COLLECTION HISTOIRE COURTE. On m’appelle Lady Chatterley (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. On m’appelle Lady Chatterley (1/1)
Le titre de mon histoire est approchant de celui que vit Lady Chatterley dans le roman de D. H. Lawrence, publié en 1928.
Je vis en Bourgogne sur les contreforts des monts morvandiaux, mais à leurs limites et encore dans les terres viticoles.
Dans le roman, Lady est mariée à un homme partant à la guerre et se faisant blesser là où ça fait très mal pour un homme normalement constituer.
De mon côté, Julien mon mari, c’est en tombant de son enjambeur, sorte de tracteur servant à travailler nos vignes qu’il a perdu ses bijoux de famille.
Lorsque j’ai vu qu’il aurait dû être de retour, j’ai déclenché les secours.
On l’a retrouvée et sauvée, mais ses coucougnettes étaient restées sur le fil où il avait atterri à sa chute.
Lorsqu’ils rénovent une vieille vigne, ils se servent de nouveaux piquets métalliques contrairement aux anciens en bois ou le fil de fer retenant les sarments, reposaient sur de simples clous.
Ils sont nettement plus solides maintenant.
Il les lui avait coupés net comme s’il était tombé sur un fil pour couper le beurre.
Le temps trop long où il était resté dans cet état, on interdit à ce que les médecins pratiquent une greffe.
Son dos a été aussi touché et il lui est impossible de rester debout le clouant sur son fauteuil.
C’est un peu en comparaison avec la vraie héroïne du roman que dans notre village, j’ai été surnommé Lady Chatterley.
Bien sûr, derrière mon dos, devant moi les gens disent Louise ou madame Louise suivant notre degré d’intimité.
J’ai une passion, les chevaux, plutôt une vieille jument sauvée de l’abattoir vivant dans l’écurie ou dans le temps passé de nombreux chevaux étaient présents.
Ce que j’aime avec Susy, c’est le nom de ma jument, c’est de la faire galoper ce que je fais tous les jours.
J’assiste au départ de nos tâcherons lorsqu’ils sont partis entretenir les plus de trente hectares de nos vignes.
Les domaines les plus prestigieux, à leur tête le domaine de la Romanée-Conti, faisant vingt-sept hectares, mais de vins nettement plus prestigieux que le nôtre, même s’il est déjà très bon sur certaines parcelles.
Ce matin, ma jument a vraiment envie de se défouler, les deux jours de tempête nous ont empêché de sauter quelques haies.
Je la pousse un peu, elle répond à mes sollicitations.
Étant bonne cavalière, j’ai toujours eu des chevaux, j’ai débuté sur des poneys au centre équestre dans le village voisin.
C’est lors d’un concours à Cluny que j’ai rencontré Julien.
Je l’ai battu au concours, mais c’est lui qui m’a couché dans son lit et que nous nous sommes mariés.
Je devenais ainsi la châtelaine de son domaine, au grand dam des jeunes filles du coin espérant devenir l’élu.
Susy, je la monte à cru, j’aime sentir entre mes jambes la chaleur des flans de mon cheval essoufflé par nos courses folles.
Je dois avouer que depuis l’accident de mon mari, les tressautements que je ressens sont amplifiés par la proximité de la bête et de ma chatte.
Si je le voulais, combien de beaux mecs de notre coin aimeraient me coincer dans un coin de notre chai.
Mais je sais résister, tous espèrent que mon mari leur laissera la femme et le domaine et qu’ainsi avec leur queue ils deviendront riches.
Je pense bien à prendre un amant, non des amants, mais loin de chez nous avec un coup d’un soir sans lendemain.
J’envisage même avoir un enfant pour la continuité du domaine, ce qui ferait jaser, tous savent ce qui est arrivé à mon mari en faisant un eunuque.
Mais là je m’en ficherais surtout que pour le moment le dos de mon animal et les frottements de ma chatte à travers le collant que je porte suffise à mon bonheur.
Une haie, je saute, pardon, nous sautons une haie, mais quelque chose effraie Susy m’envoyant valdinguer au moment où j’allais mouiller mes collants au seuil de ma jouissance.
Comment puis-je décrire le trou noir qui s’essuie, bref un trou et il est noir.
• Enfin, vous revenez à vous, vous m’avez fait peur !
• Qui êtes-vous, à oui, je vous remets, vous êtes « Cro magnon l’homme des bois » !
Cro magnon, c’est ainsi que l’on nomme Oliver, l’homme près de la forêt barbue et hirsute.
Un véritable homme des bois qui s’est réfugié dans une masure après la mort de sa mère ayant jouée leurs vignes au casino non loin de chez nous, ou j’allais de temps à autre avec Julien dépenser un peu d’argent.
J’ai toujours été raisonnable, j’emmenais avec nous juste la somme que je savais pouvoir perdre, nos cartes bancaires restant tranquillement au chaud à la maison.
Sa mère, nous avons appris par une indiscrétion que certains week-ends elle jouait 50 000 €, depuis elle est morte laissant son fils dans la panade.
Bien sûr, la faillite les a rattrapés et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé dans cette vieille maison qu’il retape au fils des petits travaux qu’il fait de droite à gauche.
• Mais je suis nue, c’est vous qui m’avez déshabillé, vous avez abusé de moi ?
• Ça vous aurait plu, je connais votre situation, madame Lady Chatterley.
Je me permais de vous appeler ainsi, vous m’avez bien appellé Cro magnon.
Mais même si j’ai tout perdu à cause de ma connasse de mère, j’ai encore assez de dignité pour me masturber plutôt que de violer une femme.
Même si je dois reconnaitre que votre joli petit cul était bien tentant, surtout qu’il doit manquer d’une bonne bite après ce qui est arrivé à votre mari.
La situation est plus simple, j’ai entendu un hennissement, je me suis retourné et je vous ai vu voler dans les airs.
Votre cheval a dû rentrer à son écurie, il rentre toujours à leur écurie lorsqu’ils ont désarçonné leur cavalière.
Vous aviez atterri, dans une bauge à sanglier en bordure de cette forêt.
Vos vêtements sont sur ce fil, je les ai passés à l’eau, ils vont bientôt être secs.
• J’ignore pourquoi Susy s’est cabrée et ma désarçonné !
• Moi, je le sais, lorsque je vous ai récupéré et amené ici, j’ai vu une vipère qui avait été foulée aux pieds par le sabot de votre cheval.
Votre jument a pris peur et s’est cabrée et vous avez fini dans ce trou boueux.
• Il y a longtemps que je suis là !
• Plus de deux heures, un moment la peur m’a effleurées que votre tête ait pu porter, je vous ai veillé avant d’aller prévenir vos employés et votre mari.
• Je veux vous remercier, sans vous j’aurais peut-être été des heures dans mon trou avant qu’on me retrouve.
À ce moment, je fais ce qui aurait été impensable en temps normal.
Je l’attire à moi et c’est ma bouche qui trouve la sienne.
Pour la première fois, j’embrasse un homme avec barbe et moustache, ça pique un peu surtout lorsqu’il fait glisser le drap dont il m’avait recouvert et que quittant ma bouche, il vient embrasser ma chatte.
Je sens qu’à son tour, il se déshabille et qu’il me rejoint sur son lit.
J’ouvre ma fourche et il sait s’occuper de mon clito, qui retrouve son plaisir interrompu par ma chute.
À la limite de ma jouissance, c’est moi qui l’attire sur moi le saisissant par ses oreilles.
Nos bouches se trouvent de nouveau et je sens sa verge chercher ma fente, mais surtout mon puits d’amour.
Je suis bien sous mon homme de Cro-Magnon et rapidement j’ai un orgasme dévastateur, le plus long, plus de vingt secondes me laissant pantelante pour la première fois de ma vie.
Voilà, je voulais prendre des amants loin de chez moi afin de faire taire les rumeurs en cas de grossesses.
Olivier me ramène chez moi dans sa vieille guimbarde sauvée du désastre et dont sa mère se servait pour aller jouer.
Au domaine, je rentre seule après avoir été bouchonnée Susy, elle est rentrée sans qu’aucun de mes employés l’ait vue et s’aperçoive de mon absence.
Dès le lendemain, je monte Susy, mais je suis le chemin que j’ai emprunté dans la voiture d’Olivier.
C’est lui qui me reçoit dans ses bras lorsque je saute prestement pour que je me blottisse contre lui.
La vieille masure, ça dure un temps.
Olivier a ôté ses habits de Cro-Magnon en rasant sa barbe, j’ai voulu qu’il garde sa moustache, ça m’existe lorsqu’elle me chatouille le clito lorsqu’il me fait minette.
Il vit dans la dépendance du domaine réservé au contremaître.
Il a fait l’école de viticulture et est capable de faire tourner mon domaine.
Mon mari, direz-vous ?
Il est toujours vivant une infirmière vient s’occuper de lui matin et soir.
Il est satisfait, le domaine est florissant et mon ventre l’est aussi.
Des plaisirs que mon cheval me donne, j’ai moins de responsabilité depuis qu’Olivier est là et je peux faire gambader Susy plus qu’avant.
Avec elle j’évite les haies pouvant cacher des vipères, un amant me suffit.
Je le rejoins tous les soirs mon mari couché et je profite au maximum de sa queue, que j’adore sucer avant de m’empaler dessus.
Il est tellement performant que le domaine va avoir un successeur pour le plus grand plaisir d’Olivier, même s’il sait que j’ai trouvé une verge de remplacement.
Voilà, Lady Chatterley a sauvé le domaine et merde pour les pisses froides, ce soir encore, je rejoins mon amant pour une nuit torride.
Je vis en Bourgogne sur les contreforts des monts morvandiaux, mais à leurs limites et encore dans les terres viticoles.
Dans le roman, Lady est mariée à un homme partant à la guerre et se faisant blesser là où ça fait très mal pour un homme normalement constituer.
De mon côté, Julien mon mari, c’est en tombant de son enjambeur, sorte de tracteur servant à travailler nos vignes qu’il a perdu ses bijoux de famille.
Lorsque j’ai vu qu’il aurait dû être de retour, j’ai déclenché les secours.
On l’a retrouvée et sauvée, mais ses coucougnettes étaient restées sur le fil où il avait atterri à sa chute.
Lorsqu’ils rénovent une vieille vigne, ils se servent de nouveaux piquets métalliques contrairement aux anciens en bois ou le fil de fer retenant les sarments, reposaient sur de simples clous.
Ils sont nettement plus solides maintenant.
Il les lui avait coupés net comme s’il était tombé sur un fil pour couper le beurre.
Le temps trop long où il était resté dans cet état, on interdit à ce que les médecins pratiquent une greffe.
Son dos a été aussi touché et il lui est impossible de rester debout le clouant sur son fauteuil.
C’est un peu en comparaison avec la vraie héroïne du roman que dans notre village, j’ai été surnommé Lady Chatterley.
Bien sûr, derrière mon dos, devant moi les gens disent Louise ou madame Louise suivant notre degré d’intimité.
J’ai une passion, les chevaux, plutôt une vieille jument sauvée de l’abattoir vivant dans l’écurie ou dans le temps passé de nombreux chevaux étaient présents.
Ce que j’aime avec Susy, c’est le nom de ma jument, c’est de la faire galoper ce que je fais tous les jours.
J’assiste au départ de nos tâcherons lorsqu’ils sont partis entretenir les plus de trente hectares de nos vignes.
Les domaines les plus prestigieux, à leur tête le domaine de la Romanée-Conti, faisant vingt-sept hectares, mais de vins nettement plus prestigieux que le nôtre, même s’il est déjà très bon sur certaines parcelles.
Ce matin, ma jument a vraiment envie de se défouler, les deux jours de tempête nous ont empêché de sauter quelques haies.
Je la pousse un peu, elle répond à mes sollicitations.
Étant bonne cavalière, j’ai toujours eu des chevaux, j’ai débuté sur des poneys au centre équestre dans le village voisin.
C’est lors d’un concours à Cluny que j’ai rencontré Julien.
Je l’ai battu au concours, mais c’est lui qui m’a couché dans son lit et que nous nous sommes mariés.
Je devenais ainsi la châtelaine de son domaine, au grand dam des jeunes filles du coin espérant devenir l’élu.
Susy, je la monte à cru, j’aime sentir entre mes jambes la chaleur des flans de mon cheval essoufflé par nos courses folles.
Je dois avouer que depuis l’accident de mon mari, les tressautements que je ressens sont amplifiés par la proximité de la bête et de ma chatte.
Si je le voulais, combien de beaux mecs de notre coin aimeraient me coincer dans un coin de notre chai.
Mais je sais résister, tous espèrent que mon mari leur laissera la femme et le domaine et qu’ainsi avec leur queue ils deviendront riches.
Je pense bien à prendre un amant, non des amants, mais loin de chez nous avec un coup d’un soir sans lendemain.
J’envisage même avoir un enfant pour la continuité du domaine, ce qui ferait jaser, tous savent ce qui est arrivé à mon mari en faisant un eunuque.
Mais là je m’en ficherais surtout que pour le moment le dos de mon animal et les frottements de ma chatte à travers le collant que je porte suffise à mon bonheur.
Une haie, je saute, pardon, nous sautons une haie, mais quelque chose effraie Susy m’envoyant valdinguer au moment où j’allais mouiller mes collants au seuil de ma jouissance.
Comment puis-je décrire le trou noir qui s’essuie, bref un trou et il est noir.
• Enfin, vous revenez à vous, vous m’avez fait peur !
• Qui êtes-vous, à oui, je vous remets, vous êtes « Cro magnon l’homme des bois » !
Cro magnon, c’est ainsi que l’on nomme Oliver, l’homme près de la forêt barbue et hirsute.
Un véritable homme des bois qui s’est réfugié dans une masure après la mort de sa mère ayant jouée leurs vignes au casino non loin de chez nous, ou j’allais de temps à autre avec Julien dépenser un peu d’argent.
J’ai toujours été raisonnable, j’emmenais avec nous juste la somme que je savais pouvoir perdre, nos cartes bancaires restant tranquillement au chaud à la maison.
Sa mère, nous avons appris par une indiscrétion que certains week-ends elle jouait 50 000 €, depuis elle est morte laissant son fils dans la panade.
Bien sûr, la faillite les a rattrapés et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé dans cette vieille maison qu’il retape au fils des petits travaux qu’il fait de droite à gauche.
• Mais je suis nue, c’est vous qui m’avez déshabillé, vous avez abusé de moi ?
• Ça vous aurait plu, je connais votre situation, madame Lady Chatterley.
Je me permais de vous appeler ainsi, vous m’avez bien appellé Cro magnon.
Mais même si j’ai tout perdu à cause de ma connasse de mère, j’ai encore assez de dignité pour me masturber plutôt que de violer une femme.
Même si je dois reconnaitre que votre joli petit cul était bien tentant, surtout qu’il doit manquer d’une bonne bite après ce qui est arrivé à votre mari.
La situation est plus simple, j’ai entendu un hennissement, je me suis retourné et je vous ai vu voler dans les airs.
Votre cheval a dû rentrer à son écurie, il rentre toujours à leur écurie lorsqu’ils ont désarçonné leur cavalière.
Vous aviez atterri, dans une bauge à sanglier en bordure de cette forêt.
Vos vêtements sont sur ce fil, je les ai passés à l’eau, ils vont bientôt être secs.
• J’ignore pourquoi Susy s’est cabrée et ma désarçonné !
• Moi, je le sais, lorsque je vous ai récupéré et amené ici, j’ai vu une vipère qui avait été foulée aux pieds par le sabot de votre cheval.
Votre jument a pris peur et s’est cabrée et vous avez fini dans ce trou boueux.
• Il y a longtemps que je suis là !
• Plus de deux heures, un moment la peur m’a effleurées que votre tête ait pu porter, je vous ai veillé avant d’aller prévenir vos employés et votre mari.
• Je veux vous remercier, sans vous j’aurais peut-être été des heures dans mon trou avant qu’on me retrouve.
À ce moment, je fais ce qui aurait été impensable en temps normal.
Je l’attire à moi et c’est ma bouche qui trouve la sienne.
Pour la première fois, j’embrasse un homme avec barbe et moustache, ça pique un peu surtout lorsqu’il fait glisser le drap dont il m’avait recouvert et que quittant ma bouche, il vient embrasser ma chatte.
Je sens qu’à son tour, il se déshabille et qu’il me rejoint sur son lit.
J’ouvre ma fourche et il sait s’occuper de mon clito, qui retrouve son plaisir interrompu par ma chute.
À la limite de ma jouissance, c’est moi qui l’attire sur moi le saisissant par ses oreilles.
Nos bouches se trouvent de nouveau et je sens sa verge chercher ma fente, mais surtout mon puits d’amour.
Je suis bien sous mon homme de Cro-Magnon et rapidement j’ai un orgasme dévastateur, le plus long, plus de vingt secondes me laissant pantelante pour la première fois de ma vie.
Voilà, je voulais prendre des amants loin de chez moi afin de faire taire les rumeurs en cas de grossesses.
Olivier me ramène chez moi dans sa vieille guimbarde sauvée du désastre et dont sa mère se servait pour aller jouer.
Au domaine, je rentre seule après avoir été bouchonnée Susy, elle est rentrée sans qu’aucun de mes employés l’ait vue et s’aperçoive de mon absence.
Dès le lendemain, je monte Susy, mais je suis le chemin que j’ai emprunté dans la voiture d’Olivier.
C’est lui qui me reçoit dans ses bras lorsque je saute prestement pour que je me blottisse contre lui.
La vieille masure, ça dure un temps.
Olivier a ôté ses habits de Cro-Magnon en rasant sa barbe, j’ai voulu qu’il garde sa moustache, ça m’existe lorsqu’elle me chatouille le clito lorsqu’il me fait minette.
Il vit dans la dépendance du domaine réservé au contremaître.
Il a fait l’école de viticulture et est capable de faire tourner mon domaine.
Mon mari, direz-vous ?
Il est toujours vivant une infirmière vient s’occuper de lui matin et soir.
Il est satisfait, le domaine est florissant et mon ventre l’est aussi.
Des plaisirs que mon cheval me donne, j’ai moins de responsabilité depuis qu’Olivier est là et je peux faire gambader Susy plus qu’avant.
Avec elle j’évite les haies pouvant cacher des vipères, un amant me suffit.
Je le rejoins tous les soirs mon mari couché et je profite au maximum de sa queue, que j’adore sucer avant de m’empaler dessus.
Il est tellement performant que le domaine va avoir un successeur pour le plus grand plaisir d’Olivier, même s’il sait que j’ai trouvé une verge de remplacement.
Voilà, Lady Chatterley a sauvé le domaine et merde pour les pisses froides, ce soir encore, je rejoins mon amant pour une nuit torride.
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