COLLECTION HISTOIRE COURTE. Prisonnière (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 997 074 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 979 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Prisonnière (1/1)
• Mia, viens là !
• Que me veux-tu tonton ?
• C’est ton anniversaire Mia, aujourd’hui tu as 18 ans.
• Oui, Tonton, aujourd’hui je suis majeure !
Tonton, pourquoi ouvres-tu la braguette de ton pantalon ?
Oh ! tu sors ton sexe devant moi, que va dire ma tante Olga si elle te voyait !
• Ta tante Olga, je suis là derrière toi Mia et tu vas goûter de ma cravache si en moins de temps qu’il en faut pour le dire, la queue de Fred est encore en dehors de ta bouche.
Je me retourne tante Olga est derrière moi nue, une cravache à la main.
• Pourquoi, c’est mon oncle, c’est mal de faire ça en famille ?
Avant que je vois partir le coup ma fesse droite sent la brûlure de la lanière en cuir.
• Ton oncle, pauvre conne, tu crois que tu es de ma famille, la fille de mon frère, mais c’est faux.
Sur son lit de mort, maman m’a avoué qu’elle pensait être stérile et que c’est pour ça qu’elle essayait vainement d’avoir un enfant.
Ils ont fini par adopter ton père.
Un jour, elle a trompé mon père avec son meilleur copain.
Ce devait être lui qui était stérile, car je suis née.
Lorsque j’ai eu 17 ans, Sylvain, celui que je croyais être mon frère est venu dans ma chambre et nous avons fait l’amour.
Il devait savoir qu’il avait été adopté, car nous avons baisé ensemble sans que je le sache jusqu’à son départ pour l’Afrique.
Pour toi, tu avais deux ans quand ce pseudo frère est revenu du Sénégal en Afrique avec sa doudou noire.
Tu étais la copie conforme de ta mère aussi noire qu’elle.
Je venais de me marier avec Fred.
Sylvain en plus de baiser ta mère a désiré recommencer à me sauter.
Fred l’a su et comme il était mécanicien, il a trafiqué leur voiture pour qu’ils aient un accident.
Tu devais être dedans et ainsi débarrasser le plancher, mais au dernier moment tu as eu une grippe.
La voiture était prête et il était trop tard pour tout annuler.
Tes parents sont morts comme prévu, leurs freins ayant lâché.
Ils ont fini sous un 40 tonnes et nous nous sommes retrouvés avec toi sur les bras.
Rapidement tu as grandi en nous pourrissant la vie, de nombreuses fois, Fred ou moi nous avons saisi un couteau pour te trancher la gorge.
Tu as eu de la chance que nous ayons le même but, récupérer l’argent qu’a coûté ton éducation.
• Et ça passe par la bite de mon oncle !
• Arrête de l’appeler ton oncle, ça me rappelle les fois où Sylvain m’appelait sa petite chérie alors qu’il me fourrait sa bite dans le cul.
Tu diras Fred et c’est tout comme moi, je serai Ghyslaine.
Nous allons te former pour savoir écarter tes cuisses et devenir notre pute.
Fred a créé un site Internet, si tu savais la liste d’attente que l’on a de mec voulant sauter une jeune black.
Allez, j’attends !
Mon oncle, pardon Fred avait enlevé son pantalon et me montrait une première verge de ma vie, bien noueuse.
Une nouvelle fois, la cravache, après s’être abattu sur mes fesses me faisant hurler de douleur.
Ils m’ont obligé à m’exécuter.
Je me suis agenouillée et j’ai pris sa verge en main en même temps que je la dirigeais vers ma bouche.
Première fellation, première pénétration dans ma chatte et sur les ordres de tante Ghyslaine, encore une fois pardon, Ghyslaine, dans mon anus Fred m’enculant.
Je pleurais toutes les larmes de mon corps, je tombais de haut.
Il est vrai que Ghyslaine avait raison, j’ai été particulièrement une peste lorsque j’étais petite, même si j’étais bonne élève, j’avais eu mon bac et je venais d’entrer en fac de médecine.
• Le matin, tu feras le ménage, tu nous prépareras à manger et l’après-midi, tu recevras tes clients.
Bien sûr, à part la bouffe, tout le fric que ton cul nous rapportera servira à rembourser l’argent dépensé pour ton éducation.
Je regarde la porte.
• Inutile de chercher à te sauver, seul Fred et moi avons la clef du pavillon, nous avons déjà récupéré ta clef.
Les fenêtres sont bloquées par l’extérieur et dans ta chambre, les volets ont, eux aussi, été bloqués.
Tu recevras tes clients la lumière allumée, tu seras dans l’impossibilité de t’échapper.
On te fournira les courses nécessaires à te nourrir.
Pour toi, il reste quelques sacs de croquette du labrador que nous avons dû récupérer seul survivant de l’accident.
Médor, le chien de mon enfance, m’ayant aidé après la mort de mes parents, est mort, il y a deux mois.
Il avait plus de 16 ans.
Dès le midi, ayant été dépucelé par toutes les parties de mon corps, c’est dans sa gamelle posée au sol que j’ai dû me nourrir de cette nourriture pour chiens.
Dès le deuxième jour, j’ai cherché, comment me sortir de ce guêpier, la solution s’était la porte en chêne, mais il y avait le souci de la clef.
La veille, c’était Fred qui s’était occupé de mon cul, aujourd’hui, c’est ma tante.
Pardon si je craque en disant ma tante, nous sommes entre nous, si vous évitez de le dire à Ghyslaine.
C’est sur le canapé que je dois lui sucer la chatte m’occupant particulièrement de son clito, j’arrive à la faire jouir.
Premier client, et si j’essayais de dire à ce monsieur la cinquantaine que l’on se sert de moi pour rembourser une dette imaginaire avec mes fesses !
• Monsieur, je suis retenue prisonnière et prostituée par ceux que je pensais être mon oncle et ma tante.
Regardez la fenêtre, elle est bloquée pour m’empêcher de m’évader !
• Je t’arrête tout de suite, tes histoires de famille, je m’en bas la queue.
J’ai été en Afrique de nombreuses années.
J’avais des doudous noires que je baisais, j’adorais le bois d’ébène.
C’est dur d’en trouver dans la région.
Lorsque je suis tombé sur ton site et vu tes photos, noire, parfaitement noire, j’ai eu envie de toi et tu me reverras dans les jours prochains.
J’avais loupé mon coup, mais je venais d’apprendre que Fred avait monté un site pour trouver mes clients.
Je me suis donné du temps, vidant les couilles de tous mes clients.
Il est vrai que j’avais du succès jusqu’à Loïc, un jeune puceau que j’espérais pouvoir corrompre pour qu’il accepte d’aller voir les flics.
Je l’ai dépucelé avant de lui expliquer ce que j’attendais de lui.
• Vous avez été la première, je vais vous aider, on se reverra après, je vous aime !
Lorsqu’il m’a quitté, je pensais me sortir de mon cauchemar et que j’allais voir débarquer la police.
Pendant deux jours, je me suis laissé faire par mes clients étant persuadé que c'était les derniers.
Pendant deux jours, mes oncle et tante ont un comportement normal.
Je viens de rejoindre ma chambre, quand il débarque.
J’ai des cheveux afro difficiles pour les tirer pour m’emmener dans le bureau qu’ils m’interdisaient d’entrer même pour le ménage.
Je vois tout de suite que mes espoirs seront vains.
Un ordinateur, des écrans et ma chambre sur plusieurs plans.
• Tu croyais que l’on te laisserait seule avec tes clients, tu nous prends pour des jambons.
Regarde !
Fred appuie sur une touche de l’ordi et une visio démarre.
C’est le jeune garçon sortant de ma chambre juste après m’avoir promis de m’aider.
Image sans le son, mais je vois bien Ghyslaine passer la main sur le pantalon du garçon et lui donner des billets.
Certainement plus que ce qu’il avait payé.
• Inutile d’attendre une quelconque aide de sa part, il a promis de revenir demain, mais à partir de ce jour, c’est elle qui s’occupera de lui.
Je sais tu vas me dire que je serai cocu, détrompe-toi, j’adore voir ma femme baiser avec d’autres, nous ferons d’une pierre deux coups.
Quelle bande de dépravés.
• Regarde cette autre vidéo, tu reconnais le client !
Il y a quatre caméras bien dissimulées dans ta chambre.
Par exemple, un détecteur de fumée, mais que je peux commander à distance et l’orienter comme les autres pour avoir le meilleur angle.
Dès le premier, nous savions que tu cherchais quelqu’un pour t’aider à t’échapper.
Nous nous sommes bien amusés quand il t’a éconduit en voulant sauter du bois d’ébène.
Sais-tu ce que veut dire ce terme, bois d’ébène, c’était au temps de l’esclavage que lorsque les maîtres se sautaient leurs négresses, ils employaient ces mots ?
Attends, regarde ce CD, c’est le même client qui te baise et dont nous avons fait une vidéo.
J’ai flouté le visage du mec, mais toi on te voit distinctement lorsqu’il t’encule.
Fellation, plus sodomie, 500 €.
Les montages CD avec tes clients, qui l’ignorent bien sûr, nous les vendons en Allemagne, ton cul nous rapporte deux fois.
C’est eux qui les dupliquent et qui les commercialisent à travers le monde.
C’est à ce moment que j’ai compris que la seule porte de sortie, c’était la porte d’entrée, mais il fallait que je récupère la clef.
En attendant, j’ai continué à recevoir mes clients, tout en sachant qu’il fallait que je sourie à la caméra.
L’ouverture, je l’ai eue quelques mois plus tard, Ghyslaine malgré le fric que je leur rapportais voulant donner le change, travaillais à l’hôpital.
Un midi où je préparais le déjeuner, elle est entrée avec ses clefs quand le téléphone a sonné.
Sylvain était dans le bureau attendant qu’elle entre en montant ses vidéos.
Depuis qu’ils m’avaient fait voir qu’ils m’espionnaient, la pièce m’était accessible et je devais même la nettoyer.
Le téléphone a sonné, elle a décroché, c’était un client qui voulait un rendez-vous pour me sauter.
Je suis passé derrière elle, les clefs étaient dans ma main.
Elle est partie vers le bureau le téléphone à l’oreille.
C’est mon oncle, une nouvelle fois pardon, qui avait mon planning.
Dès qu’elle a franchi la porte je me suis ruée vers la porte.
Je rappelle que je vivais nue à la disposition de l’un ou de l’autre s’ils avaient envie de me baiser.
Par chance, Ghyslaine avait juste fermé sans mettre le verrou, je me suis retrouvée dehors.
Combien de fois ai-je répété ce que je devrais faire, j’avais vécu ici depuis avant la mort de mon père.
Il y avait un perron avec une barrière de fer et quatre marches de chaque côté pour atteindre la cour.
J’ai sauté par-dessus, gagnant le temps de descendre les marches.
Telle une gazelle, je l’ai franchi me retrouvant au sol sur les graviers.
C’était là le point faible de mon plan, mais j’ai serré les dents me mettant à courir vers le champ à l’arrière de la maison.
Deux kilomètres pour rattraper le centre-ville et le commissariat.
À midi, peu de monde dans les rues et par chance la gendarmerie fermée tous les soirs était ouverte.
Un policier m’a recouvert de sa veste, cachant ma nudité.
Voilà, je suis sortie des pattes de ceux que je vais continuer à appeler once et tante.
Les gendarmes les ont arrêtés à la frontière allemande avec du fric et des vidéos de cul.
Mon cul bien sûr.
Je viens de récupérer les clefs de la maison.
En effet, dès la mort de mon père, mes oncles et tantes à leur demande, on voulut devenir mes tuteurs, ce qui fut fait.
La maison était à moi ainsi qu’une assurance-vie que je pouvais gérer à ma majorité, mais en se servant généreusement.
Lorsque j’ai eu dix-huit ans, ils ont eu peur que je découvre tout et ont décidé de me prostituer étant de plus en plus avide.
J’ai tout vendu, sur mon compte à la banque à Paris ou j’ai acheté un appartement près de la tour Eiffel, je constate la somme importante qui s’y trouve.
Largement de quoi vivre en m’achetant un petit commerce sympa.
Mon portable sonne, je décroche.
• Oui, je suis Paola, quand puis-je vous recevoir ?
17 heures après votre travail, je regarde, oui je suis libre.
Les tarifs, ils sont sur mon site, non, impossible d’avoir des remises.
À 17 heures, je saurai prendre soin de vous.
Pourquoi ?
Tonton était peut-être un macro, mais il était doué pour l’informatique et le site qu’il avait créé me permet de vivre sans un mec pour me piquer mon pognon.
Il me paye, je les suce, ils me baisent et basta au suivant, même si j’ai des habitués.
Même si c' est un autre du même genre, les amateurs de bois d’ébène sont en grand nombre dans la capitale.
Quant aux puceaux, quels meilleurs endroits pour trouver des puceaux à en faire des hommes.
• Que me veux-tu tonton ?
• C’est ton anniversaire Mia, aujourd’hui tu as 18 ans.
• Oui, Tonton, aujourd’hui je suis majeure !
Tonton, pourquoi ouvres-tu la braguette de ton pantalon ?
Oh ! tu sors ton sexe devant moi, que va dire ma tante Olga si elle te voyait !
• Ta tante Olga, je suis là derrière toi Mia et tu vas goûter de ma cravache si en moins de temps qu’il en faut pour le dire, la queue de Fred est encore en dehors de ta bouche.
Je me retourne tante Olga est derrière moi nue, une cravache à la main.
• Pourquoi, c’est mon oncle, c’est mal de faire ça en famille ?
Avant que je vois partir le coup ma fesse droite sent la brûlure de la lanière en cuir.
• Ton oncle, pauvre conne, tu crois que tu es de ma famille, la fille de mon frère, mais c’est faux.
Sur son lit de mort, maman m’a avoué qu’elle pensait être stérile et que c’est pour ça qu’elle essayait vainement d’avoir un enfant.
Ils ont fini par adopter ton père.
Un jour, elle a trompé mon père avec son meilleur copain.
Ce devait être lui qui était stérile, car je suis née.
Lorsque j’ai eu 17 ans, Sylvain, celui que je croyais être mon frère est venu dans ma chambre et nous avons fait l’amour.
Il devait savoir qu’il avait été adopté, car nous avons baisé ensemble sans que je le sache jusqu’à son départ pour l’Afrique.
Pour toi, tu avais deux ans quand ce pseudo frère est revenu du Sénégal en Afrique avec sa doudou noire.
Tu étais la copie conforme de ta mère aussi noire qu’elle.
Je venais de me marier avec Fred.
Sylvain en plus de baiser ta mère a désiré recommencer à me sauter.
Fred l’a su et comme il était mécanicien, il a trafiqué leur voiture pour qu’ils aient un accident.
Tu devais être dedans et ainsi débarrasser le plancher, mais au dernier moment tu as eu une grippe.
La voiture était prête et il était trop tard pour tout annuler.
Tes parents sont morts comme prévu, leurs freins ayant lâché.
Ils ont fini sous un 40 tonnes et nous nous sommes retrouvés avec toi sur les bras.
Rapidement tu as grandi en nous pourrissant la vie, de nombreuses fois, Fred ou moi nous avons saisi un couteau pour te trancher la gorge.
Tu as eu de la chance que nous ayons le même but, récupérer l’argent qu’a coûté ton éducation.
• Et ça passe par la bite de mon oncle !
• Arrête de l’appeler ton oncle, ça me rappelle les fois où Sylvain m’appelait sa petite chérie alors qu’il me fourrait sa bite dans le cul.
Tu diras Fred et c’est tout comme moi, je serai Ghyslaine.
Nous allons te former pour savoir écarter tes cuisses et devenir notre pute.
Fred a créé un site Internet, si tu savais la liste d’attente que l’on a de mec voulant sauter une jeune black.
Allez, j’attends !
Mon oncle, pardon Fred avait enlevé son pantalon et me montrait une première verge de ma vie, bien noueuse.
Une nouvelle fois, la cravache, après s’être abattu sur mes fesses me faisant hurler de douleur.
Ils m’ont obligé à m’exécuter.
Je me suis agenouillée et j’ai pris sa verge en main en même temps que je la dirigeais vers ma bouche.
Première fellation, première pénétration dans ma chatte et sur les ordres de tante Ghyslaine, encore une fois pardon, Ghyslaine, dans mon anus Fred m’enculant.
Je pleurais toutes les larmes de mon corps, je tombais de haut.
Il est vrai que Ghyslaine avait raison, j’ai été particulièrement une peste lorsque j’étais petite, même si j’étais bonne élève, j’avais eu mon bac et je venais d’entrer en fac de médecine.
• Le matin, tu feras le ménage, tu nous prépareras à manger et l’après-midi, tu recevras tes clients.
Bien sûr, à part la bouffe, tout le fric que ton cul nous rapportera servira à rembourser l’argent dépensé pour ton éducation.
Je regarde la porte.
• Inutile de chercher à te sauver, seul Fred et moi avons la clef du pavillon, nous avons déjà récupéré ta clef.
Les fenêtres sont bloquées par l’extérieur et dans ta chambre, les volets ont, eux aussi, été bloqués.
Tu recevras tes clients la lumière allumée, tu seras dans l’impossibilité de t’échapper.
On te fournira les courses nécessaires à te nourrir.
Pour toi, il reste quelques sacs de croquette du labrador que nous avons dû récupérer seul survivant de l’accident.
Médor, le chien de mon enfance, m’ayant aidé après la mort de mes parents, est mort, il y a deux mois.
Il avait plus de 16 ans.
Dès le midi, ayant été dépucelé par toutes les parties de mon corps, c’est dans sa gamelle posée au sol que j’ai dû me nourrir de cette nourriture pour chiens.
Dès le deuxième jour, j’ai cherché, comment me sortir de ce guêpier, la solution s’était la porte en chêne, mais il y avait le souci de la clef.
La veille, c’était Fred qui s’était occupé de mon cul, aujourd’hui, c’est ma tante.
Pardon si je craque en disant ma tante, nous sommes entre nous, si vous évitez de le dire à Ghyslaine.
C’est sur le canapé que je dois lui sucer la chatte m’occupant particulièrement de son clito, j’arrive à la faire jouir.
Premier client, et si j’essayais de dire à ce monsieur la cinquantaine que l’on se sert de moi pour rembourser une dette imaginaire avec mes fesses !
• Monsieur, je suis retenue prisonnière et prostituée par ceux que je pensais être mon oncle et ma tante.
Regardez la fenêtre, elle est bloquée pour m’empêcher de m’évader !
• Je t’arrête tout de suite, tes histoires de famille, je m’en bas la queue.
J’ai été en Afrique de nombreuses années.
J’avais des doudous noires que je baisais, j’adorais le bois d’ébène.
C’est dur d’en trouver dans la région.
Lorsque je suis tombé sur ton site et vu tes photos, noire, parfaitement noire, j’ai eu envie de toi et tu me reverras dans les jours prochains.
J’avais loupé mon coup, mais je venais d’apprendre que Fred avait monté un site pour trouver mes clients.
Je me suis donné du temps, vidant les couilles de tous mes clients.
Il est vrai que j’avais du succès jusqu’à Loïc, un jeune puceau que j’espérais pouvoir corrompre pour qu’il accepte d’aller voir les flics.
Je l’ai dépucelé avant de lui expliquer ce que j’attendais de lui.
• Vous avez été la première, je vais vous aider, on se reverra après, je vous aime !
Lorsqu’il m’a quitté, je pensais me sortir de mon cauchemar et que j’allais voir débarquer la police.
Pendant deux jours, je me suis laissé faire par mes clients étant persuadé que c'était les derniers.
Pendant deux jours, mes oncle et tante ont un comportement normal.
Je viens de rejoindre ma chambre, quand il débarque.
J’ai des cheveux afro difficiles pour les tirer pour m’emmener dans le bureau qu’ils m’interdisaient d’entrer même pour le ménage.
Je vois tout de suite que mes espoirs seront vains.
Un ordinateur, des écrans et ma chambre sur plusieurs plans.
• Tu croyais que l’on te laisserait seule avec tes clients, tu nous prends pour des jambons.
Regarde !
Fred appuie sur une touche de l’ordi et une visio démarre.
C’est le jeune garçon sortant de ma chambre juste après m’avoir promis de m’aider.
Image sans le son, mais je vois bien Ghyslaine passer la main sur le pantalon du garçon et lui donner des billets.
Certainement plus que ce qu’il avait payé.
• Inutile d’attendre une quelconque aide de sa part, il a promis de revenir demain, mais à partir de ce jour, c’est elle qui s’occupera de lui.
Je sais tu vas me dire que je serai cocu, détrompe-toi, j’adore voir ma femme baiser avec d’autres, nous ferons d’une pierre deux coups.
Quelle bande de dépravés.
• Regarde cette autre vidéo, tu reconnais le client !
Il y a quatre caméras bien dissimulées dans ta chambre.
Par exemple, un détecteur de fumée, mais que je peux commander à distance et l’orienter comme les autres pour avoir le meilleur angle.
Dès le premier, nous savions que tu cherchais quelqu’un pour t’aider à t’échapper.
Nous nous sommes bien amusés quand il t’a éconduit en voulant sauter du bois d’ébène.
Sais-tu ce que veut dire ce terme, bois d’ébène, c’était au temps de l’esclavage que lorsque les maîtres se sautaient leurs négresses, ils employaient ces mots ?
Attends, regarde ce CD, c’est le même client qui te baise et dont nous avons fait une vidéo.
J’ai flouté le visage du mec, mais toi on te voit distinctement lorsqu’il t’encule.
Fellation, plus sodomie, 500 €.
Les montages CD avec tes clients, qui l’ignorent bien sûr, nous les vendons en Allemagne, ton cul nous rapporte deux fois.
C’est eux qui les dupliquent et qui les commercialisent à travers le monde.
C’est à ce moment que j’ai compris que la seule porte de sortie, c’était la porte d’entrée, mais il fallait que je récupère la clef.
En attendant, j’ai continué à recevoir mes clients, tout en sachant qu’il fallait que je sourie à la caméra.
L’ouverture, je l’ai eue quelques mois plus tard, Ghyslaine malgré le fric que je leur rapportais voulant donner le change, travaillais à l’hôpital.
Un midi où je préparais le déjeuner, elle est entrée avec ses clefs quand le téléphone a sonné.
Sylvain était dans le bureau attendant qu’elle entre en montant ses vidéos.
Depuis qu’ils m’avaient fait voir qu’ils m’espionnaient, la pièce m’était accessible et je devais même la nettoyer.
Le téléphone a sonné, elle a décroché, c’était un client qui voulait un rendez-vous pour me sauter.
Je suis passé derrière elle, les clefs étaient dans ma main.
Elle est partie vers le bureau le téléphone à l’oreille.
C’est mon oncle, une nouvelle fois pardon, qui avait mon planning.
Dès qu’elle a franchi la porte je me suis ruée vers la porte.
Je rappelle que je vivais nue à la disposition de l’un ou de l’autre s’ils avaient envie de me baiser.
Par chance, Ghyslaine avait juste fermé sans mettre le verrou, je me suis retrouvée dehors.
Combien de fois ai-je répété ce que je devrais faire, j’avais vécu ici depuis avant la mort de mon père.
Il y avait un perron avec une barrière de fer et quatre marches de chaque côté pour atteindre la cour.
J’ai sauté par-dessus, gagnant le temps de descendre les marches.
Telle une gazelle, je l’ai franchi me retrouvant au sol sur les graviers.
C’était là le point faible de mon plan, mais j’ai serré les dents me mettant à courir vers le champ à l’arrière de la maison.
Deux kilomètres pour rattraper le centre-ville et le commissariat.
À midi, peu de monde dans les rues et par chance la gendarmerie fermée tous les soirs était ouverte.
Un policier m’a recouvert de sa veste, cachant ma nudité.
Voilà, je suis sortie des pattes de ceux que je vais continuer à appeler once et tante.
Les gendarmes les ont arrêtés à la frontière allemande avec du fric et des vidéos de cul.
Mon cul bien sûr.
Je viens de récupérer les clefs de la maison.
En effet, dès la mort de mon père, mes oncles et tantes à leur demande, on voulut devenir mes tuteurs, ce qui fut fait.
La maison était à moi ainsi qu’une assurance-vie que je pouvais gérer à ma majorité, mais en se servant généreusement.
Lorsque j’ai eu dix-huit ans, ils ont eu peur que je découvre tout et ont décidé de me prostituer étant de plus en plus avide.
J’ai tout vendu, sur mon compte à la banque à Paris ou j’ai acheté un appartement près de la tour Eiffel, je constate la somme importante qui s’y trouve.
Largement de quoi vivre en m’achetant un petit commerce sympa.
Mon portable sonne, je décroche.
• Oui, je suis Paola, quand puis-je vous recevoir ?
17 heures après votre travail, je regarde, oui je suis libre.
Les tarifs, ils sont sur mon site, non, impossible d’avoir des remises.
À 17 heures, je saurai prendre soin de vous.
Pourquoi ?
Tonton était peut-être un macro, mais il était doué pour l’informatique et le site qu’il avait créé me permet de vivre sans un mec pour me piquer mon pognon.
Il me paye, je les suce, ils me baisent et basta au suivant, même si j’ai des habitués.
Même si c' est un autre du même genre, les amateurs de bois d’ébène sont en grand nombre dans la capitale.
Quant aux puceaux, quels meilleurs endroits pour trouver des puceaux à en faire des hommes.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...