COLLECTION HISTOIRE COURTE. Rattrapée par mon passé (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Rattrapée par mon passé (1/1)
• Judith, que fais-tu à Paris !
Nous avions appris que tu avais décidé de vivre à New York !
• Isabelle, le monde est petit, se retrouver dans les toilettes de la Comédie Française dix ans après comme c’est étrange.
• Pour être étrange, c’est étrange, je suis arrivée il y a quarante-huit heures, je viens pour dédicacer la version française de mon livre ayant fait un tabac aux États-Unis et je tombe sur toi.
• Surtout que Jacques et moi nous devrions être à Pointe-à-Pitre pour un congrès de médecin.
Tu écris des livres !
• Rien de bien folichon, des romans intimistes.
• Comment s’appelle ce roman que tu viens dédicacer ?
• En anglais, il est sorti sous le titre « l’Auvergnate ».
Ici mon éditeur a pensé que cela faisait trop guide touristique, son titre est « Jeunesse auvergnate ».
• Tu es Laure Duval, la célèbre romancière qui a déjà écrit deux best-sellers !
• Je dois le reconnaître, mais célèbre, c’est un grand mot.
• Incroyable, j’ai lu tes deux premiers succès en version anglaise, j’étais loin de penser que tu te cachais sous ce pseudo.
• J’ai pris le nom de ma mère et le prénom de ma tante, Domontois Judith, tu trouves que c’est vendeur, même aux USA.
On dirait un nom de charpente.
• C’est vrai, comment faire le rapprochement Duval, ta maman s’appelait Duval et des Duval c’est comme les Dupont ou les Durand, ça pullule et ça passe partout.
Mais dit moi, ces deux premiers ouvrages, « Louisiane profonde » et « Mes nuits de débauche à New York » étaient des romans fortement érotique à la limite de la pornographie.
La Louisiane ou ton héroïne fait l’amour avec deux blacks dans les bayous, dis-moi, tu as vécu une telle expérience !
• Tu sais les auteurs, nous avons beaucoup d’imagination.
• Il en faut, surtout que dans le deuxième à New York, tu explores la communauté lesbienne la nuit.
Heureusement que ça se passe là-bas, je pourrais croire qu’il y a un rapport avec notre aventure de jeunesse.
Tu sais quand tu as disparu partant pour les USA, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps.
J’ai failli mourir en me tailladant les veines, j’ai cru que ton amour était mort alors j’ai voulu mourir aussi.
Je peux te confier un secret, je t’ai toujours aimé malgré ton abandon, même si j’ai fini par épouser Jacques le fils du docteur de notre village au centre de l’Auvergne.
Les toilettes d’où je viens de sortir et où Isabelle attend se libèrent.
• Va aux toilettes l’entracte est bientôt fini !
Je t’attends.
Seule, je prends la porte descendant les marches de la Comédie Française fuyant cette rencontre inopportune pour moi.
La fin de la pièce « Le malade imaginaire », je la connais même si cette version avec de nouveaux acteurs fraichement entrés au sein de cette illustre institution m’intéressant.
Je sors du bâtiment, fuyant vers mon hôtel.
Dans ma chambre réservée par mon éditeur dans cet hôtel de haut luxe, je prends en main l’un des livres que demain je dois dédicacer.
Inutile de le lire, je le connais par cœur.
J’ai si souvent lu et relu chaque paragraphe lors des dernières corrections.
Quand j’ai dit à Isabelle que j’avais de l’imagination, pas autant que ça.
La Louisiane, mon premier roman, je l’ai vécu plus tard que celui à New York.
Isabelle a parlé de la Louisiane en premier.
En réalité, c’était le deuxième où je me suis servi de mes débauches avec des blacks dans les bayous pour sortir ce livre.
Pendant ma liaison avec Isabelle, premiers émois de deux jeunes filles à la recherche de leur identité sexuelle, nous avions appris à découvrir nos corps.
C’est dans sa chambre venant chercher un livre pour un devoir que nous devions préparer ensemble que tout a commencé.
Je suis entrée dans sa chambre, sa maman étant à son travail à l’hôpital.
Elle était sous la douche nue.
Je la voyais à travers la cloison vitrée se savonner le corps insistant sur sa chatte ou ses mains passaient et repassaient.
Je connaissais bien ces gestes, les ayant découverts moi-même depuis quelque temps.
Isabelle se donnait du plaisir sous la douche.
Une idée folle m’est venue.
Je me suis déshabillée, j’ai fait glisser la paroi vitrée et avant qu’elle ait le temps de réagir, je l’ai enlacée.
Elle devait m’avouer quelques jours plus tard qu’elle avait attendu ce moment depuis le début de notre amitié.
Elle savait qu’elle avait des penchants lesbiens mais les refoulait pour éviter un scandale avec ses parents.
Sa famille possédait la plus grande pharmacie de Clermont-Ferrand du moins dans ces années-là.
Dans mon livre, je détaillais, point par point les moments qui ont suivi ces premiers attouchements entre filles.
Mon héroïne vit intensément les roulades sur le lit de jeune fille d’Isabelle.
Elles se sont essuyé mutuellement leurs bouches se trouvant chaque fois que celle de l’une passait près de celle de l’autre.
Sur le lit, Justine où Isabelle, se sont retrouvées leurs mains cherchant le corps de l’autre.
Elles ont appris à se sucer avec toute la passion du monde leurs clitos s’apportant des jouissances réciproques qu’elles ignoraient possible entre filles.
Elles ont approfondi sur le lit la découverte de leurs clitoris, les caressants et les léchant autant que le temps leur permettait.
Comme je l’ai dit la maman travaillant avec son père dans leur pharmacie et leur laissais de grandes plages pour apprendre à se gouiner.
Leur liaison durait depuis quelques semaines.
Ce qu’ignore Isabelle, c’est le pourquoi de ma fuite.
Un après-midi j’ai reçu un coup de téléphone du père d’Isabelle, me disant qu’elle était tombée et à l’article de la mort et qu’elle me réclamait.
Je suis arrivée ventre à terre et c’est sur le canapé qu’il m’a violé pour m’apprendre qu’une bite, c’était mieux qu’une chatte surtout celle de sa fille.
J’ai eu peur de faire mal aux deux femmes Isabelle et sa maman alors j’ai fui aux USA.
Je m’éloignais de celui qui j’en étais sur aurais à tout moment recommencé à me forcer à le sucer et à m’enfiler comme la plus vulgaire des putes possible.
C’est au matin quand la sonnette de ma porte s’est déclenchée que je me suis réveillée, je venais de dormir sur mes souvenirs lesbiens et du viol de son père.
• Bonjours madame, le petit déjeuner que vous aviez commandé pour 8 heures.
Je peux ouvrir les volets roulants, vous verrez le temps est radieux !
Je donne mon accord.
Je m’étire sur mon lit, quand la jeune femme est partie, les roulements de ses fesses sous sa jupe m’ont fait envie.
Une petite masturbation faute de mieux serait la bienvenue, mais l’odeur du café et des croissants chauds sur lesquels j’étale de la marmelade d’oranges, vieille habitude américaine, primant, mon ventre criant famine.
Près de moi le livre que j’ai ouvert ayant déclenché mes souvenirs de ma vie passée avec Isabelle me fait de l’œil.
Je refoule mes pensers tournés vers la chatte d’Isabelle, retrouvés fortuitement à la Comédie Française afin d’éviter d’être en retard.
Une bonne douche froide, j’essaye vainement de me faire démarrer, mais la froideur de l’eau gèle mon clito qui a besoin d’une certaine chaleur pour être en sa forme maxi.
C’était le cas dans les bayous où j’ai failli y laisser ma vie.
Je suis réellement allée dans ces lieux remplis d’incertitude surtout lorsque vous tombez à l’eau et qu’un gentil croco d’environ trois à quatre mètres a décidé de vous compter fleurette.
J’étais avec Fredy, celui qui à ce moment était mon fiancé et qui m’a lâchement laissé tombé ayant trop peur des mâchoires de l’animal.
Ce sont des jumeaux passant près de là eux aussi en bateau à fond plat qui ont sauté à l’eau pour venir me sauver.
L’un l’a pris par ses mâchoires, lui passant sa ceinture autour de la gueule.
Je devais apprendre que ces gentilles bébêtes n’avait aucun muscle pour ouvrir leur gueule et qu’il suffisait de leur attacher pour qu’il l’empêche de m’attraper.
L’autre s’est la queue de l’animal qui lui a permis de le sortir en le tirant de l’eau.
J’ignore si ce qu’ils ont fait en lui ouvrant le ventre et en récupérant sa peau était bien légal.
Ce qu’il y a de sur, c’est que ce soir-là dans leur vieille cabane, je suçais l’un puis après l’autre pour finir par être prise en double vaginal.
C’est en gros ça que j’ai raconté dans mon livre sur le bayou, avec de nombreux détaille, certains inventés, mieux fantasmé sur mes cris de plaisir lorsqu’ils m’ont mis leurs deux bites dans la chatte.
• Pouvez-vous mettre comme dédicace ?
« À mon amour de jeunesse, violé par mon père que j’ai quitté lorsque ma maman m’a avoué sa forfaiture. »
Lorsque l’on dédicace, on écrit machinalement sans trop regarder à qui ont l’écrit, je lève la tête et je vois Isabelle devant moi.
Oui, j’ai fui pour éviter de lui dire la vérité.
Mon prochain livre, aura pour titre, « Isa est ma jeunesse auvergnate. »
J’ai dédicacé et vendu presque 200 bouquins aujourd’hui.
C’est main dans la main que nous retournons vers ma chambre d’hôtel.
• Roomservices, pouvez-vous me monter des petits fours, du champagne et encore du champagne, beaucoup de champagne, c’est le plus beau jour de ma vie.
• Mesdames, je peux vous laisser, avez-vous tout ce qu’il vous faut ?
Il va de soi que nue toutes les deux sur le lit lorsque la petite soubrette a apporté notre commande, je la regarde partir, sans grande envie de son petit cul comme ce matin, j’aurais bien aimé le faire.
Celui d’Isabelle me suffit surtout que j’aie appelé la réception pour s’acquérir d’un second billet pour New York où Isabelle vient avec moi finir sa vie.
Nous avions appris que tu avais décidé de vivre à New York !
• Isabelle, le monde est petit, se retrouver dans les toilettes de la Comédie Française dix ans après comme c’est étrange.
• Pour être étrange, c’est étrange, je suis arrivée il y a quarante-huit heures, je viens pour dédicacer la version française de mon livre ayant fait un tabac aux États-Unis et je tombe sur toi.
• Surtout que Jacques et moi nous devrions être à Pointe-à-Pitre pour un congrès de médecin.
Tu écris des livres !
• Rien de bien folichon, des romans intimistes.
• Comment s’appelle ce roman que tu viens dédicacer ?
• En anglais, il est sorti sous le titre « l’Auvergnate ».
Ici mon éditeur a pensé que cela faisait trop guide touristique, son titre est « Jeunesse auvergnate ».
• Tu es Laure Duval, la célèbre romancière qui a déjà écrit deux best-sellers !
• Je dois le reconnaître, mais célèbre, c’est un grand mot.
• Incroyable, j’ai lu tes deux premiers succès en version anglaise, j’étais loin de penser que tu te cachais sous ce pseudo.
• J’ai pris le nom de ma mère et le prénom de ma tante, Domontois Judith, tu trouves que c’est vendeur, même aux USA.
On dirait un nom de charpente.
• C’est vrai, comment faire le rapprochement Duval, ta maman s’appelait Duval et des Duval c’est comme les Dupont ou les Durand, ça pullule et ça passe partout.
Mais dit moi, ces deux premiers ouvrages, « Louisiane profonde » et « Mes nuits de débauche à New York » étaient des romans fortement érotique à la limite de la pornographie.
La Louisiane ou ton héroïne fait l’amour avec deux blacks dans les bayous, dis-moi, tu as vécu une telle expérience !
• Tu sais les auteurs, nous avons beaucoup d’imagination.
• Il en faut, surtout que dans le deuxième à New York, tu explores la communauté lesbienne la nuit.
Heureusement que ça se passe là-bas, je pourrais croire qu’il y a un rapport avec notre aventure de jeunesse.
Tu sais quand tu as disparu partant pour les USA, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps.
J’ai failli mourir en me tailladant les veines, j’ai cru que ton amour était mort alors j’ai voulu mourir aussi.
Je peux te confier un secret, je t’ai toujours aimé malgré ton abandon, même si j’ai fini par épouser Jacques le fils du docteur de notre village au centre de l’Auvergne.
Les toilettes d’où je viens de sortir et où Isabelle attend se libèrent.
• Va aux toilettes l’entracte est bientôt fini !
Je t’attends.
Seule, je prends la porte descendant les marches de la Comédie Française fuyant cette rencontre inopportune pour moi.
La fin de la pièce « Le malade imaginaire », je la connais même si cette version avec de nouveaux acteurs fraichement entrés au sein de cette illustre institution m’intéressant.
Je sors du bâtiment, fuyant vers mon hôtel.
Dans ma chambre réservée par mon éditeur dans cet hôtel de haut luxe, je prends en main l’un des livres que demain je dois dédicacer.
Inutile de le lire, je le connais par cœur.
J’ai si souvent lu et relu chaque paragraphe lors des dernières corrections.
Quand j’ai dit à Isabelle que j’avais de l’imagination, pas autant que ça.
La Louisiane, mon premier roman, je l’ai vécu plus tard que celui à New York.
Isabelle a parlé de la Louisiane en premier.
En réalité, c’était le deuxième où je me suis servi de mes débauches avec des blacks dans les bayous pour sortir ce livre.
Pendant ma liaison avec Isabelle, premiers émois de deux jeunes filles à la recherche de leur identité sexuelle, nous avions appris à découvrir nos corps.
C’est dans sa chambre venant chercher un livre pour un devoir que nous devions préparer ensemble que tout a commencé.
Je suis entrée dans sa chambre, sa maman étant à son travail à l’hôpital.
Elle était sous la douche nue.
Je la voyais à travers la cloison vitrée se savonner le corps insistant sur sa chatte ou ses mains passaient et repassaient.
Je connaissais bien ces gestes, les ayant découverts moi-même depuis quelque temps.
Isabelle se donnait du plaisir sous la douche.
Une idée folle m’est venue.
Je me suis déshabillée, j’ai fait glisser la paroi vitrée et avant qu’elle ait le temps de réagir, je l’ai enlacée.
Elle devait m’avouer quelques jours plus tard qu’elle avait attendu ce moment depuis le début de notre amitié.
Elle savait qu’elle avait des penchants lesbiens mais les refoulait pour éviter un scandale avec ses parents.
Sa famille possédait la plus grande pharmacie de Clermont-Ferrand du moins dans ces années-là.
Dans mon livre, je détaillais, point par point les moments qui ont suivi ces premiers attouchements entre filles.
Mon héroïne vit intensément les roulades sur le lit de jeune fille d’Isabelle.
Elles se sont essuyé mutuellement leurs bouches se trouvant chaque fois que celle de l’une passait près de celle de l’autre.
Sur le lit, Justine où Isabelle, se sont retrouvées leurs mains cherchant le corps de l’autre.
Elles ont appris à se sucer avec toute la passion du monde leurs clitos s’apportant des jouissances réciproques qu’elles ignoraient possible entre filles.
Elles ont approfondi sur le lit la découverte de leurs clitoris, les caressants et les léchant autant que le temps leur permettait.
Comme je l’ai dit la maman travaillant avec son père dans leur pharmacie et leur laissais de grandes plages pour apprendre à se gouiner.
Leur liaison durait depuis quelques semaines.
Ce qu’ignore Isabelle, c’est le pourquoi de ma fuite.
Un après-midi j’ai reçu un coup de téléphone du père d’Isabelle, me disant qu’elle était tombée et à l’article de la mort et qu’elle me réclamait.
Je suis arrivée ventre à terre et c’est sur le canapé qu’il m’a violé pour m’apprendre qu’une bite, c’était mieux qu’une chatte surtout celle de sa fille.
J’ai eu peur de faire mal aux deux femmes Isabelle et sa maman alors j’ai fui aux USA.
Je m’éloignais de celui qui j’en étais sur aurais à tout moment recommencé à me forcer à le sucer et à m’enfiler comme la plus vulgaire des putes possible.
C’est au matin quand la sonnette de ma porte s’est déclenchée que je me suis réveillée, je venais de dormir sur mes souvenirs lesbiens et du viol de son père.
• Bonjours madame, le petit déjeuner que vous aviez commandé pour 8 heures.
Je peux ouvrir les volets roulants, vous verrez le temps est radieux !
Je donne mon accord.
Je m’étire sur mon lit, quand la jeune femme est partie, les roulements de ses fesses sous sa jupe m’ont fait envie.
Une petite masturbation faute de mieux serait la bienvenue, mais l’odeur du café et des croissants chauds sur lesquels j’étale de la marmelade d’oranges, vieille habitude américaine, primant, mon ventre criant famine.
Près de moi le livre que j’ai ouvert ayant déclenché mes souvenirs de ma vie passée avec Isabelle me fait de l’œil.
Je refoule mes pensers tournés vers la chatte d’Isabelle, retrouvés fortuitement à la Comédie Française afin d’éviter d’être en retard.
Une bonne douche froide, j’essaye vainement de me faire démarrer, mais la froideur de l’eau gèle mon clito qui a besoin d’une certaine chaleur pour être en sa forme maxi.
C’était le cas dans les bayous où j’ai failli y laisser ma vie.
Je suis réellement allée dans ces lieux remplis d’incertitude surtout lorsque vous tombez à l’eau et qu’un gentil croco d’environ trois à quatre mètres a décidé de vous compter fleurette.
J’étais avec Fredy, celui qui à ce moment était mon fiancé et qui m’a lâchement laissé tombé ayant trop peur des mâchoires de l’animal.
Ce sont des jumeaux passant près de là eux aussi en bateau à fond plat qui ont sauté à l’eau pour venir me sauver.
L’un l’a pris par ses mâchoires, lui passant sa ceinture autour de la gueule.
Je devais apprendre que ces gentilles bébêtes n’avait aucun muscle pour ouvrir leur gueule et qu’il suffisait de leur attacher pour qu’il l’empêche de m’attraper.
L’autre s’est la queue de l’animal qui lui a permis de le sortir en le tirant de l’eau.
J’ignore si ce qu’ils ont fait en lui ouvrant le ventre et en récupérant sa peau était bien légal.
Ce qu’il y a de sur, c’est que ce soir-là dans leur vieille cabane, je suçais l’un puis après l’autre pour finir par être prise en double vaginal.
C’est en gros ça que j’ai raconté dans mon livre sur le bayou, avec de nombreux détaille, certains inventés, mieux fantasmé sur mes cris de plaisir lorsqu’ils m’ont mis leurs deux bites dans la chatte.
• Pouvez-vous mettre comme dédicace ?
« À mon amour de jeunesse, violé par mon père que j’ai quitté lorsque ma maman m’a avoué sa forfaiture. »
Lorsque l’on dédicace, on écrit machinalement sans trop regarder à qui ont l’écrit, je lève la tête et je vois Isabelle devant moi.
Oui, j’ai fui pour éviter de lui dire la vérité.
Mon prochain livre, aura pour titre, « Isa est ma jeunesse auvergnate. »
J’ai dédicacé et vendu presque 200 bouquins aujourd’hui.
C’est main dans la main que nous retournons vers ma chambre d’hôtel.
• Roomservices, pouvez-vous me monter des petits fours, du champagne et encore du champagne, beaucoup de champagne, c’est le plus beau jour de ma vie.
• Mesdames, je peux vous laisser, avez-vous tout ce qu’il vous faut ?
Il va de soi que nue toutes les deux sur le lit lorsque la petite soubrette a apporté notre commande, je la regarde partir, sans grande envie de son petit cul comme ce matin, j’aurais bien aimé le faire.
Celui d’Isabelle me suffit surtout que j’aie appelé la réception pour s’acquérir d’un second billet pour New York où Isabelle vient avec moi finir sa vie.
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