COLLECTION HISTOIRE COURTE. Odette, la naine (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Odette, la naine (1/1)
• Bonjour Odette, comment vas-tu ?
• Tu te fiches de ma gueule Johnny, vivre du RSA alors que lorsque je participais à tes concours de nains et de naines, je gagnais ma croûte en un seul lancer.
Regarde, j’ai encore mon casque et mon pyjama à rayures jaunes et noires où tu m’avais fait coudre des poignées pour faciliter mon lancer.
• C’était le bon temps, déjà trois ans qu’un connard a trouvé ces pratiques indignes et a interdit nos petites soirées où nous nous amusions en gagnant de l’argent nous permettant de vivre décemment.
• Heureusement, que je suis propriétaire de ce studio au pied la butte, même si j’ai du mal à monter avec mes petites jambes, au moins encore pour quelques jours, j’ai un toit.
• Tu vas quitter l’appartement que t’a léguée ta maman, la grande Zoa.
Dire que cette célèbre strip-teaseuse des nuits parisiennes a mis au monde un aussi joli bout de femme.
• Comme je te l’ai dit, je vis du RSA et les charges et impôts m’ont mise sur la paille, car elles sont trop élevées dans ce quartier.
Lorsque je te parle de la butte, il y a aussi les cinq étages sans ascenseur qui me pèsent.
• Quel âge ça te fait Odette ?
• J’ai commencé dans tes concours de lancer de naine, j’avais 18 ans, tout juste 18 le jour de ma majorité.
On m’a lancée pendant quatre ans et comme ça fait trois ans, j’en ai 25 dans deux jours.
Mais dis-moi, ça semble rouler pour toi, on t’appelait Johnny belles fringues, je vois que tu sais entretenir ta réputation, ton costume doit valoir plus cher que du temps où tu organisais nos soirées lancées.
• Ça se maintient, pour mes costards, j’ai trouvé un petit tailleur qui débute dans le quartier du sentier.
Je suis devenu agent et je touche une petite prestation chaque fois que je trouve un contrat à l’une de mes clientes.
Te souviens-tu d’Olga ?
• Olga, la gitane, Olga la salope, Olga la pute, elle faisait strikes sur stiles et empochait plus de prime que moi.
• Olga travaille pour moi parmi plusieurs autres et vit très bien grâce à moi.
C’est là où j’aurais besoin de toi pour entrer dans mon équipe.
• Te connaissant, ça sent l’embrouille, tout ça est-il bien légal ?
• Tout à fait, les lancer de nains, c’était en soirée privée nette d’impôts, là je travaille, ayant créé mon agence de façon entièrement légale.
Disons que je mets des jeunes femmes en rapport avec des hommes qui rémunèrent leurs prestations.
• J’en étais sûr, Johnny belles fringues travaillant en usine et gagnant honnêtement sa vie, ça se saurait.
• Johnny est capable grâce à son réseau de te trouver des clients si tu acceptes que je m’occupe de tes intérêts.
• Tu veux faire de moi une pute.
• Une pute, quel vilain mot, les clients et moi nous disons escorte, ça fait plus classe.
Si tu acceptes, mercredi, Olga est absente, sa mère est hospitalisée et avait un client à 21 heures, un taxi sera en bas de chez toi et te ramènera après que tu aies soulagé le client.
1 000 €, 300 pour moi, 700 pour moi et le taxi payé par le client.
Si tu arrives à satisfaire ton client et s’il est satisfait tu incorporeras ma soirée où Olga sera là,elle me l’a promis.
Vous aurez à baiser avec les clients qui seront là.
Mais aussi dans cette salle, il y a une petite scène.
Avec Olga vous vous donnerez du plaisir, vous verrez ça se fera facilement, il suffit de commencer.
Pour chaque soirée, chacune vous toucherez 2 000 € nets, ma part étant déjà retenue et le taxi compris bien sûr.
De quoi envisager la vie autrement et de voir l’avenir autrement qu’en attendant ton RSA.
Si tu acceptes, tu devras changer de nom.
Odette, comme escorte, c’est difficile à vendre, même si ta petite taille et la jolie poupée est très attractive pour ma clientèle.
• C’est à voir, maman m’a laissé une maison en Ardèche qui est fermée et à l’abandon, je pourrais la remettre en état.
Dis-moi, j’aimerais faire l’amour avec toi, Johnny.
Johnny du temps où l'on me lançait, j’aurais eu envie qu’il me fasse l’amour, mais cette putain d’Olga voulait tout pour elle, le fric et cet homme.
Savoir qu’il en a fait une pute pourrait me ravir.
Hélas, ma situation plus que précaire où je suis, m'oblige à plus d’humilité.
Un point positif, Johnny s’approche de moi.
Si mon expérience du sexe est réduite, ma taille et mon manque d’argent m’obligeant à rester très souvent chez moi, mais un jour en vacances lors de mes 17 ans, j’ai baisé avec une autre personne de petite taille.
C’était quelques mois avant la mort de maman, écrasée sur un passage clouté par un chauffard ayant pris la fuite.
À part la maison en Ardèche et l’appartement que je vais perdre, cette dans la nuit sans que personne puisse donner, la marque et la couleur de la voiture.
C’est sans un sou que je me suis retrouvée une première fois et que mes 18 ans arrivant j’ai rejoint les lancer de nains se développant à Paris.
Mon pucelage, ce nain faisait partie d’une troupe d’un cirque itinérant.
Il était clown et à chaque représentation, il venait offrir une fleur en plastique à une spectatrice, ce fût moi.
À la fin, je suis restée pour la rendre, mais lorsqu’il m’a pris ma petite fleur sur un tas de paille prévu pour l’éléphant de la troupe.
Satisfaite de perdre ce que mes rares copines s’étaient faites ôter depuis des semaines, il m’a dépucelée, même si la paille m’agressait les fesses.
J’espérais le revoir et me faire engager par le cirque et devenir comme maman une artiste reconnue.
Le lendemain, je suis retournée sur la place ou le cirque était installé, seul le reste de la botte de paille était là, mais mon petit homme était reparti pour une autre destination.
Lorsque Johnny a proposé que je sois lancée, j’étais satisfaite de rejoindre le monde des artistes comme maman ce que je croyais que j’étais.
La proposition de Johnny très explicite de me produire sur scène avec Olga avant de rejoindre ces hommes, payant pour nous baiser, va quelque part me rapprocher du monde que maman a côtoyé.
Quand je commence à ouvrir la braguette du pantalon du complet de Johnny.
Comme toute femme de petite taille, je suis à la hauteur de cette verge tellement attendue, sans exagérer tout de même, celle-là ou une autre lorsque je fantasme m’aurait satisfaite.
Celle-là a une grande différence même si elle doit me conduire à me prostituer.
Je la prends dans ma bouche, au plus profond que je le peux.
J’ai fait comprendre à Johnny que j’acceptais de remplacer Olga mercredi en voyant déjà les billets dans ma main.
Je vais me donner à fond, même si j’ai un peu de restrictions de me gouiner avec celle que j’ai haïe tout au long de ces quatre années.
On nous lançait, enfermés dans ce pyjama jaune et noir à raillure, munie de poignées afin que l’une ou l’autre nous fassions tomber les quilles permettant à Jhonny de compter les points et encaisser les paris.
Comme je l’ai dit, par moments je me suis demandée si les paris étaient truqués quand Olga faisait plus de points alors que mon lanceur avait des bras plus gros que l’autre.
À part la baise qui me manquait au bout de la nuit, lorsque l’argent, avec les grattes, nous était distribué, ça calmait ma libido et je rentrais attendant la prochaine soirée de lancement.
• Salope, tu me pompes comme une reine, en plus de ta petite taille juste à la hauteur des queues de tes clients, ta bouche et ta main sont très efficaces, vient dans ta chambre que je te baise.
Je retrouve une verge en moi.
Dans ma tête, outre le plaisir, car Johnny me donne sachant y faire avec les femmes, je sais qu’avec lui je me prostitue pour la première fois.
Je le sais dès que je baise, sans que mon cœur s’enflamme comme la midinette que je suis malgré ma vie bien compliquée due à ma petite taille.
Nous jouissons et comme Johnny et les sentiments, ça fait deux, il me quitte en me rappelant que le taxi passera une demi-heure avant mon rendez-vous.
Au moment de partir, il me donne un dernier conseil.
• Baise de façon identique qu’avec moi, tu satisferas ton client et il te redemandera, je te tiens au courant.
Le mercredi, le taxi m’a conduit dans un hôtel où je devais demander la chambre 32.
Vu ma mini et mon tee-shirt moulant montrant qu’on a beau être naine, on est aussi femme par ma poitrine arborée fièrement, il me donne ce numéro fort étonné qu’une naine monte chez un client.
Ce doit être la première fois qu’il voit une pute naine.
Comme l’a dit Johnny, je suis bien reçu et efficace pour donner du plaisir à mon client.
• Samedi Olga passera te chercher, elle sait où tu habites et sait où se garer là où la salle se trouve.
Au moment de notre retrouvaille, la tension est extrême, mais dès que nous montons sur scène devant une vingtaine d’hommes et trois autres putes de grande taille.
La manière dont elle me déshabille avant de me faire coucher sur le lit servant de décor, je mouille espérant que sa langue vienne rapidement me titiller le clito.
Dès ma première approche féminine, je jouis et je fais jouir Olga, frappée par un coup de foudre.
Le reste de la soirée, combien de bites me perforent où déchargent dans ma bouche, je serais incapable de le dire.
Des naines à baiser où leur faisant des fellations semblant les exciter au plus haut point, c’est en la regardant, elle aussi se donner que la nuit se termine dans une orgie indescriptible.
Conformément à sa proposition, Johnny nous fournit nos clients remplissant nos comptes en banque.
Fini le risque de me retrouver à la rue, surtout qu’Olga est montée chez moi dès le premier soir et nous nous sommes gouinées sur scène.
Elle a fini par apporter ses affaires.
Nous sommes devenues des putes amoureuses l’une de l’autre.
Même Johnny avec qui nous baisons toujours ensemble ayant oublié que nous avons été ennemies lors des lancers de naine.
On arrive rapidement à faire notre clientèle.
Je vais dans différents hôtels, même une fois dans un palace parisien, les réceptionnistes ayant pris l’habitude de nous voir.
Surtout qu’en partant nous leur laissons quelques petits pourboires.
Aujourd’hui, nous sommes en vacances.
Si nous payons des impôts, même si les deux jours de repos sont difficiles à respecter.
La demande de ceux qui veulent remplir nos intimités devient si nombreuse, se succédant certaines fois deux ou trois semaines de suite.
Johnny a reporté deux contrats réguliers pour moi, un seul pour Olga et nous sommes dans un hôtel près de la maison de maman.
Nous avons signé le devis de remise en état et payé les arriérés permettant à la mairie de déclarer ma maison insalubre et pouvant être rasée.
Ça nous coûte plus cher que d’en construire une neuve, mais Olga comme moi nous considérons la portée sentimentale de cette maison où nous espérons avant nos trente ans nous retirer pour mettre au monde nos enfants.
Chacune, nous avons assez de mâles qui nous baisent pour choisir, quand le moment se présentera de quitter Johnny et la prostitution.
On se fera engrosser sans que les élus sachent qu’ils ont mis en cloque des naines.
Je sais que c'est immoral, mais nous voulons aller aux plus simples.
Johnny a mis à notre disposition l’amour qui nous a transpercés et des quantités de spermes phénoménaux alors pourquoi laisserions-nous passer une telle chance.
• Tu te fiches de ma gueule Johnny, vivre du RSA alors que lorsque je participais à tes concours de nains et de naines, je gagnais ma croûte en un seul lancer.
Regarde, j’ai encore mon casque et mon pyjama à rayures jaunes et noires où tu m’avais fait coudre des poignées pour faciliter mon lancer.
• C’était le bon temps, déjà trois ans qu’un connard a trouvé ces pratiques indignes et a interdit nos petites soirées où nous nous amusions en gagnant de l’argent nous permettant de vivre décemment.
• Heureusement, que je suis propriétaire de ce studio au pied la butte, même si j’ai du mal à monter avec mes petites jambes, au moins encore pour quelques jours, j’ai un toit.
• Tu vas quitter l’appartement que t’a léguée ta maman, la grande Zoa.
Dire que cette célèbre strip-teaseuse des nuits parisiennes a mis au monde un aussi joli bout de femme.
• Comme je te l’ai dit, je vis du RSA et les charges et impôts m’ont mise sur la paille, car elles sont trop élevées dans ce quartier.
Lorsque je te parle de la butte, il y a aussi les cinq étages sans ascenseur qui me pèsent.
• Quel âge ça te fait Odette ?
• J’ai commencé dans tes concours de lancer de naine, j’avais 18 ans, tout juste 18 le jour de ma majorité.
On m’a lancée pendant quatre ans et comme ça fait trois ans, j’en ai 25 dans deux jours.
Mais dis-moi, ça semble rouler pour toi, on t’appelait Johnny belles fringues, je vois que tu sais entretenir ta réputation, ton costume doit valoir plus cher que du temps où tu organisais nos soirées lancées.
• Ça se maintient, pour mes costards, j’ai trouvé un petit tailleur qui débute dans le quartier du sentier.
Je suis devenu agent et je touche une petite prestation chaque fois que je trouve un contrat à l’une de mes clientes.
Te souviens-tu d’Olga ?
• Olga, la gitane, Olga la salope, Olga la pute, elle faisait strikes sur stiles et empochait plus de prime que moi.
• Olga travaille pour moi parmi plusieurs autres et vit très bien grâce à moi.
C’est là où j’aurais besoin de toi pour entrer dans mon équipe.
• Te connaissant, ça sent l’embrouille, tout ça est-il bien légal ?
• Tout à fait, les lancer de nains, c’était en soirée privée nette d’impôts, là je travaille, ayant créé mon agence de façon entièrement légale.
Disons que je mets des jeunes femmes en rapport avec des hommes qui rémunèrent leurs prestations.
• J’en étais sûr, Johnny belles fringues travaillant en usine et gagnant honnêtement sa vie, ça se saurait.
• Johnny est capable grâce à son réseau de te trouver des clients si tu acceptes que je m’occupe de tes intérêts.
• Tu veux faire de moi une pute.
• Une pute, quel vilain mot, les clients et moi nous disons escorte, ça fait plus classe.
Si tu acceptes, mercredi, Olga est absente, sa mère est hospitalisée et avait un client à 21 heures, un taxi sera en bas de chez toi et te ramènera après que tu aies soulagé le client.
1 000 €, 300 pour moi, 700 pour moi et le taxi payé par le client.
Si tu arrives à satisfaire ton client et s’il est satisfait tu incorporeras ma soirée où Olga sera là,elle me l’a promis.
Vous aurez à baiser avec les clients qui seront là.
Mais aussi dans cette salle, il y a une petite scène.
Avec Olga vous vous donnerez du plaisir, vous verrez ça se fera facilement, il suffit de commencer.
Pour chaque soirée, chacune vous toucherez 2 000 € nets, ma part étant déjà retenue et le taxi compris bien sûr.
De quoi envisager la vie autrement et de voir l’avenir autrement qu’en attendant ton RSA.
Si tu acceptes, tu devras changer de nom.
Odette, comme escorte, c’est difficile à vendre, même si ta petite taille et la jolie poupée est très attractive pour ma clientèle.
• C’est à voir, maman m’a laissé une maison en Ardèche qui est fermée et à l’abandon, je pourrais la remettre en état.
Dis-moi, j’aimerais faire l’amour avec toi, Johnny.
Johnny du temps où l'on me lançait, j’aurais eu envie qu’il me fasse l’amour, mais cette putain d’Olga voulait tout pour elle, le fric et cet homme.
Savoir qu’il en a fait une pute pourrait me ravir.
Hélas, ma situation plus que précaire où je suis, m'oblige à plus d’humilité.
Un point positif, Johnny s’approche de moi.
Si mon expérience du sexe est réduite, ma taille et mon manque d’argent m’obligeant à rester très souvent chez moi, mais un jour en vacances lors de mes 17 ans, j’ai baisé avec une autre personne de petite taille.
C’était quelques mois avant la mort de maman, écrasée sur un passage clouté par un chauffard ayant pris la fuite.
À part la maison en Ardèche et l’appartement que je vais perdre, cette dans la nuit sans que personne puisse donner, la marque et la couleur de la voiture.
C’est sans un sou que je me suis retrouvée une première fois et que mes 18 ans arrivant j’ai rejoint les lancer de nains se développant à Paris.
Mon pucelage, ce nain faisait partie d’une troupe d’un cirque itinérant.
Il était clown et à chaque représentation, il venait offrir une fleur en plastique à une spectatrice, ce fût moi.
À la fin, je suis restée pour la rendre, mais lorsqu’il m’a pris ma petite fleur sur un tas de paille prévu pour l’éléphant de la troupe.
Satisfaite de perdre ce que mes rares copines s’étaient faites ôter depuis des semaines, il m’a dépucelée, même si la paille m’agressait les fesses.
J’espérais le revoir et me faire engager par le cirque et devenir comme maman une artiste reconnue.
Le lendemain, je suis retournée sur la place ou le cirque était installé, seul le reste de la botte de paille était là, mais mon petit homme était reparti pour une autre destination.
Lorsque Johnny a proposé que je sois lancée, j’étais satisfaite de rejoindre le monde des artistes comme maman ce que je croyais que j’étais.
La proposition de Johnny très explicite de me produire sur scène avec Olga avant de rejoindre ces hommes, payant pour nous baiser, va quelque part me rapprocher du monde que maman a côtoyé.
Quand je commence à ouvrir la braguette du pantalon du complet de Johnny.
Comme toute femme de petite taille, je suis à la hauteur de cette verge tellement attendue, sans exagérer tout de même, celle-là ou une autre lorsque je fantasme m’aurait satisfaite.
Celle-là a une grande différence même si elle doit me conduire à me prostituer.
Je la prends dans ma bouche, au plus profond que je le peux.
J’ai fait comprendre à Johnny que j’acceptais de remplacer Olga mercredi en voyant déjà les billets dans ma main.
Je vais me donner à fond, même si j’ai un peu de restrictions de me gouiner avec celle que j’ai haïe tout au long de ces quatre années.
On nous lançait, enfermés dans ce pyjama jaune et noir à raillure, munie de poignées afin que l’une ou l’autre nous fassions tomber les quilles permettant à Jhonny de compter les points et encaisser les paris.
Comme je l’ai dit, par moments je me suis demandée si les paris étaient truqués quand Olga faisait plus de points alors que mon lanceur avait des bras plus gros que l’autre.
À part la baise qui me manquait au bout de la nuit, lorsque l’argent, avec les grattes, nous était distribué, ça calmait ma libido et je rentrais attendant la prochaine soirée de lancement.
• Salope, tu me pompes comme une reine, en plus de ta petite taille juste à la hauteur des queues de tes clients, ta bouche et ta main sont très efficaces, vient dans ta chambre que je te baise.
Je retrouve une verge en moi.
Dans ma tête, outre le plaisir, car Johnny me donne sachant y faire avec les femmes, je sais qu’avec lui je me prostitue pour la première fois.
Je le sais dès que je baise, sans que mon cœur s’enflamme comme la midinette que je suis malgré ma vie bien compliquée due à ma petite taille.
Nous jouissons et comme Johnny et les sentiments, ça fait deux, il me quitte en me rappelant que le taxi passera une demi-heure avant mon rendez-vous.
Au moment de partir, il me donne un dernier conseil.
• Baise de façon identique qu’avec moi, tu satisferas ton client et il te redemandera, je te tiens au courant.
Le mercredi, le taxi m’a conduit dans un hôtel où je devais demander la chambre 32.
Vu ma mini et mon tee-shirt moulant montrant qu’on a beau être naine, on est aussi femme par ma poitrine arborée fièrement, il me donne ce numéro fort étonné qu’une naine monte chez un client.
Ce doit être la première fois qu’il voit une pute naine.
Comme l’a dit Johnny, je suis bien reçu et efficace pour donner du plaisir à mon client.
• Samedi Olga passera te chercher, elle sait où tu habites et sait où se garer là où la salle se trouve.
Au moment de notre retrouvaille, la tension est extrême, mais dès que nous montons sur scène devant une vingtaine d’hommes et trois autres putes de grande taille.
La manière dont elle me déshabille avant de me faire coucher sur le lit servant de décor, je mouille espérant que sa langue vienne rapidement me titiller le clito.
Dès ma première approche féminine, je jouis et je fais jouir Olga, frappée par un coup de foudre.
Le reste de la soirée, combien de bites me perforent où déchargent dans ma bouche, je serais incapable de le dire.
Des naines à baiser où leur faisant des fellations semblant les exciter au plus haut point, c’est en la regardant, elle aussi se donner que la nuit se termine dans une orgie indescriptible.
Conformément à sa proposition, Johnny nous fournit nos clients remplissant nos comptes en banque.
Fini le risque de me retrouver à la rue, surtout qu’Olga est montée chez moi dès le premier soir et nous nous sommes gouinées sur scène.
Elle a fini par apporter ses affaires.
Nous sommes devenues des putes amoureuses l’une de l’autre.
Même Johnny avec qui nous baisons toujours ensemble ayant oublié que nous avons été ennemies lors des lancers de naine.
On arrive rapidement à faire notre clientèle.
Je vais dans différents hôtels, même une fois dans un palace parisien, les réceptionnistes ayant pris l’habitude de nous voir.
Surtout qu’en partant nous leur laissons quelques petits pourboires.
Aujourd’hui, nous sommes en vacances.
Si nous payons des impôts, même si les deux jours de repos sont difficiles à respecter.
La demande de ceux qui veulent remplir nos intimités devient si nombreuse, se succédant certaines fois deux ou trois semaines de suite.
Johnny a reporté deux contrats réguliers pour moi, un seul pour Olga et nous sommes dans un hôtel près de la maison de maman.
Nous avons signé le devis de remise en état et payé les arriérés permettant à la mairie de déclarer ma maison insalubre et pouvant être rasée.
Ça nous coûte plus cher que d’en construire une neuve, mais Olga comme moi nous considérons la portée sentimentale de cette maison où nous espérons avant nos trente ans nous retirer pour mettre au monde nos enfants.
Chacune, nous avons assez de mâles qui nous baisent pour choisir, quand le moment se présentera de quitter Johnny et la prostitution.
On se fera engrosser sans que les élus sachent qu’ils ont mis en cloque des naines.
Je sais que c'est immoral, mais nous voulons aller aux plus simples.
Johnny a mis à notre disposition l’amour qui nous a transpercés et des quantités de spermes phénoménaux alors pourquoi laisserions-nous passer une telle chance.
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