COLLECTION HISTOIRE COURTE. Noir et Blanc ou White and Black (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2020 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Noir et Blanc ou White and Black (1/1)
- On est bien au soleil de cette terrasse Gilles !
- Un vrai paradis Ludo surtout début mai.
- Les hivers c’est loin d’être comme ceux que j’ai connus quand je suis arrivé à Paris.
Deux homos à une terrasse de café à Paris, rien de banale.
Deux homos blacks and White on voit ça plus rarement.
Bien mis tous les deux mais loin d’être précieux comme Lulu mon copain qui préfère les verges aux vagins.
Avec Lulu, c’est comme l’on dit une bonne copine.
Quand je suis arrivée à Paris venant de la banlieue de Mâcon, j’étais esseulée.
Lulu est propriétaire du café où je me trouve à la terrasse.
Ça fait trois ans que chaque jour le midi je mange chez lui.
J’adore quand il fait sa folle dans ses tenues roses.
Un soir, il voulait aller chez Michou, la belle cocotte en bleu de la tête aux pieds.
C’est à moi à qui il a demandé de l’accompagner ayant réservé deux places et la folle qu’il avait draguée lui faisait faux bond.
C’est drôle de voir ce mélange de tous les genres dans ce cabaret.
J’avais peur d’être la seule hétéro mais je me suis rapidement aperçu que dans certains couples de drôles d’arrangements se pratiquais.
C'était le cas avec Alice la femme de Pierre à côté de laquelle j’étais assise quand son mari draguant allègrement son voisin de droite elle a fini par me mettre ma main sur la cuisse pendant le spectacle d’artistes transformistes.
Alice depuis c’est ma seule liaison homosexuelle.
Le lendemain de chez Michou elle m’a proposé de venir prendre le thé à 14 heures et dès 15 heures nous nous broutions les chattes.
Elle m’a dit que lorsque je suis partie la veille, son mari l’avait mis dans un taxi et qu’elle était rentrée seule chez elle à rêver de moi.
J’ai bien aimé mais sans pour autant virer ma cuti.
Nous nous voyons tous les mercredis car Pierre est un homme important et il est très occupé surtout ces après-midis où nous nous retrouvons dans la chambre d’amis.
- Pardon madame, je peux récupérer ma cigarette que j’ai fait tomber et qui a roulé sous votre chaise.
Il serait mal venu que je me couche à moitié sur vous pour la ramasser.
Couché sur moi, ce Gilles c’est dans mon lit que je voudrais qu’il se couche si la nature avait laissé les femmes avec les hommes et les hommes avec les femmes.
Je veux l’aider, je me penche, il se penche et nous nous retrouvons avec une grosse bosse à la tête.
- Mais vous saignez.
À non c’est moi, vous m’avez fendu le cuir chevelu.
Gilles le noir se tâte le crâne regarde ses doigts, lui a par une bosse sa tête est intacte.
- Nous habitons la maison voisine, venez, nous allons vous soigner en tout bien tout honneur.
Ça c’est sûr monter chez des homos le risque est limité.
- Lulu combien te doit-on, prend la consommation de madame.
- Mademoiselle, vous, Gilles et Ludo moi c’est Caroline, j’ai entendu vos noms quand je me suis installée.
- Caro, fais attention j’ai peur que tes yeux voient plus grand que ton ventre.
C’est au moment que je quitte la terrasse que Lulu dans mon dos prononce ces mots bien énigmatiques.
Nous prenons un ascenseur jusqu’aux 8ème étages.
Une seule porte tout l’étage semble à eux.
- Entrez, allons dans la salle de bains, nous avons une trousse de pharmacie toute neuve, vous allez l’inaugurer.
La salle de bains est nickel, deux étagères de chaque côté du lavabo.
Laquelle pour le noir, laquelle pour le blanc.
- Vous voulez ma mort, impossible, regardez les produits sont périmés.
- Je vais te nettoyer le sang avec le coton.
Le coton est sans date de péremption.
Il me nettoie, c’est juste une petite coupure.
- Ludo, passe-moi ton rasoir à main, on va lui raser la tête on verra mieux où il faut que l’on coupe pour éviter qu’elle souffre.
Ludo le White à droite, Gilles le black de l’autre côté ça coule de source.
Nous éclatons de rire, quand Ludo repose le rasoir à main.
- Viens, on va te faire visiter.
Chambre, tout est propre sauf une pièce avec deux planches à dessin.
Dessus des plans architecturaux.
Mes nouveaux amis doivent être architectes.
C’est vrai en bas il y avait une plaque qui devait donner leur profession.
- Allons sur la terrasse, dans une demi-heure le soleil sera passé et nous aurons trop froid.
La terrasse est grande, il y a même une planche sous une toile de protection.
- L’été on travaille dehors, voir la tour Eiffel c’est divin.
En effet on voit la tour du deuxième jusqu’à la pointe.
Je m’avance jusqu’à une rambarde et je regarde dans la rue, c’est haut 8 étages, les gens sont des petits rats qui courent.
- Tu habites loin, Caroline.
- Deux rues plus loin que chez vous.
Regardez, on voit chez moi.
La fenêtre de ma salle de bains.
Bande de vicieux, vous devez me mater quand je suis devant mon lavabo.
- Pour ça il faudrait regarder, cette fenêtre est toujours fermée.
Il dit qu’ils ont des œillères mais l’été, il m’arrive de laisser la fenêtre ouverte.
- Voilà la cuisine donnant elle aussi sur la terrasse et tu as notre chez-nous.
Quand nous avons visité cette merveille au moment où nous nous sommes installés à notre compte, nous en sommes tombés amoureux.
- Bon, je suis réparée, je rentre moi aussi je dois travailler.
- Que fais-tu ?
- Moi aussi je travaille à domicile, je reçois des clients.
- Des clients !
- Des clients !
- Tu es une…- Pute, dit le mot, si vous saviez comme il est facile de travailler avec son cul à Paris.
Ils me regardent avec des yeux ronds.
- Et les gars, vous avez perdu votre humour ?
Je suis traductrice en Français - Anglais et Anglais - Français pour des revues techniques.
- Tu nous as fait peur, on a marché.
Que fais-tu demain soir, nous t’invitons à manger ?
Gilles te fera son poulet antillais, c’est un vrai régal.
Je m’occupe des boissons, tu bois du vin et du champagne ?
- Modérément, il faudra que je rentre.
- Tu as vu, nous avons une chambre d’amis à moins que tu aies un mec.
Un mec, le dernier il y a trois semaines que je l’ai jeté, je travaillais dans mon bureau quand j’ai entendu du bruit bizarre dans ma chambre, notre chambre.
En essayant d’ouvrir mon petit coffre où j’entre quelques valeurs il a fait tomber le vase que je tenais de ma grand-mère.
Un coup de pied dans les couilles, on m’a toujours dit bagarreuse.
Il a pris son sac malgré le bon coup qu’il était.
Le lendemain, il fait toujours beau, j’ouvre ma fenêtre de salle de bains jetant un coup d’œil sur la terrasse dont on voit le coin où j’étais.
Je mets une mini mettant mes longues jambes en valeur avec un chemisier laissant voir légèrement mes aréoles de brune.
Je sais qu’ils vont rester sages, des homos.
- Tu es ravissante Caroline, j’espère que nous aussi, c’est rare que nous nous fassions beaux, on travaille tellement.
J’ai envie de leur dire, beaux pour une fille mais je m’installe à la table où des bougies sont allumées.
Une sono joue des morceaux, principalement des slows.
- Tu danses.
J’ai abusé du champagne mais je me lève voulant faire honneur à Gilles le…Black, je vois qu’il y en a qui suivent.
J’ai ma tête sur son épaule quand il m’écarte, me regarde et me roule une pelle de chez pelle.
Mince, il est bi et quand je me trouve dans la direction de Ludo le…White, c’est bien.
Il me regarde soulever sa coupe semblant m’encourager.
Il se lève, Gilles le voit et je change de main.
Est-ce l’alcool, quand je passe dans ses bras et qu’en peu de temps, c’est lui qui m’embrasse.
Je dois être folle quand je m’agenouille et qu’ils sortent leur verge.
Une blanche et une noire, une noire et une blanche quand je les pompe alternativement.
- Dis-nous Caroline, tu nous as pris pour des PD et non, nous sommes parfaitement hétéros même s’il m’arrive de voir la bite de Gilles que tu as dans ta bouche.
Ils me relèvent et m’entraîne sur la planche à dessiner de droite quand ils m’enlèvent mon string.
Ils m’assoient dessus c’est une verge noire qui commence à me baiser pendant que je recommence à sucer la blanche.
C’est pratique une planche à dessin, on l’incline, on la place à la hauteur que l’on souhaite.
Je suis une femme qui jouis facilement et deux hommes sont loin de me faire peur.
Ma chatte reçoit le sperme de Gilles et ma bouche celle de Ludo.
Même couleur pour l’un et pour l’autre.
Je finis la nuit dans la chambre d’amis, rapidement ça devient ma chambre quand je résilie mon bail.
Il y a deux étagères de plus dans la salle de bains.
Une femme a plus de choses à placer qu’un homme même s’ils sont deux.
Que puis-je dire sur nos rapports sexuels ça roule quand l’un de nous à des envies envers l’un ou l’autre sauf entre eux bien sûr une petite caresse et on se mélange sans la jalousie de l’autre ?
Un point de discussion tout de même, ils aimeraient me prendre en double pénétration mais j’ai une réticence à la sodomie.
Je pense qu’un jour je leur ferais la surprise d’accepter c’est ça l’amour black and White.
Avant je veux réaliser une petite idée qui a germé en moi.
Aline dans nos conversations sur l’oreiller qui se poursuivent le mercredi après-midi en toute connaissance de cause de mes hommes m’a dit qu’elle l’a déjà fait sauf en double.
Je vais l’inviter et je l’offrirais à mes hommes, ça va leur plaire et lui plaire.
Je suis sûr qu’eux aussi en nous voyant nous lécher les chattes seront plus en forme que jamais pour des après-midis torrides.
Nous allons de temps en temps en week-end chez maman.
Elle a compris que j’aimais en noir et blanc.
C’est plus divisé dans le village surtout par les bigotes même si dans notre campagne les curés brillent par leur absence.
Je suis une salope qui a mal tourné à Paris, mais je m’en fiche.
C’est l’été, je travaille sur la terrasse à l’ombre de la tendue qui nous protège du soleil trop ardent.
Je me lève, la fenêtre de mon ancienne salle de bains est fréquemment ouverte.
La jeune blonde qui m’a remplacé sait-elle que je la vois se laver la chatte.
Elle a un gode, l'autre jour assis sur le bord de la baignoire elle se le mettait bien profond.
J’aurais pu tourner les yeux, mais j’aime aussi voir cette jeune fille se donner du plaisir.
Bon il faut que j’en parle, en ce moment j’ai une contraception.
Avant mes trente ans, nous voulons que je porte un enfant.
Comme je l’ai dit quand j’avale leurs spermes et que j’en récupère sur mes doigts il est translucide.
Bébé naitra Black ou White ou Blanc et Noir.
Mais surement métissé bien que.
- Un vrai paradis Ludo surtout début mai.
- Les hivers c’est loin d’être comme ceux que j’ai connus quand je suis arrivé à Paris.
Deux homos à une terrasse de café à Paris, rien de banale.
Deux homos blacks and White on voit ça plus rarement.
Bien mis tous les deux mais loin d’être précieux comme Lulu mon copain qui préfère les verges aux vagins.
Avec Lulu, c’est comme l’on dit une bonne copine.
Quand je suis arrivée à Paris venant de la banlieue de Mâcon, j’étais esseulée.
Lulu est propriétaire du café où je me trouve à la terrasse.
Ça fait trois ans que chaque jour le midi je mange chez lui.
J’adore quand il fait sa folle dans ses tenues roses.
Un soir, il voulait aller chez Michou, la belle cocotte en bleu de la tête aux pieds.
C’est à moi à qui il a demandé de l’accompagner ayant réservé deux places et la folle qu’il avait draguée lui faisait faux bond.
C’est drôle de voir ce mélange de tous les genres dans ce cabaret.
J’avais peur d’être la seule hétéro mais je me suis rapidement aperçu que dans certains couples de drôles d’arrangements se pratiquais.
C'était le cas avec Alice la femme de Pierre à côté de laquelle j’étais assise quand son mari draguant allègrement son voisin de droite elle a fini par me mettre ma main sur la cuisse pendant le spectacle d’artistes transformistes.
Alice depuis c’est ma seule liaison homosexuelle.
Le lendemain de chez Michou elle m’a proposé de venir prendre le thé à 14 heures et dès 15 heures nous nous broutions les chattes.
Elle m’a dit que lorsque je suis partie la veille, son mari l’avait mis dans un taxi et qu’elle était rentrée seule chez elle à rêver de moi.
J’ai bien aimé mais sans pour autant virer ma cuti.
Nous nous voyons tous les mercredis car Pierre est un homme important et il est très occupé surtout ces après-midis où nous nous retrouvons dans la chambre d’amis.
- Pardon madame, je peux récupérer ma cigarette que j’ai fait tomber et qui a roulé sous votre chaise.
Il serait mal venu que je me couche à moitié sur vous pour la ramasser.
Couché sur moi, ce Gilles c’est dans mon lit que je voudrais qu’il se couche si la nature avait laissé les femmes avec les hommes et les hommes avec les femmes.
Je veux l’aider, je me penche, il se penche et nous nous retrouvons avec une grosse bosse à la tête.
- Mais vous saignez.
À non c’est moi, vous m’avez fendu le cuir chevelu.
Gilles le noir se tâte le crâne regarde ses doigts, lui a par une bosse sa tête est intacte.
- Nous habitons la maison voisine, venez, nous allons vous soigner en tout bien tout honneur.
Ça c’est sûr monter chez des homos le risque est limité.
- Lulu combien te doit-on, prend la consommation de madame.
- Mademoiselle, vous, Gilles et Ludo moi c’est Caroline, j’ai entendu vos noms quand je me suis installée.
- Caro, fais attention j’ai peur que tes yeux voient plus grand que ton ventre.
C’est au moment que je quitte la terrasse que Lulu dans mon dos prononce ces mots bien énigmatiques.
Nous prenons un ascenseur jusqu’aux 8ème étages.
Une seule porte tout l’étage semble à eux.
- Entrez, allons dans la salle de bains, nous avons une trousse de pharmacie toute neuve, vous allez l’inaugurer.
La salle de bains est nickel, deux étagères de chaque côté du lavabo.
Laquelle pour le noir, laquelle pour le blanc.
- Vous voulez ma mort, impossible, regardez les produits sont périmés.
- Je vais te nettoyer le sang avec le coton.
Le coton est sans date de péremption.
Il me nettoie, c’est juste une petite coupure.
- Ludo, passe-moi ton rasoir à main, on va lui raser la tête on verra mieux où il faut que l’on coupe pour éviter qu’elle souffre.
Ludo le White à droite, Gilles le black de l’autre côté ça coule de source.
Nous éclatons de rire, quand Ludo repose le rasoir à main.
- Viens, on va te faire visiter.
Chambre, tout est propre sauf une pièce avec deux planches à dessin.
Dessus des plans architecturaux.
Mes nouveaux amis doivent être architectes.
C’est vrai en bas il y avait une plaque qui devait donner leur profession.
- Allons sur la terrasse, dans une demi-heure le soleil sera passé et nous aurons trop froid.
La terrasse est grande, il y a même une planche sous une toile de protection.
- L’été on travaille dehors, voir la tour Eiffel c’est divin.
En effet on voit la tour du deuxième jusqu’à la pointe.
Je m’avance jusqu’à une rambarde et je regarde dans la rue, c’est haut 8 étages, les gens sont des petits rats qui courent.
- Tu habites loin, Caroline.
- Deux rues plus loin que chez vous.
Regardez, on voit chez moi.
La fenêtre de ma salle de bains.
Bande de vicieux, vous devez me mater quand je suis devant mon lavabo.
- Pour ça il faudrait regarder, cette fenêtre est toujours fermée.
Il dit qu’ils ont des œillères mais l’été, il m’arrive de laisser la fenêtre ouverte.
- Voilà la cuisine donnant elle aussi sur la terrasse et tu as notre chez-nous.
Quand nous avons visité cette merveille au moment où nous nous sommes installés à notre compte, nous en sommes tombés amoureux.
- Bon, je suis réparée, je rentre moi aussi je dois travailler.
- Que fais-tu ?
- Moi aussi je travaille à domicile, je reçois des clients.
- Des clients !
- Des clients !
- Tu es une…- Pute, dit le mot, si vous saviez comme il est facile de travailler avec son cul à Paris.
Ils me regardent avec des yeux ronds.
- Et les gars, vous avez perdu votre humour ?
Je suis traductrice en Français - Anglais et Anglais - Français pour des revues techniques.
- Tu nous as fait peur, on a marché.
Que fais-tu demain soir, nous t’invitons à manger ?
Gilles te fera son poulet antillais, c’est un vrai régal.
Je m’occupe des boissons, tu bois du vin et du champagne ?
- Modérément, il faudra que je rentre.
- Tu as vu, nous avons une chambre d’amis à moins que tu aies un mec.
Un mec, le dernier il y a trois semaines que je l’ai jeté, je travaillais dans mon bureau quand j’ai entendu du bruit bizarre dans ma chambre, notre chambre.
En essayant d’ouvrir mon petit coffre où j’entre quelques valeurs il a fait tomber le vase que je tenais de ma grand-mère.
Un coup de pied dans les couilles, on m’a toujours dit bagarreuse.
Il a pris son sac malgré le bon coup qu’il était.
Le lendemain, il fait toujours beau, j’ouvre ma fenêtre de salle de bains jetant un coup d’œil sur la terrasse dont on voit le coin où j’étais.
Je mets une mini mettant mes longues jambes en valeur avec un chemisier laissant voir légèrement mes aréoles de brune.
Je sais qu’ils vont rester sages, des homos.
- Tu es ravissante Caroline, j’espère que nous aussi, c’est rare que nous nous fassions beaux, on travaille tellement.
J’ai envie de leur dire, beaux pour une fille mais je m’installe à la table où des bougies sont allumées.
Une sono joue des morceaux, principalement des slows.
- Tu danses.
J’ai abusé du champagne mais je me lève voulant faire honneur à Gilles le…Black, je vois qu’il y en a qui suivent.
J’ai ma tête sur son épaule quand il m’écarte, me regarde et me roule une pelle de chez pelle.
Mince, il est bi et quand je me trouve dans la direction de Ludo le…White, c’est bien.
Il me regarde soulever sa coupe semblant m’encourager.
Il se lève, Gilles le voit et je change de main.
Est-ce l’alcool, quand je passe dans ses bras et qu’en peu de temps, c’est lui qui m’embrasse.
Je dois être folle quand je m’agenouille et qu’ils sortent leur verge.
Une blanche et une noire, une noire et une blanche quand je les pompe alternativement.
- Dis-nous Caroline, tu nous as pris pour des PD et non, nous sommes parfaitement hétéros même s’il m’arrive de voir la bite de Gilles que tu as dans ta bouche.
Ils me relèvent et m’entraîne sur la planche à dessiner de droite quand ils m’enlèvent mon string.
Ils m’assoient dessus c’est une verge noire qui commence à me baiser pendant que je recommence à sucer la blanche.
C’est pratique une planche à dessin, on l’incline, on la place à la hauteur que l’on souhaite.
Je suis une femme qui jouis facilement et deux hommes sont loin de me faire peur.
Ma chatte reçoit le sperme de Gilles et ma bouche celle de Ludo.
Même couleur pour l’un et pour l’autre.
Je finis la nuit dans la chambre d’amis, rapidement ça devient ma chambre quand je résilie mon bail.
Il y a deux étagères de plus dans la salle de bains.
Une femme a plus de choses à placer qu’un homme même s’ils sont deux.
Que puis-je dire sur nos rapports sexuels ça roule quand l’un de nous à des envies envers l’un ou l’autre sauf entre eux bien sûr une petite caresse et on se mélange sans la jalousie de l’autre ?
Un point de discussion tout de même, ils aimeraient me prendre en double pénétration mais j’ai une réticence à la sodomie.
Je pense qu’un jour je leur ferais la surprise d’accepter c’est ça l’amour black and White.
Avant je veux réaliser une petite idée qui a germé en moi.
Aline dans nos conversations sur l’oreiller qui se poursuivent le mercredi après-midi en toute connaissance de cause de mes hommes m’a dit qu’elle l’a déjà fait sauf en double.
Je vais l’inviter et je l’offrirais à mes hommes, ça va leur plaire et lui plaire.
Je suis sûr qu’eux aussi en nous voyant nous lécher les chattes seront plus en forme que jamais pour des après-midis torrides.
Nous allons de temps en temps en week-end chez maman.
Elle a compris que j’aimais en noir et blanc.
C’est plus divisé dans le village surtout par les bigotes même si dans notre campagne les curés brillent par leur absence.
Je suis une salope qui a mal tourné à Paris, mais je m’en fiche.
C’est l’été, je travaille sur la terrasse à l’ombre de la tendue qui nous protège du soleil trop ardent.
Je me lève, la fenêtre de mon ancienne salle de bains est fréquemment ouverte.
La jeune blonde qui m’a remplacé sait-elle que je la vois se laver la chatte.
Elle a un gode, l'autre jour assis sur le bord de la baignoire elle se le mettait bien profond.
J’aurais pu tourner les yeux, mais j’aime aussi voir cette jeune fille se donner du plaisir.
Bon il faut que j’en parle, en ce moment j’ai une contraception.
Avant mes trente ans, nous voulons que je porte un enfant.
Comme je l’ai dit quand j’avale leurs spermes et que j’en récupère sur mes doigts il est translucide.
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