COLLECTION HISTOIRE COURTE. Mon beau-frère a un bar à pute (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Mon beau-frère a un bar à pute (1/1)
- Jacques, j’ai peut-être une solution à votre problème.
- Dis-moi Michel, on est dans une situation tellement tendue financièrement qu’à part vendre notre pavillon et repartir en location, pourtant j’aimerais le garder.
J’aurais honte de perdre le travail de papa et maman qu’ils nous ont légués à leur mort.
- Moi aussi, mais je suis célibataire et le partage de leurs biens me convenait très bien.
Quand mes parents sont morts, nous avons hérité de ce pavillon à Annecy le vieux.
Le lac est proche mais non visible, sauf du grenier par un Velux.
Jacques est mon jumeau nous avons 28 ans.
Je suis célibataire et j’ai récupéré la partie où nous vivions l’été construites par papa pendant des heures.
Il y a laissé la santé et comme maman l’aimait plus que tout quand il est mort, elle l’a suivi quelques jours après. Nous avons été surpris.
- Voilà ce que je te propose.
Je cherche une barmaid pour mon bar à Genève et Sabrina pourrait prendre ce travail.
- Dans ton bar à pute, tu es fou, ma femme dans un bordel jamais.
- Calme Jacques, déjà mon bar est un bar à fille s’occupant de clients moyennant rémunérations.
C’est légal car ce sont elles qui choisissent ce travail, à aucun moment l’on peut parler de prostitution.
Sabrina sera derrière le bar et servira les clients avec les filles car en plus des passes, elles sont intéressées à la consommation.
Elle assumera le service de 19 heures à 3 heures du matin, du mercredi soir au dimanche.
Je te conduirais Sabrina en partant à 18 heures retour à quatre heures du matin.
- Je continue à penser que c’est une mauvaise idée.
- Et je dis oui Michel, je pense que tes filles pratiquent leur métier hors de la vue des gens.
- Tu as raison Sabrina, le bar comprend la salle commune où les clients choisissent et après elles vont dans l’une des six salles disponibles pour pratiquer leur art.
- Écarter leurs cuisses tu parle d’un art, quand j’ai su que tu avais repris ce bordel, j’ai eu honte pour la famille.
- Je te rappelle que la famille, c’est Sabrina, toi, moi et Louis mon filleul.
- Tient qui va s’occuper de lui pendant que tu seras à Genève.
- Toi, Jacques, tu finis ton travail de prof à 17 heures et Sabrina sera là pour assurer son levé puisque c’est toi qui passes à la maternel avant d’aller dans ta classe.
Si elle veut elle pourra se recoucher en début d’après-midi pour récupérer.
Dernière chose, je paye 1 250 € nets par mois, sans compter les primes.
Fait vite tes comptes, je crois que tu auras du mal à trouver meilleure proposition.
Si on est d’accord tu commences demain mercredi, nous fournissons le costume de travail.
- Je parie qu’elle devra mettre son cul en valeur.
- Là tu marques un point frérot, mais ce sont ses magnifiques seins qui seront mis en valeur.
Quand nous allons au lac l’été, elle en a montré plus dans son petit maillot et à plus de gens que mes filles dans mon bar.
- Tu as parlé de prime, ça comprend quoi ?
- Tu vois je sens que tu es intéressé.
Il arrive que des clients nous offrent un coup à boire certains se serve de ma boîte comme simple bar passé une certaine heure.
Sabrina touchera sur ces consommations en tout bien tout honneur.
Voilà, nous sommes dans la voiture de sport de Michel qui me conduit vers un lieu qui me fait fantasmer depuis que je sais que mon beau-frère l’a acheté.
Un bar à fille !
Comment font-elles pour ouvrir les cuisses et se faire pénétrer pour du pognon ?
Avec Jacques, c’est simple, il vient sur moi après que je l’ai caressé de la main il me pénètre et bonjour Louis mon fils.
Depuis ayant eu son fils, chaque fois qu’il me baise, il me demande si j’ai bien pris ma pilule.
Il ignore que je me suis fait poser un stérilet.
S’il le savait, je suis sûr de son incompréhension malgré qu’il soit prof des écoles.
- Voilà on y est, Gloria est déjà là, c’est la responsable des filles et c’est elle qui tient les comptes en mon absence.
Celles qui travaillent ce soir, je vais te les présenter.
Voilà, la tenue passée dans le vestiaire et ma première soirée se termine.
Nous reprenons la voiture.
- Tu vois c’est facile, tu les sers ils sont contents de toi et des filles et ils reviennent et à nous le pognons.
J’ai vu qu’un mec te payait à boire, ça c’est autant d'argent dans votre poche en fin de mois.
- Ce client en plus de me payer un verre voulait aller dans une chambre pour que je lui fasse une fellation.
- Tu as dit non, pourtant tu aurais gagné plus.
Quand en roulant nous avons cette conversation, ma petite culotte doit être toute humide.
Je fantasme à penser que la bite de cet homme peut entrer dans ma bouche lieu inviolé depuis ma naissance.
Je l’ai dit Jacques est classique et sans aucune fioriture, la simple idée d’en mettre une à cet endroit me soulève le cœur mais m’excite à me faire mouiller.
Quand je rentre après mes quatre premiers jours, je suis satisfaite et Jacques aussi, tout se passe comme Michel l’avait dit.
Sauf les propositions, beaucoup de clients semblent flacher sur mes seins généreusement proposés à leur concupiscence.
Ce soir l’un d’eux m’a proposé du fric pour se masturber entre eux.
Le mercredi Jacques prend l’habitude depuis mon accouchement de me baiser ce jour-là, j’ai dormi toute la nuit malgré deux réveils car les heures décalées se font sentir.
La première paye arrive presque 2 000 € avec les consos, Jacques est enchanté quand il regarde son compte.
À ce rythme il va pouvoir retrouver le vert à la banque, je m’aperçois que ses scrupules du début semblent complètement gommés.
- Michel, un client m’a proposé de le sucer comme celui de l’autre fois.
Ça fait plusieurs qui me le demandent, combien ça paye ?
- Toi, je te vois venir, tu aimerais t’offrir quelques jolies tenues comme tu vois sur le dos des filles quand vous vous changez dans le vestiaire.
- C’est un peu ça, mais je voudrais voir plus grand, j’aimerais que tu trouves une combine pour que l’argent que j’aurais gagné me serve sans que Jacques s’en aperçoive.
- Qu’aurais-tu comme besoin ?
- J’aimerais faire construire une piscine dans le jardin, je me suis renseigné il y en aurait pour 12 000 € à cause de la pente à rattraper.
- C’est facile, j’offre cette piscine à mon filleul et bien sur chaque mois sur ce que tu auras gagné je déduirais le petit crédit sans intérêt dont mon frère ignorera l’existence.
- J’ai un seul problème hors de celui moral envers mon mari.
- Comment fait-on une fellation ?
- Comment le sais-tu ?
- Il est difficile de vivre auprès d’un couple et d’ignorer ses travers.
Porte de la salle de bains qui s’ouvre en grinçant principalement les mercredi matin, jour où mon frère est de repos.
Le sommier qui grince et de nouveau la porte de la salle de bains qui grince.
Comme on disait de lui un président, cinq minutes douches comprises.
Je vais t’apprendre.
Nous sommes sur l’autoroute menant à Annecy, une bretelle de sortie vers des parking.
Je vois Michel sortir sa bite.
- Avance ta bouche.
Voilà, j’ai fait ma première fellation, mon beau-frère m’a montré comment faire courir ma langue du gland au couilles.
Je les aspire dans ma bouche avec un peu de mal car il semble que j’ai épouser le moins bien monté des deux frères.
- Louis, va dehors, la piscine que tu as vu construire, nous t’avons caché que c’est pour ton anniversaire que parrain te l’offre.
- Oh ! merci parrain on va se baigner ensemble.
Les semaines se poursuivent sans encombre.
La dernière fille vient de partir je suis seule à ranger les chambres pour ce soir avec Michel.
- Dit, c’est votre anniversaire à ton frère et à toi, j’aimerais offrir une 5008 à mon mari, il en rêve.
- Tu veux faire des passes plus compète avec les clients.
- Oui, mais…- Tu es nul au lit car mon frère est nul sur ce terrain.
Je vais te montrer.
Inutile d’aller aux vestiaire se déshabillé, nos vêtements saute dans la chambre.
- Les principales positions, la levrette.
Mon beau-frère, celui que j’aurais dû épouser me prend dans cette position.
Il me forme à grande vitesse et ce soir, c’est lui qui tient le bar pendant que je vais faire la pute.
J’y prend plaisir car pour Noël et pendant une semaine.
Je souhaite que mon patron nous offre une semaine dans une îles des mers chaudes prise sur ma cagnotte qui grossit à vitesse grand V car en plus de mon cul, je suis la reine pour leur faire sauter les bouchons.
Une dernière chose, en ce moment mon beau-frère et amant me sodomise, je gagnerais plus quand ça sera fait.
Nous venons d’annoncer à mon mari que je m’associe avec son frère.
Il a tellement d’avoir que nous venons de racheter la maison voisine.
Nous allons tout casser pour moderniser et doubler les chambres où les filles recevront.
J’aurais ma propre chambre celle de la reine des putes de notre bordel.
- Dis-moi Michel, on est dans une situation tellement tendue financièrement qu’à part vendre notre pavillon et repartir en location, pourtant j’aimerais le garder.
J’aurais honte de perdre le travail de papa et maman qu’ils nous ont légués à leur mort.
- Moi aussi, mais je suis célibataire et le partage de leurs biens me convenait très bien.
Quand mes parents sont morts, nous avons hérité de ce pavillon à Annecy le vieux.
Le lac est proche mais non visible, sauf du grenier par un Velux.
Jacques est mon jumeau nous avons 28 ans.
Je suis célibataire et j’ai récupéré la partie où nous vivions l’été construites par papa pendant des heures.
Il y a laissé la santé et comme maman l’aimait plus que tout quand il est mort, elle l’a suivi quelques jours après. Nous avons été surpris.
- Voilà ce que je te propose.
Je cherche une barmaid pour mon bar à Genève et Sabrina pourrait prendre ce travail.
- Dans ton bar à pute, tu es fou, ma femme dans un bordel jamais.
- Calme Jacques, déjà mon bar est un bar à fille s’occupant de clients moyennant rémunérations.
C’est légal car ce sont elles qui choisissent ce travail, à aucun moment l’on peut parler de prostitution.
Sabrina sera derrière le bar et servira les clients avec les filles car en plus des passes, elles sont intéressées à la consommation.
Elle assumera le service de 19 heures à 3 heures du matin, du mercredi soir au dimanche.
Je te conduirais Sabrina en partant à 18 heures retour à quatre heures du matin.
- Je continue à penser que c’est une mauvaise idée.
- Et je dis oui Michel, je pense que tes filles pratiquent leur métier hors de la vue des gens.
- Tu as raison Sabrina, le bar comprend la salle commune où les clients choisissent et après elles vont dans l’une des six salles disponibles pour pratiquer leur art.
- Écarter leurs cuisses tu parle d’un art, quand j’ai su que tu avais repris ce bordel, j’ai eu honte pour la famille.
- Je te rappelle que la famille, c’est Sabrina, toi, moi et Louis mon filleul.
- Tient qui va s’occuper de lui pendant que tu seras à Genève.
- Toi, Jacques, tu finis ton travail de prof à 17 heures et Sabrina sera là pour assurer son levé puisque c’est toi qui passes à la maternel avant d’aller dans ta classe.
Si elle veut elle pourra se recoucher en début d’après-midi pour récupérer.
Dernière chose, je paye 1 250 € nets par mois, sans compter les primes.
Fait vite tes comptes, je crois que tu auras du mal à trouver meilleure proposition.
Si on est d’accord tu commences demain mercredi, nous fournissons le costume de travail.
- Je parie qu’elle devra mettre son cul en valeur.
- Là tu marques un point frérot, mais ce sont ses magnifiques seins qui seront mis en valeur.
Quand nous allons au lac l’été, elle en a montré plus dans son petit maillot et à plus de gens que mes filles dans mon bar.
- Tu as parlé de prime, ça comprend quoi ?
- Tu vois je sens que tu es intéressé.
Il arrive que des clients nous offrent un coup à boire certains se serve de ma boîte comme simple bar passé une certaine heure.
Sabrina touchera sur ces consommations en tout bien tout honneur.
Voilà, nous sommes dans la voiture de sport de Michel qui me conduit vers un lieu qui me fait fantasmer depuis que je sais que mon beau-frère l’a acheté.
Un bar à fille !
Comment font-elles pour ouvrir les cuisses et se faire pénétrer pour du pognon ?
Avec Jacques, c’est simple, il vient sur moi après que je l’ai caressé de la main il me pénètre et bonjour Louis mon fils.
Depuis ayant eu son fils, chaque fois qu’il me baise, il me demande si j’ai bien pris ma pilule.
Il ignore que je me suis fait poser un stérilet.
S’il le savait, je suis sûr de son incompréhension malgré qu’il soit prof des écoles.
- Voilà on y est, Gloria est déjà là, c’est la responsable des filles et c’est elle qui tient les comptes en mon absence.
Celles qui travaillent ce soir, je vais te les présenter.
Voilà, la tenue passée dans le vestiaire et ma première soirée se termine.
Nous reprenons la voiture.
- Tu vois c’est facile, tu les sers ils sont contents de toi et des filles et ils reviennent et à nous le pognons.
J’ai vu qu’un mec te payait à boire, ça c’est autant d'argent dans votre poche en fin de mois.
- Ce client en plus de me payer un verre voulait aller dans une chambre pour que je lui fasse une fellation.
- Tu as dit non, pourtant tu aurais gagné plus.
Quand en roulant nous avons cette conversation, ma petite culotte doit être toute humide.
Je fantasme à penser que la bite de cet homme peut entrer dans ma bouche lieu inviolé depuis ma naissance.
Je l’ai dit Jacques est classique et sans aucune fioriture, la simple idée d’en mettre une à cet endroit me soulève le cœur mais m’excite à me faire mouiller.
Quand je rentre après mes quatre premiers jours, je suis satisfaite et Jacques aussi, tout se passe comme Michel l’avait dit.
Sauf les propositions, beaucoup de clients semblent flacher sur mes seins généreusement proposés à leur concupiscence.
Ce soir l’un d’eux m’a proposé du fric pour se masturber entre eux.
Le mercredi Jacques prend l’habitude depuis mon accouchement de me baiser ce jour-là, j’ai dormi toute la nuit malgré deux réveils car les heures décalées se font sentir.
La première paye arrive presque 2 000 € avec les consos, Jacques est enchanté quand il regarde son compte.
À ce rythme il va pouvoir retrouver le vert à la banque, je m’aperçois que ses scrupules du début semblent complètement gommés.
- Michel, un client m’a proposé de le sucer comme celui de l’autre fois.
Ça fait plusieurs qui me le demandent, combien ça paye ?
- Toi, je te vois venir, tu aimerais t’offrir quelques jolies tenues comme tu vois sur le dos des filles quand vous vous changez dans le vestiaire.
- C’est un peu ça, mais je voudrais voir plus grand, j’aimerais que tu trouves une combine pour que l’argent que j’aurais gagné me serve sans que Jacques s’en aperçoive.
- Qu’aurais-tu comme besoin ?
- J’aimerais faire construire une piscine dans le jardin, je me suis renseigné il y en aurait pour 12 000 € à cause de la pente à rattraper.
- C’est facile, j’offre cette piscine à mon filleul et bien sur chaque mois sur ce que tu auras gagné je déduirais le petit crédit sans intérêt dont mon frère ignorera l’existence.
- J’ai un seul problème hors de celui moral envers mon mari.
- Comment fait-on une fellation ?
- Comment le sais-tu ?
- Il est difficile de vivre auprès d’un couple et d’ignorer ses travers.
Porte de la salle de bains qui s’ouvre en grinçant principalement les mercredi matin, jour où mon frère est de repos.
Le sommier qui grince et de nouveau la porte de la salle de bains qui grince.
Comme on disait de lui un président, cinq minutes douches comprises.
Je vais t’apprendre.
Nous sommes sur l’autoroute menant à Annecy, une bretelle de sortie vers des parking.
Je vois Michel sortir sa bite.
- Avance ta bouche.
Voilà, j’ai fait ma première fellation, mon beau-frère m’a montré comment faire courir ma langue du gland au couilles.
Je les aspire dans ma bouche avec un peu de mal car il semble que j’ai épouser le moins bien monté des deux frères.
- Louis, va dehors, la piscine que tu as vu construire, nous t’avons caché que c’est pour ton anniversaire que parrain te l’offre.
- Oh ! merci parrain on va se baigner ensemble.
Les semaines se poursuivent sans encombre.
La dernière fille vient de partir je suis seule à ranger les chambres pour ce soir avec Michel.
- Dit, c’est votre anniversaire à ton frère et à toi, j’aimerais offrir une 5008 à mon mari, il en rêve.
- Tu veux faire des passes plus compète avec les clients.
- Oui, mais…- Tu es nul au lit car mon frère est nul sur ce terrain.
Je vais te montrer.
Inutile d’aller aux vestiaire se déshabillé, nos vêtements saute dans la chambre.
- Les principales positions, la levrette.
Mon beau-frère, celui que j’aurais dû épouser me prend dans cette position.
Il me forme à grande vitesse et ce soir, c’est lui qui tient le bar pendant que je vais faire la pute.
J’y prend plaisir car pour Noël et pendant une semaine.
Je souhaite que mon patron nous offre une semaine dans une îles des mers chaudes prise sur ma cagnotte qui grossit à vitesse grand V car en plus de mon cul, je suis la reine pour leur faire sauter les bouchons.
Une dernière chose, en ce moment mon beau-frère et amant me sodomise, je gagnerais plus quand ça sera fait.
Nous venons d’annoncer à mon mari que je m’associe avec son frère.
Il a tellement d’avoir que nous venons de racheter la maison voisine.
Nous allons tout casser pour moderniser et doubler les chambres où les filles recevront.
J’aurais ma propre chambre celle de la reine des putes de notre bordel.
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