COLLECTION HISTOIRE COURTE. Représentant en aspirateur (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Représentant en aspirateur (1/1)
• Madame, je vends des aspirateurs avec une aspiration puissante au meilleur prix !
« Claque. »
C’est une énième porte que l’on me ferme à la gueule aujourd’hui, quel boulot de con et moi pauvre idiot d’avoir accepté ce travail de merde.
Lorsque Sabrina m’a fichu à la porte après que je l’avais trompée avec sa sœur, j’ai cru que ma belle gueule serait un atout.
Je dois être précis, je me suis fait violer par sa sœur, cette salope chaude du cul alors que ma femme serait plutôt du genre glaçon.
On va dire que c’est Agathe que j’aurais dû épouser et non sa soeur, mais Sabrina était ma patronne et c’est elle qui avait le pognon.
J’étais son employé dans son magasin de chaussures et en épousant ma patronne, j’ai pu grimper dans l’échelle sociale.
Sabrina a le pognon, mais Agathe aussi, car c’est une pute, pardon une escorte comme l’on dit maintenant.
Sauter à l’œil une fille de joie, comme l’on disait dans le passé, je me suis senti fort surtout que c’était mon jour de relâche à la boutique alors que ma femme était au travail.
Agathe avait une partie de la maison familiale, mais elle allait chez ses clients sans jamais en amener un à la maison.
C’est sur un site qu’elle trouve ses clients, j’ai eu l’occasion de le découvrir sans qu’elle le sache.
C’est un jour de repos que je l’ai découvert, je trainais sur mon ordinateur à la maison en cherchant des films cochons.
Ma femme est si peu portée sur le sexe, que ces jours-là, je me masturbais en regardant des femmes se faire enfiler par de multiples queues.
Un site, un autre, « Escorte VIP » et une silhouette, mais surtout une photo prise dans un cadre que j’ai cru reconnaitre, notre jardin commun.
J’avais un doute, car son visage était flouté.
Ce jour-là, j’avais vu Agathe se faire bronzer sur notre pelouse, elle me faisait bander dans son petit Bikini profitant du soleil du mois de juin.
Près d’elle un portable sur la table du salon de jardin.
C’est vrai que depuis que je la connais, son portable est toujours à portée de sa main.
Sur le site, il y avait un numéro pour la joindre, j’ai décidé d’appeler en observant sa réaction.
06, j’ai entrouvert la fenêtre, nul doute, c’est dans le jardin que ça sonnait, surtout lorsqu’elle l’a pris en main.
« Oui ! »
J’ai rapidement coupé comme un enfant le ferait lorsqu’il se sent pris les doigts dans le pot de confiture.
J’avais ma preuve, le « oui » si court était-il, sortait des jolis poumons que j’admirais depuis de longues minutes au-dessous de moi.
Je savais, mais je me taisais dans les jours qui ont suivi.
Combien, qu’importe, chaque fois que j’entendais sa voiture partir, je savais qu’elle allait vendre son cul.
Quelquefois elle s’absentait plusieurs jours, chaque fois à son retour, quelque chose changeait chez elle.
Nouvelle télé écran plat, nouvelle voiture plus sportive que la berline qu’elle avait, mais aussi ses fringues.
Elle nous avait toujours dit qu’elle représentait une marque de produit cosmétique et qu’elle allait faire des démonstrations afin de les vendre.
Des cosmétiques vendus les samedis et dimanches, on aurait été sceptique à moins, mais ma femme trouvait cela naturel.
Chaque fois que j’avais l’occasion de la croisée, je bandais à savoir que je pouvais avoir son cul pour, certes, de nombreux billets.
Mais pourquoi payer pour avoir ce que l’on peut avoir gratuitement ?
Dans la maison, il y avait un lieu commun, la buanderie.
Sabrina étant très peu ménagère, ce qu’elle semblait avoir en commun avec le sexe, c’est moi qui faisais la lessive.
Ce matin de repos, je venais de mettre en marche une machine à laver et j’attendais la fin pour la sortir et l’étendre.
Sabrina avant de partir m’avait demandé de lui laver son pull en laine ultra fragile.
Je l’avais démarré et je savais qu’il était préférable de le sortir à peine essoré lorsque Agathe est arrivée en peignoir laissant voir le haut de ses seins.
• Alors le toutou à sa maman, il lui fait sa lessive, tu lui laves ses petites culottes, si encore elle savait s’en servir.
• Que veux-tu dire par là ?
• On vit proches les uns des autres.
Avec Sabrina tu couches dans la chambre de nos parents.
Ma chambre était celle que je partageais avec ma sœur étant petite, nous les entendions faire grincer le sommier lorsqu’il baisait pendant des heures.
J’en rigolais en les écoutant alors que ma sœur se mettait son oreiller sur la tête refusant de savoir que nos parents aimaient baiser.
Maintenant, je l’entends grincer lorsque vous vous couché et cinq minutes après calme plat, ou sont les baisses sauvages qui jalonnaient notre adolescence.
En me parlant son peignoir s’est un peu plus ouvert me montrant plus que la raison devait me montrer.
• Fait moi voir ce que tu as dans ton pantalon et que ma sœur refuse de se servir.
J’ai voulu reculer, mais elle s’est collée à moi, ses seins agressant les miens, alors que j’étais en maillot de bain.
Lorsque je dis que je me suis fait violer, c’est à ce moment là, car mon sexe s’était redressé seul et pointait de mon maillot.
Ça a été facile de le saisir et s’agenouillant de commencer à me faire une fellation.
Fellation, ce simple mot montre l’étendue de ma réelle ignorance du sexe, ma femme ayant toujours refusé cette façon de faire l’amour.
Impossible de me retenir, en deux secondes, j’ai arrosé sa glotte.
• Eh bien, mon cochon, je vois que le mal est profond, j’adore le sperme, mais tu es le plus rapide de mes amants ayant déchargé dans ma bouche.
J’étais penaud, mais tellement demandeur de sexe que ma verge est restée tendue.
Je l’ai redressé, appuyé à la machine à laver et alors qu’elle me mettait une jambe autour de ma taille, mon sexe est rentré directement en elle.
Faire jouir une pute, j’ignorais cela possible, pourtant la machine à laver faisant tourner le pull à très grande vitesse a été dans l’impossibilité de couvrir les cris de jouissances d’Agathe.
J’ai de nouveau déchargé pour notre plus grand plaisir.
• Tu sais, c’était un coup en passant, je veux la paix avec ma sœur.
06, tu connais ce numéro.
• Je baise avec toi et tu me fais du chantage, c’est toi qui as appelé et raccroché alors que je bronzais dans le jardin ?
Oui, je suis une escorte, je gagne mon argent avec mes clients, mais si tu le dis à ma sœur, je te coupe les couilles.
• Je garderais ton secret, mais... !
• Du chantage, vous les hommes vous finissez toujours par nous faire du chantage.
• Non, c’est simplement que c’était la première fois que l’on me suçait et que je faisais l’amour hors d’un lit !
Agathe a compris que j’étais réellement en manque et à partir de ce jour, chaque fois qu’on le pouvait en l’absence de ma femme, nous baisions.
La première fois, lorsque ma femme est rentrée, j’ai eu droit à la scène du trois.
Alors que je sautais sa sœur, le pull a été bon à être mis sur la poupée qu’Agathe a sur son lit tellement il avait rétréci.
J’aimais tellement l’entendre jouir que j’ai pris de plus en plus de risques.
Un lundi ou ma femme était parti à la boutique pour un inventaire, j’ai prétexté un mal de crâne pour rester à la maison.
Ça a dû lui mettre la puce à l’oreille, qu’un grand gaillard comme moi souffle de son propre mal chaque fois qu’elle se refusait.
Elle a débarqué alors que nous étions dans la buanderie, je baisais Agathe en levrette sur le carrelage devant la machine que j’avais démarrée.
Elle revenait des Caraïbe ou elle avait passé une semaine aux frais d’un de ses clients, j’ai pu constater que, là-bas elle avait pratiqué le nu intégral.
Il va sans dire que j’ai eu ma valise devant la maison et que la nuit suivante je l’ai passé dans la seule chose qu’elle a permis que je garde, ma voiture.
Elle me l’avait offerte pour mon vingt-cinquième anniversaire.
J’ai cherché un travail, j’ai trouvé celui de représentant en aspirateur.
Résultat, j’ai aspiré bon nombre de tapis sans en vendre un.
Pardon, j’en ai vendu un à une mémé, mais son fils a été à deux doigts de me casser la gueule, car j’avais abusé une vieille mémé sénile.
J’étais à deux doigts de penser à jeter ma voiture sous un train, quand mon portable a sonné.
Mon forfait était épuisé, mais je pouvais encore recevoir des communications en urgence.
• Steph, c’est moi Agathe, je sais la galère dans laquelle tu te trouves, es-tu libre ce soir ?
Si j’étais libre, j’avais rapporté l’aspirateur à celui qui m’avait fait croire que j’allais en signer trois à quatre par jour.
• Oui, pourquoi ?
• J’ai un couple avec qui j’ai des rapports professionnels, nous faisons régulièrement des trios, mais Sonia veut aller plus loin dans l’échangisme.
Je couche avec les deux, mais elle aimerait avoir une nouvelle queue à sa disposition.
Ils ont pensé à l’échangisme, mais un couple de leurs amis a eu des soucis, car l’homme est tombé amoureux de la femme et s’est tiré avec.
Ils ont les moyens et préfèrent, les amours tarifés que ceux que l’on peut improviser.
Je leur ai dit que j’avais peut-être la solution, es-tu partant ?
Un train et les tôles qui se broient ou une chatte moyennant rétribution, j’ai vite choisi.
• Bonsoir, Sonia, bonsoir Guy, je vous présente Steph, mon partenaire, Sonia, il est entièrement à ta disposition, tu verras, il est très doux avec les femmes.
J’ai baisé Sonia, mais aussi Agathe, toute la soirée, lorsque ma compagne m’a donné mes émoluments, je refusais de croire que ma queue pouvait me rapporter autant.
À un moment, j’ai bien senti une main virile, me caresser la queue, mais voulant faire honneur à ma maîtresse je l’ai accepté.
Le lendemain deux choses, j’ai arrêté ma voiture devant la maison des deux sœurs dont mon ex-femme et j’ai emménagé avec Agathe.
Sûr que chaque fois que je baise Agathe, au-dessus de nous Sabrina doit entendre grincer notre sommier, mais le sien de temps en temps reçoit la visite d’un mâle même si cela dure très peu de temps.
La deuxième, nous avons fait des photos dans le jardin, nos visages floutés, étant sur le site avec cette légende.
« Couple, bi-sexuel à deux ou en individuel sont à votre disposition pour des moments pleins de plaisir.
06, on attend votre appel pour plus de renseignements. »
Voilà, j’ai trouvé une compagne à ma mesure, pardon à notre mesure.
En couple ou seul, notre carnet de rendez-vous est plein.
Ce soir, je me rends une femme que j’ai bien connue, du moins le numéro qui a appelé.
C’est celui d’un magasin de chaussures dont la femme semble être en manque de sexe à ce qu’elle m’a dit.
Je dois la rejoindre dans le restaurant de notre première fois sans qu’elle le sache bien sûr.
Je veux voir la gueule qu’elle fera lorsqu’elle découvrira que l’escorte qu’elle se paye est son ancien mari.
Soyez sûr que si elle accepte d’aller plus loin, même dans la chambre au-dessus de celle où je vis, je lui ferais le « tourbillon japonais. »
Je la ferais s’envoyer en l’air après qu’elle m’ait donné la grosse enveloppe que je prends pour sauter ces salopes.
Agathe et moi saurons très bien comment la dépenser, nous avons pris contact avec un marchand vendant des piscines pour en installer une dans la partie du jardin qui nous est réservé.
« Claque. »
C’est une énième porte que l’on me ferme à la gueule aujourd’hui, quel boulot de con et moi pauvre idiot d’avoir accepté ce travail de merde.
Lorsque Sabrina m’a fichu à la porte après que je l’avais trompée avec sa sœur, j’ai cru que ma belle gueule serait un atout.
Je dois être précis, je me suis fait violer par sa sœur, cette salope chaude du cul alors que ma femme serait plutôt du genre glaçon.
On va dire que c’est Agathe que j’aurais dû épouser et non sa soeur, mais Sabrina était ma patronne et c’est elle qui avait le pognon.
J’étais son employé dans son magasin de chaussures et en épousant ma patronne, j’ai pu grimper dans l’échelle sociale.
Sabrina a le pognon, mais Agathe aussi, car c’est une pute, pardon une escorte comme l’on dit maintenant.
Sauter à l’œil une fille de joie, comme l’on disait dans le passé, je me suis senti fort surtout que c’était mon jour de relâche à la boutique alors que ma femme était au travail.
Agathe avait une partie de la maison familiale, mais elle allait chez ses clients sans jamais en amener un à la maison.
C’est sur un site qu’elle trouve ses clients, j’ai eu l’occasion de le découvrir sans qu’elle le sache.
C’est un jour de repos que je l’ai découvert, je trainais sur mon ordinateur à la maison en cherchant des films cochons.
Ma femme est si peu portée sur le sexe, que ces jours-là, je me masturbais en regardant des femmes se faire enfiler par de multiples queues.
Un site, un autre, « Escorte VIP » et une silhouette, mais surtout une photo prise dans un cadre que j’ai cru reconnaitre, notre jardin commun.
J’avais un doute, car son visage était flouté.
Ce jour-là, j’avais vu Agathe se faire bronzer sur notre pelouse, elle me faisait bander dans son petit Bikini profitant du soleil du mois de juin.
Près d’elle un portable sur la table du salon de jardin.
C’est vrai que depuis que je la connais, son portable est toujours à portée de sa main.
Sur le site, il y avait un numéro pour la joindre, j’ai décidé d’appeler en observant sa réaction.
06, j’ai entrouvert la fenêtre, nul doute, c’est dans le jardin que ça sonnait, surtout lorsqu’elle l’a pris en main.
« Oui ! »
J’ai rapidement coupé comme un enfant le ferait lorsqu’il se sent pris les doigts dans le pot de confiture.
J’avais ma preuve, le « oui » si court était-il, sortait des jolis poumons que j’admirais depuis de longues minutes au-dessous de moi.
Je savais, mais je me taisais dans les jours qui ont suivi.
Combien, qu’importe, chaque fois que j’entendais sa voiture partir, je savais qu’elle allait vendre son cul.
Quelquefois elle s’absentait plusieurs jours, chaque fois à son retour, quelque chose changeait chez elle.
Nouvelle télé écran plat, nouvelle voiture plus sportive que la berline qu’elle avait, mais aussi ses fringues.
Elle nous avait toujours dit qu’elle représentait une marque de produit cosmétique et qu’elle allait faire des démonstrations afin de les vendre.
Des cosmétiques vendus les samedis et dimanches, on aurait été sceptique à moins, mais ma femme trouvait cela naturel.
Chaque fois que j’avais l’occasion de la croisée, je bandais à savoir que je pouvais avoir son cul pour, certes, de nombreux billets.
Mais pourquoi payer pour avoir ce que l’on peut avoir gratuitement ?
Dans la maison, il y avait un lieu commun, la buanderie.
Sabrina étant très peu ménagère, ce qu’elle semblait avoir en commun avec le sexe, c’est moi qui faisais la lessive.
Ce matin de repos, je venais de mettre en marche une machine à laver et j’attendais la fin pour la sortir et l’étendre.
Sabrina avant de partir m’avait demandé de lui laver son pull en laine ultra fragile.
Je l’avais démarré et je savais qu’il était préférable de le sortir à peine essoré lorsque Agathe est arrivée en peignoir laissant voir le haut de ses seins.
• Alors le toutou à sa maman, il lui fait sa lessive, tu lui laves ses petites culottes, si encore elle savait s’en servir.
• Que veux-tu dire par là ?
• On vit proches les uns des autres.
Avec Sabrina tu couches dans la chambre de nos parents.
Ma chambre était celle que je partageais avec ma sœur étant petite, nous les entendions faire grincer le sommier lorsqu’il baisait pendant des heures.
J’en rigolais en les écoutant alors que ma sœur se mettait son oreiller sur la tête refusant de savoir que nos parents aimaient baiser.
Maintenant, je l’entends grincer lorsque vous vous couché et cinq minutes après calme plat, ou sont les baisses sauvages qui jalonnaient notre adolescence.
En me parlant son peignoir s’est un peu plus ouvert me montrant plus que la raison devait me montrer.
• Fait moi voir ce que tu as dans ton pantalon et que ma sœur refuse de se servir.
J’ai voulu reculer, mais elle s’est collée à moi, ses seins agressant les miens, alors que j’étais en maillot de bain.
Lorsque je dis que je me suis fait violer, c’est à ce moment là, car mon sexe s’était redressé seul et pointait de mon maillot.
Ça a été facile de le saisir et s’agenouillant de commencer à me faire une fellation.
Fellation, ce simple mot montre l’étendue de ma réelle ignorance du sexe, ma femme ayant toujours refusé cette façon de faire l’amour.
Impossible de me retenir, en deux secondes, j’ai arrosé sa glotte.
• Eh bien, mon cochon, je vois que le mal est profond, j’adore le sperme, mais tu es le plus rapide de mes amants ayant déchargé dans ma bouche.
J’étais penaud, mais tellement demandeur de sexe que ma verge est restée tendue.
Je l’ai redressé, appuyé à la machine à laver et alors qu’elle me mettait une jambe autour de ma taille, mon sexe est rentré directement en elle.
Faire jouir une pute, j’ignorais cela possible, pourtant la machine à laver faisant tourner le pull à très grande vitesse a été dans l’impossibilité de couvrir les cris de jouissances d’Agathe.
J’ai de nouveau déchargé pour notre plus grand plaisir.
• Tu sais, c’était un coup en passant, je veux la paix avec ma sœur.
06, tu connais ce numéro.
• Je baise avec toi et tu me fais du chantage, c’est toi qui as appelé et raccroché alors que je bronzais dans le jardin ?
Oui, je suis une escorte, je gagne mon argent avec mes clients, mais si tu le dis à ma sœur, je te coupe les couilles.
• Je garderais ton secret, mais... !
• Du chantage, vous les hommes vous finissez toujours par nous faire du chantage.
• Non, c’est simplement que c’était la première fois que l’on me suçait et que je faisais l’amour hors d’un lit !
Agathe a compris que j’étais réellement en manque et à partir de ce jour, chaque fois qu’on le pouvait en l’absence de ma femme, nous baisions.
La première fois, lorsque ma femme est rentrée, j’ai eu droit à la scène du trois.
Alors que je sautais sa sœur, le pull a été bon à être mis sur la poupée qu’Agathe a sur son lit tellement il avait rétréci.
J’aimais tellement l’entendre jouir que j’ai pris de plus en plus de risques.
Un lundi ou ma femme était parti à la boutique pour un inventaire, j’ai prétexté un mal de crâne pour rester à la maison.
Ça a dû lui mettre la puce à l’oreille, qu’un grand gaillard comme moi souffle de son propre mal chaque fois qu’elle se refusait.
Elle a débarqué alors que nous étions dans la buanderie, je baisais Agathe en levrette sur le carrelage devant la machine que j’avais démarrée.
Elle revenait des Caraïbe ou elle avait passé une semaine aux frais d’un de ses clients, j’ai pu constater que, là-bas elle avait pratiqué le nu intégral.
Il va sans dire que j’ai eu ma valise devant la maison et que la nuit suivante je l’ai passé dans la seule chose qu’elle a permis que je garde, ma voiture.
Elle me l’avait offerte pour mon vingt-cinquième anniversaire.
J’ai cherché un travail, j’ai trouvé celui de représentant en aspirateur.
Résultat, j’ai aspiré bon nombre de tapis sans en vendre un.
Pardon, j’en ai vendu un à une mémé, mais son fils a été à deux doigts de me casser la gueule, car j’avais abusé une vieille mémé sénile.
J’étais à deux doigts de penser à jeter ma voiture sous un train, quand mon portable a sonné.
Mon forfait était épuisé, mais je pouvais encore recevoir des communications en urgence.
• Steph, c’est moi Agathe, je sais la galère dans laquelle tu te trouves, es-tu libre ce soir ?
Si j’étais libre, j’avais rapporté l’aspirateur à celui qui m’avait fait croire que j’allais en signer trois à quatre par jour.
• Oui, pourquoi ?
• J’ai un couple avec qui j’ai des rapports professionnels, nous faisons régulièrement des trios, mais Sonia veut aller plus loin dans l’échangisme.
Je couche avec les deux, mais elle aimerait avoir une nouvelle queue à sa disposition.
Ils ont pensé à l’échangisme, mais un couple de leurs amis a eu des soucis, car l’homme est tombé amoureux de la femme et s’est tiré avec.
Ils ont les moyens et préfèrent, les amours tarifés que ceux que l’on peut improviser.
Je leur ai dit que j’avais peut-être la solution, es-tu partant ?
Un train et les tôles qui se broient ou une chatte moyennant rétribution, j’ai vite choisi.
• Bonsoir, Sonia, bonsoir Guy, je vous présente Steph, mon partenaire, Sonia, il est entièrement à ta disposition, tu verras, il est très doux avec les femmes.
J’ai baisé Sonia, mais aussi Agathe, toute la soirée, lorsque ma compagne m’a donné mes émoluments, je refusais de croire que ma queue pouvait me rapporter autant.
À un moment, j’ai bien senti une main virile, me caresser la queue, mais voulant faire honneur à ma maîtresse je l’ai accepté.
Le lendemain deux choses, j’ai arrêté ma voiture devant la maison des deux sœurs dont mon ex-femme et j’ai emménagé avec Agathe.
Sûr que chaque fois que je baise Agathe, au-dessus de nous Sabrina doit entendre grincer notre sommier, mais le sien de temps en temps reçoit la visite d’un mâle même si cela dure très peu de temps.
La deuxième, nous avons fait des photos dans le jardin, nos visages floutés, étant sur le site avec cette légende.
« Couple, bi-sexuel à deux ou en individuel sont à votre disposition pour des moments pleins de plaisir.
06, on attend votre appel pour plus de renseignements. »
Voilà, j’ai trouvé une compagne à ma mesure, pardon à notre mesure.
En couple ou seul, notre carnet de rendez-vous est plein.
Ce soir, je me rends une femme que j’ai bien connue, du moins le numéro qui a appelé.
C’est celui d’un magasin de chaussures dont la femme semble être en manque de sexe à ce qu’elle m’a dit.
Je dois la rejoindre dans le restaurant de notre première fois sans qu’elle le sache bien sûr.
Je veux voir la gueule qu’elle fera lorsqu’elle découvrira que l’escorte qu’elle se paye est son ancien mari.
Soyez sûr que si elle accepte d’aller plus loin, même dans la chambre au-dessus de celle où je vis, je lui ferais le « tourbillon japonais. »
Je la ferais s’envoyer en l’air après qu’elle m’ait donné la grosse enveloppe que je prends pour sauter ces salopes.
Agathe et moi saurons très bien comment la dépenser, nous avons pris contact avec un marchand vendant des piscines pour en installer une dans la partie du jardin qui nous est réservé.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chris est de retour sur HDS et toujours aussi actif! Bravo!
Merci Laétitia, j'ai perdu des histoires dans le transfert mais bon on va combler
Le retour de Chris sur HDS.
Les choses rentrent dans l’ordre !
Les choses rentrent dans l’ordre !