COLLECTION HISTOIRE COURTE. Police de la route (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Police de la route (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Police de la route (1/1)
- Chéri, merci pour cette bonne soirée, le resto sympa et j’ai passé un bon moment dans ce bar à vin.
Veux-tu que je prenne le volant pour rentrer ?
- Tu es aussi bourré que moi et comme l’on dit boire ou conduire il faut choisir.
- Si tu y tiens, mais monsieur le député arrêté au volant de sa voiture pour alcoolisme au volant ça va faire désordre.
- Mais tu as raison, j’ai autant bu que toi alors je conduis.

Nous montons en voiture et nous démarrons.

- Que cherches-tu dans la boîte à gants Louloutte ?
- Ça !
- Merde un joint, tu rigoles je suis déjà bourré.

Je prends mon briquet et je l’allume.

- Où as-tu eu ce shit ?
- C’est Florence qui me l’a donné, je l’avais mis dans la boîte à gants pour une bonne occasion.

Je lui tends le joint, il tire une taffe.
Puis deux, puis trois.
À tour de rôle nous tirons dessus jusqu’à ce que je l’écrase dans le cendrier.

- C’était de la bonne Florence peut en avoir encore ?
- Je lui demanderais.
- Laisse ma main, je conduis.
- Ralenti, on évitera l’accident.
- Mais tu es nue sous ta robe et ta culotte !
- Quand je suis allée aux toilettes au bar, j’avais trop attendu et je l’ai mouillé.
Elle est dans mon sac à main.
- Tu mouilles ma salope.
- J’aime quand tu me traites de salope.
Salope, si c’était vrai !
Laisse-moi faire, tu bandes.

Je viens de lui mettre ma main sur sa braguette.

- Attends que l’on soit à la maison, j’ai envie de te baiser et de faire de toi ma chienne.
- Chéri, j’ai toujours eu un fantasme de baiser dans notre voiture, pour une fois que nous sommes seuls, arrête-toi à droite sur le parking de l’ancien routier.
Tu l’as contraint à la faillite quand tu as obligé les conducteurs à passer par l’autoroute pour rejoindre Lyon en interdisant cette route aux gros culs.
Son parking évitera que nous ayons un accident.

Le routier est fermé mais deux lampadaires sont toujours en service nous nous arrêtons entre les deux où la lumière est plus discrète.
J’ouvre la braguette de Jean et lui sort sa verge.
Il bande déjà quand je le prends dans ma bouche.
Je le suce rarement mais ça nous arrive les rares fois où au fil du temps il me baise.
C’est à ce moment que dans la nuit nous entendons une sirène de police.
Une moto de gendarmerie s’arrête à la hauteur de la vitre conductrice.
Le gendarme cale sa machine et s’approche en saluant et faisant signe à Jean de baisser sa vitre.

- Gendarmerie nationale, veuillez me présenter vos papiers.
Permis de conduire, assurance et carte grise.
- Monsieur l’agent, je suis arrêté.
- Certainement, mais je vous suis depuis quelques kilomètres et vous louvoyez sur la route.
- Je suis.
- Je sais le député de cette circonscription, vous vous croyez au-dessus des lois que vous éditez ?
- Dites-moi qu’est-ce que ça sent dans votre voiture ?
Vous avez fumé un joint ?
- C’est ma femme, j’ai juste un peu bu.
- Nous allons voir ça, vous allez me suivre jusqu’à la gendarmerie où nous ferons un contrôle d’alcoolémie et de drogue dans votre sang.
Je pense que vous allez vous attirer bien des ennuis quand la presse saura ce que fait un serviteur de l'État.
- Monsieur le gendarme, je descends, nous allons discuter, je pense que c’est un malentendu, il doit y avoir moyen de s’arranger.
- Où vas-tu Louloutte ?
- Laisse-moi faire, il faut savoir se sacrifier quand on a fait des conneries.

Je descends de la voiture et je la contourne passant dans les phares qui étaient restés allumés.
Ma robe légère doit montrer à ce garçon ce que je veux qu’il voie au travers de ma robe.

- Et si je mettais la main là, on pourrait s’arranger ?
- Subordination d’agent de l’état dans l’exercice de ses fonctions, vous aggravez le cas de votre mari.
- Chérie arrête, on va aller au poste, je verrais le supérieur de ce monsieur et il nous arrangera le coup.
- Jean ferme ta gueule, regarde notre ami bande, je voulais te sucer, c’est lui qui va profiter de ma bouche.
Je me sacrifie pour que nous gardions notre rang social.
Je refuse que Florence m’ayant donné le joint que nous avons fumé se foute de nous quand tu iras pointer à Pôle Emploi.

Je sors la verge du gendarme qui se laisse faire, finissant le travail car son pantalon est très serré.

- Tu vas avaler son sperme, Louloutte c’est dégueu.
- Quand ton attachée parlementaire te suce et avale ton sperme, tu trouves ça dégueulasse ?

Je marque un point, il se tait.
Un jour alors qu’il croyait que j’étais sortie il a téléphoné à son attachée et j’ai su que j’étais cocu qu’il la baisait.

- Tu vas voir jusqu’à où vas mon esprit de sacrifice.

Je me relève, tourne le dos au gendarme et je m’appuie contre la voiture écartant mes jambes en soulevant ma robe.

- Louloutte arrête.
- Baisez-moi fort, très fort.
Oui, sortez-moi les seins et malaxez-les.
Tu m’as trompé, mais j’ai autant à perdre que toi.
Donne-moi ta main, ça m’encouragera car contrairement à toi, ce que ce garçon me fait c’est sans aucun plaisir.
Ah !
- Mais tu jouis chérie.
- Putain si tu savais il est monté comme un taureau, il me défonce à mort.
- Ah Ah Ah !
Salopard tu décharges, excuse Jean, ça me submerge.

Mon amant d’un moment me remplit le vagin m’apportant un méga orgasme.

- Bon c’est bon pour cette fois, vous pouvez partir, votre femme est un bon coup et elle a su être convaincante.

Je reprends mon souffle, la bourrasque a été immense, un vrai tsunami.
Le motard rajusté enfourche sa moto et nous quitte me laissant pantelante.
Je reprends place dans la voiture, ma chatte dégoulinante.

- Je.
- Tais-toi et pour ton attachée et pour ce que j’ai été obligé de subir.
Surtout quand mon corps m’a lâché et que j’ai joui sous les assauts de ce soudard.
Roule, j’enterre ça dans ma mémoire et toi tu remets ta verge dans ton pantalon à Paris.
- Oui ma chérie, tu sais Juliette c’était une passade.
- Ta gueule on rentre, j’ai besoin d’un bon bain.
Ta pétasse je m’en fous.

Nous rentrons, un bain et au lit, cette soirée m'a épuisée quoi que…
- Louloutte, mon taxi m’attend, je reviens dans trois jours après les questions au gouvernement.
- Va voir ta pute, laisse-moi dormir.
- Je te promets.
- Part.

Je l’entends partir la queue basse.
Apprendre que sa femme sait que vous avez une liaison ça dû être un choc pour lui.
Dès que j’entends le taxi démarrer, je cherche des affaires affriolantes.
Je suis prête quand ça sonne à la porte.
J’y vais en courant sautant au cou du garçon derrière la porte.

- Salope, on a réussi à le faire, baiser devant ton mari.
J’ai failli tous foirer quand tu lui as pris la main comme si tu voulais son assentiment.
- Quand tu seras plus vieux, tu apprendras ce qu’une femme est capable de faire pour se venger d’un pourri.
Viens dans ma chambre, j’ai joui cette nuit mais j’en veux encore.

Je l’entraîne dans notre chambre et je me fais prendre en levrette sur le lit conjugal.
Boris, le gendarme de cette nuit du moins celui qui m’a baisé en tenue de gendarme est mon amant depuis que j’ai découvert que Jean me trompait.
Il y a peu, sur l’oreiller après une nouvelle fois m’avoir fait monter au mât de cocagne, il m’a fait des confidences.
Il a un frère jumeau faisant partie de la police de la route.
Ce week-end avec sa femme, ils partaient à Venise.
En plus de son travail, il fait de la moto.
C’est là que j’ai eu l’idée de me faire baiser devant mon cocu de mari pour me venger.

- Si tu savais comment j’ai eu du mal à entrer dans le pantalon de mon frère.
La chemise ça allait.
- Je l’ai vu j’ai eu du mal à te sortir ta belle queue.

En disant cela, je recommence à le sucer.

- Au fait, tu as perdu ton pari quand je t’ai dit que j’arriverais à me faire baiser devant lui.
- C’est dans mon sac à dos, cinq cents grammes de bons shits comme celui que vous avez fumés avant que je vous arrête.

Voilà, herbe, sexe, j’ai trouvé l’amant idéal pour satisfaire ma libido que la trahison de Jean a réveillée.
Je lève une de mes jambes et alors qu’il me pétri les seins il me pénètre de nouveau de son gros sexe par-derrière.
Je plane.

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