COLLECTION HISTOIRE COURTE. Merci ma fille (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2398 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 999 784 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 775 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Merci ma fille (1/1)
• Susy, ce soir tu restes ici, tu es déjà sortie hier au soir.
• Je suis sortie, mais pas longtemps, je vais voir Carine et je rentre.
De toute façon on va parler d’un devoir que nous devons faire en commun pour le lycée.
• Bon, je veux bien, mais si tu rentres quand je suis couchée, évite de faire du bruit.
Demain, je me lève top, je prends mon poste à 8 heures et je dois préparer le repas de demain soir.
• Oui, maman, nous, pardons, je ferais attention.
Douche, je prendrais bien un bain, mais comme je l’ai dit je me lève tôt.
Je me couche et rapidement je dors.
Du moins, c’est ce que je crois puisque mon cerveau se vide.
• Chute.
Un bruit me ramène sur terre, plus de minuit.
Un bruit comme si un pied avait tapé dans le pied d’un meuble.
• Tu veux qu’elle se réveille.
Je dois rêver, nous vivons seules avec Susy, mon mari s’est tiré en fin d’année dernière.
Il a profité de la nuit de la saint Sylvestre alors que j’étais de service de nuit pour faire sa valise.
J’ai su plus tard qu’il avait trouvé une pétasse et que j’étais cocu depuis des mois.
C’est Susy qui m’a appris certaines choses.
Par exemple, une nuit là encore où je travaillais, elle l’avait entendu rentrer tard dans la nuit sans l’avoir vu sortir.
Nous nous étions rencontrés avec Germain, j’avais 16 ans et ma fille est née comme tous les enfants 9 mois plus tard.
Je voulais devenir médecin et malgré ma fille et un mari, j’ai fini mes études d’infirmières.
Germain lui avait 22 ans et par chance, il a accepté d’élever sa fille.
À un moment, ce qui m’est arrivé me revient à l’esprit, je m’étais laissé séduire et les conséquences, je viens de les expliquer.
Je suis heureuse d’avoir ma fille, mais je l’ai payé de ma passion pour la médecine et surtout d’apprendre ce que le sexe veut dire.
Lors de mon dépucelage, Germain était à peine entré en moi qu’il éjaculait marquant un but direct, Susy.
Depuis, chaque fois, cinq minutes montre en main.
J’arrive à jouir depuis mon adolescence, mais c’est ma main et surtout mes doigts sur mon clito qui en sont les déclencheurs.
D’un coup, je me réveille, je suis consciente, j’ai bien entendu du bruit lorsque Susy est entrée.
Elle m’a dit rejoindre Carine, si Germain a pu me gruger avec sa pute.
Ma fille, sa fille aurait-elle des penchants déviants et en ce moment, elle se roule entre les jambes de cette petite pétasse risquant de m’enlever mes futures petit enfant.
Je me lève, je passe mon peignoir et je vais à l’autre bout du couloir là où se trouve sa chambre.
J’écoute comme bon nombre de mères doivent le faire, lorsqu’elles ont des doutes sur leurs enfants devenant adultes trop vite à leur goût.
Ce sont bien des baisers et des soupirs que j’entends.
J’ai raison, Carine se fait ma fille.
Je clanche, la porte s’ouvre.
• Oh, pardon, excusez-moi.
C’est un garçon qui est avec Susy, j’ignore si ma fille était à poil, mais j’ai eu le temps de voir la queue de ce copain qui allait planter la fille.
J’ouvre la porte, repensant à ce qui m’est arrivé et quelle conséquence jusqu’à ce jour.
• Monsieur, ma fille a 15 ans, vous êtes en train de faire un geste pédophile, sortez de sa chambre.
Il se lève, quel beau morceau, il récupère ses affaires et se dirige vers moi.
• Maman, j’ai bientôt 16 ans.
• Tu le tais et tu dors, tant que tu seras sous mon toit, tu feras ce que je te dirais.
Le garçon passe près de moi, je frissonne.
Je ferme la porte et je le suis.
Comme je l’ai dit, la chambre de ma fille est au bout du couloir.
Germain avait choisi de l’éloigner de nous quelques fois qu’elle entende nos ébats.
Hélas, si ébats il y avait eu, j’ai parlé de ma frustration.
• Entre, la porte à gauche, dis-moi quel âge as-tu et quel est ton nom ?
• Sylvain et j’ai 23 ans.
• Sylvain, si ma fille est mineure, moi je suis loin de l’être.
Je vois dans l’état où tu es, je vais avoir pitié de toi.
Ses affaires sont devant sa verge, mais je vois nettement qu’il bande encore.
Je fais tomber mon peignoir, je dors toujours nue.
Je me colle à lui, nos bouches se trouvent facilement.
Je mets ma main sur sa queue et comme je sens que contrairement à mon mari, il va tenir la distance, je vais pouvoir vivre l’un de mes fantasmes.
Je m’agenouille et enfin une verge entre dans ma bouche.
Le sucer du haut en bas, soupeser ses bourses, les avaler une à une et les recracher comme je le fais avec un noyau de pêche, en plus gros il est vrai.
Je le sens palpiter, lui aussi doit sentir qu’il va partir.
Il m’aide à me relever et je pense me laisser en arrière pour qu’il me chevauche.
Il me retourne et me place en levrette.
C’est-il que c’est la première fois à mon âge que je me retrouve dans cette position ?
C’est divin quand il me plante et qu’il rentre bien au fond, sa verge tapant au fond de mon vagin.
J’ignorais être si profonde, seule mes lèvres vaginales à ce jour avaient connu le frottement d’une bite.
Je hurle dans mon bras ayant conscience que ma fille même si elle est éloignée va entendre la salope que Sylvain est en train de faire de moi.
Il me montre que jouir ces biens, mais avoir un orgasme, c’est mieux.
Plusieurs orgasmes, c’est mieux.
Je m’écroule, à la limite de défaillir.
Il est couché sur moi sans avoir débandé et encore moins déchargé.
Comme on dirait en boxe, « deuxième round »
Deuxième fois où il me fait rejoindre des rives inatteignables avec mon mari.
Même pas envisageable un seul instant.
Je suis restée allongée, lui sur moi, sa verge glissée dans ma chatte.
Je tourne ma tête, la veilleuse de mon réveil marque 5 heures.
• Si tu veux, Véronique, que je reste avec toi, tu me plais énormément, je cherchais une maîtresse aussi endurante et performante que toi.
Susy a dû lui donner mon nom, je manque d’éclater de rire, s’il savait que c’est une demi-pucelle qu’il vient de faire monter au septième ciel.
• Oui, tu peux rester, mais je t’en conjure, si un jour tu veux changer d’air, dis-le-moi, je comprendrais.
Je veux éviter de lui expliquer que la trahison de Germain, je l’ai en traves de ma gorge.
Je me retourne, quel homme, il bande toujours.
Le missionnaire, ça a du bon, lorsque ce superman vous laboure à la place de Rabbit le lapin, mon ancien compagnon.
Gicle, gicle beau mâle, rempli moi de ta semence après une dernière envolée commune entièrement synchrone.
Dormir au centre de son épaule, d’un geste protecteur.
• Maman, il est 9 heures, l’hôpital t’appelle.
• Dis leur que j’ai la migraine et que je suis clouée au fond de mon lit.
• Sylvain, c’est toi et dans le lit de maman !
• Susy, laisse-nous, je te présente ton nouveau papa.
• Je suis sortie, mais pas longtemps, je vais voir Carine et je rentre.
De toute façon on va parler d’un devoir que nous devons faire en commun pour le lycée.
• Bon, je veux bien, mais si tu rentres quand je suis couchée, évite de faire du bruit.
Demain, je me lève top, je prends mon poste à 8 heures et je dois préparer le repas de demain soir.
• Oui, maman, nous, pardons, je ferais attention.
Douche, je prendrais bien un bain, mais comme je l’ai dit je me lève tôt.
Je me couche et rapidement je dors.
Du moins, c’est ce que je crois puisque mon cerveau se vide.
• Chute.
Un bruit me ramène sur terre, plus de minuit.
Un bruit comme si un pied avait tapé dans le pied d’un meuble.
• Tu veux qu’elle se réveille.
Je dois rêver, nous vivons seules avec Susy, mon mari s’est tiré en fin d’année dernière.
Il a profité de la nuit de la saint Sylvestre alors que j’étais de service de nuit pour faire sa valise.
J’ai su plus tard qu’il avait trouvé une pétasse et que j’étais cocu depuis des mois.
C’est Susy qui m’a appris certaines choses.
Par exemple, une nuit là encore où je travaillais, elle l’avait entendu rentrer tard dans la nuit sans l’avoir vu sortir.
Nous nous étions rencontrés avec Germain, j’avais 16 ans et ma fille est née comme tous les enfants 9 mois plus tard.
Je voulais devenir médecin et malgré ma fille et un mari, j’ai fini mes études d’infirmières.
Germain lui avait 22 ans et par chance, il a accepté d’élever sa fille.
À un moment, ce qui m’est arrivé me revient à l’esprit, je m’étais laissé séduire et les conséquences, je viens de les expliquer.
Je suis heureuse d’avoir ma fille, mais je l’ai payé de ma passion pour la médecine et surtout d’apprendre ce que le sexe veut dire.
Lors de mon dépucelage, Germain était à peine entré en moi qu’il éjaculait marquant un but direct, Susy.
Depuis, chaque fois, cinq minutes montre en main.
J’arrive à jouir depuis mon adolescence, mais c’est ma main et surtout mes doigts sur mon clito qui en sont les déclencheurs.
D’un coup, je me réveille, je suis consciente, j’ai bien entendu du bruit lorsque Susy est entrée.
Elle m’a dit rejoindre Carine, si Germain a pu me gruger avec sa pute.
Ma fille, sa fille aurait-elle des penchants déviants et en ce moment, elle se roule entre les jambes de cette petite pétasse risquant de m’enlever mes futures petit enfant.
Je me lève, je passe mon peignoir et je vais à l’autre bout du couloir là où se trouve sa chambre.
J’écoute comme bon nombre de mères doivent le faire, lorsqu’elles ont des doutes sur leurs enfants devenant adultes trop vite à leur goût.
Ce sont bien des baisers et des soupirs que j’entends.
J’ai raison, Carine se fait ma fille.
Je clanche, la porte s’ouvre.
• Oh, pardon, excusez-moi.
C’est un garçon qui est avec Susy, j’ignore si ma fille était à poil, mais j’ai eu le temps de voir la queue de ce copain qui allait planter la fille.
J’ouvre la porte, repensant à ce qui m’est arrivé et quelle conséquence jusqu’à ce jour.
• Monsieur, ma fille a 15 ans, vous êtes en train de faire un geste pédophile, sortez de sa chambre.
Il se lève, quel beau morceau, il récupère ses affaires et se dirige vers moi.
• Maman, j’ai bientôt 16 ans.
• Tu le tais et tu dors, tant que tu seras sous mon toit, tu feras ce que je te dirais.
Le garçon passe près de moi, je frissonne.
Je ferme la porte et je le suis.
Comme je l’ai dit, la chambre de ma fille est au bout du couloir.
Germain avait choisi de l’éloigner de nous quelques fois qu’elle entende nos ébats.
Hélas, si ébats il y avait eu, j’ai parlé de ma frustration.
• Entre, la porte à gauche, dis-moi quel âge as-tu et quel est ton nom ?
• Sylvain et j’ai 23 ans.
• Sylvain, si ma fille est mineure, moi je suis loin de l’être.
Je vois dans l’état où tu es, je vais avoir pitié de toi.
Ses affaires sont devant sa verge, mais je vois nettement qu’il bande encore.
Je fais tomber mon peignoir, je dors toujours nue.
Je me colle à lui, nos bouches se trouvent facilement.
Je mets ma main sur sa queue et comme je sens que contrairement à mon mari, il va tenir la distance, je vais pouvoir vivre l’un de mes fantasmes.
Je m’agenouille et enfin une verge entre dans ma bouche.
Le sucer du haut en bas, soupeser ses bourses, les avaler une à une et les recracher comme je le fais avec un noyau de pêche, en plus gros il est vrai.
Je le sens palpiter, lui aussi doit sentir qu’il va partir.
Il m’aide à me relever et je pense me laisser en arrière pour qu’il me chevauche.
Il me retourne et me place en levrette.
C’est-il que c’est la première fois à mon âge que je me retrouve dans cette position ?
C’est divin quand il me plante et qu’il rentre bien au fond, sa verge tapant au fond de mon vagin.
J’ignorais être si profonde, seule mes lèvres vaginales à ce jour avaient connu le frottement d’une bite.
Je hurle dans mon bras ayant conscience que ma fille même si elle est éloignée va entendre la salope que Sylvain est en train de faire de moi.
Il me montre que jouir ces biens, mais avoir un orgasme, c’est mieux.
Plusieurs orgasmes, c’est mieux.
Je m’écroule, à la limite de défaillir.
Il est couché sur moi sans avoir débandé et encore moins déchargé.
Comme on dirait en boxe, « deuxième round »
Deuxième fois où il me fait rejoindre des rives inatteignables avec mon mari.
Même pas envisageable un seul instant.
Je suis restée allongée, lui sur moi, sa verge glissée dans ma chatte.
Je tourne ma tête, la veilleuse de mon réveil marque 5 heures.
• Si tu veux, Véronique, que je reste avec toi, tu me plais énormément, je cherchais une maîtresse aussi endurante et performante que toi.
Susy a dû lui donner mon nom, je manque d’éclater de rire, s’il savait que c’est une demi-pucelle qu’il vient de faire monter au septième ciel.
• Oui, tu peux rester, mais je t’en conjure, si un jour tu veux changer d’air, dis-le-moi, je comprendrais.
Je veux éviter de lui expliquer que la trahison de Germain, je l’ai en traves de ma gorge.
Je me retourne, quel homme, il bande toujours.
Le missionnaire, ça a du bon, lorsque ce superman vous laboure à la place de Rabbit le lapin, mon ancien compagnon.
Gicle, gicle beau mâle, rempli moi de ta semence après une dernière envolée commune entièrement synchrone.
Dormir au centre de son épaule, d’un geste protecteur.
• Maman, il est 9 heures, l’hôpital t’appelle.
• Dis leur que j’ai la migraine et que je suis clouée au fond de mon lit.
• Sylvain, c’est toi et dans le lit de maman !
• Susy, laisse-nous, je te présente ton nouveau papa.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Non la fin est bâclée ou manque d'imagination sinon j'ai beaucoup aimé.
Nul besoin d'être réécrit
Un peu d'humilité de l'auteur devant les comme serait bien aussi.
Nul besoin d'être réécrit
Un peu d'humilité de l'auteur devant les comme serait bien aussi.
Non la fin est bâclée ou manque d'imagination sinon j'ai beaucoup aimé.
Nul besoin d'être réécrit
Un peu d'humilité de l'auteur devant les comme serait bien aussi.
Nul besoin d'être réécrit
Un peu d'humilité de l'auteur devant les comme serait bien aussi.
Oh! castre supérieur sans "e"...
Oh! "surtout évitez" sans virgule entre ces deux mots...
Inutile de me les signaler et de me faire perdre mon temps...
Pour vous re-reire cher LORD...
Oh! "surtout évitez" sans virgule entre ces deux mots...
Inutile de me les signaler et de me faire perdre mon temps...
Pour vous re-reire cher LORD...
Cher lecteur
Vous avez pris le nom ronflant de « lord », vous vous prenez donc pour une castre
supérieur.
Mais il est dit que la critique est facile, vous connaissez la suite...
Quand on veut donner des leçons, on doit être soit même irréprochable.
J’en ai pour preuve la phrase que vous lumière des auteurs écrivez.
« Il m’a fallu relire certaines phrase »...
Oh ! la grosse faute d’orthographe, voire de grammaire pour ne pas savoir qu’un mot au
pluriel prend un « S « ...
Pour vous lire cher Lord...
Surtout évitez de réécrire mes textes, presque 10 000 000 de lecteur les apprécient.
Soit en moyenne 5 000 par textes...
Pour vous relire cher LORD...
Vous avez pris le nom ronflant de « lord », vous vous prenez donc pour une castre
supérieur.
Mais il est dit que la critique est facile, vous connaissez la suite...
Quand on veut donner des leçons, on doit être soit même irréprochable.
J’en ai pour preuve la phrase que vous lumière des auteurs écrivez.
« Il m’a fallu relire certaines phrase »...
Oh ! la grosse faute d’orthographe, voire de grammaire pour ne pas savoir qu’un mot au
pluriel prend un « S « ...
Pour vous lire cher Lord...
Surtout évitez de réécrire mes textes, presque 10 000 000 de lecteur les apprécient.
Soit en moyenne 5 000 par textes...
Pour vous relire cher LORD...
Franchement, l'idée de ce scénario est excellente. Il y a de la gaité, une certaine
morale et de la liberté. La fin me laisse assez dubitatif quant à la réaction de Suzy. Je
doute fortement qu'il y ait une happy end à suivre, mais bon...
Par contre, l'écriture manque de sérieux et de ponctuation. Il m'a fallu relire certaines
phrase 3 ou 4 fois pour comprendre leur sens en faisant abstraction des contre sens et
des fautes d'orthographes. Je n'ai qu'une envie, c'est de le ré-écrire pour lui donner
l'écrin qu'il mérite.
morale et de la liberté. La fin me laisse assez dubitatif quant à la réaction de Suzy. Je
doute fortement qu'il y ait une happy end à suivre, mais bon...
Par contre, l'écriture manque de sérieux et de ponctuation. Il m'a fallu relire certaines
phrase 3 ou 4 fois pour comprendre leur sens en faisant abstraction des contre sens et
des fautes d'orthographes. Je n'ai qu'une envie, c'est de le ré-écrire pour lui donner
l'écrin qu'il mérite.