta langue bien profond en moi.
Ma langue exécute les ordres qu’elle a reçus et moi je découvre une nouvelle pratique de la langue française « feuille de rose » que c’est joliment trouvé.
Alors au diable les serments les plus profondément ancré en moi, son doigt entièrement absorbé par mon conduit anal, je me mets à jouir comme une folle.
Je suis pantelante lorsqu’elle me quitte pour aller fouiller dans son armoire d’où elle a déjà sorti le gode à deux glands.
Elle revient vers moi se nouant une ceinture autour des reins d’où sort une magnifique verge noire.
• Met toi en levrette, je vais t’enculer !
Ça fait presque un an que j’accepte de me faire enculer.
Est-ce c’est parce que c’est une femme, la nature est ainsi faite, que dès qu’elle le met autour de ses reins, je mouille deux fois plus que lorsqu’elle me prend la chatte.
Ça fait presque un an que je vis sur les toits de Paris avec celle que je vais épouser pile-poil, un an depuis que j’ai découvert le plaisir d’une bonne sodomie.
Un toit au-dessus de ma tête, mais aussi, ma situation comme la mannequin, vedette de Vicky, la nouvelle égérie de la mode.
Je vais vous quitter, j’arrive de New York ou j’ai défendu la marque de l’amour de ma vie.
Je sais qu’elle m’attend pour s’occuper divinement de mes différents trous dont mon anus qui tout au long du voyage en avion a rêvé de se faire sodomiser.
La sodomie, très peu pour moi, donc je me ferais baiser, mais sans scène de pénétration anale, ça je peux l’affirmer.
Fellations, levrettes, missionnaires même dans cette position bien faite, c’est très agréable surtout que j’aime le sexe.
Bref baise classique même si quelques fantaisies sont loin de me déplaire.
Vingt ans, je sais à notre époque c’est tard, mais je voulais me donner à l’amour de ma vie.
Vingt ans, lorsque je rencontre Julien lors d’un stage en entreprise.
C’était le directeur de cette start-up en informatique.
Je veux travailler dans ce secteur et c’est avec pas mal de difficultés que j’ai été prise en région parisienne.
Pour faire ce stage en entreprise ça a été difficile à trouver mais de là à coucher avec Julien, c’est par amour que je me suis donnée à lui.
Dix ans d’écart, c’est peu quand on est amoureuse, persuadée que c’est le bon.
Le saligaud, il avait bien caché son jeu.
C’est deux ans et demi plus tard que j’ai compris qu’il avait d’énormes lacunes dans sa moralité.
Tout a commencé un soir où étant rentré un peu éméché s’est mis en tête de me sodomiser.
Nous venions de nous coucher et malgré son état, il m’avait persuadé de me mettre en levrette pour me baiser comme il aimait le faire en temps normal.
• Je veux ton anus !
Donne-moi ton cul !
Redresse-toi remet toi en position que je t’encule.
Les putes comme toi ça se sodomise, je vais te sodomiser.
J’aurais pu prendre cela comme des paroles d’ivrogne, mais directement après, je l’avais fait tomber du lit, fait ma valise et parti chez ma copine Susy.
Heureusement j’avais protégé mon intimité, mon anus était toujours vierge et il le resterait, ça je peux l’affirmer.
Quelques semaines de galère heureusement aidée par Susy.
Un soir dans une boîte où nous étions allés passer la soirée, un beau gosse a voulu nous offrir une coupe de champagne.
La coupe de ce breuvage offert par l’homme marié qu’elle fréquentait étant bourrée de pognon, mais fidèle à celle qu’il avait épousée à délier leurs langues.
Je devais être obnubilé par la sodomie bien que je la refuse.
• Quels sont vos pratiques sexuelles préférées ?
• L’exhibitionnisme.
Ça sa a été la réponse de Susy.
Il est vrai que dans son appartement que je skatais, dès qu’elle entrait elle faisait tomber tous ses vêtements.
Elle se promenait dans le plus simple appareil malgré le manque de rideau et les voisins de HLM presque à touche-touche.
Un peu gauchiste, cette jeune femme plus près de l’androgyne que la femme à la poitrine fortement développée qui est la mienne aurait pu passer par un jeune éphèbe avec sa coupe à la garçonne.
Pour elle, qu’elle parle d’exhibitionnisme, c’est tout à fait ce qu’elle est.
• L’exhibitionnisme c’est bien Susy et toi Jennifer !
• La sodomie.
Voilà le mot fatidique était lâché, « sodomie ».
• Tu as quelqu’un en ce moment.
• Non, je suis en recherche d’emploi, j’ai quitté un homme qui justement a voulu me sodomiser.
C’était mon amant que je croyais être l’homme de ma vie doublé de mon patron.
En refusant qu’il me sodomise, j’ai perdu et l’un et l’autre.
• Un jour tu rencontreras l’homme qui saura t’amener vers ce plaisir divin.
Dit lui Susy, tu t’éclates quand je t’encule comment tu prends ton pied et si nous allions chez moi ma chérie, ça me donne des idées.
Ils sont partis, je suis restée pour finir mon verre et simplement écouter la musique.
J’allais pour quitter l’établissement à mon tour ayant fini mon verre quand j’ai été abordé.
• Vous dansez, je m’appelle Vichy.
Une magnifique rousse, je venais de parler de sodomie quand cette femme m’invite.
Ses yeux d’un vert profond comme celui des océans m’ont subjugé bien que je sois loin d’être lesbienne.
Avec une femme j’étais persuadé que les risques de sodomie était nul.
Quand elle m’a entraîné sur la piste de danse, nos sexes se sont trouvés et je me suis mise à mouiller comme une dingue.
J’ignorais qu’une femme puisse me faire autant d’effet.
• Chez toi ou chez moi ?
Vicky était directe, Julien était fan de l’OM, dont la devise était « droit au but », ce devait être pour ça qu’il avait voulu me sodomiser.
• Chez toi, j’habite chez une copine qui vient de partir avec son mec.
Sans plus attendre, sur de son fait, je me retrouve avec la langue d’une femme dans ma bouche dès que nous avons rejoint sa voiture.
À ce moment j’ignorais si elle aussi supportait l’OM, mais sa main sous ma jupe lui a rapidement fait comprendre que de ce côté de mon anatomie, j’étais prête à sauter le pas des amours féminins.
Lorsque nous avons parcouru les quelques kilomètres de la boîte à chez elle, dans le
16e, je rigolais intérieurement, car le magnifique immeuble où elle logeait se trouvait à peu d’encablure du Parc des Princes.
Les amateurs de foot verront là le comique de la situation.
Ascenseur, appartement, terrasse, seule les gens au sommet de la tour Effel pouvait nous voir et encore avec une longue vue à très gros grossissement.
Une coupe en main en cette belle nuit d’été, tout était fait pour que rapidement nous soyons nues.
Autant Susy est filiforme, autant Vicky est pourvue des attributs qu’une femme peut posséder.
Sein plus beau que les miens que je prends un par un dans ma bouche, autant qu’elle prend les miens dans la sienne.
J’avais peur de la décevoir, mais lorsque pour la première fois, de toute façon tous ce que je vais découvrir cette nuit sera une première fois, je plonge un doigt dans sa chatte, je la trouve dégoulinante comme moi je le suis.
• Je parie que je te dis le nombre de femmes que tu as connues dans ta vie !
Aucune, tu es pleine de bonne volonté, mais je te sens fébrile, comme je l’étais la première fois où j’ai eu des rapports féminins, je vais tout t’apprendre.
Vicky aime les joujoux féminins et dans le petit meuble près du lit de jardin en osier recouvert d’un épais matelas, aux premiers rayons du soleil, je sais comment lui mette un gode bien profond autant qu’elle m’en met un.
Celui qu’elle a choisi, dans toute sa collection, à deux énormes glands à chacune de ses extrémités.
Je suis à un bout Vichy de l’autre et rapidement le mouvement de son corps passe dans le mien.
Une pub disait que ça ressemble mais sait bien plus.
Alors quand j’éclate de plaisir, c’est réciproque pour l’autre bout de la verge en silicone.
Gode deux glands, mais aussi nos simples bouches dans un 69 que j’apprécie d’autant mieux que des 69, j’en ai fait avec Julien.
Mais la bouche de cette femme dont je suis de plus en plus amoureuse, s’y prend plus voluptueusement m’incitant à lui faire de même.
Sa langue bien profondément ancrée en moi, sa main qu’elle a libérée s’occupe de caresser mon clitoris.
De mon côté je découvre l’odeur poivrée de cette foune rousse me faisant délirer.
Sa cyprine coule divinement dans ma bouche, là encore, c’est une première sans comparaison possible.
Je peux simplement dire que j’apprécie.
Mais d’un coup e sens un doigt caresser ma rosette.
Il y a peu, ‘aurais fait bouler Vicky hors de ce lit où il semble qu’elle ait des intentions de me sodomiser avec son doigt.
Pourtant la pénétration lente et continue me plait, surtout lorsqu’un mouvement de muscles anaux, enserre son doigt, comme si je voulais le garder définitivement en moi.
Ma langue comme pour la remercier de me faire connaître ce plaisir tant redouté, se met à lui lécher son trou du cul.
• Oui, Jennifer, j’adore les feuilles de rose, mets ta langue bien profond en moi.
Ma langue exécute les ordres qu’elle a reçus et moi je découvre une nouvelle pratique de la langue française « feuille de rose » que c’est joliment trouvé.
Alors au diable les serments les plus profondément ancré en moi, son doigt entièrement absorbé par mon conduit anal, je me mets à jouir comme une folle.
Je suis pantelante lorsqu’elle me quitte pour aller fouiller dans son armoire d’où elle a déjà sorti le gode à deux glands.
Elle revient vers moi se nouant une ceinture autour des reins d’où sort une magnifique verge noire.
• Met toi en levrette, je vais t’enculer !
Ça fait presque un an que j’accepte de me faire enculer.
Est-ce c’est parce que c’est une femme, la nature est ainsi faite, que dès qu’elle le met autour de ses reins, je mouille deux fois plus que lorsqu’elle me prend la chatte.
Ça fait presque un an que je vis sur les toits de Paris avec celle que je vais épouser pile-poil, un an depuis que j’ai découvert le plaisir d’une bonne sodomie.
Un toit au-dessus de ma tête, mais aussi, ma situation comme la mannequin, vedette de Vicky, la nouvelle égérie de la mode.
Je vais vous quitter, j’arrive de New York ou j’ai défendu la marque de l’amour de ma vie.
Je sais qu’elle m’attend pour s’occuper divinement de mes différents trous dont mon anus qui tout au long du voyage en avion a rêvé de se faire sodomiser.
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